queen for a day (ASTRA)

ASTRA "STARDUST" STARK

TW : enlèvement, politique, corruption, meurtre/assassinat, vol, harcèlement.

FT. Gal Gadot

CARTE D'IDENTITÉ Nom et surnom(s) : Astra ; ce n’est pas le prénom qui lui a été donné à la naissance, enfin, pas tout à fait. C’est son second prénom, donné par sa mère passionnée d’astronomie. Elle est née Lior, mais elle ne se fait plus appeler comme ça depuis qu’elle a quitté sa famille. Stark non plus n’est pas son véritable nom. Elle l’a choisi un peu au hasard au moment de se choisir une nouvelle identité, parce que ça sonnait bien et que c’était beaucoup plus courant. Troisième et dernière enfant de la fratrie Rosenberg, elle n’a plus utilisé ce nom depuis une éternité. D’abord parce qu’elle a souvent préféré se présenter avec le nom de sa mère, ensuite pour continuer à brouiller les pistes. En résumé, Astra Stark est son dernier alias ; Lior Rosenberg est quant à elle portée disparue depuis des années.

Genre et Pronom(s) : Femme cisgenre ; elle.

Âge et lieu de naissance : Âgée de 35 ans, elle est née le 1er février 1990 dans un quartier chic de la banlieue londonienne, en Angleterre.

Origines et nationalité : Née en Angleterre, Astra possède la nationalité anglaise. Fière de ses origines, Astra est juive ashkénaze de par ses deux parents. Mais elle n’a plus présenté ses véritables papiers d’identité depuis une éternité, alors sa nationalité, comme son nom, change selon ses envies, ses besoins et les faux qu’elle a sous la main.

Statut marital : C’est… Compliqué. Longtemps célibataire, pas très intéressée par les relations, Astra ne pensait pas – et ne voulait pas – tomber amoureuse. Si elle n’hésitait pas à se servir de ses talents de séductrice pour arriver à ses fins, elle évitait soigneusement d’aller trop loin. Et pour cause, demisexuelle, elle n’est pas intéressée par les relations charnelles ou amoureuses à moins d’éprouver de forts sentiments pour quelqu'un. Autant le dire, elle n’avait pas la moindre intention d’avoir un véritable coup de foudre pou l’homme qui était censé l’arrêter depuis des années. Mais depuis qu’il lui a sauvé la vie et qu’ils sont ensemble en cavale, il semblerait que les choses aient réellement changé entre eux. Ça ressemble au pitch d’un mauvais film romantique, Astra en a malheureusement bien conscience…

Occupation : Voleuse, faussaire, trafiquante d’art, criminelle recherchée et en fuite… Appelez ça comme vous voudrez. Autrefois promise à un avenir brillant dans le domaine de l’art, la vie d’Astra a pris un drôle de tournant et elle a mis ses talents au service de sa propre personne. En résumé, elle vole aux riches pour d’autres riches, parfois même pour le gouvernement d’un pays ou d’un autre, le tout dans le plus grand secret, évidemment. On peut dire qu’elle a su se tailler une sacrée réputation dans le milieu. Oh, elle est loin de n’avoir que des amis, mais elle a appris à aimer vivre dangereusement. C’est en tout cas ce qu’elle affirme haut et fort à qui veut l’entendre.

Situation financière : Le crime rapporte. Astra possède plusieurs identités, plusieurs comptes bancaires un peu partout dans le monde, et tous sont bien remplis. Elle a un train de vie aisé, elle ne manque de rien et ne se refuse rien. Pas naïve pour autant, elle a conscience que tout pourrait s’arrêter du jour au lendemain, pour peu qu’elle tombe sur les mauvaises personnes ou soit démasquée et arrêtée.

Lieu d'habitation : Astra possède plusieurs safe houses un peu partout dans le monde, allant du petit appartement discret au loft luxueux. À New Blossom, elle a investi dans un somptueux penthouse dans le quartier de Solaris, avec une vue plongeante sur le Serendipity Garden. Discrète, Astra évite de se faire remarquer et n’entretient pas réellement de relations avec le voisinage. Bien moins glamour, mais peut-être plus discret, au cas où les choses tourneraient vraiment mal, un petit appartement dans l’Underapple, dans ce qui était autrefois le Queens.

L'esprit Le corps L'âme La mémoire

L'ESPRIT “I thought that I was hungry for love ; maybe I was just hungry for blood.”

On dit que les apparences sont trompeuses, et en ce qui concerne Astra, il n’existe pas de proverbe plus vrai. Au premier abord, elle a absolument tout d’une femme assurée, pleine d’ambitions et se donnant de quoi les réaliser. Ambitieuse et déterminée, elle sait se donner les moyens d’arriver à ses fins, peu lui importe comment. Elle sait se montrer autoritaire, si sûre d’elle qu’il en devient difficile de douter de ce qu’elle peut affirmer comme étant la vérité. Douée pour lire les gens, Astra sait adapter sa personnalité en fonction de ses interlocuteurs, en véritable caméléon de l’identité. Elle a appris à garder l’attention fixée sur elle comme à l’en détourner, sait se démarquer comme se fondre dans la masse. Tout ne dépend que de ses envies et ses besoins. Elle n’hésite pas non plus à jouer de ses charmes pour obtenir ce qu’elle veut, elle joue avec les cœurs et avec les esprits, mène son prochain par le bout du nez sans jamais être étouffée par les remords ou les regrets. Astra semble toujours savoir ce qu’elle veut et comment l’obtenir, donne l’impression d’avoir pensé à tout, d’avoir un plan en réserve pour chaque situation. On ne l’attrape que si elle le veut bien (on ignorera bien volontiers l’incident londonien) et on le garde jamais bien longtemps dans ses filets. Parce que l’adrénaline la faisait vibrer, elle s’est longtemps amusée du jeu du chat et de la souris mis en place avec un certain agent, allant même jusqu’à sortir de sa cachette sciemment, pour l’attirer dans sa toile…

C’est qu’en réalité, Astra excelle dans l’art du mensonge et de la manipulation.

