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Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise.

Leon Crown
True Blood
Leon Crown
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 1cce1c76de24ce34023327e682d186d4
Alias : "The Emperor" • Empereur d'Arcana, son univers et ses oracles.
Genre : Masculin cisgenre • Il.
Age : 170 ans (apparente cinquantaine) • 11/01/1856.
Dollars : 205
Zone libre :
God may judge me
But his sins outnumber
my own


Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Eedeffe14e12f550295bfeac8c2e93aab32672a3

Statut : Coeur pris mais mains libres, poly attirance pour de jolies âmes, mais une seule retient la sienne depuis presque un siècle.
Occupation : Arnaqueur émérite, propriétaire de son casino souterrain, l'Arcana, coeur de l'organisation de trafic d'informations et de blanchiment d'argent.
Habitation : Au plus haut du Chrysler réaménagé, dans la partie cachée des appartements des Majors de l'Arcana.
Déchirures : [Pierre Philosophale]

- Elixir de vie. (bornes naturelles de la vie humaine repoussées)
-- Niv. 1 : Régénération cellulaire & résistance aux maladies.
-- Niv. 2 : Immortalité sensible.
-- Niv. 3 : Transmission du soin.

- Grand-Œuvre (catalyseur de déchirures de True Blood)
-- Niv. 1 : Augmentation d'un niveau de mutation.

- Chrysopée (transmutation temporaire en or)
-- Niv. 1 : 1 heure.
-- Niv. 2 : 24 heures.

Pseudo : Syato
Comptes : Seth • Orion • Archibald • Gregory • Oswald • Amapola.
Genre IRL : fluide, il/iel/elle.
Messages : 53
Date d'inscription : 01/09/2023
FC : Adrien Brody
Crédits : Lilie (avatar)
Thèmes abordés : Jeux d'argent, esthétique gangster et organisation criminelle - Pègre - blessures graves (immortalité).
Thèmes refusés : Globalement je tolère à peu près tout, tant que c'est discuté en amont et que toutes les parties sont à l'aise. ♥
LEON « EMPEROR » CROWN
TW : maltraitance infantile - abandon d'enfant - traite humaine de mineurs - menton de cadavres & expériences illégales - explosion & homicide involontaire - mention de guerres mondiales, antisémitisme, génocide et tortures physiques - paranormal et possession fantomatique - grossesses non désirées - jeux d'argent - tabac - esthétique gangster et criminalité - pègre.
FT. Adrien Brody
CARTE D'IDENTITÉ Nom et surnom(s) : « Monsieur Leon Crown », le patronyme qui se murmure dans les bas-fonds, synonyme de désinvolture patentée d'un ancien escroc de bas-étage parmi d'autres alias. Subsiste en filigrane l'identité de naissance, celle du docteur Leonid Koronovski, silhouette disparue plus d'un siècle en arrière. Au-dessus de tout, c'est la figure d'Emperor qui se déploie, sa couronne projetant l'ombre providentielle où tous se cachent pour jouer.
Genre et Pronom(s) : Masculin cisgenre • Il.
Âge et lieu de naissance : La mine réjouie d'un jeune homme de 170 ans, pour une apparence figée d'un tout début de cinquantaine. Son premier cri a été poussé dans la périphérie de l'ancienne Cracovie.
Origines et nationalité : Une mère sans amour d'origine polonaise, et un géniteur sans nom d'ascendance hongroise et juive ashkénaze. Depuis, les années de vie écoulées ont permis à Leon de voyager, braver le monde là où ne l'attendait pas, mais ces dernières années sur le territoire américain lui confère désormais une nationalité relativement fixe.

Statut marital : Coeur croquant, craquant vite pour tout ce qui brille, surtout les beaux yeux. Charmant dandy poly pour ses petit.e.s protégé.es, à qui il ne confie jamais rien d'essentiel, si ce n'est son affection. Renard qui ronronne sans jamais tomber, qui donne sans rien attendre en retour. La culpabilité le ronge d'avoir fait disparaître, de ses propres mains mutantes, l'amour de sa vie rencontré au détour d'un hasard bienvenu des années 30. Wolfgang lui manque chaque jour mais le résidu de son âme fantôme s'incarne dans des inconnu.es pour le suivre au fil des époques, dans l'espoir qu'ils se retrouvent pleinement un jour.
Occupation : Roublard notoire, tirant son épingle du jeu depuis le siècle dernier. Depuis 2020, l'Arcana est son empire, sa force, son souffle sur les dés qu'il jette pour gagner. Le casino est son univers, caché dans les brumes de l'Underapple, dans ce qu'il fût autrefois le Chrysler Building tombé en désuétude poussiéreuse. Portes dorées et dollars convoités, poudre aux yeux dissimulant l'organisation du même nom, spécialisée en blanchiment d'argent et recel d'informations.
Situation financière : Élevée, sous le joug du secret. Un pécule ammoncé par sa ruse et sa mutation.
Lieu d'habitation : Au plus haut de son casino, dans le coeur de l'Underapple, qu'il ne quitte que pour aller parader à la surface.
L'ESPRIT
Main theme

A jester to his own court
Il y a cette faculté étrange chez Leon, celle qui l'anime et le désagrège à la fois, c'est de paraître le bouffon bien-aimé des reines et des rois. Derrière les couleurs criardes du costume de clown, épousées, étoffées avec les années, on ignore la présence sereine du maître du jeu, tant qu'il peut amuser, es sourires en armes aiguisées.
Rien n'est trop beau pour parvenir à duper.
C'est la seconde nature, en avant, puis le masque de la sincérité prend le dessus quand il le faut. La roublardise est une seconde peau, taillée dans le cuir pur sous les habits d'apparats. C'est l'apanage du survivant qui lui va comme un gant. Les dessous complexes sont à réserver aux quelques privéligié.es qui cueillent son cœur et son intérêt.
Leon, ou Louis, ou Constant, Célestin, Ivan, Francis, Hadrien, Sylvain, Gary, Georges, ou même encore Jean-Denis une fois, tout autant d'alias, de vies volées pour une journée ou des années encore, tellement de coups montés sur lesquels reposent la plupart de ses combines. Leon, mais surtout Leonid, le Fou à la base de tout, celui par qui le chemin débute, l'aventure aux mille merveilles, aux mille routes pleines de promesses et de contraintes à surmonter. Car il a laissé les épreuves lui tenir tête, Leon, jusqu'à ce qu'il les dépasse, qu'il les diminue, de l'expérience de sa - très - trop ? - longue vie. Maintenant il n'en garde que les victoires et les erreurs pour progresser, si nombreuses, elles aussi.

Si Leon donne le sentiment que le monde entier est trop léger pour être pris au sérieux, c'est qu'il a décidé d'ignorer désormais le poids de ses maux. Il laisse l'univers lui sourire en retour quand il le souhaite, tirant son épingle du jeu du pari lancé à la vie elle-même. Tant pis combien de temps il jouera, l'important n'est pas là ; rien ne compte plus que le divertissement, et la fumée hypnotisante pour égarer la foule.

A gambler to his own rules
Leon, camé Leon, accro à toute forme de prise de risque et de jeu dangereux qui en vaut systématiquement la chandelle, quitte à se brûler les doigts au passage. Cabotin notoire à l'allure de dandy espiègle, rien ne vaut la force chaotique qui peut animer ses désirs, ses caprices les plus profonds, ses idées frappant comme un éclair vivace, laissant beaucoup de membres de son entourage foudroyé sur place. Mais la plupart se sont habitués, sans doute plus par dépit que par réel soucis : à son âge avancé, impossible de le changer. Alors à chaque jour son lot d'innovations, de mise en place de projets, d'envie de grandiloquence exacerbée pour sa nouvelle passion du moment. L'Arcana représente l'accomplissement de cette vie là, amoncelée de richesse extorquées par la vivacité de ses coups montés. Toujours là, cette fameuse "mauvaise idée" dont il se fait l'instigateur, parieur notoire, voleur aventureux de ses propres ressources insoupçonnées, au nez et à la barbe du Destin.
Il rit, Leon, rit des démons et des murmures dans les recoins de sa mélancolie, barbouillée de zones de gris. S'il réfléchit à une vue d'ensemble, un plan plus grand, sa désinvolture agace sans doute, intrigue ou exalte, peu importe. Il demeurera cette figure trop expansive, refusant la moindre frustration, s'imposant comme ce grand enfant trop âgé pour dévoiler que toutes ses illusions sont parfaitement maîtrisées.

A fool to his own eyes
Car s'il a cru longtemps en l'innocence d'une humanité désoeuvrée, s'il a encore le coeur enclin à quelques douceurs pour celles et ceux qui arrivent à l'attendrir, ses dehors bigarrés ne sont que le reflet de ce qui a pu l'ébranler. La solitude l'aide à y voir clair, c'est pour ça qu'il l'évite, qu'il se plonge à corps perdu dans ce qui l'empêche de prendre du recul sur ses contradictions clivantes. Il sait, Leon, qu'au fond Leonid n'a fait que suivre sa route, sans jamais se retourner alors que ses erreurs aurait dû le pousser à le faire. Que ses choix lui ont permis d'exister, au détriment de bien d'autres, dont le cœur et l'âme habitent parfois encore les songes inanimés. Détachement thérapeutiques face aux atrocités qui ont constellé son existence, Leon ne les voit plus que comme des images rémanentes se tapissant dans les creux ombragés de certaines cauchemars.
Ainsi, il ne dort pas toujours. Ne rêve pas toujours. Ne pense pas toujours, défait les nœuds et les codes de sa propre psyché quand il se sent désemparé. Mais ce n'est jamais bien long.
Parce que s'il y a quelque chose en laquelle il croit - et elles ne sont plus si nombreuses, ces professions de foi - c'est que le monde ne tourne que si on le décide, et qu'il vaut mieux être celui à l'origine de l'impulsion.
Car d'un claquement de doigts, il est encore possible de tout arrêter.

En attendant...
Il suffit juste de jouer.

But most of it,
An Emperor to his own demise.
 
LE CORPS LE CORPS MUTANT
Type de mutant : True Blood.
Âge lors de la première déchirure : 50 ans (il y a 120 ans).
Mutation : La pierre philosophale - substance hypothétique dont l’élaboration constitue le but de l’alchimie, permettant d’acquérir la conscience absolue. Sa détention permettrait, d’accéder à la lumière inextinguible, de donner la vie éternelle, ou de transmuter des métaux.

Déchirures :

Déchirure 1 : Élixir de vie — La légende catalytique des alchimistes : la pierre pourrait étendre leur existence jusqu’au-delà des attentes humaines, et conférer le don de soigner les corps.

Niveau 1 : Régénération cellulaire & résistance aux maladies — Le corps de Leon est naturellement plus résistant à tout ce qui pourrait l’altérer, qu’il s’agisse de blessures physiques ou d’invasions pathologiques. Toute lésion légère est refermée après quelques minutes, tout début d’infection est enrayé. Plus le traumatisme est profond, plus la zone concernée mettra du temps à guérir, mais le résultat est le même : l’apparence redevient intacte.
Niveau 2 : Immortalité sensible — Les bornes naturelles sont dépassées. Le corps a fini par cesser de vieillir, bloqué dans une tranche d’âge s’étirant entre une quarantaine bien tassée et une cinquantaine à peine atteinte.
Niveau 3 : Transmission du soin — D’un touché concentré, Leon semble capable de transmettre un peu du miracle étrange qui le maintient en vie. Sous ses doigts, une blessure légère peut se refermer, un début de pathologie peut être enrayé. Rien qui ne puisse totalement sauver une vie, mais seulement réduire un petit désagrément.

