L'atelier du Père Noël [MI-CODE]

18/11/2022

L'atelier du Père Noël
ft. @Blair Redfield @Dani Duarte
@Ezekiel Moriarty @Robin White (as code)

Les connaisseur·ses ont tous·tes entendu·es parler d'August le collectionneur. Vieil homme à la voix portante et aux passions perdues dans le passé, plusieurs sont porté·es à l'appeler le Père Noël de l'Underapple. Bien avant la chute de New York City, l'homme était connu pour réparer et collecter les jouets venant de diverses époques. L'effondrement de la ville ne l'a pas arrêté ; plusieurs lui doivent le bonheur de leurs enfants lors des jours sombres suite aux terribles événements, l'homme donnant des jeux aux enfants ne possédant plus grand chose. Aujourd'hui, l'entrepot qu'il possède est un peu plus calme, moins fréquenté. Il faut dire que l'homme n'est pas intéressé par les nouveaux jouets que l'on peut trouver sur le marché et ceux qu'August affectionne n'ont plus la popularité d'autrefois.
Certaines rumeurs courent dans les rues, aussi ; on dit que l'homme s'est égaré, que la solitude a eu raison de lui. Les jouets prenant la poussière ont été altérés, changés. Est-ce la vérité ? Personne ne sait. Après tout, rares sont celleux qui rendent visite à l'homme, qui s'aventurent dans l'entrepot malmené par les années. Malgré tout, le souvenir nostalgique reste. Les douces histoires au sujet de l'homme circulent autant que celles plus sombres que l'on peut entendre depuis quelques années. Alors pourquoi ne pas y faire un tour ? Sait-on jamais ce que l'on peut découvrir dans un établissement renfermant autant d'objets associés au passé.
Pour se rendre sur les lieux, rien de plus simple ; comment ne pas voir cet entrepôt au milieu des immeubles résidentielles de Queen Brook'. À l'avant, les portes ne sont jamais verrouillées, bien que fortement bruyantes. Il suffit de faire quelques pas pour voir les premiers jouets appartenant au passé, tous placés sur de hautes étagères peu sécuritaires. Un arc-en-ciel de Trolls au regard luisant se trouve sur la première étagère tandis que, sur la seconde, des Furby datant de la fin des années 90' de couleurs aussi variées. D'étagères en étagères, les collections sont alignées et fixent les visiteur·ses au travers de la poussière les recouvrant.

Les tw à éviter.

✧ Sexe explicite, Racisme, Lgbtphobie, Violences extrêmes (Terrorisme), Violence banalisée, Relations toxiques romantisées. Pas de séjour à l'hopital pour Dani.
A noter également

✧ Merci de prendre en compte les triggers de vos partenaires rps en tout temps.
✧ Le vilain est de bas niveau, débutant. Il s'agit certainement de sa première infraction de la sorte.
✧ Tout autant, la présence du vilain n'en fait pas une opportunité pour la violence gratuite. Affronter le vilain en usant de la violence n'est pas le but de ces mini-intrigues. Celles-ci sont faites pour être cocasses et amusantes. Il n'est pas question de jouer les supers héros.
✧ Le rp se découle en décembre 2025, peu de temps avant Noël. Les bugs associés à Code ont donc été signalés et gérés par Theseus.
✧ Les réponses courtes sont à favoriser.
✧ Pour aider la personne interprétant le vilain mais aussi les MJ, merci de mettre un résumé court à la fin de chaque réponse.

17/12/2022

L'ATELIER
DU
PÈRE
NOËL /

When And you're miles and miles From your nice warm bed, You just remember what your old pal said "You've got a friend in me" (Randy Newman)

(icons. muxisium)

Queen Brook’. Deuxième arrêt de métro. Moment de descendre. Expédition aux allures d’aventure. Jamais un seul orteil n’a été posé dans le coin. Pas faute d’avoir des proches qui vivent ici. Aucun n’a souhaité l’inviter ni même la faire venir. Retrouvailles toujours réalisées à la lumière du jour. Mais les choses changent. Projet de venir plus souvent dans l’Underapple, d’apporter un peu d’aide, de trouver un sens à l’existence. Aujourd’hui n’est qu’un repérage. Une manière de se familiariser avec les lieux. Seule. Pas l’idée du siècle. Elle aurait dû demander à Archie ou à Lewis de l’accompagner. Cela aurait été plus sage. Malheureusement, la sagesse n’est pas ce qui la caractérise, faut bien l’avouer. Alors, faut pas s'étonner de la voir marcher dans le quartier comme si elle était une touriste dans une nouvelle ville, à observer le décor alentour, sans même s’inquiéter pour sa sécurité. Est-ce qu’elle trouve judicieux de pousser les portes d’un entrepôt vieillissant ? Bien sûr ! D’ailleurs, en âge d’entrepôt, celui-ci doit avoir au moins quatre-vingt dix ans. Et depuis quand se méfie-t-on des personnes âgées ? Jamais ! Pour une simple raison : il doit passer son temps à regarder des émissions de TV un peu nulles et à chercher son dentier. Si tant est que l’entrepôt soit capable de faire ça. M’étonnerait.

Après le bruit métallique infernal de l’ouverture des portes, Dani fait un pas timide à l’intérieur. “Bonjour ?! Y a quelqu’un ?” Probablement qu’elle s’attend à voir le propriétaire des lieux débarquer en peignoir, une tasse de café dans la main, à râler. Elle attend. Dix secondes. Vingt secondes. Bon, rien. C’est qu’elle peut s’aventurer dans les lieux, n’est-ce pas ? Dani s’approche des rangées de jouets, alignés sur les étagères. Tant d’yeux qui semblent l’observer dans sa progression. “Méga glauque…” qu’elle marmonne. Mais là, au milieu de l'étalage, elle repère Buzz l’Éclair. Enfin, sa version figurine parlante. Elle pense immédiatement à son petit frère. Il l’adorait. Elle la prend, appuie sur le bouton qui, dans ses souvenirs, laisse entendre la phrase mythique de Buzz. Et ça ne manque pas. “Je suis Buzz l’Éclair ! Allez, nous avons une galaxie à sauver ! Vers l'infini et au-delà !” Un sourire nostalgique se dessine.

“Je suis Buzz l’Éclair !” On le sait déjà ça, merci. Pas besoin de le répéter. Pourquoi tu répètes, d'ailleurs ? Il est où le bouton d'arrêt ? “Allez, nous avons une galaxie à sauver !” Non, absolument pas. À la limite, une mamie à aider à traverser la route, mais c'est tout. Il ne veut pas se taire, bordel ? “Chuuuut !” “Vers l’infini et au-delà !” Non, non plus. “Je suis Buzz l’Éclair ! Allez, nous avons une galaxie à sauver !” “Mais arrête-toiiii !” Même la tête retournée vers le bas, il continue de répéter. “Je suis Buzz l’Éc...” Aaaah, voilà, comment il s’arrête. Le bouton est sous sa… hanche en plastique. Dani repose la figurine à sa place, sur l’étagère. Comme si de rien n’était. Palpitant battant la chamade. Pas près de se remettre de ce qu’il vient de se passer. Elle s’éclaircit la gorge et s’éloigne de la scène de crime, les mains jointes dans le dos. Un air parfaitement innocent sur le visage et l’air de chantonner un “lalalalilouuuu je n’ai rien faiiiiiit, ce n'est pas moiiii”.