Au fond, elle est toujours cette enfant que l’on a refusé de sauver, que l’on a laissée entre les mains des pires criminels. Prétendre être ce qu’elle n’est pas est plus simple que d’affronter la vérité quant à ce qu’elle est vraiment : une femme perdue, en éternelle quête de repères, rongée par une terrible peur de l’abandon, qui a préféré s’isoler des siens pour éviter d’être davantage heurtée. Elle ne sait pas quelle place elle est censée occuper dans le monde et quelque part elle l’a bien compris, elle ne pourra pas fuir toute sa vie. Ne jamais rester bien longtemps au même endroit et posséder de multiples identités lui permet de ne pas trop s’attarder sur le passé et le destin de Lior. C’est une course contre la montre, une course qu’elle finira par perdre, lorsque ce passé qu’elle a désespérément essayé d’oublier la rattrapera et la prendra à la gorge. Alors, en attendant l’inévitable, elle se berce d’illusions et prétend être ce qu’elle n’est pas. Elle n’est pas dupe, il y a ceux qui savent voir sous cette armure qu’elle refuse de retirer, trop honteuse, trop effrayée à l’idée de se montrer vulnérable face à qui que ce soit. Elle s’accroche obstinément à son image de femme forte montée de toutes pièces, comme un naufragé à un rocher.

“If I can't have love, I want power.”
[001] On pourrait presque résumer la façon de penser d’Astra à une citation de Dostoïevski : « Plus j’aime l’humanité en général, moins j’aime les gens en particulier. » Elle sait de quoi est capable l’être humain, c’est-à-dire du pire comme du meilleur, mais c’est hélas souvent le pire qui l’emporte. [002] Astra déteste les grandes étendues d’eau. Quand elle était plus jeune, lors de vacances en famille au bord d’un lac, elle a glissé d’un ponton et s’est retrouvée à l’eau alors qu’elle ne savait pas encore nager. Adrian a beau l’avoir repêchée presque aussitôt, elle en a gardé un si mauvais souvenir qu’elle évite tout ce qui est plus grand qu’une baignoire. Elle sait nager, mais n’essayez pas de la convaincre de faire un petit plongeon pour le plaisir. [003] De sa mère, Astra n’a gardé que les souvenirs et un pendentif représentant une étoile et par extension, elle-même. Elle tient à ce bijou comme à la prunelle de ses yeux et le porte toujours, sa valeur est sentimentale plus que matérielle. [004] En revanche, la bague qu’elle porte à l’annulaire droit est beaucoup, beaucoup plus onéreuse. Pragmatique, Astra aime pallier toutes les éventualités. Si elle porte ce bijou en permanence, c’est pour toujours avoir sur elle quelque chose à vendre si elle se retrouvait dans le besoin, coupée de toutes ses ressources matérielles et immatérielles. La valeur de cette bague ? Eh bien, disons que c’est un nombre à six chiffres, merci les cinq carats. C’est un peu tape à l’œil, mais c’est une réelle assurance pour la jeune femme. [005] Astra est végétarienne depuis l’adolescence, et ce sans regrets. Et non, inutile de le demander, elle n’a aucune carence et elle le vit très bien ! [006] Avec l’avènement de l’intelligence artificielle, des applications et du reste, il est de plus en plus facile de communiquer, sans avoir particulièrement besoin de parler plusieurs langues soi-même. Mais Astra a toujours estimé qu’il était bien plus facile d’entretenir de réelles relations (et plus facile de manipuler avec aisances, aussi) avec les personnes quand l’on parle leur langue maternelle. Et puis, à force de voyager, on apprend forcément quelques choses par-ci, par-là… Elle parle fièrement plusieurs langues en plus de l’anglais. À commencer par la langue maternelle de sa mère, l’hébreu. Son français est parfait, elle parle arabe et espagnol couramment, et étudie le russe et le chinois à ses heures perdues. Si ça ne tenait qu’à elle, elle toucherait un peu à toutes les langues. Elle apprécie également étudier les langues mortes, par pure curiosité.

LE CORPS LE CORPS MUTANT Type de mutant : True Blood.
Âge lors de la première déchirure : 8 ans (27 ans d'utilisation).

Thème de la mutation : Astéria ; déesse grecque du firmament et des étoiles.

Déchirure 1 : STARLIGHT (manipulation de la lumière).