Limites :  —  Il souffre d’épuisement chronique, aggravé à chaque régénération.
— Cet âge figé ainsi que son train de vie l’oblige à ne jamais être sédentaire trop longtemps au même endroit, et à vivre caché de celles et ceux qui l’ont connu dans le passé (à de rares exceptions)
— L’immortalité de Leon n’est pas si inexorable qu’elle semble l’être : il peut mourir de blessures très violentes, d’une dose particulièrement élevée de poison mortel, ou de tortures sur le long terme. L’endurance de sa régénération n’est pas illimitée.
— S’il peut soigner de légères contusions, il lui est incapable de sauver quelqu’un d’une maladie mortelle déjà avancée, d’une blessure fatale, ou de ressusciter qui que ce soit.
— Son vieillissement est extrêmement ralenti mais pas complètement stoppé, il ignore juste jusqu’à quand il tiendra dans cette sorte de stase avant de se remettre à vieillir.

Déchirure 2 : Grand-Oeuvre — Chaudron bouillant porteur d’une drôle de magie, Leon semble agir comme un catalyseur sur le pouvoir inhérent de certains mutants, qu’il peut, par conséquence, deviner.

Niveau 1 : Augmentation d’un niveau  — D’un touché du doigt, le.a mutant.e visé.e verra une seule de ses déchirures augmenter temporairement d’un niveau. (Exemple : De 1 à 2, de 2 à 3, etc.).

Limites :  —  Cette déchirure ne fonctionne que sur les True Blood. Les versions modernes du Vitae et le Red ne semblent pas trouver de résonnance avec sa propre mutation.
— Il est impossible à Leon de réveiller une mutation chez un.e True Blood non éveillé.e.
— Cette déchirure est consciente et active. Leon peut tout à faire choisir de ne pas augmenter le potentiel de quelqu’un, mais en subira les conséquences potentielles. De plus, son propre état de santé influe sur cette déchirure : trop épuisé, il n’arrivera à rien.
—  Cette augmentation de capacité est temporaire, et ne dure que le temps imposé par la puissance de niveau développé (un passage au niveau 5 durera un peu plus longtemps qu’un passage au niveau 2, par exemple). Pour que celle-ci devienne permanente, il faudra donc faire en sorte de répéter le processus (et aller acheter ladite amélioration en méta-game à la boutique).
— Cette augmentation ne fonctionne que dans le sillage de Leon. Tant qu’elle est activée par ce dernier, et donc non permanente, il faudra que le mutant soit conscient et constamment présent (à une distance de maximum 3 mètres) auprès de sa cible pour qu’elle puisse jouir de ses pouvoirs améliorés.

Déchirure 3 : Chrysopée — La faculté principale de l’œuvre alchimique : transformer la matière vile en métal précieux, l’or pur, pour ne citer que lui.

Niveau 1 : 1 heure — La transmutation dure au maximum 60 minutes.
Niveau 2 : 24 heures — La transmutation s’étend à une journée entière.

Limites :  — La transmutation ne peut s’opérer que sur une matière non-vivante, et de masse et poids équivalents au maximum (un pierre d’un kilo ne deviendra jamais un lingot de trois kilos, par exemple).
— Elle n’est pas toujours fiable à 100 %, selon l’état physique de Leon au moment d’opérer sa mutation : elle peut ne pas réussir, ou transmuter la matière en quelque chose de totalement différent.
— La fatigue provoquée en contre-coup est proportionnelle à la masse transmutée : plus elle sera importante, plus Leon devra prendre du repos.
—  Si dans la plupart des cas, l’or transmuté est pur (soit un calibrage à 24 carats pour les experts qui l’analysent), cette pureté peut être émaillée selon la matière première transmutée, ou l’état de Leon au moment de l’opération. Il peut lui arriver de transmuter de l’or blanc ou rose selon la matière de base, ce qui relève d’une part de hasard.
—  Si la transmutation implique plusieurs unités, leur temps en tant qu’objet d’or est divisé par le nombre transmuté à la fois. Exemple : Dix branches changées en or d’un coup dureront dix fois moins de temps qu’une seule.

Particularités physiques :
1m85Ambidextrie développée avec les années, né gaucher contrarié • Cicatrices éparses, résidus de traitements particulièrement difficiles que sa mutation n'a pas pu effacer. La plus impressionnante se trouve dans son dos, trace de l'explosion originelle qui déclencha sa première déchirure. • Style vestimentaire fluctuant avec le temps et les époques, particulièrement friand de tout ce qui se rapproche de la mode de la fin des années 60.Amateur de jolis bijoux, tout ce qui brille attire inexorablement ses yeux curieux. • Porte constamment quatre bagues, deux à chaque main, alliances conservées de ses mariages passés avec Wolfgang incarné dans des époques et des hôtes différents. Une cinquième est portée en collier, cachée de la vue de tous, l'anneau d'union donné par son mari avant de le perdre à nouveau, rejeté par l'esprit d'un dernier hôte.

Aptitudes particulières :
Connaissances développées en médecine traditionnelle, occultisme, et processus alchimiques, compulse activement les différents ouvrages d'une immense bibliothèque dédiée à ce sujet dans les étages cachés de l'Arcana. • Capacité extrême à ennuyer son entourage le plus proche, instigateur de surnoms bucoliques en tout genre et de néologismes savoureux qu'il déploie à corps et à cris. Affection proportionnelle à sa taquinerie constante, ses Majors en font les frais tous les jours. • Danseur émérite qui n'hésite jamais à esquisser quelques pas quand l'occasion se présente, mention spéciale pour la salsa, le rock et le madison. • Fumeur esthète, ne refuse jamais un bon cigare, mais ne supporte pas les cigarettes actuelles, qu'il trouve incroyablement aseptisées. • Relativement bon combattant sans être réellement bagarreur, mais se retrouve très souvent malgré lui - en quelque sorte - dans des situations le poussant à user de ses poings et/ou de sa ruse pour s'en sortir. • Parle plusieurs langues, dont son polonais maternel, l'anglais, le français, l'allemand, et le roumain. Les autres ne sont que de vagues notions qu'il a oublié avec le temps. • Son passif au sein d'un clan tzigane lui a permis de connaître les rudiments du tarot divinatoire marseillais, sans qu'il ne soit réellement capable de percevoir les signes dans la signification des arcanes. Cette expérience l'a pourtant suffisamment marqué pour qu'il en utilise au moins l'esthétique aujourd'hui pour habiller son casino.

L'ÂME LES MUTANTS
Si Leon n'a pas choisi sa condition, elle est pourtant une grande partie de ce qui le définit aujourd'hui. Sans ses pouvoirs liés à sa longévité, il ne serait pas ici pour profiter des progrès modernes. Sans sa faculté à changer le métal en or, sa fortune ne serait pas ce qu'elle est, composée en grande partie d'affaires d'escroquerie. Et sans son catalyseur naturel de mutation, peut-être que son époux ne vivrait pas cette errance terrible imposée depuis trop longtemps. Être mutant, c'est à la fois le pire et le meilleur chez lui. Alors il a vu la commercialisation du sérum et la montée en puissance du Red comme des opportunités étrange d'émuler l'impossible, mais après tout, pourquoi pas ? Dés lors que les capacités intrinsèques d'un individu sont à sa portée, Leon ne recule jamais devant l'opportunité de les utiliser pour son propre intérêt, qu'importe leur nature. Et puis, la curiosité prend toujours le dessus : on arrête jamais le progrès, même distillé dans les veines.
LES ALTÉRÉS
Le concept d'altérations est moins familier aux yeux de Leon. Non pas qu'il n'en voit pas l'intérêt, il a juste cette petite tendance à trouver la chose trop "facile" pour être réellement impressionnante. Mais pour avoir constater les avancées humaines en terme de technologie et de production industrielle, le chemin logique vers les changements corporels ne l'étonne pas plus que ça. Tout comme les mutants, les altérés ne sont pour lui que des bonus à l'humanité, une force supplémentaire qui pourrait lui servir, à l'occasion. Il n'a donc aucun grief en particulier envers eux, et s'il a entendu parlé du conflit civil de 2005 ayant précipité New-York dans les limbes, quelque part, il ne peut que lever son verre à cette opportunité trop belle d'exister, et d'y avoir installé ses quartiers actuels.
L'APPARTENANCE Twilight Zone. Les guerres et les conflits successifs, à petite ou grande échelle, l'ont dissuadé de prendre pleinement parti. De toutes façons, rien ne compte plus que sa survie.
LA MÉMOIRE
11 Janvier 1856 Naissance sous les éclairs, la chaumière tremble alors qu'Elisaveta crie plus fort que l'orage. Le labeur de neuf mois prend fin, entre les réprimandes de son père et les douleurs de sa grossesse inattendue, l'ayant poussée à quitter la Hongrie vers laquelle elle s'était pourtant rendue pleine d'espoir. D'un rêve de vie d'actrice de théâtre renommée, elle n'eut que celle de domestique ombragée, second rôle à peine aperçu dans un coin de sa propre existence. Son seul coup d'éclat fût de plaire aux yeux de son maître, au point de revenir en Pologne alourdie du poids de la honte d'un adultère, grandissant sans bruit dans ses entrailles. Aujourd'hui, son fils en fait, du bruit, autant qu'elle, concert de hurlements aussi puissants que des rugissements sauvages.
Alors c'est presque naturellement qu'elle le nomme Leonid, lion encore innocent entre ses bras.
Petit d'un fauve l'ayant attrapée entre ses crocs, cet enfant ne fera que dévorer ce qu'il reste de ses espérances.

1867 Elle le regarde, l'œil torve assombri par la colère enfouie. Elisaveta essuie mécaniquement des verres sans envie, derrière un comptoir crasseux. La naissance de Leonid a fini d'éteindre ce qui restait de son désir d'indépendance, étouffé par un mariage imposé à un ami de son père, ne serait-ce que pour sauver l'honneur. Aubergiste sans le sou tentant vainement de remonter la pente en enchaînant les dettes de jeu, elle se retrouve seule à assurer le service, subir sans rien pouvoir dire, encore et encore, comme une punition pour avoir tenté de rêver hors des clous imposés. On la catalogue de bonne femme, bonne mère, bonne patronne, tout ce qui est bon aux yeux du monde sauf les siens. Et puis son mari a été bien gentil d'accepter un enfant qui n'est pas le sien, tout en lui en imposant d'autres, trop petits pour aider à quoique ce soit.
Mais ce n'est pourtant pas eux qu'elle déteste. Ce n'est que le premier. Le tout premier qu'elle n'a jamais couvert d'un œil attendri, ne serait-ce qu'une fois.
Alors elle le regarde, errer de table en table, rattraper les pichets, servir et sourire, comme si de rien était. Comme si cette vie avec sa mère lui convenait, et qu'il ferait tout pour l'aider et la préserver. Mais tout est de sa faute, à lui.
La fureur grandit sur la mauvaise cible, car Elisaveta se veut plus forte que son orgueil, plus cruelle que les hommes qui la poussent à se taire tous les jours. Elle ne laissera pas ce fils devenir l'un d'entre eux. Pas avec elle.
Un jour, les comptes ne suivent plus. Un matin de 1867, les autorités viennent frapper et réclamer leur dû. Les paris perdus de l'époux ont gâché les moindres miettes durement gagnées, et les créanciers n'ont plus la bonté d'attendre. C'est donc dans un éclair sordide qu'Elisaveta pousse son jeune garçon de 11 ans vers eux, les lèvres étirées dans un sourire pâle, la mine de papier froissée par l'aigreur :
« Prenez-le. » C'est un ordre caché dans une supplique profonde. « C'est un bon garçon qui travaille bien. Il vous aidera à rembourser ce nous vous devons. » Les yeux croisent ceux de l'enfant, incrédule. « N'est-ce pas ? »
Elisaveta sait que le travail en question n'existera pas. Elle sait ce qu'elle met en jeu, elle, et se veut gagnante à jamais, pour une fois, rien qu'une fois, elle contrôlera.
Elle abandonnera ce qui la retient.
Leonid n'a pas le temps de comprendre que son bras est saisi, et que sa place est échangée avec une bourse bien remplie, censée éponger encore un temps les bavures de cette famille à laquelle il n'appartient désormais plus.