@Blair Redfield @Ezekiel Moriarty @Robin White

Résumé:

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HAUNTED
BY THE
GHOST
OF YOU /

Take me back to the night we met. And then I can tell myself Not to ride along with you.

13/11/2023

L'ATELIER DU PÈRE NOËL
@blair redfield @dani duarte @ezekiel moriarty @robin white

Quelle sale morveuse. Elle peut pas aimer des trucs normaux à acheter sur internet, et livrés en un jour ouvrable. Non, faut qu'elle se passionne pour des vieux jouets débiles et évidemment introuvables. Au moins sa mère pourra jamais se permettre de trop dépenser pour ces machins de collections. Quand j'arriverai le jour de noël (ou la veille ? faut que je vérifie) avec cinq paquets, je serai définitivement la meilleure tante. Sa mère sera furieuse mais pourra rien dire. Parfait. Seulement ça c'est le futur, là j'suis obligée d'aller dans l'Underapple, beurk, et en plus de rater mon cours de yoga. Si Jasmine-de-la-salle-de-gym devient plus souple que moi à cause de ça, j'vais péter un câble. Et y'a eu le métro aussi ?! Quelle sale invention ça, encore. Pourquoi on peut pas rejoindre les souterrains à vélo ? J'refuse bien sûr de garder une carte d'abonnement sur moi, rien que l'idée de l'avoir dans le porte-monnaie, au milieu de toutes mes cartes de membre vip pour tous les endroits qui le méritent, ça me fout des sueurs froides. Alors j'dois frauder, ou pire, en faire imprimer une nouvelle chaque fois que je veux descendre, avec les bornes qui fonctionnent jamais assez bien. Si encore fallait s'infliger tout ça pour une bonne raison, mais non, la finalité c'est arriver dans l'Underapple. Probablement le seul endroit au monde pire que le métro qui y mène. Urgh pourquoi j'ai pas juste envoyé mon assistant ? Probablement parce que j'peux pas lui faire confiance avec de l'argent. Et encore moins pour du bon goût.

J'arrive enfin devant l'entrepôt et au début ça vend pas du rêve. Quand on m'a filé le contact, on m'a bien dit que y'avait pas mieux, le top du top pour ce qui est vieilleries inutiles, de quoi s'enterrer vivant sous des tonnes de jouets d'collection. Mais là ça ressemble à n'importe quelle ruine du vieux new-york. Et, ok, j'ai déjà passé de très bonnes soirées dans des lieux similaires, les pauvres ils savent s'amuser on leur enlèvera pas ça, mais c'pas ce que je cherche aujourd'hui. Aujourd'hui il me faut une dizaine de Pokémon, en peluche ou en figurine. Est-ce que les parents ont toujours ma gameboy ? J'avais battu la ligue j'crois, avec Grotadmorv. J'me souviens plus de son surnom. Elle voudrait peut-être ça comme cadeau, la nièce, si les conneries retro c'est son délire.

Dans l'doute j'vais quand même lui prendre quelques joujoux de collection, à tous les coups ma sœur a vendu la gameboy y'a des années de toute façon. Bon, cool, y'a des étagères remplies, on m'a pas menti. Mais du coup j'vais devoir fouiller partout. Quelle galère. Non ! Sauvée, y'a une autre personne. Employée ou cliente, j'vais croiser les doigts pour qu'elle connaisse les lieux et l'embrigader. J'm'amuse à la regarder un moment, se battre avec son Buzz, galérer avant de vaincre, et batifoler innocemment dans une autre direction "Excusez-moi, bonjour" Que j'lui balance avec mon meilleur sourire, en surgissant à ses côtés. Le meilleur moyen d'se faire aider de quelqu'un, c'est de le.a surprendre, ne pas lui laisser la possibilité de réfléchir et refuser. "Est-ce que vous savez à qui je peux m'adresser pour m'y retrouver ici ?" P'tite question normale, parce qu'elle a effectivement l'air d'être seule dans l'bâtiment. "Ou mieux, si vous savez où je peux trouver des Pokémons, des Digimons, ou n'importe quel monstre similaire..."

résumé:

26/01/2023

De la catastrophe, Sam n'a pu sauver aucun jouet hormis une poupée qu'elle tenait dans la main. Alors sa fille lui répète sans cesse qu'elle donnerait n'importe quoi pour tenir son Furby à nouveau dans les bras ou revoir sa Barbie, juste pour se reconnecter à cet enfant intérieur qui n'a pas très bien vécu qu'on explose son immeuble. Parce qu'entre Barbie et Les Bratz, elle avait choisi son camp et elle lui a bien fait comprendre. La sortie du film a réveillé cette passion enterré. Mais attention, ce n'est pas n'importe lequel de modèle, elle a une idée bien en tête. Elle veut un modèle des années 90, celui avec lequel elle a grandit, que sa propre mère lui a acheté parce que ça lui rappelait sa jeunesse.
Zeke aurait pu la commander sur internet, mais un de ses clients lui a fait part de sa découverte qui remonte à quelques années, un entrepôt et un vieil homme qui y vend des jouets d'époque. Il serait toujours en activité. Aimant les circuits courts, Ezekiel n'a pas hésité une seule seconde. Plutôt de que de nourrir le compte en banque d'un revendeur évadé fiscal, il préfère encore aller dans l'Underapple au plus près d'une population qu'on oublie trop souvent. C'est l'occasion de sortir de ses habitudes.

Il ne craint pas les quartiers sous-terrains, Zeke s'y est déjà rendu à plusieurs reprises pour des distributions alimentaires ou pour donner un coup de main. L'Underapple est un endroit qui regorge inventivité. Les gens, pour survivre, se sont adapté à leur environnement et possèdent sans doute plus de ressources que tous ceux qui dépendant désormais des technologies des corporations. Et ça fait du bien de savoir qu'il y a un endroit où tout ne leur est pas permit. Un deuxième bon point. Ne reste plus qu'à espérer que ce vieil homme possède dans ses étalages ce qu'il vient chercher.

L'entrepôt n'est pas accueillant. Ezekiel s'inquiète surtout de n'y voir personne. Pourtant c'est ouvert, tout est en ordre, sous une couche inquiétante de poussière. Soit, il n'est pas facile d'entretenir une telle quantité d'objet si le vieux est seul. Pas de vendeur pour lui sauter dessus et vérifier qu'il ne touche pas à tout et ne dérègle pas un vieux modèle dont la valeur dépasse la centaine de dollars. Pas non plus de vieil excentrique qui a des histoires à revendre. Tout est bien trop calme, hormis le bruit des jouets. Bien sur. Ce qui lui indique qu'il n'est pas le seul client, c'est déjà ça. (Sauf si les lieux sont hantés). Il se dirige d'un pas raisonné vers les deux seules âmes vivantes de la boutique lorsqu'il remonte jusqu'au bruit. « Bonjour mesdames, j'espère que je ne dérange pas. Immédiatement il essaye d'adopter une attitude chaleureuse et nonchalante pour leur faire comprendre qu'il ne veux pas leur faire les poches et qu'il n'est pas non plus de la boutique. Vous n'avez pas vu le vendeur ? Parce que moi aussi je cherche quelque chose et je n'ai pas toute la journée. Heureusement qu'on ne lui demande pas de noter le service client - il ne se permettrait pas. On pourrait peut-être s'entraider en attendant qu'une âme charitable vienne à notre secours... Il y en a... un peu partout. » Ah ça, des jouets ça ne me manque pas. Il a vu toute une section avec un cheval à bascule qui lui rappelle sa propre enfance. Il y a vintage et vintage.