— Niveau 1 : Astra est capable d'emmagasiner la lumière émise par les corps célestes (principalement, le soleil) pour ensuite la rediriger vers une partie de son corps, qui s'illumine. En résumé, n'importe lequel de ses membres peut devenir une sorte de "lampe torche" super puissante, dont elle peut contrôler l'intensité. Elle peut aller jusqu'à éclairer tout son corps, devenant une sorte de "phare humain". Là encore, elle peut contrôler l'intensité du rayonnement et de l'éclairage, allant d'un simple halo à une lumière complètement aveuglante, voire une explosion lumineuse. Il faut cependant noter que lorsqu'elle redirige la lumière vers une partie de son corps, le reste de ce dernier à tendance à "s'éteindre" et à ternir, à la façon d'un coin de ciel où les étoiles sont rares ou étouffé par le rayonnement d'un secteur voisin.

— Niveau 2 : De la même façon qu'Astra est capable d'emmagasiner la lumière pour la redistribuer, elle peut l'absorber jusqu'à la faire disparaître complètement, un peu à la manière d'un trou noir qui ne laisserait percevoir aucune source lumineuse. Pour Astra, cela se limite pour le moment à un coin de pièce ou une petite pièce, qu'elle plonge dans le noir le plus complet. Pratique, quand vous voulez dissimuler un crime...

Limites : L'utilisation de cette déchirure est limitée par plusieurs facteurs. Tout d'abord, comme une batterie, Astra a besoin de se "recharger" pour pouvoir ou non utiliser cette mutation. Plus l'exposition à la lumière céleste sera longue et plus elle pourra utiliser Starlight longtemps. Plus l'intensité de la lumière sera intense et moins elle sera longue dans le temps. Concrètement, elle pourrait par exemple faire briller ses yeux plusieurs heures sans trop se fatiguer, mais se transformer en véritable projecteur ne pourra jamais durer plus de quelques minutes, peut-être cinq au maximum, et lui demandera des heures, voire des jours, pour pouvoir retenter l'expérience. L'utilisation de Starlight est aussi influencée par ses émotions. Astra peut briller, littéralement, pour peu qu'une émotion plus intense qu'une autre l'envahisse et qu'elle ne parvienne pas à la contrôler. Plus l'émotion sera intense et moins elle saura contrôler son niveau de luminosité. De plus, absorber et faire disparaître une source lumineuse n'est pas sans conséquences et danger pour Astra. Selon l'intensité de l'utilisation de cette capacité, elle peut elle aussi être plongée dans le noir - autrement dit, elle peut perdre momentanément la vue si elle utilise son pouvoir de façon trop rapide, trop longue, trop intense. Elle peut mettre plusieurs heures à récupérer la vue. Une fois l'effet "trou noir" terminé, sa température corporelle chute elle aussi, il est alors dangereux pour elle de rester dans un environnement froid, elle risque l'hypothermie.

Déchirure 2 : STARFIRE (manipulation de la chaleur/explosion stellaire)

— Niveau 1 : Le toucher d'Astra peut se faire brûlant si elle le souhaite, à plus ou moins grande intensité. Elle peut provoquer des brûlures d'un simple contact, ce qui peut s'avérer pratique si elle veut se défendre ou se sortir d'une situation gênante rapidement. Elle peut faire fondre les surfaces les moins résistantes.

— Niveau 2 : Comme une (toute petite) éruption ou explosion solaire, Astra peut projeter des boules de feu dont les flammes sont blanches ou bleues, donc très, très chaudes. Cette fois-ci, les dégâts peuvent être conséquents.

Limites : Astra évite le plus possible d'utiliser cette déchirure. D'abord parce qu'elle peut être extrêmement dangereuse et surtout, parce qu'elle l'épuise. Une utilisation abusive ou trop fréquente du Starfire risquerait de faire monter sa température corporelle à un point ingérable pour son organisme, qui risquerait de causer chez elle un coup de chaleur qui mettrait sa vie en danger (hallucinations, perte de conscience, convulsions...). Si son corps supporte la chaleur à de bien plus hauts niveaux que la normale pour supporter ses déchirures, ce n'est donc pas sans limites. Si Astra atteint le point de non-retour, elle risque d'y laisser sa vie. Quant à la projection des boules de feu, elles n'existent pas en nombre illimité. Comme pour Starlight, leur création dépend du niveau de "recharge" d'Astra. Et plus elles seront puissantes et moins elle en aura à sa disposition. Elle a baptisé le contrecoup de cette déchirure Supernova ; comme une étoile, elle risque d'imploser en cas d'utilisation abusive et non-contrôlée de Starlight et de Starfire en même temps. Elle risquerait d'emporter beaucoup de choses et de gens avec elle... Elle n'a pas très envie de devenir une bombe cosmique.

Déchirure 3 : GRAVITATIONAL PULL (manipulation de la gravité).

— Niveau 1 : Astra est capable de manipuler la gravité immédiate autour d'elle, soit pour attirer les objets et les personnes, soit pour les repousser. Fonctionne comme une forme de télékinésie, basée sur le principe de l'attraction gravitationnelle des corps célestes. Volontairement (ou involontairement, selon son état émotionnel) elle manipule sa masse corporelle pour l'alléger ou l'augmenter et ainsi influencer son pouvoir d'attraction ou d'éloignement des objets et personnes.

— Niveau 2 : Astra peut à présent manipuler plus précisément la gravité qui l'entoure et sa masse pour créer des champs de force protecteurs ou offensifs pour attaquer/se défendre. Cela reste une capacité principalement défensive ; si la gravité est affectée/inversée autour d'elle (dans une limite maximum d'une dizaine de mètres), il est difficile de la toucher, tout est repoussé. Et inversement, elle peut attirer à elle des choses de plus en plus imposantes, dans le même périmètre. Ses champs de force sont solides, quoique sur le court-terme.