Vendu pour les péchés d'autres avant lui, il ne reverra jamais sa mère, ni ses demi-frères, ni l'auberge, ni même son propre pays.

1868 Les voyages sont longs et fastidieux. Les rues mal famées l'attrapent quand il mandie son bien du jour, alors que Leonid a appris à courir vite dans cette vie de pariât. Les acheteurs l'ont vite troqués pour un marché aux esclaves de passage, l'ayant fait quitter le pays pour parcourir malgré lui une partie de l'Europe centrale. Malgré tout, l'enfant garde le cap. Son besoin de survie prévaut sur ses émotions, enfouies depuis longtemps, scellées par le besoin de constamment s'enfuir, même si les adultes ont la fâcheuse tendance à inhiber ses élans de témérité. Les coups ne lui font plus vraiment mal, à force.
Sa fuite cesse de force, lors d'une vente aux enchères d'un autre genre au cœur du marché noir de Vienne. Relégué une nouvelle fois dans le rôle d'un produit échangeable, Leonid est simplement étonné d'être le seul être humain parmi les tableaux de maître et les bijoux volés. Mais qu'importe, il attend simplement. Un haussement d'épaules de plus de l'enfant qui n'a connu, au fond, que la misère humaine pour seule compagnie.

Mais un homme se lève, pour lui. Il lui donne la valeur d'une somme qu'il n'est pas sûr de comprendre. C'est qu'il ne connait rien des chiffres, ou des mots, Leonid, mais il sent, dans son petit coeur atrophié, que la donne pourrait changer. Cet homme le sauvera, profondément opposé à ce qu'il entrevoit, mené ici par les mauvaises fréquentations d'une ville qu'il quittera bientôt, de toute façon.
Cet homme se nomme Jonas König.
Un père, un vrai.

1868 - 1875 Jonas est une figure pleine de mystère. Derrière ses expressions bourrues se cache le seul coeur tendre que Leonid n'a jamais connu. L'enfant ne comprend pas son métier, mais sait juste qu'il lui permet de vivre dans une maison tellement grande qu'il en perd ses repères, trop souvent. Pourtant, il parvient toujours à revenir vers cet étrange père de substitution, présent dans l'ombre pour lui apprendre à lire, écrire, compter, résoudre les secrets du monde lumineux. Les rues et les coups sont loin, si loin, que Leonid peut désormais se permettre de croire. Croire qu'il y peut y avoir quelque chose de meilleur pour lui.
En 1870 pourtant, à l'approche du conflit franco-allemand opposant les deux empires, Jonas décide qu'il est temps de partir. Quitter le manoir de la province de Bern pour un endroit que Leonid ne connaissait que dans les livres arpentés avec curiosité : le royaume d'Angleterre. Un ami de Jonas, Simeon Cosgrove, les y accueillera à l'aube du conflit, début juillet 1870, dans une chaumière de Brixton, bien cachée dans le sud de Londres. Apothicaire de son état et médecin bien-aimé du quartier, Leonid ne comprendra que bien plus tard que cet ami compte davantage aux yeux de Jonas que n'importe qui d'autre.
L'enfant grandira sereinement, au fur et à mesure des journées, aux côtés de ces deux hommes unis par un secret dont il ne saisira les tenants et aboutissants que lorsque Jonas partira définitivement, appelé par ses obligations d'agent de la couronne allemande. Espion au cœur de guerres le dépassant, lui, son fils adoptif, et son amant.
Simeon n'eût jamais l'air plus triste que ce matin de 1873 où Jonas prit le large en lui promettant de faire au mieux. Ce mieux n'aida personne à se remettre de sa disparition.

Aujourd'hui encore, Leon se demande si la chance ne l'aidera pas, pour une fois, à le revoir un jour. Qui sait ? Il est bien encore là, lui.

1873 - 1885 Si Simeon eût du mal à se faire à l'idée que ses lettres étaient sûrement envoyées dans le vide, son courage n'eut d'égal que son affection pour ce jeune homme que devenait Leonid. Se sentant faiblir et vieillir malgré tout, il transformera la curiosité naturelle du garçon pour la médecine en véritable apprentissage appliqué. Il l'éduquera de sorte que son niveau lui permette d'intégrer les bancs de la faculté de sciences Londonienne en pleine expansion. Un cursus vers l'avenir qui lui permettrait de sauver des vies, comme son mentor le faisait chaque jour malgré sa propre santé déclinante. Les portes de l'université lui étant finalement ouvertes à l'âge de 19 ans en 1875, Leonid met tout son cœur à réussir la carrière promise par ses aînés. Il étudiera pendant presque dix ans jusqu'à l'obtention de son titre d'état de docteur en médecine. Presque juste à temps pour commencer à traiter enfin le mal qui ronge Simeon. C'est malheureusement en 1884 que son autre père spirituel s'éteint, terrassé par une violente tuberculose, et sans doute un profond chagrin. Simeon laissera cependant les clés de son cabinet de consultations à son protégé pour qu'il puisse reprendre le flambeau, lui confiant toute sa patientèle et ses thèses sur le progrès médical à venir.

1884 - 1906 Le flambeau en question bel et bien repris, mais pendant presque vingt ans, le Docteur Koronovski le transforme en brasier ardent, mordant les curieux qui acceptent de se prêter à son ambition. L'homme est médecin pour les vivants, les sauvent des affreuses pathologies d'un 19ème siècle sur sa fin, mais ce sont les morts qui redoutent le plus ses outils. Car le bon docteur ne se contente pas de son rôle, non, ce qu'il veut, c'est progresser, connaître toutes les coutures d'un corps, comprendre ses mécanismes, les transcender même, s'il en était capable. Alors dans le secrets de ses patients, le sage se transforme en ermite, compulsant ses propres expériences et repoussant les limites de l'éthique. Potions étranges, traités apparentés à de l'alchimie païenne, et autres affabulations occultes attirent l'attention à la fois des fascinés et des craintifs, qui, malgré tout, reconnaissent ses compétences dans tout le quartier. On ignorera juste le fait qu'il paie des croque-morts pour récupérer des cadavres et se livrer à ce qui s'apparenterait aujourd'hui à des analyses médico-légales. Pendant vingt-deux ans, Leonid officiera à Londres, en la qualité qu'on lui connaissait : celui d'un excentrique bigrement clairvoyant. Malgré son caractère reclus, il se mariera par 3 fois : Janet en 1889, Ann en 1894, et Charlotte en 1902. Toutes seront parties à cause du manque d'intérêt flagrant de leur époux à leur égard, sauf Charlotte qui ne supporta pas de retrouver une tête coupée leur salle de bain - "pour étudier la conservation des tissus dans un environnement humide", selon l'excuse de son soi-disant cher et tendre.

06 Juin 1906 Un jour funeste de début d'été, ce fût l'expérience de trop pour l'ambitieux docteur : à croire que mélanger de la poudre à canon, du phosphore, un cobaye consentant et quelques autres ingrédients tenus secrets par le savant, le tout pour tenter de repousser les limites physiologiques du corps humain n'était visiblement pas une bonne idée. Leonid, le dit cobaye et surtout le cabinet de curiosités l'apprennent à leurs dépends.
Boum.
L'explosion résonne dans tout Brixton, et même au-delà. Londres est secouée et le pâté de maison est emporté. Evidemment, il ne reste rien d'autre que des morceaux éparses ici et là de la demeure du docteur, ayant prit de plein fouet le retour de bâton de ses élucubrations.
Son décès est déclaré ce 6 juin 1906, à 2 heures du matin. On emportera son corps jusqu'à la fosse commune la plus proche, ne lui connaissant aucune famille. On le pleurera un peu, on se dira surtout que c'est amplement mérité, qu'à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler.

Mais personne ne se doutera que le docteur Koronovski ouvrira les yeux quelques heures plus tard, à la lueur de l'aube sur le charnier silencieux. Les chairs sont réparées par une magie providentielle, mais l'âme est accablée par la perte de ses travaux, de ses envies et surtout de l'héritage de son mentor. Mais ce miracle est providentiel, inespéré. Et il signe définitivement le début d'une vie d'errance, à nouveau, à travers sa toute première déchirure.

1906 - 1913 L'ancien médecin troque son savoir pour une ruse cabotine, affûtée avec les années et le besoin de survie. Officiellement décédé, Leonid change de nom et de cap, en profite pour voyager, découvrir seul les étrangetés d'un monde en expansion et de ses facultés de régénération. Car il constate que ni le temps, ni les blessures, ne semblent plus avoir la moindre influence sur lui. Une occasion trop belle de gonfler son ego, charmer et se laisser charmé, de laisser ses volontés à son ancienne vie pour embrasser pleinement cette opportunité offerte par le destin. Il arpente les salons prestigieux, séduit à tout-va, vit comme si il ne lui restait que ça. Il doit, à contrecœur, faire profil bas : une vie de cambriole n'est pas si facile à cacher, quand on aime les jolies choses et qu'on sait, à peu près, la valeur qu'elles peuvent  avoir. Un coup de trop l'obligera à se cacher quelques temps dans un village normand, en périphérie d'une mine de charbon où il vivra ce qui ressemble à une retraite paisible. Connu sous le prénom de "Constant" à l'époque, il aidera à récolter le minerai de bon cœur, s'attachant petit à petit à la population locale.

07 Juillet 1913 Nouveau coup de poker avec ce sacré Destin, visiblement, celui-ci aime les défis. Une partie de la mine s'effondre, bloquant "Constant" et ses camarades à l'intérieur dans possibilité de repli. Si les autorités locales sont bel et bien prévenues et tentent de les secourir, l'air vient à manquer et la panique à s'intensifier. Plusieurs mineurs s'évanouissent sous la pression, ne restera qu'un jeune homme, François, criblé de peur que "Constant" tentera de rassurer, lui-même profondément stressé par la situation. La main compatissante sur son épaule galvanisera le garçon au point qu'il sentira sa force, déjà plus conséquente que la moyenne des hommes du village, décupler sous ce toucher. Il se relèvera et d'un coup de poing, brisera les pierres piégeant l'équipe, les libérant dans un tonnerre de soulagement général. On l'acclamera comme le héros du village, alors qu'il sera le seul à connaître la vérité. "Constant" ne veut pas la gloire, lui, se contentera de sourire à François pour ce coup d'éclat, sans comprendre qu'il en était l'instigateur.
Qu'une seconde déchirure, muée par la peur, la vraie, venait de signer un nouveau pouvoir : celle d'augmenter les capacités des gens comme lui, ces drôles de phénomènes qu'on ne nomme pas.

1913 - 1925 Le Premier conflit mondial pousse Georges - alias parmi tant d'autres - à redoubler d'intuition pour se fondre dans les ombres, éviter au mieux ce qui pourrait le cataloguer et l'envoyer à nouveau au cœur d'un charnier dont il sait qu'il ne se relèvera jamais. Les années se poursuivent et le poussent à ne jamais lever le ton, du moins, sans qu'il ne sache à qui il peut faire confiance ou non. Ses fuites incessantes le mène, en 1919, jusqu'à un clan tsigane nomade, tout aussi épris de liberté que lui. N'ayant aucun talent particulier pour les arts saltimbanques ou la divination, il se contentera d'être l'assistant de vie de la matriarche du groupe, la Dame Lenka, l'Oracle, la Devineresse, tout un tas d'alias pour elle aussi. Elle ne dira jamais tout ce qu'elle avait pu deviner de Leonid derrière ses identités imagées, mais se contentera de lui livrer ses connaissances pendant presque six ans, avant qu'elle ne s'éteigne à son tour et que Leon ne quitte les carioles, profondément imprégné de cette expérience et des mots de la vieille Lenka.
Que l'Arcane de la mort pèse sur ses yeux fatigués.
Que le chemin du Mat n'est pas encore tout à fait tracé.
Et que les symboles des figures ne sont que des indications pour le guider.