Spoiler:

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the knight Fell for you quicker than I could catch myself and I'm holdin' on to all of my doubts and I'm afraid to let you in Yeah, I don't wanna fall again, yeah

28/12/2022

Nom et surnom(s) : Il s'appelle Coby. Pas Cody; Coby ! Se faire appeler de la sorte le met particulièrement en colère. Est-il fautif ? Certainement pas ! L'alias Code qu'il revête ne sème certainement pas le doute quant à son prénom. Âge : Quarante-cinq ans Occupation : Officiellement, Coby possède un emploi très important chez Theseus Corp associé au Metaworld. Officieusement ? Il a été renvoyé il y a environ quatre mois maintenant de son emploi de concierge chez Theseus Corp et il répare des téléphones dans un centre commercial.Mutations: Code Déchirure : Déchirure un : Virus Vivant
niveau 1 : Capacité de créer un code simple et de lui donner un semblant de conscience. Le code est affamé, dévore les autres - codes simples - et les transforme comme lui pour se doubler.
niveau 2 : Le code peut dévorer des codes plus complexes.
niveau 3 : Le code dévore et transforme des codes encore plus complexes encore.
Limites : Un contact et un temps de contact est nécessaire pour la contamination. Plus le code est gros et complexe, et plus il est long et épuisant pour le corrompre. Fiche : Lien vers ma fiche

Crédits : fern

L'atelier du Père Noël
TW : aucun

Perdre une bataille ne veut pas dire perdre la guerre. Oh ça, non. Coby le sait parfaitement ; c’est une chose que le mutant répète en boucle depuis que la surface n’est plus un lieu sécuritaire pour lui et qu’il doit se terrer ici, avec les rats. Quelle honte ; sa mère lui dirait certainement qu’il est tombé bien bas. Mais l’est-il vraiment, bas ? L’est-il ? Oh non, certainement pas. Une bataille de perdue - deux, mais qui compte ? - mais la guerre, elle est encore là. Le combat de Coby n’est pas terminé, loin de là.
August est un homme bon ; trop bon. Trop vieux aussi ; les os n’aiment pas l’humidité de l’Underapple et il a besoin d’un assistant. Et comment refuser un travail à ce pauvre Coby, souriant et toutes ses dents, si passionné par les jouets, lui aussi ? La chose a été facile, si simple ; comme voler le goûter d’un bambin, vraiment ! Qui a dit qu’il n’était qu’un raté ? Tous des menteurs, clairement. Coby est fait pour la gloire, pour la grandeur, et peut-être a-t-il raté son coup par le passé car sa faim était trop grande, mais il apprend de ses erreurs. Un pas à la fois, comme on dit.
On commence en bas, et on monte progressivement. On gravit les échelons.
De toute manière, ici, Coby est dans son royaume. Les codes sont simples et légers, si doux à corrompre. Il peut sentir son virus, ses virus chéris se glisser partout dans chacun des jouets, un peu plus chaque jour. Ses rêves sont d’une douceur couleur, portent une saveur de vengeance si tendre et une bande sonore faite par le meilleur orchestre du monde. La nuit avant de dormir, Coby imagine le film qui sera fait à son nom. L’oscar que l’acteur jouant son rôle aura. Les documentaires ! Les fans !
Les femmes.
Rêvassant derrière une étagère accueillant une quantité impressionnante de Jolly Chimp, Coby sursaute brusquement à entendre un bruit émanant de Buzz l’Éclair. Le pauvre vilain met un temps pour calmer son coeur, non sans lancer un regard assassin autour de lui pour s’assurer que personne n’a vu sa pitoyable réaction. S’emparant de son carnet d’inventaire, il serpente collé aux étagères vers les voix, dévisageant les trois clients.
Enfin. Le lieu est si vide, tant abandonné. Le vieil homme n’entretient plus rien, il faut dire. Coby est si - si heureux de voir enfin des gens. Après tout, Noël approche et il est temps de décider qui a été sage ou non, cette année.
Et cette fois-ci, il est vraiment prêt.
Et ses enfants chéris le sont aussi, que Coby se dit, tandis que de sa mutation, il éveille quelques petites terreurs.

Résumé:

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gangster of love

I'm a joker I'm a smoker I'm a midnight toker I sure don't want to hurt no one
I'm a picker I'm a grinner I'm a lover And I'm a sinner I play my music in the sun

18/11/2022

êtes-vous attentif·ves ?
✧ Un oeil attentif pourrait remarquer des jouets étranges commençant à prendre vie. Désireux·se de savoir ce que votre personnage a aperçu ? Il suffit de lancer le dé à 20 faces dans ce sujet avant de répondre pour le découvrir.

Les résultats sont ceux-ci :
1 à 4 : Votre personnage a peur du noir ? N'ayez crainte. August possède une collection impressionnante de chenilles lumineuses ! Sous les lumières presque moindres de l'endroit, les visages illuminés des peluches réconfortantes ne sont pas très mignons.
5 à 7 : Dans le royaume des Furby, certains vieux modèles semblent cligner des yeux. Si votre personnage porte attention, iel peut voir les yeux des plus récents luirent dans l'obscurité, brillant les uns après les autres.
8 à 11 : Qui dit que Code doit attendre la réalisation d'un film à son honneur pour qu'un Orchestre s'occupe de la musique ? Non, personne. Les Jolly Chimp peuvent parfaitement s'en occuper ! Posés sur une étagère plus loin dans l'entrepot, les singes usent de leurs cymbales usés pour créer une mélodie aussi dérangeante qu'angoissante.
12 à 15 : Buzz L'Éclair est éteint ? Non, certainement pas. Face à l'ennemi, il ne recule pas ! Attention, le ranger de l'espace a décrété que votre personnage est un intrus et passe à l'attaque.
16 : Votre personnage ne perçoit rien de particulier.
17 à 19 : Qui se souvient des poupées volantes ? Des Sky dancers et leurs vols ~~ratés~~ ? Que votre personnage s'en souvienne ou non, attention ! Iel risque de s'en prendre une à la tête. Ou plusieurs ? À vous de voir.
20 : Hypervigilance ? Peut-être bien. Votre personnage a conscience de tout ces faits étranges.

Et surtout, bonne chance !

17/12/2022

L'ATELIER
DU
PÈRE
NOËL /

When And you're miles and miles From your nice warm bed, You just remember what your old pal said "You've got a friend in me" (Randy Newman)

(icons. muxisium)

Résultat : 12 à 15 - Buzz L'Éclair est éteint ? Non, certainement pas. Face à l'ennemi, il ne recule pas ! Attention, le ranger de l'espace a décrété que votre personnage est un intrus et passe à l'attaque.