LIMITES : Pour le moment, cette déchirure est principalement sujette aux émotions et à l'instinct de préservation. Elle n'active pas forcément volontairement les champs de force permettant de la protéger, le contrôle peut lui échapper. En ce qui concerne l'attraction ou non-attraction des objets et des individus, plus la masse (le poids total) déplacée sera importante et plus ce sera difficile pour elle. Par exemple, elle peut sans problème déplacer un verre et le laisser flotter autour d'elle pour la suivre, mais si elle devait déplacer une voiture, ça lui demanderait beaucoup de concentration et d'énergie. Plus elle utilise cette déchirure dans la durée et plus maintenir intact ses champs de force est compliqué, moins ils sont "solides". De plus, elle doit influencer sa propre masse corporelle pour arriver à ses fins, donc elle doit penser à beaucoup de choses en même temps, c'est encore loin d'être un calcul instinctif de sa part. Se concentrer pour se protéger est instinctif, mais c'est plus compliqué si elle doit utiliser sa déchirure pour protéger quelqu'un d'autre. Il va lui falloir du temps pour apprendre à la manipuler correctement.

LE CORPS HUMAINAstra possède une connaissance et une maîtrise approfondies des arts martiaux, avec une affinité particulière pour le krav maga. Elle a pris des cours dès l’adolescence, pour ne plus jamais avoir l’impression d’être sans défense, et s’est toujours débrouillée pour trouver une façon de pratiquer où qu’elle soit, que ce soit dans une salle de sport, avec un professeur ou par des biais moins légaux… Si Astra rechigne à utiliser ses déchirures au quotidien, elle hésite beaucoup moins à user de ses facultés de combattante pour se tirer d’une mauvaise passe. Après avoir longtemps rechigné, de peur d’en faire mauvais usage, Astra a fini par se faire une raison et s’est résolue à apprendre à manier les armes à feu comme les armes à blanche. Si elle se sait plutôt douée avec les unes comme les autres, elle préfère s’en passer au mieux – elle les laisse à Eirik, il est bien moins impulsif et nerveux qu’elle, risque bien moins de faire quelque chose qu’il regretterait.

L'ÂME APPARTENANCE : TOMORROW'S DISASTER
(LES MUTANTS) Astra entretient une position plutôt ambiguë vis-à-vis des mutants. Elle considère que personne n’avait le droit de jouer à dieu pour trafiquer, modifier le génome humain. Cela va à l’encontre de ses convictions, c’était contre nature et surtout, dangereux. Les grands pontes d’Icarus auront beau dire le contraire, ils ont perdu le contrôle de leur création, tout n’est plus qu’une question d’argent et de pouvoir. Combien de vies brisées par ces maudites expérimentations ? Elle préfère ne pas trop y penser. De toute façon, la sienne en fait partie, n’est-ce pas une réponse suffisante ? Elle essaie parfois de rationaliser en se disant que les scientifiques n’ont sans doute fait qu’accélérer l’évolution humaine, que cela aurait fini par arriver… Même si elle aurait préféré que ce soit bien, bien plus tard… Quant aux mutants eux-mêmes… Eh bien, tout dépend du type de mutant en question. Ceux qui, comme elle, sont nés mutants, car descendants d’Originels, elle considère qu’ils n’ont pas eu le choix. On ne choisit pas de naître d’une façon ou d’une autre, c’est comme ça et c’est tout. Mais ils ne sont pas très nombreux, tout juste quelques gouttes d’eau dans l’océan… Elle a beaucoup plus de mal à comprendre ceux qui choisissent de s’imposer une transformation grâce (ou, de son point de vue, à cause de) à la consommation de Vitae. Elle a beau avoir essayé, ce n’est pas une chose qu’elle comprend. Elle n’aime pas juger autrui, mais c’est le genre de décision qui la dépasse complètement.

(LES ALTÉRÉS) Elle trouve inquiétante cette obsession que l’Homme peut avoir pour les modifications corporelles extrêmes. Évidemment, elle ne pense pas aux altérations et aux prothèses qui ont permis de sauver des vies ; non, celles-ci sont toutes bonnes à prendre. Mais une fois n’est pas coutume, les choses sont allées trop loin à son goût. On dit qu’on n’arrête pas le progrès, mais en ce qui la concerne, Astra préférerait voir les choses s’arrêter, ou du moins, ralentir. Elle ne s’en cache pas, le marché des altérations lui donne la chair de poule. Elle n’aime pas ça, et aime encore moins que Theseus ait vu le jour pour contrer la soi-disant menace représentée par les gens comme elle. Elle juge moins les altérés que la corporation qui vend des miracles aux gens désespérés ou anti-mutants au point de vouloir modifier sciemment leur corps, de façon plus ou moins permanente.