1925 - 1929 Le hasard lui fait rencontrer à nouveau François, en plein centre ville lyonnais. Plus vieux et élimé par la guerre, il engagera son ancien allié dans son bar fraîchement monté, bien loin de sa Normandie natale. La vérité est bien moins reluisante puisque Leon comprend rapidement que les murs ne sont qu'une façade et que ce cher François, loin du gamin craintif d'antan, use de sa force pour faire perdurer un réseau de trafic de valises pleines d'argent sale tout droit venu des lointains États-Unis d'Amérique, jusqu'à la pègre suisse chargée de le blanchir. Voyant ici une nouvelle opportunité, Leon accepte de collaborer. Il quittera Lyon pour la Suisse en janvier 1929, ayant à cœur de connaître la finalité de ce réseau. Et par amour du risque, d'y tirer son épingle du jeu.

26 juin 1929 Klaus Wannemaker n'est pas un homme à se laisser entourlouper. Leon - ou plutôt "Sylvain Leblanc", comme il s'est présenté à son arrivée - l'a compris à ses dépens, empêtré dans un énième bourbier causé de ses propres mains. Peut-être qu'il aurait dû étudier davantage ce gros poisson à ferrer avant de se jeter à l'eau, mais le voilà désormais traqué par les hommes de ce parrain local, régnant dans les ombres de Neufchâtel. Six mois d'infiltration ruinés par sa propre témérité, diable, il aurait dû s'en douter ! Ses plans finissent rarement comme prévus, cependant, il s'en sort toujours d'une manière ou d'une autre.
Cette traque ne fait pas exception : l'un des meilleurs du clan, un certain Frederic Schmid, est lancé à sa poursuite alors que ce bon vieux "Sylvain" trouve abri dans un entrepôt désaffecté. Sa cachette de fortune est vite mise à mal par les capacités extraordinaires de son poursuivant : celles qui ressemblent, à s'y méprendre, à celles de ceux qu'on ne le qualifie.
Mais Leon comprend instantanément que cet homme est comme lui. Et qu'il pourrait user de cette condition précise pour s'en sortir.
Alors quand le chandelier lancé au moment où il est débusqué le blesse au front, il finit par se montrer, mains en avant en signe de reddition : "Attends une seconde ! Tu veux pas qu'on discute un peu avant ?" Alors qu'il badine, le sang se fige, rejoint la plaie, qui se referme, sous un sourire profondément confiant. "Toi et moi, on pourrait accomplir de grandes choses, tu sais ? Je te propose un marché : tu me laisses filer aujourd'hui, et ensemble, on s'associe pour devenir les maîtres du pays, même de l'Europe entière si on s'y met vraiment !" Tentation du diablotin qui veut pactiser, rituel qui aboutit, Frederic lui dit de se planquer alors que d'autres pas les rejoignent dans la volonté de retrouver le traître.

Le début d'une alliance qui prendra d'autres formes, d'autres couleurs, d'autres natures. Frederic, qui se nomme en réalité Wolfgang, apprend à connaître Sylvain, qui n'est rien d'autre que Leonid. Au fil des mois de collaboration, les regards se cherchent sans se dévoiler, mais Leon perçoit dans ses yeux cette même étincelle singulière qui animait ceux de Jonas et Simeon lorsqu'ils se contemplaient. Alors, lui vient l'idée terrible d'user de cette attirance singulière à ses fins, tout comme des pouvoirs de son comparses. Mais les plans s'enchaînent, les cambrioles et les aventures, et le piège se referme sur un Leon impuissant face à ses propres sentiments naissants.
Wolfgang est bien plus qu'un partenaire ou qu'un naïf dont il se sert.
Ce sera lors d'une course poursuite résolue par un tour de passe-passe du télékinesiste que Leon allumera l'étincelle d'un feu puissant, une boutade en l'air, prise aux mots :
"Ma parole Wolfie, quel coup de génie ! Si j'osais, je t'embrasserais !
- ... Essaie, pour voir."
Il ne lui en faut pas plus pour plaquer ses lèvres sur la bouche du taciturne accompagnant son exubérance au quotidien. Encore un défi auquel il n'a pas pu résister. Et si les policiers à leurs trousses ne les avaient pas déranger, nul doute que l'instant aurait duré des heures encore.
Mais les certitudes sont écrites dans le marbre : Wolfgang fût, est, et restera, l'amour de toutes ses vies.

11 novembre 1939 "Wolfgang !!" Tout est allé trop vite. Beaucoup trop vite pour s'en sortir sans leurs talents respectifs. Un coup de trop, une idée de trop, la personne de trop, et leur guet-apens du jour s'est refermé sur eux dans une maison en proie aux flammes. Dos au mur, seule la télékinésie de Wolfgang aurait pu les aider à filer encore plus loin, pour espérer atteindre le port, partir encore, réfléchir à demain. Mais la cible est trop lourde, trop éloignée, déjà, et son amant à pouvoir n'arrive à rien. Alors Leon lui intime qu'il peut l'aider. Décupler ses capacités, juste un instant, dans le stress et la panique du moment. Comme dans la mine normande, des années en arrière. Wolfgang accepte, Leon attrape sa main, les regards pleins de confiance mutuelle s'échangent.
Sans savoir qu'il s'agira de la dernière fois.
Car si la peur a gagné sur le rationnel, car pour la première fois depuis longtemps, Leon a eu peur de mourir en face de celui qu'il aime, ou de le perdre en survivant seul.
Et c'est pour cela que son catalyseur étrange l'a fait disparaître, cette âme tant adorée, ne laissant qu'un corps sans vie entre ses bras.
"Wolfgang... ?" La voix chevrote dans le bruit du brasier, craquelle comme les poutres enflammées. Il n'y croit pas.
Il ne peut pas y croire.
Mais il l'a fait.
Il l'a tué.
Les yeux vides le fixent sans rendre la moindre réponse.
Et dans la cacophonie des flammes, le prénom est hurlé, répété mille fois, jusqu'à ce que quelqu'un l'entende enfin, qu'on vienne sauver l'unique personne encore en vie.
Mais Leon est sans doute mort, lui aussi.
La douleur le consume plus fort que l'incendie.
Un peu d'or recouvre la chemise du corps encore serré, protégé du chaos, enterré bien plus tard quand on forcera Leon à le lâcher.
Le doré s'est étendu avant de disparaître, sous l'impulsion d'une troisième déchirure sous ses doigts de Midas.
Un nouveau pouvoir, pour lui.
Tout comme pour Wolfgang, qui erre désormais en tant qu'esprit.

1939 - 1947 Le monde brûle encore, de haine et d'une nouvelle guerre dont les retombées impactent plus violemment Leon. Ses fuites excessives ne l'empêchent pourtant pas de se rendre sur la tombe, à peine vieille d'un an. Un instant qu'il se jurera toujours d'honorer, en dépit des horreurs qu'il côtoie de jour en jour, qui ne l'atteignent que comme une providence : lui aussi, devrait mourir. Car à quoi bon ?
Wolfgang n'est plus là.
À cause de lui.
C'est cette idée qui le mine encore, quand le marbre reflète le prénom et le nom, l'alias d'un orphelin, dans le regard d'un veuf.
Mais on l'appelle.
Une voix clair de garçon de vingt ans, qui l'interpelle.
"Leonid !"
Le sang se fige dans les veines. Personne ne peut savoir ça. Personne d'encore vivant, du moins.
La curiosité est piquée, les détails sont échangés, et les doutes sont confirmés.
Wolfgang.
Par miracle, par prière, par envie sincère de perdurer, l'impossible s'est produit sans que Leon ne puisse le comprendre.
Mais qu'importe : le moment est là. La possession de corps de passage leur permettra de rester en contact, de s'apercevoir furtivement, en l'espace de quelques heures, jours, semaines, mois. Et si l'esprit de l'hôte finira toujours par faire fuir l'intrus, l'amour échangé pendant cet instant temporaire demeurera, lui, éternel.
Encore aujourd'hui.

•••

Tu peux encore vivre.
Tu dois encore vivre.

La litanie prévaut malgré les douleurs excessives. On connait sa réputation qui se murmure, dans le cœur des meurtris comme dans le gouffre des ennemis de peuples massacrés, courant d'une guerre sous le désir fou d'un seul courant de pensée. Entre 1941 et 1945, lors des rafles organisées, Leon - ou peu importe son nom - encaisse les actes de barbarie qu'il tente d'amenuiser à son échelle. Figure ombragée d'une résistance échelonnée entre la France et ses alliées, l'Homme étrange sauve ceux qu'il arrive à trouver, œuvre en silence dans les circuits des réseaux cachés pour parvenir à les faire passer en terres américaines, là où plus personne ne pourra les atteindre.
En contrepartie, c'est lui qui se rend.
C'est lui qui se sacrifie.
C'est lui qu'on attrape, les mains en avants, qui ne cherche même pas à s'enfuir, quand il sait qu'il a réussi à refermer la trappe après un dernier clin d'œil pour ces enfants qui auront droit à des lendemains.
Et c'est encore lui qui sourit quand il sait ce qui l'attend.
C'est peut-être pour cette raison que son pouvoir l'a protégé d'autant plus.
Qu'il suffit de fermer les yeux et le cœur et d'attendre qu'Ils se lassent.
Qu'on jette la dépouille dans le silence d'un camps, et que les yeux s'ouvrent parmi les corps de ceux que l'Homme étrange n'a pas pu aider.
Alors il prie.
Une fois, à chaque fois, un son pour les Disparus.

Vos vies ne valaient pas moins que la mienne.
J'espère que je ne vous décevrai jamais.

Et quand l'armistice signe la fin officielle de la Terreur, que le ciel est dégagé, que les excuses ne seront jamais assez, Leon pondère seul. Regarde le bleu sans heurt. Anticipe les prochains nuages.
Souffle la fumée de sa cigarette élimée.
Comme une envie de s'envoler, lui aussi.

3 juin 1948 Le poupon crie fort. C'est dans les gênes, visiblement. Leon - ou... peu importe, il ne s'en souvient plus - regarde le bébé sans trop comprendre. Amelie le fixe, bras croisés, imposée dans sa vie sans qu'il n'ait rien demandé.
Ou peut-être que cette fois-ci, ils sont allés un peu trop loin.
Ils, c'est-à-dire Wolfgang et lui, toujours à se courir après de possessions en possessions. Les hôtes se sont succédés, Amelie fût la dernière en date.
Et la mère, visiblement, de l'enfant d'un drôle de duo trop portés sur leurs pulsions respectives pour réfléchir.
Leon, lui, cesse spontanément de le faire quand son bien-aimé habite un corps provisoirement. Il oublie aussi que si ce dernier est préférablement celui d'un homme, les femmes peuvent aussi attirer malgré elles le petit fantôme. Et si les conséquences de leurs retrouvailles sont très souvent minimes pour le dit hôte, cette fois-ci, les choses sont différents.
Très différentes.
Alors Leon ne sait pas quoi dire, si ce n'est qu'il veillera sur elles, sur Amelie et sa fille - leur fille. À eux trois, d'une certaine manière.
Et c'est ce qu'il fera, encore aujourd'hui. Si son enfant est encore en vie, c'est surtout sur son arrière petite-fille, Miria, qu'il porte un regard particulièrement tendre et attentif.