Innocence, on a dit. C’est limite si elle n’a pas le pas sautillant. Et si elle ne fait pas une attaque, en voyant une femme surgir à ses côtés. Ça ne va pas de faire ça, bordel de crotte de chien ! “J’ai eu la peur de ma vie, refaites plus jamais ça !” Le ton est légèrement agressif, encore sous le choc de la surprise. Et en même temps, Dani a le droit d’être sèche. Toute personne dotée de bonnes intentions s’annoncerait avant de débarquer de la sorte. Cette femme doit donc être animée par des desseins diaboliques. Ça se tient… enfin, sauf si l’inconnue voulait juste un renseignement. Mouais. Bien rattrapé, cela dit. Une bonne manière de cacher ses vils objectifs. “Je suis désolée, je viens d’arriver… mais ils doivent être quelque part… par-là !” Elle désigne une zone très très très vague de sa main dans une direction au hasard. Mais elle a cet air enthousiaste, ce ton très assuré qui ferait presque penser qu’elle sait de quoi elle parle et qu’elle est utile.

La preuve, une autre personne débarque pour demander des renseignements. Qu’on l’emploie, par pitié. Elle est bien plus utile ici que dans sa boutique de vinyles. “Bonjour mesdames, j'espère que je ne dérange pas.” “Bonjour !” qu’elle lâche en retour. Mais non, il ne dérange pas, voyons ! C’est justement le point de rencontre des clients perdus. Il n’y a que Dani qui n’a rien à faire là. Juste bonne à secouer la tête quand il demande s’ils ont vu un quelconque employé. Que dalle. Oh, y a un truc qui bouge derrière lui, dans les rayons. Dani décroche de ce qu’il raconte, se concentre sur ce mouvement dans les étagères. Les yeux plissés, elle ne comprend pas ce qu’elle voit. Un point blanc et vert qui se rapproche. “Je…” Hein ? Attendez… Buzz l’Éclair ? Elle savait qu’elle n’aurait pas dû sauter le repas. Un repas sans manger une pizza et la voilà en train d’halluciner. Les yeux de plus en plus ouverts à mesure qu’il se déplace. “... vous voyez ce que je vois ?” Il prend leur direction. Il n’y aucun doute là-dessus, il court avec ses petites jambes, saute par-dessus les jouets, embarque dans une voiture minuscule qui le fait rouler jusqu’à eux. Il en saute pour braquer sur Dani son laser rouge. Enfin, son ampoule rouge qui éclaire autant qu’une luciole dans la nuit. Elle est bête parce qu’elle se rapproche. Si près qu’elle a presque le nez collé à Buzz. Autour de lui, il s’est enroulé une guirlande lumineuse. Drôle d’attirail, mais pourquoi pas ?

Sûrement qu’il est vexé et rancunier et qu'il entend ses pensées parce qu’il lui assène une pichenette sur le bout dudit nez. “AÏE !” Dani se recule d’un pas, porte sa main à son nez traumatisé. Il lui a fait mal, le petit merdeux, là ! Elle pensait que Buzz était son ami, tu parles. Manière, elle a toujours préféré Woody ! Non, promis, Buzzy, Buzzouille, Bouzzounet, c’était pour rire… trop tard ! Le voilà qu’il saute de l’étagère et atterrit dans les cheveux de Dani. Elle fait un pas de côté, bouscule la personne la plus proche. “Au secouuuurs ! AIDEZ-MOI !” Et le ranger de l’espace de descendre et de commencer à dérouler sa guirlande autour de Dani, l’empêchant bientôt de bouger les bras. Malheur ! Si ça continue comme ça, on va bientôt avoir un rôti humain hurlant et gigotant. Dani le rôti pour vous servir.

@Blair Redfield @Ezekiel Moriarty @Robin White

Résumé:

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HAUNTED
BY THE
GHOST
OF YOU /

Take me back to the night we met. And then I can tell myself Not to ride along with you.

13/11/2023

L'ATELIER DU PÈRE NOËL
@blair redfield @dani duarte @ezekiel moriarty @robin white

Résultat : 12 à 15 - Buzz L'Éclair est éteint ? Non, certainement pas. Face à l'ennemi, il ne recule pas ! Attention, le ranger de l'espace a décrété que votre personnage est un intrus et passe à l'attaque.

“J’ai eu la peur de ma vie, refaites plus jamais ça !” Ne plus jamais refaire ça ? Mais enfin, j'arriverai jamais à réaliser mes desseins diaboliques si j'emploie pas ce genre de méthodes. Non, ça marche super, d'ailleurs elle s'empresse de m'indiquer une direction. Et si elle a quand même pas mal l'air d'inventer une information de toute pièce pour se débarrasser de moi, ouais bien sûr, ils sont dans les environs de par-là-bas, tant pis. Au moins ça aura permis de rameuter un autre type à la recherche de renseignements. Il propose une alliance pour arriver à nos fins. Ok, tant que ça facilite la réalisation de mes vils objectifs (passer pour une meilleure adulte que ma sœur auprès de sa fille), ça m'va. Tout le lycée j'ai été la seule qui bossait pendant les travaux de groupe, ça va être super de passer de l'autre côté, regarder ces deux là trouver pour moi. Enfin j'me venge, Annie-du-cours-de-chimie, tu dois moins t'marrer maintenant que t'es probablement forcée de bosser dans une entreprise pourrie ou d'élever des enfants détestables. J'me d'mande ce qu'iels deviennent, tous ces gens du lycée, assurément iels ont des vies moins cools que la mienne, ça fait plaisir. Peut-être que j'devrais organiser une réunion d'anciens élèves histoire de bien narguer tout le monde. Non la flemme, faudrait envoyer des mails et tout. Galère. Merde, c'est pas le moment, j'ai pas bien suivi ce qu'il disait l'amateur de joujoux. Alors que j'reviens à la réalité, je compte sur la meuf pour lui répondre quelque chose, mais elle a l'air tout aussi ailleurs. Qu'est-ce qu'elle regarde fixement ? J'espère qu'elle a pas trouvé c'qu'elle cherche, qu'on m'enlève pas ma main d'œuvre.

“... vous voyez ce que je vois ?” Non et si c'est pas un pokémon rare, j'en ai rien à faire. Elle est bizarre d'un coup, qu'est-ce qu'il lui arrive ? Fini l'air enthousiaste, le ton enjoué d'employée heureuse, que je qualifierais personnellement d'insupportable mais on me demande pas mon avis. Elle s'éloigne, les yeux fixés, et y'a effectivement du mouvement maintenant que j'fais attention. J'regarde à temps pour la voir se prendre une pichenette du légendaire héros spatial. Et, tel son homonyme bondissant pour la première fois sur la lune, saute pour atterrir sur sa tête. Ouais, nan. Je vais lui prendre une carte cadeau amazon à la nièce, les jouets possédés démoniaques, c'est bof. "Finalement je vais y aller, faut pas que je rate le métro. Bon courage à vous". J'me retourne aussitôt, en essayant d'ignorer totalement l'autre qui se débat maintenant bruyamment. Et j'tombe nez à nez, enfin non, ils atteignent même pas mes genoux mais cheville à nez ça sonne pas super, avec deux autres Buzz. Ils ont copié leur confrère, armés de guirlandes et profitent de la surprise pour me bousculer. Pendant qu'le premier me pousse en arrière, le deuxième s'active pour m'enrouler les jambes à... Oh non. M'enrouler les jambes à celles de l'autre victime de l'Éclair. "Heu, au secours, aidez-moi aussi." Je veux pas finir comme ça, vaincue par des jouets en portant une guirlande aussi moche et attachée à une inconnue. Aucun prestige.

résumé:

26/01/2023

Résultat Qui dit que Code doit attendre la réalisation d'un film à son honneur pour qu'un Orchestre s'occupe de la musique ? Non, personne. Les Jolly Chimp peuvent parfaitement s'en occuper ! Posés sur une étagère plus loin dans l’entrepôt, les singes usent de leurs cymbales usés pour créer une mélodie aussi dérangeante qu'angoissante.
Oui. Ezekiel le voit de ses propres yeux, Buzz l'éclair animé d'une volonté propre, bien déterminé à réparer l'affront qu'une jeune demoiselle aurait commit à son égard en essayant de le forcer au silence. Tout ça à l'air ridicule et tout droit sorti d'une très mauvaise creepypasta sur internet, et pourtant ! C'est bien réel. Penaud, Zeke assiste sans rien pouvoir faire à l'arrestation de la dangereuse criminelle venue faire ses emplettes. « Je préférais quand Toy Story était un film... » Qu'il marmonne dans sa barbe. C'est quoi cette histoire ?