(LA VILLE) Pour être tout à fait honnête, Astra se fiche pas mal que New York soit devenue New Blossom. Elle n’aimait pas particulièrement la Grosse Pomme et n’aime pas davantage celle qui lui a succédé. L’une comme l’autre ne sont que deux grosses fourmilières. En revanche, elle ne peut nier que la destruction de New York a été bonne pour les affaires des gens comme elle. Autrement dit, les gens qui trempent dans le business de l’illégalité. Beaucoup d’œuvres d’art ont disparu des musées lors de la guerre civile, comme des bijoux de joailleries de luxe. Autant de choses qu’Astra retrouve et revend aux plus offrants, pour son propre compte ou pour alimenter les fonds des Riders of Apocalypse. Pour elle, New Blossom a la valeur d’un marché géant où tout se trouve et tout se vend. Ce qu’elle déteste, ce sont ces maudites corporations. Icarus Inc et Theseus Corp sont ce que l’humanité a de pire à offrir ; elle ne comprend pas leur popularité, encore moins qu’on les ait autorisées à occuper une place si importante. Elle refuse de rentrer dans leur jeu, d’accorder un quelconque crédit à ce qu’elles peuvent cracher comme mensonges, les Sept ne sont que de la poudre aux yeux pour dissimuler les dérives, et elle ne croit pas que les dirigeants de Theseus Corp aient réellement à cœur de protéger les gens ordinaires des mutants. Tout n’est, une fois de plus, qu’une question de pouvoir et de contrôle. Rien de plus.

LA MÉMOIRE Ce n’était pas le genre de vie qu’Astra – Lior – était censée mener.
Toujours en mouvement, toujours en fuite.

Elle était pourtant née avec une cuillère en argent dans la bouche, comme on dit.

Troisième et dernière enfant de la fratrie Rosenberg, Astra était née six ans après son frère, Adrian, et trois ans après sa sœur, Shani. Leur père était un riche homme d’affaires, businessman de renom. Visionnaire, il avait acheté des actions chez Icarus Inc et ne l’avait jamais regretté. Ça ne plaisait guère à sa femme, historienne et conservatrice au British Museum. Stellan et Ayelet formaient un couple atypique, assez mal assorti d’après leur entourage. Mais d’une façon ou d’une autre, il fonctionnait et la famille était heureuse. Enfant, Astra était choyée. Elle avait tout ce qu’elle voulait, parfois même avant de le demander. Elle était traitée comme une princesse par ses parents et son frère, n’apportait que peu d’attention à la jalousie évidente de la cadette de la famille. Toujours dans les pattes de sa mère, Astra adorait qu’elle lui raconte non pas des histoires, mais l’Histoire avec un grand H. Elle se moquait pas mal des contes de fées, elle leur préférait de loin les récits historiques, même ceux qu’elle était trop jeune pour comprendre. S’il lui arrivait de rêver devenir un jour une grande actrice de cinéma, elle se dirigeait apparemment vers le même choix de carrière que sa mère. Ce qui ne l’empêcha pas de prendre des cours de théâtre très tôt pour exploiter ses talents naturels. Son avenir semblait tout tracé : les plus grandes écoles, les plus grandes universités lui ouvriraient leurs portes. Soit parce qu’elle le mériterait, soit parce que Stellan leur aurait discrètement glissé un gros chèque.

C’était ce que Stellan faisait. Il usait de son influence pour acheter ce dont il avait besoin et ceux dont il avait besoin. Ayelet avait beau lui dire qu’il en faisait trop, qu’il finirait par s’attirer des ennuis, il s’en moquait. Il avait une armée d’avocats toujours prêts à le défendre et d’autres moyens bien moins légaux de couvrir ses traces. Sa femme avait pourtant raison de s’inquiéter. Astra n’avait que huit ans le jour où sa vie bascula du tout au tout. C’était une journée pluvieuse, elle sortait de l’école et Ayelet était venue la chercher. Elle ne souvient pas exactement, mais tout à coup, elles avaient été bousculées, jetées dans une grosse voiture noire et peu de temps après, mère et fille s’étaient retrouvées ligotées à de vieilles chaises dans un entrepôt désaffecté. Astra était trop jeune pour comprendre ce qui leur arrivait, elle était juste terrorisée, malgré les efforts d’Ayelet pour la rassurer. Parce que Stellan s’était fait de puissants et dangereux ennemis, qui avaient bien l’intention de récupérer les sommes qu’il leur avait apparemment volées. À tout ça, Astra ne comprenait rien. Ce n’était pas le cas de sa mère, qui avait compris très vite que leur situation était critique : Stellan n’était pas du genre à céder à la pression, quel que soit l’enjeu. Pas même pour sauver la vie de son épouse et de leur fille. Astra ne l’apprit que plus tard, il s’était mêlé des affaires de la mafia irlandaise. La même mafia qui réclamait dix millions de livres pour leurs vies. Il avait quarante-huit heures pour rassembler la somme et passé ce délai… Astra sut très vite ce qu’il arriverait passé ce délai. Ces gens-là ne possédaient aucune morale et n’hésitèrent pas à exécuter froidement Ayelet sous les yeux de sa fille. Ce fut précisément au moment où elle hurla que se manifesta sa première déchirure. Une explosion de lumière aveuglante qui lui sauva la vie. De façon tout à fait involontaire, elle avait brûlé la rétine de tous les hommes qui se trouvaient dans l’entrepôt. Prise de panique, elle avait gigoté de plus belle sur sa chaise, était tombée et l’un des pieds en bois s’était cassé. Tandis qu’ils tâtonnaient dans le noir, elle était parvenue à se défaire de ses liens et à prendre la fuite. Récupérée dans la rue dans un couple de passants, elle fut conduite au poste de police le plus proche. En état de choc, il lui fallut plusieurs jours pour retrouver l’usage de la parole et raconter ce qui leur était arrivé. Si une enquête avait bien été ouverte pour leur disparition, Stellan n’avait jamais signalé être victime de chantage, et encore moins désigné les coupables.