1948 - 1968 L'après-guerre donne à Leon - ou quelque soit son identité, finalement - la volonté qui lui manquait. Peut-être que la naissance de sa fille y est aussi pour quelque chose, mais l'envie de voyager se fait sentir. Wolfgang et Amelie sont prévenus, où qu'il se trouve, peu importe le pays ou la situation géopolitique animant désormais le monde encore secoué. Pendant vingt ans, Leon use et abuse des nouvelles règles en place, tire profit des opportunités à sa portée, même les plus moralement discutables. C'est à cette période que ses vieux démons le retrouvent à nouveau, qu'entourloupes et escroqueries alimentent ses poches et ses instincts primaires. Placements boursiers douteux et autres fraudes fiscales le poussent, étonnement, à quitter l'Europe pour éviter la colère d'endettés un peu trop rancuniers (oups).
Une occasion de découvrir les fameux États-Unis pour la première fois en 1955 où le coup de foudre immédiat s'opère. Le territoire, vaste et prometteur, lui plaît bien plus que tout ce qu'il a pu connaître. Parcourus de long en large et en travers, Leon s'y épanouit sous d'autres vies, change de peau tout les cinq ans en moyenne, s'amuse plus qu'il ne peine. Les maisons de jeux l'attirent, comme l'apprentissage de toutes les astuces pour gagner gros, les gains s'accumulent et le talent aussi. Cette nouvelle passion le mène jusqu'à Las Vegas en 1968, où l'exultation est la maîtresse de tous les joueurs.
Il y rencontre Victoire, pétillante jeune femme avec laquelle il se lie d'amitié, déjà en passe de devenir mère au moment où il la côtoie. Lorsque son fils naît, l'idée vient à Victoire de lui donner le prénom de son ami, car après tout, "Louis", c'est très joli.

1968 - 1982 "Tonton Louis" veille sur petit Louis, et sa petite sœur aussi. Il s'y est attaché à cette famille, le cœur peut-être un peu plus tendre depuis qu'il est père lui-même. D'ailleurs, sa fille de vingt ans vient de lui annoncer sa propre grossesse. Bon sang, que c'est dur de vieillir, même lorsque le temps n'a pas de prise sur son visage.
Ca soulève des questions, qu'il élude un peu, avant de partir en voyage à nouveau, longtemps, loin. Ne serait-ce que pour les protéger tous de ses "petites" magouilles. C'est lorsque Victoire décide de déménager en 1982 pour Dallas que Louis redevient simplement Leon, une manière pour lui de signifier qu'il restera là pour l'aider, si elle en a besoin. Mais qu'il vaut mieux pour l'instant, il la laisse, elle et ses enfants, juste pour respirer un peu.

1982 - 2018 Les envies s'ouvrent, la société évolue, les pays changent de frontières et de perceptions. Elles l'attirent, Leon, ces terres qu'il ne connaît pas. Alors à travers les années, tout en gardant les États-Unis en port d'attache, il part, partout, use de passeports d'inconnus falsifiés, use de ses (trop) nombreuses relations pour voir si le ciel est si différent ailleurs. Découverte de l'orient, de l'Asie, des îles et des plaines, des gens, des mœurs, des vies, encore, partout. Partout où on ne le connaît pas, il se fera un nom.
Son appétit de connaissances grandit encore et encore, en dépit de cet âge, qui ne bouge pas. Point fixe sans repères vraiment, il ignore où ses pas le mènent, si on rythme épicurien ne le pousse pas vers un précipice certain. Tour à tour il change, monte de nouveaux projets, finance des désirs d'autrui, mécène incapables de se cantonner à une seule vie. Wolfgang et lui se voient malheureusement peu au cours de cette période, parce qu'il ne peut pas rester en place, Leon, il a ce besoin de se jeter en avant, de se sentir vivant, de risque tout pour le gros lot qui l'attend.
En 1990, il entend, comme tout le monde, l'avènement de ce que l'on nommera désormais les mutants, ces êtres aux capacités exceptionnelles qui se dévoilent à travers le monde. Cette nouvelle le remplie de joie autant qu'elle le pousse à se méfier : il a connu trop d'Hommes trop prompt à annihiler la différence, par peur qu'elle ne devienne la norme. S'il parle désormais plus volontiers de ses pouvoirs à qui veut l'entendre, il conserve toujours sa discrétion passive, usant toujours de l'or transmuté en outil de travail plus ou moins légal.
En 2004, il apprend à découvrir New-York, si étonné de ne jamais y avoir mis les pieds auparavant, notamment pour rencontrer son arrière petite-fille à peine née. Chic ! Qu'il se dit. Je vais revenir plus souvent, j'adore l'endroit.
En octobre 2005, c'est dans un restaurant de Mexico city, la bouche pleine d'un délicieux chili con carne, que Leon apprend le drame. La petite télévision diffuse les images spectaculaires de la destruction de la ville. Sous les yeux ébahis de Leon, des milliers de vies s'écroulent en même temps que les bâtiments. Le conflit mutant/altéré est à son apogée. Un message immédiat le rassurera : Miria et ses parents sont en France, à ce moment-là. Face à la perte de leur demeure, ils y resteront, le temps de reconstruire quelque chose de leur côté.
Lui, continuera de bouger, observant de loin ce que l'État fera de la grosse pomme dévorée par ses propres vers grouillants.
Lui, a d'autres graines à semer.

2018 - 2020 Alors que New-Blossom s'ouvre, reluisante et pimpante, Leon, lui, n'est attiré que par l'ombre qui se dégage de la lumière. Il sait d'instinct que le plus intéressant se joue dans ce que l'on cache, que l'on obtient ce que l'on veut qu'en demandant aux bonnes personnes.
Beaucoup de ses contacts d'antan se trouvent sous terre, ensevelis des années en arrière, ou simples opportunistes patentés comme il peut se définir lui-même.
En analysant les besoins particuliers de l'Underapple, comme elle se nomme, lui vient l'idée d'un projet de grande envergure, nécessitant des talents bien spécifiques. Une merveille parmi les poussières : son propre casino. Mais pas que.
L'occasion de régner sans partage sur ce qui distingue ce royaume de la surface : son authenticité.
Et c'est avec ce projet, cet alignement de lames féroces retrouvées, qu'il tirera sa carte gagnante et obtiendra le titre de propriété d'un Chrysler building désœuvré au terme d'une partie de poker décisive contre un ancien magnat de feu New-York. Leon Crown - car il faudra bel et bien la porter, cette couronne - réunira autour de lui la crème de la crème des plus appâtés, mutants, humains, ou altérés, et ensemble, construiront ce qui sera la plus grande maison de jeux qui soit.
Car on y misera tout, son plaisir, son temps, ses informations. Et de l'argent.
Beaucoup d'argent.

8 juin 2020 C'est qu'il pleurerait presque, ému qu'il est, le bougre. Son pied à terre brille de mille feux, il en sautille, frétille, exulte. L'Arcana est sublime. Dans les lumières artificielles, la sienne inonde les souterrains. Ses Majors sont tout autours de lui, chacun.e assigné à une Arcane de choix, car c'est le Destin qui les a réuni, à n'en pas douter. Bientôt, la rumeur court, on s'y précipite, d'en haut comme d'en bas, on s'attire les foudres et les convoitises, on pactise avec l'Empereur qui a tout du Diable. Et derrière la façade, se cachera toujours l'ombre.
L'argent.
Encore l'argent.
Toujours l'argent, pas le sien, et pourtant.

2020 - 2026 Presque six ans, déjà. Bientôt la bougie à souffler, le gâteau à dévorer, quand Leon Crown lui-même a oublié sa propre date d'anniversaire. C'est qu'il est vieux. Vieux mais pas vieillard, comme il aime à le répéter.
Le temps s'écoule pour tout le monde.
Pour ses proches, ses clients, ses ennemis, ses alliés.
Lui, du haut de sa tour, voit à peine sa propre aiguille bouger, tout en sachant qu'un jour, ce sera le pari de trop.
La mise de trop.
La balle de trop, à le perforer, jusqu'à ce que le corps n'en puisse plus de se régénérer.
Et peut-être qu'un jour aussi, il ne sera qu'un esprit, peut-être qu'un jour aussi, il cessera le cours d'une vie qui n'aurait jamais dû naître, comme sa mère lui a si adorablement fait comprendre autrefois.

Mais ce n'est pas pour maintenant.

Alors encore cette nuit, il quittera son bureau, encore cette nuit, il ouvrira les portes de son Empire, encore cette nuit, il soufflera la fumée d'un cigarillo en riant à pleine voix, croira sincèrement en ses projets et à celles et ceux qui les portent à ses côtés.

Car le chemin du Mat n'est pas encore tout à fait tracé.

Car après 170 ans, l'aventure ne fait que commencer.
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Pseudo : Syato Genre et Pronom(s) :trans masc, il/iel Âge : 30 aaaans  Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 1220833213  Région/pays : Fronce & Chocolatines Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 1813594744  Comment avez-vous connu le forum ?  Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 737227058  Autres commentaires ? Préparez vos jetons et vos meilleures infos, le boss fait peau neuve Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3865144472 (BIS REPETITA OUI JE SAIS, mais cette fois c'est VRAI  Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567 ) Crédits : harleystuff (avatar)
Spy Rit
True Blood
Spy Rit
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Urn0
Alias : Nameless à l'Arcana ; Wolfgang pour son mari. (Identité du possédé actuel : Dan Braser.)
Genre : Agenre ; pronoms neutres ou masculins ; s'adapte en vérité à la personne qu'iel possède. (Actuellement : masculins.)
Age : 133 ans ; et pour l'âge physique, cela dépend de la personne qu'iel possède. (Actuellement : la quarantaine physiquement.)
Dollars : 65
Statut : Marié à Leon ; leur histoire d'amour transcende les années et iels s'aiment toujours comme au premier jour. (Actuellement : en instance de divorce.)
Occupation : Fantôme ; alors ça dépendra de la victime du moment. (Actuellement : cuisinier qui vient d'être licencié.)
Habitation : Loge à l'Arcana dans l'appartement de Leon.
Déchirures : FANTÔME ; terrifiante entité errant entre le monde des vivants et des morts, aux capacités angoissantes pour ces premiers qui les disent alors surnaturelles..

[.Psychokinésie.]
(NIV.1) En levant une main en direction de l'objet qu'il souhaite déplacer, il parvient à le bouger latéralement sur quelques mètres. (GHOST) N'étant qu'une forme flottante dans l'entre monde, toute mesure physique disparaît. Iel peut déplacer alors les objets qu'iel observe, simplement.
(NIV.2) La lévitation est débloquée, mais nécessite toujours l'utilisation de sa main pour celle-ci. En revanche, pour déplacer latéralement un objet, il peut à présent user uniquement de la pensée en fixant l'objet. Désormais, il peut en manipuler deux en même temps.
(NIV.3) Peut à présent faire bouger les objets comme il l'entend par la pensée et peut en manipuler quatre à la fois.

[.Noyaux.]
(NIV.1) Distinction de l'âme d'une personne vivante, sous la forme d'un noyau lumineux - visible même dans le noir, permet en soi de repérer où se trouve un être vivant.

[.Possession.]
(NIV.1) Après avoir quitté son corps, le fantôme se doit de retrouver une enveloppe corporelle en allant posséder une victime. La durée totale de la possession ne dépassera généralement pas les trois mois, dépendamment de la puissance de volonté de la victime. Ainsi cela dure même en général moins que ça ; beaucoup moins.
(NIV.2) Plus Wolfgang s'efface en terme d'Humanité, plus le contrôle de sa mutation se renforce. Ainsi la volonté s'accroit et l'emprise dure bien longtemps désormais - jusqu'à huit mois au plus long observé à présent.
(NIV.3) L'entre monde est devenu familier ; naviguer dedans est à présent possible et les âmes humaines lui apparaissent sous forme de halo de lumière. Spy Rit peut désormais choisir quel noyau deviendra son fief pour une durée d'un an maximum - toujours dépendamment de la volonté de la personne. Iel débloque ici aussi une phase d'étourdissement (pas automatique) pour les victimes, accordant quelques semaines de répit où iel ne les entendra pas lui parler - mais semble faire redoubler leur voix plus tard.