Zeke n'a pas le temps de retenir la deuxième personne qui s’apprête à tourner les talons sans même leur venir en aide. Buzz l'a dans son collimateur lui aussi. Ezekiel recule de la scène, n'ayant pas envie de terminer saucissonné à son tour. Il aurait bien du mal à secourir qui que ce soit. « Finalement, peut-être que je devrais filer aussi. Il croise les bras sur sa poitrine d'un air accusateur, ne pouvant s'empêcher de lancer une petite pique à la lâche. Je vais vous aider ! Et il ne manque pas de bravoure. Il y croit, lorsqu'il parvient à faire reculer les deux premiers Buzz survoltés. Ezekiel attrape le corps en plastique du premier Buzz L'Eclair, à la recherche d'un moyen de le mettre hors de marche, quand le jouet lui balance son poing dans la figure. En plein nez. Son seul réflexe est de fermer les yeux pour se protéger. La figurine du jouet lui balance un deuxième poing dans le visage ce qui le force à reculer. A son tour, Ezekiel bascule et chute sur les fesses.
Tout compte fait, pas certain qu'il ramène un de ces maudits jouets à Sam.

Un coup de pied bien placé ne fait que valdinguer le jouet quelques mètres plus loin. Un avertissement pour ses confrères... ou une déclaration de guerre. Il tablera sur le sujet plus tard. Une cacophonie emplit l’entrepôt. Les maudits singes musicaux. Deux choses que Ezekiel déteste. Les animatroniques et les jouets qui font de la musique. Mais qui voudrait acheter cette chose horrible, même neuve ? Chaque son est différent en fonction de l'usure et le tableau général qui rappelle ces films d'horreurs clichés qu'un ex appréciait tant. Le cauchemar est total. « Oh... Oh ce n'est pas bon signe. C'est qu'ils se moquent de nous en plus ces fichus jouets ! » Cette phrase n'a aucun sens. Il lui faut rester calme, pour lui et pour les autres. Parce que la panique générale n'aide en rien et titille les sens exacerbés de sa déchirure.

Spoiler:

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the knight Fell for you quicker than I could catch myself and I'm holdin' on to all of my doubts and I'm afraid to let you in Yeah, I don't wanna fall again, yeah

28/12/2022

Nom et surnom(s) : Il s'appelle Coby. Pas Cody; Coby ! Se faire appeler de la sorte le met particulièrement en colère. Est-il fautif ? Certainement pas ! L'alias Code qu'il revête ne sème certainement pas le doute quant à son prénom. Âge : Quarante-cinq ans Occupation : Officiellement, Coby possède un emploi très important chez Theseus Corp associé au Metaworld. Officieusement ? Il a été renvoyé il y a environ quatre mois maintenant de son emploi de concierge chez Theseus Corp et il répare des téléphones dans un centre commercial.Mutations: Code Déchirure : Déchirure un : Virus Vivant
niveau 1 : Capacité de créer un code simple et de lui donner un semblant de conscience. Le code est affamé, dévore les autres - codes simples - et les transforme comme lui pour se doubler.
niveau 2 : Le code peut dévorer des codes plus complexes.
niveau 3 : Le code dévore et transforme des codes encore plus complexes encore.
Limites : Un contact et un temps de contact est nécessaire pour la contamination. Plus le code est gros et complexe, et plus il est long et épuisant pour le corrompre. Fiche : Lien vers ma fiche

Crédits : fern

L'atelier du Père Noël
TW : aucun

Qu’il est heureux, Coby. Le sourire quitte difficilement ses lèvres, ne cesse de croître. Il jubile, oui, à observer ces intrus - les siens, d’intrus !! - se faire attaquer par les jouets qu’il chérit, entraîne et forme depuis des jours. Son dur labeur est récompensé ; son armée mécanique peut enfin terrasser l’ennemi. Est-il fier ? Oh, il l’est pour l’heure. Coby a l’impression d’être un père admirant ses enfants au spectacle de l’école, mais iels sont doués, les siens ! De bons enfants, oui ! Si dévoués pour leur papa chéri ! Il pourrait presque en verser une larme, mais là n’est pas le temps pour les sentiments.
Code a une mission, et il ne doit pas se laisser déranger par de telles futilités.
Les Buzz l’éclair sont de bons rangers ; déterminés à emprisonner ces intrus, ils ne reculent pas devant les coups donnés et la grandeur des opposants. Une volonté de fer, vraiment !
Les singes, par contre. Coby se passerait bien de ces singes. Ses oreilles sont malmenées par la cohue qui résonne dans le bâtiment. Une forte grimace sur les lèvres, l’homme s’approche encore plus de ces gens. Il a ce désir en lui ; celui de se dévoiler. De se montrer. Après tout, il n’a pas eu une telle chance par le passé. Ses deux attaques ne lui ont pas permis de faire les présentations, de parler de sa rage et de ses motivations.
Armés de guirlandes, les Buzz semblent bien déterminés à emprisonner chaque personne présente. Les liens semblent solides. Même l’homme, plus vigoureux, est maintenant pris au piège par un autre Buzz, plus massif. Le jouet fait près d’un demi mètre et possède toute la volonté du monde.
Autour, les singes semblent s’harmoniser sur un rythme constant. Un hymne ; la sienne ! Coby peut le sentir dans ses veines, oui. Il s’agit de son heure de gloire. Son moment, enfin ! Son entrée en scène !
D’un geste nerveux, Coby passe à plusieurs reprises ses mains contre sa chemise usée avant d’inspirer fortement. Il s’agit de son heure de gloire, oui. Il est prêt, enfin. Combien de fois a-t-il répété un discours devant le miroir ? Trop souvent. Il sait ce qu’il doit dire.
Une dernière inspiration, et le voilà parti ; c’est d’un pas nerveux que l’homme fait son apparition entre les rangées, mains reliées entre elles. Inconsciemment, il joue avec la peau morte le long de ses ongles. La tête enfoncée entre les épaules, Coby est persuadé d’avoir la démarche mais aussi l’entrée d’un supervilain.
- Me voici ! Mais on ne l’entend pas. Sous le bruit des cymbales, on n’entend rien de sa voix. Coby leur lance un regard haineux, et tente de nouveau : Me voilà ! Rien, encore. Le mouvement théâtral de ses bras est ridicule. La colère finit par avoir raison de lui. Silence ! , qu’il dicte de vive voix, et le bruit cesse. La mélodie agressive prend fin, ne laissant que le bruit émanant des Buzz Éclair transformés en cowboy et de leurs victimes. Fier, il sourit de plus belle. Bravo, mes fidèles petits. Le Grand Code est très fier de vous. Je suis - Un dernier coup de cymbale, coupant son élan. Coby s’arrête, interdit. Rage et gêne ont raison de lui.