Astra passa de petite fille joviale et pleine de vie à enfant troublée – traumatisée – et silencieuse. Elle refusait la compagnie de son père et ne quittait plus les côtés de son frère. Stellan tenta bien de l’envoyer dans une école avec pensionnat pour tenter de la sociabiliser, mais elle fut rapidement renvoyée chez elle, jugée trop difficile pour s’y épanouir pleinement. Les années qui suivirent furent elles aussi difficiles. Astra semblait ne jamais être parvenue à passer l’étape du deuil qu’était la colère. Elle en voulait à la Terre entière, et à commencer par son père. Son agressivité était parfois accompagnée d’un manque de contrôle évident de ses déchirures – elle semblait ne faire aucun effort pour arriver à maîtriser sa mutation. Ce fut finalement Adrian qui trouva la solution pour canaliser sa sœur : il l’inscrivit à des cours de self-defense, là où elle pourrait se défouler pleinement sans qu’il y ait de conséquences.

À l’insu de sa famille, elle commença à préparer son départ. Elle ne se sentait plus chez elle depuis qu’Ayelet était morte et tous les efforts d’Adrian n’y pourraient rien changer. Sa décision était prise : son dix-huitième anniversaire fêté, elle partirait. Elle était parvenue à récupérer le carnet d’adresses de sa mère et en plus de cela, elle avait payé certains des hommes de son père derrière son dos pour qu’ils lui obtiennent de nouveaux papiers. Voilà donc où s’arrêtait la loyauté : l’argent. Le 3 février 2008, soit très exactement deux jours après son anniversaire, Lior Rosenberg disparut pour la seconde fois de sa vie. Elle atterrit d’abord à Paris, où elle devint l’apprentie d’un grand restaurateur de tableaux au Louvre. Hasard ou non, lui aussi trempait dans des affaires qui n’étaient pas très légales. Depuis 2005, depuis que New York s’était effondrée, le marché de l’art s’était ouvert sur d’autres… horizons. Dans un monde où la technologie semblait compter de plus en plus – plus que tout le reste – l’art intéressait de moins en moins de personnes. Il lui expliqua les ficelles du métier, les ficelles du trafic. Pendant un temps, Astra crut être à sa place. Elle ne manquait de rien, faisait ce que bon lui semblait… Tout était soudain à sa portée sans qu’elle ait à réclamer quoi que ce soit à son père. Qu’importe que ce ne soit pas légal. Elle était presque parvenue à se convaincre que sa famille ne lui manquait pas.

Elle comprit vite, très vite, que dans ce milieu, c’était chacun pour soi. Son prétendu mentor eut vite fait de lui tourner le dos dès lors qu’il comprit qu’il n’obtiendrait rien d’elle (vous imaginez sans peine ce qu’il voulait). Plus maligne que lui, Astra se volatilisa avant qu’il n’ait pu lui faire payer sa prétendue ingratitude, avec sous le bras un petit Van Gogh qu’elle put revendre une fortune lorsqu’elle atterrit à New Blossom sous une nouvelle identité. Malgré son jeune âge, Astra sut se tailler une belle place dans le milieu ô combien fermé et risqué du trafic d’art. Elle était douée, elle apprenait vite, sa gueule d’ange lui permettait de faire baisser la garde de ses cibles, et surtout elle ne rechignait pas à grand-chose pour satisfaire ses clients. Tableaux, antiquités, bijoux, pierres précieuses… Elle répondait aux besoins du marché et savait créer l’offre comme la demande. Évidemment, dans ce milieu, on avait peu de partenaires, encore moins d’amis et beaucoup d’ennemis. Pour cette raison, Astra évitait de rester plus de quelques mois au même endroit, pour ne pas trop attirer l’attention. Bouger tout le temps, ou voyager comme elle aime à le prétendre, lui éviter de trop avoir à songer à son passé et à ce que l’avenir lui réservait. De temps en temps, elle faisait savoir à Adrian qu’elle allait bien. Mais en ce qui concernait le reste de la famille, elle était portée disparue. Et d’ici peu, elle serait sans doute déclarée morte.

Noël 2020. Astra a volé un énorme diamant rose et s’apprête à le revendre au plus offrant, lors d’une vente privée aux acheteurs peu regardants sur la provenance des pierres, lorsque son chemin croise pour la première fois celui d’un inspecteur droit dans ses bottes et déterminé à l’arrêter. D’une façon ou d’une autre, elle avait attiré l’attention des autorités anglaises, sous l’un de ses pseudonymes, et son dernier passage à Londres était l’opportunité rêvée pour l’arrêter. Du moins, en théorie. En pratique, Astra avait toujours une porte de sortie, comme le pauvre Eirik le comprendrait très vite. Non seulement elle lui filerait entre les doigts, mais en plus de ça elle quitterait l’Angleterre avec plusieurs millions de livres sur un compte offshore. Ce serait le début d’un jeu du chat et de la souris qui durerait cinq ans, jusqu’à ce qu’Astra ne commette la plus grosse erreur de sa carrière de criminelle. En attendant, elle s’amusait de voir le pauvre inspecteur lui courir après. Plus d’une fois, elle le laissa croire qu’il touchait au but, pour ensuite lui filer entre les doigts. Pour Astra, c’était drôle. Une façon de mettre un peu de piment dans sa vie – comme si elle n’était pas assez mouvementée.