Limites : [.Psychokinésie.]
(NIV.1) Sous la forme (HUMAN), les objets déplacés ne peuvent l'être que s'ils sont sur une surface et ne peuvent pas dépasser les huit kilos - ou cinq s'ils font plus d'un mètre de hauteur. Sous la forme (GHOST) cela se traduit par le déplacement de petits objets ne dépassant pas les deux kilos : en revanche, iel peut interagir avec les humains au travers de n'importe quel objet prévu pour communiquer avec les créatures de l'entre monde - table ouija, etc, peu importe le poids. (NIV.2) Sous la forme (HUMAN), la limite de poids passe à quinze kilos - ou dix si plus d'un mètre. Le cumul des deux objets déplacés en même temps ne doit pas dépasser les vingt kilos. Sous la forme (GHOST), iel peut à présent interagir avec des objets de plus de cinq kilos. (NIV.3) Sous la forme (HUMAN), il doit toujours fixer les objets pour leur faire suivre un trajet s'ils lévitent. Pour un objet individuel, il peut aller jusqu'à vingt kilos (ou quinze si plus d'un mètre de hauteur) et ne peut excéder un poids de vingt-cinq kilos s'il en déplace plusieurs, sous peine de s'épuiser et de s'évanouir trois minutes plus tard. Sous la forme (GHOST), iel peut à présent aussi interagir avec les animaux - si ceux-ci ne dépassent pas les six kilos, tandis que pour les objets, ça passe à huit kilos maximum. (GÉNÉRAL) Sous la forme (HUMAN), il ne peut interagir avec aucun être vivant.

[.Noyaux.]
(NIV.1) Les noyaux sont petit, parfois à peine distinguables ; et ne possède aucune différence entre eux ; existent, c'est tout. (GÉNÉRAL) Ne marche que sur les vivants de type humanoïde - ainsi s'il croise une personne morte vivante via une mutation ou d'un animal, rien ne sera distingué. Et par ce même biais, puisque rien n'est tout à fait pareil dans l'entre monde, cette déchirure ne peut être utilisé que lorsque Spy Rit est sous forme (HUMAN), les noyaux n'ayant pas la même signification là-bas.

[.Possession.]
(NIV.1) A ce stade, iel ne peut pas choisir les personnes qu'iel va posséder ; erre jusqu'à se faire aspirer par une âme dont la volonté sera vacillante. (NIV.2) Est débloqué la possibilité de se détacher volontairement de ses victimes, mais toujours pas celle des les choisir. Aussi, au plus de temps iel passe dans l'entre monde, au plus Wolfgang disparaît au profit de Spy Rit - et il peut arriver de longs mois avant de se retrouver à nouveau happé par un corps. (NIV.3) À pouvoir désormais choisir les personnes à posséder, il se créé une confusion dans les identités pour Spy Rit. Iel acquiert certes des souvenirs aléatoires de ses victimes, mais se retrouve plus encore plus perdu dans sa propre identité - à ce stade, Wolfgang est un souvenir surtout entretenu par celleux qui l'ont connu plus que par l'esprit en ellui-même. Il devient difficile de ne pas céder à l'appel des possessions abusives, à se souvenir qu'iel ne veut posséder aucun enfant - les jeunes humanités étant les plus faciles à posséder car aisément malléables. (GÉNÉRAL) Ne possède plus aucun corps fixe et ne pourra jamais retrouver sa première identité. Un sceau apparaît sur les deux avant-bras des possédés, d'un noir profond et qui se brise au moment où le fantôme est chassé par l'esprit de la victime. Reste ancré dans la chair alors la marque cassée sous la forme d'une cicatrice bombée et rose - permettant ainsi de retracer le parcours du mutant. En prime, même si Spy Rit possède quelqu'un, cette dernière reste active et interagit avec ellui ; comme une petite voix dans la tête, Spy peut tenter de les ignorer mais ça reste un bruit constant qui l'affaiblit au fur et à mesure du temps et offre de plus en plus de possibilités de s'en libérer. Aussi, si le corps qu'iel possède meurt durant sa possession, alors Spy Rit mourra à son tour - définitivement cette fois. Conscient de cette condition, iel doit prendre soin au mieux des corps des possédés, accordant du temps à leurs besoins naturels. Et dernier point, il ne peut pas posséder d'altérés, parce que sa nature mutante est rejetée par les implants.

Mémo RP : Couleur dialogue du possédé : darkgoldenrod.
Couleur dialogue de Spy Rit : crimson.
Couleur dialogue de Spy via possession : salmon.

Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Brooks, Ernest, Sean, Gabriel, Vico, Zacarias, Tanner, Armando, Jens, Kenneth, Oscar, Ysidro, Xaver
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 19
Date d'inscription : 29/03/2024
FC : Jason Sudeikis
Crédits : (avatar, gif ; perso) (code signa : ellaenys)
Thèmes abordés : Mort(s), possession d'autrui, souffrance, colère, rejet (uc)
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.

Staff : ADMIN I MJ
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3483261708 Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3483261708 Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3483261708

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I'm back from the dead, from the back of my head ; Just throw away the key, don't worry about me
Pasqual Castillo
Blue Blood
Pasqual Castillo
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Eot42IJ
Alias : PEPE | en famille, avec les amis et les collègues; CALEUCHE | streameur populaire sur le Metaworld.
Genre : CISGENRE | il/lui, au masculin tout simplement.
Age : 44 ANS | une année de plus au compteur.
Dollars : 1091
Zone libre :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Z1ALAD1

Statut : CÉLIBATAIRE | quelques aventures qui se comptent sur les doigts d'une main, heureux de vivre seul plutôt que mal accompagné.
Occupation : PHOTOGRAPHE | enchaîne les clichés pour omnivox media, tout un art de saisir l'instant et le déconstruire ensuite; STREAMEUR | il n'avait pas prévu d'en faire son métier, mais son côté activiste et grande gueule plait au public, se laissant prendre au jeu d'animateur.
Habitation : SOLARIS | partage un grand appartement avec le coloc de son coeur: son petit frère (qui n'est jamais là).
Déchirures :
HOMME-ELASTIQUE
○ ÉLONGATION | Souplesse. Il peut allonger tout son corps, notamment ses membres sur une grande distance, caractéristique qui lui procure aussi une souplesse indiscutable. (niv.1) Force. Afin de pouvoir s'étirer, le mutant à besoin d'une force suffisante, et c'est bien ce qu'il développera au fil des utilisations et de la pratique, afin de pouvoir obtenir un meilleur contrôle des allongements. (niv.2) Vitesse. Puisque son corps entier est élastique, y compris ses organes, et son système respiratoire, le mutant à la particularité de pouvoir augmenter sa pression sanguine, lui donnant la possibilité de s'étirer plus rapidement et donc de se déplacer plus rapidement. Si visuellement, il ne semble pas s'étirer, c'est bien via des allongements qu'il peut se mouver aussi vite. (niv.3)
○ RÉSISTANCE | Absorption. En raison de sa malléabilité et l'élasticité de son corps, Pepe est capable d'absorber la force des impacts ces dernier déformant son corps le long de la trajectoire au point d'impact. Ainsi, il peut survivre à une chute ou résister aux balles et aux coups, néanmoins, il peut ressentir la force des impacts et ce n'est pas forcément toujours agréable. (niv.1) Redirection. Dans le même esprit, une fois l'énergie absorbée, le mutant à la possibilité de renvoyer cette force ou expulser les projectiles de manière plus ou moins contrôlée en fléchissant son corps. (niv.2)
○ CHANGEMENT DE FORME | Forme Physique. Pepe peut changer de forme physique, rendant son corps presque complètement malléable qui lui permet de s’étirer, se comprimer, se contracter, se déformer et se reformer sous n’importe quelle forme dans le cadre de ses limites de tensions musculaires.

Limites :
SƎᗡISNMOᗡ
○ LA DISTANCE | peut allonger ses membres entre 450 et 500 mètres maximum, avant de subir des douleurs physiques insoutenables. Le forcer à des étirements au-delà de sa limite de tension, est l'équivalent d'une sensation d'écartement, qui pourrait provoquer des déchirements à long terme, rendant un membre inutilisable.
○ LES TEMPÉRATURES | il est vulnérable aux températures extrêmes, lorsque le goudron commence à fondre ou vos doigts à avoir des gelures, considérez que ce sont des situations pas sympa pour vous, mais insupportable pour notre homme caoutchouc.
○ LES ARMES BLANCHES | plus ses membres sont allongés, plus ils sont vulnérables en général, mais surtout contre les armes blanches et tout ce qui est de tranchant. On compte aussi les aiguilles aussi, le contraignant par exemple à étendre la peau de son bras.
○ UN CORPS SAIN | il est impératif de se maintenir en forme et une certaine masse corporelle, puisque son pouvoir dépend énormément de sa force physique (qui lui permet d'allonger son corps). Plus il poussera son corps, plus la phase de repos sera longue, ce dernier d'ailleurs se chargera, naturellement, à lui faire subir les contrecoups s'il le pousse à bout. (paralysie temporaire, perte de conscience,...)
○ LA GÉNÉTIQUE | Si Pepe à la possibilité de jouer avec les formes de son corps, il reste dans les limitations de physique, mais aussi inscrites dans son code génétique. Par exemple il ne peut pas changer de couleur, ou crée de membres ou d'organes supplémentaires. Son corps humain, tout élastique et malléable qu'il soit, reste sa limite.
○ L'ÉNERGIE | mange et boit beaucoup plus qu'un humain lambda. Il est important de noter que dans le cas d'effort important, mais aussi lorsqu'il joue avec sa pression sanguine, celles-ci pompent beaucoup plus d'énergie qu'à l'accoutumée, il ne peut donc pas maintenir certaines techniques trop longtemps et s'accorder des temps de repos afin de recharger ses batteries, sinon il subira une fois de plus les contrecoups physiques.

Stigmates : CICATRICES | souvenir de ses aventures de casse-cou avec son petit frère, de ses quelques chutes en moto lors de ses voyages, notamment l'arcade sourcilière et sur sa pommette gauche.
○ MARQUES | suite à l'utilisation de son pouvoir, il possède quelques marques sur ses bras, et jambes, un peu comme des vergetures.
○ TATOUAGES | un soleil avec une demi-lune à l'intérieur du poignet droit, ainsi que le numéro de matricule de son petit frère sur l'intérieur de sa cheville gauche en Cirth.

Inventaire :
PEPE'S BELONGINGS
○ LUNETTES DE SOLEIL | il en possède une quarantaine, et il en a donc toujours une paire avec lui.
○ SACOCHE | où s'y trouve un carnet de notes, son appareil photo et un ou deux objectifs, un kit pour les nettoyer, son téléphone portable, son portefeuille, ses clefs de maison, de sa moto et une gourde.

Mémo RP :
lisaestebansloaneyou?