Résumé:

êtes-vous capable de vous libérer ?
✧ Les Buzz l'éclair sont bien forts. Les guirlandes ont eu raison de votre personnage pour le moment. Sera-t-iel capable de s'en libérer ? Il suffit de lancer le dé pile ou face dans ce sujet avant de répondre pour le découvrir.

Les résultats sont ceux-ci :
Pile : Les liens ne sont pas assez solides. Votre personnage parvient à se défaire d'un tel piège lumineux.
Face : Les liens sont bien solides autour de votre personnage. Il lui faudra trouver une autre idée. Heureusement, ses jambes sont relativement dégagées.

Et surtout, bonne chance !

━━━━━━━━━ ✧ ━━━━━━━━━

gangster of love

I'm a joker I'm a smoker I'm a midnight toker I sure don't want to hurt no one
I'm a picker I'm a grinner I'm a lover And I'm a sinner I play my music in the sun

17/12/2022

L'ATELIER
DU
PÈRE
NOËL /

When And you're miles and miles From your nice warm bed, You just remember what your old pal said "You've got a friend in me" (Randy Newman)

(icons. muxisium)

Résultat : PILE - Les liens ne sont pas assez solides. Votre personnage parvient à se défaire d'un tel piège lumineux.

La peur de sa vie, ce n’est finalement pas la cliente qui débarque et la fait sursauter.
La peur de sa vie, c’est être enguirlandée par un Buzz l’Éclair.
Quand on est face à son Destin, il y a bien des choses qu’on remet en question. D’un coup, que Cory ait fini le pot de pâte à tartiner ou que Pirate ait déchiré tous ses mouchoirs ne sont que des futilités.
Maintenant, tout ce qui compte, c’est de survivre. Apparemment, pour survivre, faut compter sur soi-même parce qu’entre la cliente qui décide de fuir et l’autre qui trouve ça opportun de clasher sa voisine de guirlande, Dani n’est pas aidée. Ça doit être une leçon de vie, genre “ne jamais attendre sur quelqu’un pour s’en sortir”. Et ça se vérifie ici aujourd’hui. Elle se retrouve le cul par terre (ça fait mal), les jambes emprisonnées. Tente d’écarter les bras, mais rien n’y fait. Reste donc l’homme et son air malin. Qui se décide enfin à bouger. Alléluia. “Bien fait pour sa gueule !” qu’elle lance. Beaucoup trop enthousiaste devant le coup de pied qui envoie valdinguer Buzz. L’enthousiasme est vite douché quand une cacophonie éclate. Coup d'œil paniqué à sa voisine de guirlande. “C’est quoi ?!” Rien de cool. Son instinct le lui hurle. Il lui suffirait de fermer les paupières pour s’imaginer dans un film d’horreur atroce. Bientôt, iels vont voir débarquer un mec avec une tronçonneuse. Et ce sera la fin. Le mec, toujours doué avec son sens des priorités, s’amuse de la situation. Dani déporte son regard sur lui. “AIDEZ-NOUS, BORDEL !” Le calme n’est plus. Le respect, non plus. Pas le temps pour ça.

Enfin, pas de temps non plus pour les libérer. Parce qu’il y a un grand Buzz qui débarque. Depuis quand sont-ils sont fabriqués, ces jouets ? Dani aurait trop adoré en avoir un… quoique. Non. Genre jamais. “Oh putain… on est foutu·e·s.” qu’elle murmure. Avertir l’autre gars qu’il y a un ennemi en approche ? Utilité : zéro. Dani voit déjà sa fin arriver, ça y est. “J’voulais pas mourir tuée par un Buzz, moi. Je venais juste visiter les lieux.” Elle secoue la tête, continue de murmurer ses lamentations. “Ça ne va pas du tout. Ça ne va pas du tout. Ça ne va pas du tout.” Le répéter n’aide pas non plus. En fait, rien n’aide. Le bruit des jouets se transforme en un brouhaha oppressant, atroce. Il rajoute à l’angoisse du moment. Le seul espoir ? Cette personne qui débarque de nulle part, de sa démarche étrange. Beaucoup trop détendue, alors qu’il y a trois personnes en mauvaise posture et martyrisées par des foutus rangers de l’espace. Il parle, je crois. Mais qu’est-ce qu’il dit ? Comprend rien, Dani. Sûrement un truc du genre “ne vous inquiétez pas, je viens vous sauver”. Ou pas.

Elle sursaute quand il ordonne le silence. Elle recommence à paniquer quand il félicite les jouets. Le mec a vraiment des fréquentations discutables. “Ils n’ont pas trop l’air de vous respecter, vos jouets…” Faire la discussion en posant le doigt pile là où ça fait mal, une excellente idée. “Je suis sûre qu’on peut vous trouver des jouets plus dociles, pas vrai ?” Elle se tourne vers les deux autres. À la recherche d’un peu de soutien et de suggestions. Iels doivent bien connaître des figurines ou des jouets cool qui obéiront au doigt et à l'œil, nan ? Dani gigote telle une anguille dans l’eau. Sans qu’elle le réalise, la guirlande commence à être plus lâche. Elle se défait jusqu’à choir lamentablement autour de l’humaine. Dani le capte et crie son émerveillement. “OOOH ! JE SUIS LIBÉRÉE !” TROP BIEN ! Elle peut partir. Enfin, peut-être que le gars n’est pas du même avis. Ni même ses camarades de mauvaise fortune. Ah… attendez. Ce n’était peut-être pas une information à hurler. Elle ouvre de grands yeux en réalisant son erreur et se met en action : se débarrasse de sa guirlande et attrape un pistolet à eau qui traîne là. Elle se place devant ses comparses. Prête à les défendre de toute sa bravoure. “Allez-y, détachez-vous !” Elle les protège. Avec ce qu’elle a sous la main.

@Blair Redfield @Ezekiel Moriarty @Robin White

Résumé:

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HAUNTED
BY THE
GHOST
OF YOU /

Take me back to the night we met. And then I can tell myself Not to ride along with you.

13/11/2023

L'ATELIER DU PÈRE NOËL
@blair redfield @dani duarte @ezekiel moriarty @robin white

Résultat : Les liens sont bien solides autour de votre personnage. Il lui faudra trouver une autre idée. Heureusement, ses jambes sont relativement dégagées.

Entre l'autre qui critique mes prises de décision et celle qui panique de plus en plus, les jouets vont rapidement ne pas être les trucs les plus énervants. Faut se calmer un peu. Qui ne s'est jamais retrouvée attachée par un astronaute avec des cordes fantaisies ? C'est pas ma faute si vos vies sont ennuyantes. “C’est quoi ?!” C'est vrai qu'il y a du boucan d'un coup. J'lève un peu la tête, contrairement à elle j'ai le bon angle pour voir le rayon d'où le bruit semble venir. "Hmm. Des singes ? C'est pas bien sérieux tout ça." Ils tapent sur leurs cymbales avec autant de rythme qu'un orchestre entièrement composé d'enfants en bas âge. C'qui me fait réaliser que tout ça pourrait être encore bien pire. A la places des macaques musiciens, ça pourrait être des gamins. Bien plus terrifiant. “AIDEZ-NOUS, BORDEL !” Et maintenant elle me crie dans les oreilles. C'est pas comme ça que faut se comporter quand on est attachée à quelqu'un, faut savoir être plus distinguée, s'il te plaît. Moi aussi j'essaie de me libérer pour me casser d'ici au plus vite, mais je le fais avec classe. De quoi ? Impossible d'avoir la classe en se débattant par terre face à des jouets ridicules ? J'suis pas d'accord.