De retour à New Blossom au cours de l’été 2024, pour vendre un tableau de maître, Astra est approchée par un étrange individu. Il dit être intéressé non seulement par ses aptitudes extraordinaires pour le vol, la manipulation et la disparition, mais également par sa profonde aversion pour les corporations. Après tout, Astra n’en serait pas là si son père n’était pas dans les petits papiers d’Icarus Inc, prêt à se salir les mains pour eux. On lui proposa alors d’intégrer une organisation bien particulière, ayant pour cible les corporations qui selon elle – eux – représentaient une menace pour l’humanité. Des mercenaires d’un nouveau genre, pour dire les choses clairement. Dans un premier temps, Astra y vit là une opportunité de se faire de nouveaux contacts, de développer des liens profonds avec des individus capables de la protéger. Elle n’était pas naïve : un jour ou l’autre, son mode de vie lui coûterait cher. Elle sut faire des preuves et prouver sa fidélité en faisant ce que l’on attendait d’elle. Voler, manipuler, parfois même infiltrer. Elle obéissait aux ordres de War et ne s’en portait pas plus mal. Du moins, elle le pensait. De simple trafiquante et voleuse, elle passait à… Eh bien, c’était toujours ça, en théorie, mais elle avait l’impression d’agir pour le bien commun et ne plus être totalement un monstre d’égoïsme. Pour preuve, elle participait au financement de l’organisation comme elle le pouvait, si bien qu’elle finit par se demander si elle n’aurait pas davantage eu sa place dans l’équipe de Conquest.

Pendant un court, trop court laps de temps, Astra eut l’impression d’être invincible.

Elle était pourtant bien placée pour savoir qu’à force de jouer avec le feu, on finissait toujours par se brûler. La mission était pourtant simple : voler une clé USB à un riche homme d’affaires, le genre de type qui lui rappelait son père, et la ramener aux Riders. Rien qui ne soit pas dans ses cordes, rien de trop compliqué en apparence. Sauf que l’homme en question avait le gouvernement britannique à ses trousses, et que l’information ne leur était pas connue. Ce fut donc avec confiance qu’Astra tomba dans la gueule du loup. Elle vola la clé, avant d’être elle-même interceptée sur le chemin de l’aéroport. La façon n’était pas sans lui rappeler l’enlèvement de ses huit ans. À ceci près que les agents étaient bien informés et qu’elle fut droguée, invalidée au point qu’elle ne pouvait même plus user de ses déchirures pour se sauver. De toute évidence, les Anglais n’étaient pas à quelques séances de torture près, puisqu’ils essayèrent de la faire parler à tout prix. Ce n’était pas son premier rodéo, Astra ne voyageait pas avec la clé. En réalité, et aussi ridicule et risqué que cela puisse paraître, elle l’avait envoyée à New Blossom par voie postale, dans un colis ordinaire, à une adresse qui ne payait pas de mine, pour être récupérée une personne de confiance. Parler, elle n’en avait pas l’intention. Quand ses geôliers le comprirent, ils décidèrent que son utilité touchait à sa fin. Bye bye, Astra. C’était en tout cas ce qui se serait passé si elle n’avait pas été sauvée in extremis par Eirik. Après avoir passé cinq années de sa vie à la traquer, il refusait de l’exécuter comme un animal simplement parce que son gouvernement l’attendait de lui. Impeccable timing pour que sa conscience s’exprime, d’après Astra.

Se retrouver en cavale avec un ex-inspecteur de police, ce n’était pas vraiment dans les plans d’Astra. Mais il lui avait sauvé la vie, elle ne pouvait pas le planter là, au milieu d’une pile de corps – sans commentaire – et sans ressources. Ils quittèrent l’Angleterre plus tard que prévu, le temps de procurer à Eirik de nouveaux papiers et de lui expliquer les rouages de sa nouvelle vie. Direction New Blossom, là où ils pourraient disparaître dans la marée humaine avec plus de facilité que dans la vieille Angleterre. Ce n’était pas tout à fait Bonnie et Clyde, encore moins Roméo et Juliette, mais il fallait croire que le romantisme et le destin avaient un sacré sens de l’humour.

DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo : Valkyrja (Julia). Genre et Pronom(s) : Féminin (elle). Âge : 31 ans. Région/pays : France. Comment avez-vous connu le forum ? Toujours Discord ! Autres commentaires ? Tellement, tellement contente de pouvoir faire revivre mon personnage fétiche sur cette pépite queen for a day (ASTRA) 1338913558

J'espère qu'Astra vous plaira I love you

Crédits : bambi eyes (avatar) & ethereal (icons).

17/12/2022

Mais quelle beauté que voilà queen for a day (ASTRA) 4195895010

J'ai tellement hâte de voir Astra en jeu et de RP avec elle huhu

ça promet

Et puis que dire de ce choix de FC queen for a day (ASTRA) 139611567

?