Pseudo : writerinafoxhole.
Comptes : Llewhelyn Morrow & Lucian Holmes & Ulysses Sharp & Quillan Iskandar.
Genre IRL : they/them, il/lui.
Messages : 953
Date d'inscription : 17/03/2023
FC : Santiago Cabrera.
Crédits : PROFILE | (avatar, gifs) writerinafoxhole, (gif luffy) A-La-Moe // SIGN | (code) writerinfoxhole, insp. by hel (gif) writerinafoxhole.
Thèmes abordés : refoulement des sentiments, solitude, surprotection, positivité toxique.
Thèmes refusés : en tant qu'hypersensible, des discussions hors rp en amont sont primordiales, notamment pour les thèmes suivants : violences, mutilations, tortures, personnage sous-influence sans consentement ou de manière passive (alcool, drogue, lié à un pouvoir), harcèlement, discrimination, racisme, lgbtphobie, relations toxiques. Thèmes automatiquement refusés : actes sexuels explicites, manipulation physique ou mentale, violences extrêmes (terrorisme, militaire), inceste, pédophilie. Listes non-exhaustives, dans le doute contactez-moi. ❤︎
Infos RP :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. E47WfVr
irl: ralentissement, irl messy, rythme avec des pics et des chutes de motivation.
taux de procrastination: 65%

○ libre, 3 rps en cours, dm me.
○ contact par mp ou didi.
○ fréquence de rp variable.
○ longueur des rps entre 200-1000+ mots, je m'adapte généralement à mes partenaires.
○ rp avec dialogues français ou anglais.
○ couleur de dialogue: rosybrown.

Misc :
REMINDER
○ faire l'ARGO page.
○ demander évolutions de déchirures.

Leooooon c'est le retour ! I love you
J'adore le persow, le boulot, le pouvoir, le choix de fc et puis c'est toujours un plaisir de te voir te multiplier. Cette fois, c'est la bonne et en plus pour nous servir le angst fest avec Spy, que demander de plus ? Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567  ticoeur
Bon courage pour la fin de la fiche et amuse-toi bien ! flowers

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Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3FJyfIt

On a stormy sea of moving emotion, tossed about I'm like a ghost ship on the ocean


Belladonna Faust
Humain·e
Belladonna Faust
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 966933c778aa2bbfeaad5df4f811c726f8229619
Alias : (bella) surnom donné dès l'enfance, il la suit depuis toujours, c'est toujours en tant que "bella" qu'elle se présente ; "docteure faust" dans l'unité CERBER.
Genre : (she/her) féminin.
Age : (38 ans) à peine à l'aube de la quarantaine, elle a parfois l'impression d'avoir vécu le double de ces années.
Dollars : 1093
Zone libre :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 721c68e0c778150a51aa19fe452f724aad4e5152

“thus with a kiss I die”

Statut : (shattered heart) veuve à 35 ans, l'époux est tombé sur le champ de bataille et ne s'est jamais relevé ; mère célibataire d'une petite Rosaline, âgée de 3 ans.
Occupation : (the healer) chirurgienne dans l'unité médicale de CERBER, elle répare les corps et parfois, les esprits.
Habitation : (nexus) bella et sa fille ont quitté solaris pour s'installer dans le nexus pour se rapprocher de CERBER.
Mémo RP : SUJETS EN COURS :
- Maera
- Duncan
- Kenneth
- Keith
- Louis
- Dani

Pseudo : valkyrja.
Comptes : astra stark, evelyn harvey, caleb altman, silke sørensen, zohra caruso.
Genre IRL : (she/her) féminin.
Messages : 1584
Date d'inscription : 12/06/2023
FC : emily blunt.
Crédits : bones (avatar), ethereal (icons), zaja (signature).
Thèmes abordés : domaine médical, deuil, anxiété, maladie, violence, violences conjugales, mort.
Thèmes refusés : à déterminer en privé.
Infos RP : - (0/4) sujet(s) libre(s).
- dialogues en français ou en anglais.
- entre 500 et 1500 mots.
- fréquence de plutôt constante, sauf exception !

Staff : ADMIN I MJ
heartbeat heartbeat heartbeat
hâte de t'embêter toujours plus hihi

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“The horror – the horror was for love. The things we do for love like this are ugly, mad, full of sweat and regret. This love burns you, maims you, twists you inside out. It is a monstrous love, and it makes monsters of us all.”
Nova Mariscal
Humain·e
Nova Mariscal
CORPS
ESPRIT
ÂME
Alias : Nova Cane
Genre : caricature de tout le spectre de la femme
Age : 27 ans sur une ligne floue, qu'elle rajeunit ou vieillit selon qui demande
Dollars : 65
Statut : à la fois insaisissable et à la fois si accessible
Occupation : menteuse à gage, arnaqueuse, socialite sans sou, arcane majeure au casino
Habitation : une suite d'hôtel dont la note va à une nouvelle personne tous les mois
Pseudo : alien superstar
Comptes : maeve, cid & niko
Genre IRL : pronoms féminins
Messages : 10
Date d'inscription : 25/03/2024
FC : Cindy Kimberly
Crédits : la chonga, la seule et l'unique
Thèmes abordés : hypersexualisation, trauma religieux, blasphème, manipulation
Thèmes refusés : à discuter en pv
Infos RP : rythme aléatoire, moyenne 600 mots, en/fr.
le patrooooon !!!
trop contente de revoir ce personnage pointer le bout de son nez et surtout de pouvoir jouer ce lien !
j'ai trop hâte qu'ils agacent tout le reste du personnel de l'Arcana avec leurs caprices et qu'ils soient à la fois adorables et terribles ensemble. ticoeur ticoeur

bon courage pour la suite de ta fiche  Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 2728
Darius Sinclair
Originel
Darius Sinclair
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 8uAwPcd3_o
Alias : DRACULA | le vampire
Genre : masculin ; il
Age : 237 ans
Dollars : 3403
Statut : Compliqué
Occupation : Ex-médecin du SHC devenu bénévole auprès de diverses associations
Habitation : Dans une villa en bordure de Solaris
Déchirures :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. VbBQhsMh_o

+ V A M P I R I S M E +

[ THE UNDEAD ]
Lorsque le vampire meurt, cette déchirure le ramène à la vie, faisant de lui un être potentiellement immortel. Néanmoins, chaque résurrection entraîne la perte d’une caractéristique des vivants, telle que la capacité à vieillir et à se reproduire.

[ THE PREDATOR ]
Son corps se transforme en celui d’un prédateur : ses pupilles se dilatent pour mieux voir dans l’obscurité ; son ouïe et son odorat sont amplifiés pour mieux traquer ses proies. Sa force et sa rapidité sont augmentées et ses canines sont allongées pour assurer le bon contrôle de la victime.

[3] En meilleure harmonie avec son monstre intérieur. Ouïe, odorat, force et rapidité accrues même sous forme humaine. Humanité retrouvée.

[ THE HEALER ]
Le sang dont il se nourrit lui procure des propriétés régénératives.

[3] Guérison accélérée pour les lésions profondes, brûlures de troisième degré et os brisés. De petits organes ou os retirés peuvent se reconstituer en l’espace de quelques heures.

[ THE PSYCHIC ]
Il peut accéder à l'esprit des autres organismes en s'abreuvant directement à leur veine. Leurs pensées et souvenirs se présentent à lui sous forme de visions.

[2] Il n'a accès qu'aux pensées actuelles ou aux souvenirs les plus marquants de l'individu. Il peut inhiber cette aptitude afin de boire l'esprit tranquille.

[ HYPNOTIC INDUCTION ]
Plonge sa cible dans un état de transe similaire à un état méditatif profond. Diminution du stress et augmentation du sentiment de bien-être.

[2] Crée un lien invisible entre lui et sa cible si sa cible ingère son sang. Permet de prolonger l'état hypnotique au-delà du contact physique. La cible est en mesure d'oublier momentanément sa douleur. Peut toutefois causer un effet de manque lorsque le sentiment de bien-être se dissipe.

Limites :
[ SOIF DE SANG ]
Comme pour tout être humain, le sang est son carburant ; pour autant, son corps a cessé de le produire. Idéalement, il doit se nourrir 2-3 fois par jour.

— Le besoin varie selon l'activité physique et l'utilisation de ses capacités.
— Le sang des BB et CC lui est toxique.
— Le sang animal peut le sustenir au détriment de ses facultés cognitives.
— Perte progressive de sa force physique et mentale lorsqu'il ne se nourrit pas pendant plus de 24h et comportement plus violent et obsessif.
— Allergie potentiellement mortelle à la verveine.

Pseudo : Nyxeia
Comptes : SKULLBOY | Skelton Grey
Genre IRL : féminin ; elle
Messages : 2436
Date d'inscription : 14/10/2022
FC : Daniel Gillies
Crédits : [ava+img+sign] self
Thèmes abordés : violence, mort, meurtre, sang, maladie
Infos RP : Osmond // Darla // Wyatt // Nessi // Glenda // Alice // Alas // Dani // Hugh

✧ Indisponible [Full RP]
✧ Rythme régulier [1x par 7-14j]
✧ Longueur variable [300-1000 mots]
✧ Préférence pour [dialogues anglais] si vous êtes à l'aise, sinon tout en français.

Misc :
reminiscience
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 37hwdacj_o
cr. ellaenys

Staff : FONDA
Le fameux Emperor, hâte de voir cette puissante figure de l'Underapple mener son empire en RP Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3920329312
J'espère que tu t'amuseras bien avec Leon et ses liens particuliers qui promettent plein de feels, j'sens que c'est un rework qui en aura valu l'attente Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567
Rebienvenue à la maison heart

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Humanity isn't a species
it's a state of mind
Robin White
Altéré·e 2-I
Robin White
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. QwppQRY
Alias : (rob, bibi, robae, baby, boss, king)
Genre : (iel, ellui, lae, accord masculin) au travers de multiples lectures et recherches, iel s'est associé à ce que plusieurs cultures voient comme le troisième genre.
Age : (trente et deux ans)
Dollars : 837
Zone libre :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Ub8DElq

Statut : [si-woo et yuyu] surprise dans la gueule, révélation au travers des draps ; le regard s'est perdu sur eux trop souvent, les corps se sont touchés dans ce qu'iel a d'abord cru une envie de nouveauté. puis, robin a compris qu'iel était aimé et iel s'est laissé charmé. [lenny] y'a un sourire con sur sa gueule dès que Lenny est dans les parages, un papi qui quitte ses lèvres de manière espiègle. [poly, aro] et aussi l'regard qui s'perd parfois sur les passants, parce que qui sait ? on dit pas non à d'autres relations.
Occupation : (roi de trèfle, podcast's owner, joker, salon de thé comme couverture but also ; boss for the guard) trop divers, trop variés. ancien combattant pour le fight club, robin est maintenant roi de trèfle au sein du fight circle suite au retrait de Meredith. sinon, iel possède son propre podcast et sa compagnie de sécurité d'puis mai, aussi.
Habitation : (nexus) une colocation hantée
Altérations : [TYPE 1-I AUDIO]
Un implant situé dans les oreilles permettant une portée d'écoute plus accrue que la normale. Il est agrémenté d'un lecteur audio externe capable de lire et dicter un texte se trouvant sous les yeux de Robin, peu importe la surface.

[TYPE 1-I TÉLÉPHONE INTÉGRÉ]
implant permettant de répondre au téléphone, lire et écrire ses sms par la pensée. Robin possède accès à toutes ses applications - et internet - via ce qui est présent sur son téléphone physique. Un VPN est intégré et créé par Rin.

[TYPE 1-I INHIBITEUR DE SIGNAUX / FORCE]
Implant cérébral lié aux capteurs associés à sa force et la limite de celle-ci. L'implant a pour impact de surpasser les signaux envoyées par le cerveau, de les ignorer et de laisser la personne surpassée les barrières mises - et d'avertissement - en situation critique, créant un effet similaire à ce qu'une personne peut ressentir sous une grande poussée d'adrénaline. La force est nullement accrue ; c'est la notion mentale de celle-ci qui est déjouée.

[TYPE 2-C JAMBE]
Suite à un incident survenu il y a deux ans, Robin possède une prothèse à l'une de ses jambes après avoir perdu celle-ci. Située sur la jambe gauche, commençant au début du genou, elle est standard et métallique, dénuée d'une fausse peau quelconque.  