Tiens le type se fait avoir à son tour. Ha ! Il se fout de moi et immédiatement se retrouve puni. Bien fait. Même pas besoin de le faire remarquer, voilà à quel point j'suis mature, j'me satisfait personnellement de cette petite victoire, aucun désir de remuer le couteau dans la plaie. Bon et y'a aussi le problème que notre seul espoir se retrouve attrapé aussi. Par un Buzz plus inquiétant que les autres. Légèrement plus inquiétant, ça reste un jouet quoi. La camarade de fortune commence à délirer. C'est rapide quand même. J'dirais qu'il me faudrait au moins une petite heure avant de délirer, perso. Mais tout le monde peut pas être aussi maître de ses émotions, j'le sais bien.

Ah voilà quelqu'un d'autre qui se joint à la fête. Peut-être qu'il sera un peu plus doué. Bon. Il a pas l'air. Déjà d'être de notre côté. Heureusement si c'est l'ennemi, il est pas bien capable non plus. “Je suis sûre qu’on peut vous trouver des jouets plus dociles, pas vrai ?” Pas entièrement con, l'occuper. Elle réfléchit vite finalement, elle remonte dans mon estime. "Complètement. Vous avez pensé à des peluches par exemple ? Ca fait pas de bruit." Qu'est-ce qui ferait plaisir à un dangereux amateur de jouets ? "Ou les soldats en plombs, c'est un classique, et ça doit mieux écouter les ordres." Pendant que je m'efforce de taper la discut', machine réussit enfin à se libérer. Et le crie immédiatement. J'lève les yeux au ciel aussi distinctement que possible. J'ferai un dramatique facepalm si je pouvais, seulement on est attachée, c'est bien le problème !! Elle redescend dans l'estime, j'vais pas vous mentir. "Bravo chérie, maintenant tacle le au moins. Je crois en toi." J'imagine que faut rester positif, ça marchera peut-être mieux. Probablement une de ces jeunes qui a besoin de soutien constant. Au moins la guirlande qui entoure mes jambes a l'air un peu moins resserrée, maintenant qu'elle s'est détachée. J'me déplace vers le premier allié, derrière la protection de l'inconnue et, oh putain elle a ramassé un pistolet à eau. "T'arrives à t'en sortir ?" Que j'adresse au type avec son Buzz taille XL. "Mes bras sont complètement pris, un petit coup de main serait le bienvenue." J'lui lance un grand sourire, histoire de me faire pardonner la tentative d'abandon. C'était y'a des lustres, il va être passé à autre chose, c'est sûr.

résumé:

26/01/2023

Pile : Les liens ne sont pas assez solides. Votre personnage parvient à se défaire d'un tel piège lumineux.

Ezekiel n'aime pas quand on lui crie dessus, surtout quand il essaye justement de faire les choses bien. Il a du mal à prendre la situation au sérieux, persuadé qu'il s'agit d'une farce ou qu'à trois ils parviendront bien à se sortir de ce pétrin. Il préfère ne pas répondre même si son égo lui fait clairement savoir que la prochaine fois, il prendra la poudre d'escampette et sauvera sa peau (évidemment que non). Difficile de vraiment en vouloir à quelqu'un qui panique et dont les paroles sont susceptibles de dépasser la pensé, bien qu'elles trahissent une forme de vérité. Zeke ne leur a été d'aucune aide et les voilà bien avancé... Quelque part, il mérite les reproches qui lui sont fait.

Finalement, le propriétaire de ce raffut se présente et lui offre une lueur d'espoir. Avec un peu de chance, ces précieuses minutes à suivre vont leur sauver la vie. Zeke l’identifie comme le propriétaire des lieux, à défaut de savoir qui il est, étant donné qu'il est capable de mettre fin aux nuisances sonores. Avec plus ou moins d'efficacité et d'autorité. Qui que soit ce type, Zeke n'a pas son temps et l'envie de se montrer charitable lui est passé. Il veut tranquillement retourner dans son café et caresser ses chats qui ne pourront pas verbaliser de reproches à son encontre et va regarder les jouets d'un oeil différent la prochaine fois qu'il ira au magasin.
Les liens qui le maintiennent se desserrent rapidement alors qu'il gigote comme un asticot pour les défaire. Cette journée est humiliante, peut-être qu'il va finir par se réveiller et découvrir que tout n'est qu'un cauchemar.

La jeune femme qui lui faisait des reproches tout à l'heure s'est libéré en premier et entame la conversation, avec une petite pique bien placé qui lui fait grincer les dents. Il n'aurait pas géré la situation comme ça, mais il se voit mal interrompre leur acolyte d'infortune dans son élan de courage. Il va se contenter de faire ce qu'on lui demande c'est bien, ça. Faire confiance. « Ah... Oui. On pourrait lui fournir des jouets de qualité pour un meilleur spectacle. Oui... Même si je pense qu'il faudrait juste changer les piles pour la plupart. Hm... Zeke masque son manque d'entrain flagrant en repliant délicatement la guirlande qui était autour de ses bras et de ses jambes, une fois libéré. Puis il vient en aide de la fuyarde de tout à l'heure, qu'il délivre sans avoir à se faire prier. Finalement, tu avais raison, courir loin de cet endroit c'est tout ce dont j'ai envie. Il chuchote, de peur de froisser l'inconnu qui leur fait face. Zeke se redresse, mais reste derrière. On est peut-être pas obligé d'en arriver là. On pourrait discuter. A l'intention du pistolet à eau pointé en direction de l'ennemi. On a pas bien entendu d'ailleurs. Vous pouvez répéter qui vous êtes ? » Il préfère le rôle du gentil flic, sympathiser avec leur agresseur, trouver sa corde sensible et faire du tango argentin dessus. Histoire de sortir vivant de ce hangar...

Spoiler:

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28/12/2022

Nom et surnom(s) : Il s'appelle Coby. Pas Cody; Coby ! Se faire appeler de la sorte le met particulièrement en colère. Est-il fautif ? Certainement pas ! L'alias Code qu'il revête ne sème certainement pas le doute quant à son prénom. Âge : Quarante-cinq ans Occupation : Officiellement, Coby possède un emploi très important chez Theseus Corp associé au Metaworld. Officieusement ? Il a été renvoyé il y a environ quatre mois maintenant de son emploi de concierge chez Theseus Corp et il répare des téléphones dans un centre commercial.Mutations: Code Déchirure : Déchirure un : Virus Vivant
niveau 1 : Capacité de créer un code simple et de lui donner un semblant de conscience. Le code est affamé, dévore les autres - codes simples - et les transforme comme lui pour se doubler.
niveau 2 : Le code peut dévorer des codes plus complexes.
niveau 3 : Le code dévore et transforme des codes encore plus complexes encore.
Limites : Un contact et un temps de contact est nécessaire pour la contamination. Plus le code est gros et complexe, et plus il est long et épuisant pour le corrompre. Fiche : Lien vers ma fiche