Rebienvenue à toi queen for a day (ASTRA) 1338913558

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Paint it black✧ Who’s afraid of little old me ? You should be

queen for a day (ASTRA) Tumblr_oduqcvH0KA1rymr5wo1_500

Tellement contente de te voir te dédoubler queen for a day (ASTRA) 3483261708

Et puis elle a l'air si cool, on dirait un Bonnie & Clyde futuriste, j'adore queen for a day (ASTRA) 139611567

Trop hâte de lire la suite ! heart

Bienvenue avec ce Fc ! ou re je crois, mais vu que je viens ici pour la première fois depuis longtemps je n'ai pas eu l'occasion de dignement t'accueillir.
Ce perso promet ! J'adore son prénom heart

Rebienvenue et bon courage pour la fiche ! I love you

14/10/2022

Rebienvenue ! I love you

J'aime déjà tellement ces premières lignes ; le métier & la situation amoureuse m'intriguent beaucoup, j'ai hâte d'en apprendre plus sur cette histoire queen for a day (ASTRA) 3483261708

Bon courage pour la rédaction queen for a day (ASTRA) 139611567

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Humanity isn't a species

it's a state of mind

17/12/2022

Oh wow, cette vie incroyable qu'elle a l'air d'avoir queen for a day (ASTRA) 139611567

j'ai trop hâte d'en apprendre davantage sur ton nouveau personnage ! Bon courage pour la rédaction & amuse-toi bien avec Astra queen for a day (ASTRA) 2243471627

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HAUNTED
BY THE
GHOST
OF YOU /

Take me back to the night we met. And then I can tell myself Not to ride along with you.

14/10/2022

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Quand j'ai lu ce que tu avais écris, ça a été ma première pensée queen for a day (ASTRA) 139611567

Pourquoi elle est pas chez les ROA la madame ? queen for a day (ASTRA) 4154655440

En tout cas, rebienvenue chez toi queen for a day (ASTRA) 139611567

Je suis certaine que ta madame péter autant la classe que Bella (même si Bella a une place privilégié dans ~~le coeur de Nate~~ mon coeur huhu

)
J'espère que tu t'éclateras bien avec elle queen for a day (ASTRA) 3471008882

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28/12/2022

bienvenue avec ce superbe personnage, je doute pas qu'elle sera aussi extra que la première huhu

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gangster of love

I'm a joker I'm a smoker I'm a midnight toker I sure don't want to hurt no one
I'm a picker I'm a grinner I'm a lover And I'm a sinner I play my music in the sun

27/02/2023

Rebienvenue !
Ok je suis méga intrigué maintenant, je veux savoir pourquoi elle est autant recherchée, on en sait pas assez encore là !! queen for a day (ASTRA) 4154655440

Bon courage pour la suite de ta fiche ! queen for a day (ASTRA) 3483261708

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I done did things that I regret, I done said things I can't take back

je suis très en retard, mais un immense merci à tous.tes pour vos messages queen for a day (ASTRA) 3471008882

je mets à jour ma fiche très bientôt, j'espère qu'elle vous plaira toujours autant queen for a day (ASTRA) 3483261708

14/10/2022

BIENVENUE OFFICIELLEMENT

Félicitations, tu es validé.e ! Moh, cette histoire queen for a day (ASTRA) 139611567

J'avoue que j'ai eu mal au coeur pour elle avec sa mère queen for a day (ASTRA) 222382020

(ça donne envie de donner des claques à son père, au passage queen for a day (ASTRA) 4061986614

). En tout cas, contente de compter un nouveau fléau (et le premier chez War) queen for a day (ASTRA) 3471008882

J'vais un peu stalker votre histoire avec Eirik, j'avoue queen for a day (ASTRA) 3483261708

Quoi faire maintenant ? Maintenant que les portes de Spring of Power te sont grandes ouvertes, tu es libre d'aller t'amuser ! Voici nos recommandations pour faire tes premiers pas et bien t'installer :

○ Tu peux ajouter ton personnage au répertoire pour obtenir davantage de visibilité. Parcourir le répertoire te permettra aussi d'avoir une vision d'ensemble sur la population du forum !

○ Tu peux également créer ton carnet de bord et visiter ceux des autres afin de trouver des idées de liens intéressants. Le carnet de bord sert à la fois de fiche de liens, fiche de RPs, moodboard et autres.

○ Tu as également la possibilité de créer la fiche de destin de ton personnage afin de le soumettre aux aléas de la vie de New Blossom. Cette fiche est facultative, elle te permet d'avoir des interventions Mj dans la vie de ton personnage.

○ Ton personnage est fan des réseaux sociaux ? N'hésite pas à lui créer un profil sur l'ARGO Space, qui est un peu comme l'Instagram de Spring of Power !

○ Ton personnage attend d'autres personnages liés à son histoire ? Tu peux dès maintenant créer un scénario ou proposer des pré-liens.

○ Si tu as :
— Ajouté ton personnage au répertoire comme suggéré plus haut
— Pris un poste vacant, scénario ou pré-lien affiché
— Été référé.e par un.e autre membre ;
Tu peux déjà réclamer de l'argent qui te permettra d'acheter des articles à la boutique !

○ Enfin, si tu es prêt.e à te lancer pleinement dans l'aventure SoP, nous te souhaitons de bons RPs Et si tu as besoin de te détendre autrement, la salle d'arcade t'est ouverte pour jouer ou discuter !

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