Limites : -- prise quotidienne d'immunosuppresseurs depuis son adolescence révélant une anxiété moindrement dormante et portant des hauts et des bas.
-- les matériaux de sa prothèse - jambe gauche - posent problème lorsqu'il est question de pluie ou de froide température.

-- peut accentuer toute chose audible par l'oreille humaine
-- un contact visuel est nécessaire pour accentuer l'auditif
-- le lecteur audio n'est pas un IA. il peut simplement lire sans la moindre conscience. un contact visuel est nécessaire en tout temps

-- une connexion existe entre l'implant et le téléphone. si le téléphone est cassé, fermé, robin n'a pas accès.
-- une panne de réseau lui coupe l'accès à son implant.
-- si la connexion entre l'implant et le téléphone est sécurisé, il existe malgré tout une faible possibilité d'y avoir accès.
-- attention aux sites non protégés et aux hackers pouvant contourner le VPN intégré.

-- un stoppeur a été installé pour ne pas blesser le corps en soi. il est maintenant presque impossible de mettre en danger le physique de robin.
-- la force est plus limitée qu'autrefois pour respecter les limites du corps.
-- un indicatif a pris place pour informer quand les limites corporelles ont été atteintes
-- l'implant devient inactif passé à un certain stade et doit se recharger.

Mémo RP : (4/4) full
-- moon (UA) + récent
-- marcus (avril 25)
-- noah (janvier 26)
-- siwoo + yuyu (avril 26)

Pseudo : fern(mel)
Comptes : keith & dak-ho & ruben & minho & suni & leo & lili & rené & aeji & tiny & taylor & zee & wangshu & benji & dale
Genre IRL : she/her
Messages : 1292
Date d'inscription : 28/12/2022
FC : emma d'arcy
Crédits : homemade (av) uc (sign)
Thèmes abordés : anxiété, dysmorphie, sexe, gang, meurtre, consommation de drogue occasionnelle, perte d'un membre, surdité partielle ( d'autres peuvent venir, mais j'avertis toujours au moment du rp )
Thèmes refusés : (agression, non consent) je pense malgré tout qu'il est préférable de demander avant tout si d'autres termes sont exploités
Staff : ADMIN I MJ
Ouh le revoilà enfin ticoeur Hâte de voir ce que tu prévois en faire de ce grand dirigeant Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567

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gangster of love
I'm a joker I'm a smoker I'm a midnight toker I sure don't want to hurt no one
I'm a picker I'm a grinner I'm a lover And I'm a sinner I play my music in the sun
Leon Crown
True Blood
Leon Crown
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 1cce1c76de24ce34023327e682d186d4
Alias : "The Emperor" • Empereur d'Arcana, son univers et ses oracles.
Genre : Masculin cisgenre • Il.
Age : 170 ans (apparente cinquantaine) • 11/01/1856.
Dollars : 205
Zone libre :
God may judge me
But his sins outnumber
my own


Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. Eedeffe14e12f550295bfeac8c2e93aab32672a3

Statut : Coeur pris mais mains libres, poly attirance pour de jolies âmes, mais une seule retient la sienne depuis presque un siècle.
Occupation : Arnaqueur émérite, propriétaire de son casino souterrain, l'Arcana, coeur de l'organisation de trafic d'informations et de blanchiment d'argent.
Habitation : Au plus haut du Chrysler réaménagé, dans la partie cachée des appartements des Majors de l'Arcana.
Déchirures : [Pierre Philosophale]

- Elixir de vie. (bornes naturelles de la vie humaine repoussées)
-- Niv. 1 : Régénération cellulaire & résistance aux maladies.
-- Niv. 2 : Immortalité sensible.
-- Niv. 3 : Transmission du soin.

- Grand-Œuvre (catalyseur de déchirures de True Blood)
-- Niv. 1 : Augmentation d'un niveau de mutation.

- Chrysopée (transmutation temporaire en or)
-- Niv. 1 : 1 heure.
-- Niv. 2 : 24 heures.

Pseudo : Syato
Comptes : Seth • Orion • Archibald • Gregory • Oswald • Amapola.
Genre IRL : fluide, il/iel/elle.
Messages : 53
Date d'inscription : 01/09/2023
FC : Adrien Brody
Crédits : Lilie (avatar)
Thèmes abordés : Jeux d'argent, esthétique gangster et organisation criminelle - Pègre - blessures graves (immortalité).
Thèmes refusés : Globalement je tolère à peu près tout, tant que c'est discuté en amont et que toutes les parties sont à l'aise. ♥
Heyaaa tout le monde Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3202747195 !

@Spy Rit Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3781716902 Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3917839045 Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 803206369

@Pasqual Castillo Maaah merci pour tes gentils mots !! Content de voir que Leon te plaît comme ça Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3370663314 et en effet la angst party va être mémorable avec Spy, préparez les mouchoirs Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 427107405 ! Merciiii ;w;

@Belladonna Faust Toujours très chère, c'est quand tu veux Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3202747195 *fait chauffer discord mwahahaha*

@Nova Mariscal La remplaçante Ma petite Priestess ! Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567 Si ravi que tu aies craqué pour ce pré-lien (même pas encore reposté, c'est dire Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 737227058) et pareil, j'ai trop hâte qu'on joue leurs bêtises à tout les deux, ça promet si fort Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 427107405 À bientôt irp ! I love you

@Darius Sinclair Hohoho oui il s'est fait attendre, mais le voilà, et cette fois c'est la bonne Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567 ! J'ai trop hâte de le lancer moi aussi, je trépigne d'avance ! Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 427107405 Merciiiii ! ticoeur Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 1429850214

@Robin White Huhu oui, enfin, j'en pouvais plus de le repousser celui-ci, il faisait les cent pas dans mon cerveau à force Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567 Mais le voilà bel et bien, ça y est !! heart

Et c'est fini, omg, plus jamais de persos aussi vieux pitié Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 745618963 /PAN
Darius Sinclair
Originel
Darius Sinclair
CORPS
ESPRIT
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Image/Gif : Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 8uAwPcd3_o
Alias : DRACULA | le vampire
Genre : masculin ; il
Age : 237 ans
Dollars : 3403
Statut : Compliqué
Occupation : Ex-médecin du SHC devenu bénévole auprès de diverses associations
Habitation : Dans une villa en bordure de Solaris
Déchirures :
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. VbBQhsMh_o

+ V A M P I R I S M E +

[ THE UNDEAD ]
Lorsque le vampire meurt, cette déchirure le ramène à la vie, faisant de lui un être potentiellement immortel. Néanmoins, chaque résurrection entraîne la perte d’une caractéristique des vivants, telle que la capacité à vieillir et à se reproduire.

[ THE PREDATOR ]
Son corps se transforme en celui d’un prédateur : ses pupilles se dilatent pour mieux voir dans l’obscurité ; son ouïe et son odorat sont amplifiés pour mieux traquer ses proies. Sa force et sa rapidité sont augmentées et ses canines sont allongées pour assurer le bon contrôle de la victime.

[3] En meilleure harmonie avec son monstre intérieur. Ouïe, odorat, force et rapidité accrues même sous forme humaine. Humanité retrouvée.

[ THE HEALER ]
Le sang dont il se nourrit lui procure des propriétés régénératives.

[3] Guérison accélérée pour les lésions profondes, brûlures de troisième degré et os brisés. De petits organes ou os retirés peuvent se reconstituer en l’espace de quelques heures.

[ THE PSYCHIC ]
Il peut accéder à l'esprit des autres organismes en s'abreuvant directement à leur veine. Leurs pensées et souvenirs se présentent à lui sous forme de visions.

[2] Il n'a accès qu'aux pensées actuelles ou aux souvenirs les plus marquants de l'individu. Il peut inhiber cette aptitude afin de boire l'esprit tranquille.

[ HYPNOTIC INDUCTION ]
Plonge sa cible dans un état de transe similaire à un état méditatif profond. Diminution du stress et augmentation du sentiment de bien-être.

[2] Crée un lien invisible entre lui et sa cible si sa cible ingère son sang. Permet de prolonger l'état hypnotique au-delà du contact physique. La cible est en mesure d'oublier momentanément sa douleur. Peut toutefois causer un effet de manque lorsque le sentiment de bien-être se dissipe.

Limites :
[ SOIF DE SANG ]
Comme pour tout être humain, le sang est son carburant ; pour autant, son corps a cessé de le produire. Idéalement, il doit se nourrir 2-3 fois par jour.

— Le besoin varie selon l'activité physique et l'utilisation de ses capacités.
— Le sang des BB et CC lui est toxique.
— Le sang animal peut le sustenir au détriment de ses facultés cognitives.
— Perte progressive de sa force physique et mentale lorsqu'il ne se nourrit pas pendant plus de 24h et comportement plus violent et obsessif.
— Allergie potentiellement mortelle à la verveine.

Pseudo : Nyxeia
Comptes : SKULLBOY | Skelton Grey
Genre IRL : féminin ; elle
Messages : 2436
Date d'inscription : 14/10/2022
FC : Daniel Gillies
Crédits : [ava+img+sign] self
Thèmes abordés : violence, mort, meurtre, sang, maladie
Infos RP : Osmond // Darla // Wyatt // Nessi // Glenda // Alice // Alas // Dani // Hugh

✧ Indisponible [Full RP]
✧ Rythme régulier [1x par 7-14j]
✧ Longueur variable [300-1000 mots]
✧ Préférence pour [dialogues anglais] si vous êtes à l'aise, sinon tout en français.

Misc :
reminiscience
Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 37hwdacj_o
cr. ellaenys

Staff : FONDA
BIENVENUE OFFICIELLEMENT
Félicitations, tu es validé.e ! Mais cette poésie à travers la fiche ? Je m'y attendais pas, même si je connais déjà ta plume tu m'en vois encore époustouflée Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 139611567 J'ai adoré découvrir ton Leon à travers son histoire hyper complète, et le moment plein de feels avec la mort de Wolfie roh Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3917839045 J'sens que t'as mis tout ton coeur dans cette fiche ticoeur Allez vas donc t'amuser pendant qu'on sort le popcorn et les mouchoirs  Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 2243471627 Quoi faire maintenant ? Maintenant que les portes de Spring of Power te sont grandes ouvertes, tu es libre d'aller t'amuser ! Voici nos recommandations pour faire tes premiers pas et bien t'installer :

○ Tu peux ajouter ton personnage au répertoire pour obtenir davantage de visibilité. Parcourir le répertoire te permettra aussi d'avoir une vision d'ensemble sur la population du forum !

○ Tu peux également créer ton carnet de bord et visiter ceux des autres afin de trouver des idées de liens intéressants. Le carnet de bord sert à la fois de fiche de liens, fiche de RPs, moodboard et autres.

○ Ton personnage est fan des réseaux sociaux ? N'hésite pas à lui créer un profil sur l'ARGO Space, qui est un peu comme l'Instagram de Spring of Power !  

○ Tu as également la possibilité de rejoindre le groupe argossip pour recevoir une notification lorsque des rumeurs croustillantes sont postées sur le forum. Il te suffit de faire une demande d'adhésion !

○ Ton personnage attend d'autres personnages liés à son histoire ? Tu peux dès maintenant créer un scénario ou proposer des pré-liens.

○ Si tu as :
— Ajouté ton personnage au répertoire comme suggéré plus haut
Pris un poste vacant, scénario ou pré-lien affiché
— Été référé.e par un.e autre membre ;  
Tu peux déjà réclamer de l'argent qui te permettra d'acheter des articles à la boutique !

○ Enfin, si tu es prêt.e à te lancer pleinement dans l'aventure SoP, nous te souhaitons de bons RPs Leon • Money can't buy you happiness but it can rent you paradise. 3865144472 Et si tu as besoin de te détendre autrement, la salle d'arcade t'est ouverte pour jouer ou discuter !

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