Crédits : fern

L'atelier du Père Noël
TW : aucun

Le respect est une chose qui lui revient de droit ; un bien qui lui a été retiré il y a si longtemps et dont il est le fier héritier. Coby mérite le respect ; où est-il donc ? Sa quête pour le retrouver est digne des croisades et pourtant, il a l’impression que ses efforts sont vains. Les gens sont irrespectueux. Iels ne savent plus comment bien se comporter ; ce n’est pas lui qui le dit, c’est sa mère ! Et si sa mère est très critique, Code sait qu’elle a raison sur cela ! Les gens sont insultants. Ils manquent de classe ; aveugles, tous !
Iels ne voient pas sa grandeur ! Pourtant, Coby est plein de promesses. Il est apte à accomplir tant de choses.
Si on ne lui donne pas de chance, il la trouvera lui-même.
Le Grand Code n’a pas dit son dernier mot. Et ce, qu’importe si on se moque de lui et qu’on use le menacer d’une arme.
Coby n’a pas peur, non ! Il ne recule certainement pas d’un pas à la seconde même si l’arme est pointée dans sa direction. Si quelqu’un voit une telle chose, il s’agit d’une simple illusion, rien de plus.
- Je n’ai pas besoin de vos conseils !, qu’il s’exclame lorsque, sans honte, iels lui offrent des solutions et des alternatives. Coby est rouge de honte. Ce n’est pas ! Ce n’est pas un spectacle ! Le mot lui massacre la gorge. Comment osent-iels ?? Ne voient-iels pas qu’il est le danger ? La terreur ? Leur pire cauchemar ?
Il bombe le torse avec tout ce qu’il possède de grandeur et lève le menton, les dévisage et, moindrement, zieute vers l’arme qui le pointe toujours.
- Mon nom importe peu, qu’il commence, la voix théâtralement plus lourde. Il tâche de paraître imposant ; intimidant ; mâle alpha ! Vous n’en aurez pas de besoin, là où vous irez Ses lèvres s’étirent en un sourire tremblant alors qu’il recule d’un pas. Le regard se détourne pour aller sur les singes, les Buzz, les chenilles et les barbies. Des soldats de plomb ? Des peluches ? D’accord. Si vous le demandez si gentiment. Il y a un moment de silence presque embarrassant tandis qu’il lève les bras, très théâtral, en attente d’un acte grandiose. Code lance un regard nerveux autour de lui après cinq secondes, profondément dérangé. Il s’apprête à parler de nouveau lorsqu’ils apparaissent enfin.
Des peluches. Tant de peluches. Sur les étagères, sur les bureaux, du plancher au plafond. Et sur ceux-ci ? Des soldats de plomb. Les voix sont minuscules, mais unies ; on les entend venir d’un pas constant et régulier ; comme le tonnerre.
D’une voix unie, ils parlent tous :
- Le lion ne s’associe pas avec le cafard. qu’ils s'exclament.
Code marque une pause :
- Quoi ?
- LE LION ! NE S'ASSOCIE PAS ! AVEC LE CAFARD !!
La masse s’élance, vive et rapide, ne laissant pas le temps à ce pauvre Code de comprendre la référence.

Résumé:

êtes-vous capable de vous enfuir ?
✧ Les peluches et les soldats de plomb sont trop nombreux ; il faut fuir. Votre personnage y parviendra-t-il ? Il suffit de lancer le dé pile ou face dans ce sujet avant de répondre pour le découvrir.

Les résultats sont ceux-ci :
Pile : Votre personnage parvient à fuir.
Face : Votre personnage n'est pas assez rapide et devra attendre des secours quelconque pour être secouru.

Et surtout, bonne chance !

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17/12/2022

L'ATELIER
DU
PÈRE
NOËL /

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Résultat : PILE - Votre personnage parvient à fuir.

Alors, c’est ça avoir son moment héroïque ? Pas tacler un gars plus grand qu’elle, non. Plutôt pointer un pistolet à eau sur un type random qui donne vie à des jouets ? Dani ne l’aurait jamais imaginé. Si seulement un jour elle pouvait s’en vanter auprès de son petit frère. Oui, si seulement. En attendant, elle a le cœur qui tambourine fort (elle n’est pas faite pour être l’héroïne de l’histoire) et elle attend avec impatience que ses acolytes se libèrent. Faut dire qu’iels ne vont pas passer la journée à filer des idées diaboliques à ce mec chelou. Tout le monde a autre chose à faire, genre… survivre à une armée de Buzz. Iels y arrivent, se redressent et c’est le moment de la négociation pacifiste. Dani est à deux doigts de vouloir baisser le pistolet, c’est que ça lui donne mal au bras de le tendre comme ça, c’est chiant ! C’est quand Code s’exclame qu’elle retrouve un regain d’énergie (okay, le gars est colère, vaut mieux être prête à lui envoyer un jet d’eau dans la face). Il s’énerve encore plus fort et dégage ce petit truc désespéré et impressionnant qui le rend… dangereux. Oui, un peu. Surtout son regard. Il fait peur, son regard. Il a un plan, visiblement. Qui consiste à les emmener quelque part. Son petit doigt lui dit que ce ne seront pas des vacances aux Baléares. On sera plus sur une cave humide et sombre, à la déco inexistante. “On va aller où ?” qu’elle chuchote en direction de ses comparses. Sait-on jamais qu’iels aient une idée, hein. En tout cas, Dani a bien l’intention de ne pas suivre ce monsieur n’importe où.

Ensuite, il y a un moment gênant. Sur l’échelle de la gênance, on est au moins à 10. Si ce n’est plus. Leur nouvel ami pas amical a semble-t-il voulu leur préparer une surprise, mais de (très très) longues secondes se passent sans que rien n’ait lieu. Dani détourne le regard de lui, se tourne vers les deux autres. “Il a un problème ? On attend quoi ?” Franchement, autant y aller, non ? Ce n’est pas comme si le gars était sympa et accueillant. Laissez-le à son délire de jouets animés et cassez-vous. Ah, trop tard. Invasion de peluches en cours. Surmontées de… soldats de plomb qui scandent tels des fanatiques une même phrase. Dani est trop jeune pour avoir la référence. Beaucoup trop Américaine aussi. Se dit juste qu’ils sont en train de traiter Code de cafard. Ce qui est drôle. Puisque ça voudrait dire qu’ils se retournent contre lui. Dans ta sale face, Code ! Attendez… pourquoi ils se rapprochent tous d’elleux ? Dani recule, jette un regard paniqué à l’armée qui commence à les entourer. Okay, ça pue fort. Son doigt appuie sur la gâchette du pistolet, mais rien ne se passe. Pas même un filet d’eau, le réservoir est... vide. “Merde !” Le pistolet est jeté en direction de la peluche la plus proche (on ne dira pas qu’elle visait Code et qu’elle a échoué). Plus qu’une seule chose sensée à faire : “Courrez !” Dani suit sa propre consigne et se met à courir vers la sortie. Elle regrette de ne pas courir davantage avec Archie, ça lui aurait bien servi à cet instant. Mais heureusement, une bonne étoile veille sur elle et Dani parvient à pousser la porte de l’entrepôt et à sortir de cet enfer. Un coup d’oeil est jeté en arrière, l’air de se demander si, ça y est, elle est sortie d’affaire.

@Blair Redfield @Ezekiel Moriarty @Robin White

Résumé:

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