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don't bleed on the floor ▬ jens & abel.

Abel Montrouge
Blue Blood
Abel Montrouge
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 3731618ce9961420062a7a36e789101e3eef1ed1
Alias : Kitsune.
Genre : Masculin, il.
Age : 35 ans.
Dollars : 144
Zone libre : don't bleed on the floor ▬ jens & abel. Aniyuki-kitsune-33

The world was on fire
No one could save me but you.
It's strange what desire
Will make foolish people do
I never dreamed that I'd meet somebody like you
I never dreamed that I'd love somebody like you

What a wicked game to play, make me feel this way
What a wicked thing to do, to let me dream of you,
What a wicked thing to say, i never felt that way,
What a wicked thing to do, to let me dream of you ...

And, I don't want to fall in love,
No, I don't want to fall in love
With you.

don't bleed on the floor ▬ jens & abel. Giphy

don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 37eb6cacb12cec2d6eef6383542e86e4

don't bleed on the floor ▬ jens & abel. B2efa0492c187d6b27ae33c01b0434ac

don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 11c49f4ef58fff4025ccf5ee08be45d1

don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 4f1e26d1648c48d262a5d0b15b0e8d20

fox caffeinated.
decaf ? u mean broken coffee.
how do i take my coffee ? seriously. vry srsly.
coffee, because sarcasm needs to stay hydrated.

Statut : myocarde pétrifié. pas intéressé. ((occupé à hanter les rêves d'un certain big grumpy cat))
Occupation : Médecin en chef ; Icarus Inc, section M, Immortalis.
Habitation : grand appartement, à Solaris.
Déchirures : Déchirure 1 : métamorphose

— Niveau 1 : la nature même du kitsune, sous sa forme la plus pure. un renard à neuf queues, au poil immaculé, aux mirettes d'or. les canines qui se dévoilent sous le grondement animal. la conscience humaine, pourtant, malicieuse et futée. homme fait de chair, de fourrure et de mythe.
— Niveau 2 : tirant de son origine la capacité à prendre différentes formes, il peut à présent calquer son apparence sur celles humaines, uniquement proches de sa propre forme de base. plus faciles sont celles masculines de genre, plus simples à confondre avec sa propre carnation.

Déchirure 2 : rêveries

Niveau 1 : capable de sauter de songe en songe, le kitsune - sous la forme qu'il désire - peut apparaître dans les rêves d'autrui et en altérer la teneur, y formant cauchemars, goules et monstres, ou y apportant répit et douceur selon ses besoins.
Niveau 2 : à plus longue distance, le kitsune peut flairer le rêveur et ses songes, et y pénétrer plus facilement. il camoufle plus habilement son effraction dans le monde onirique et est plus difficile à chasser, comme entouré d'illusions plus complexes à percer pour le rêveur qui n'y verra qu'un élément de son rêve.

Déchirure 3 : foudre

Niveau 1 : les kitsunes sont capables d'utiliser la foudre, de la manier lorsqu'elle existe déjà à l'état naturel. c'est donc sous les orages, environné d'électricité, que le kitsune peut manipuler l'éclair pour en foudroyer ses ennemis ou éclairer son chemin.

Limites : Limite de métamorphose : la métamorphose empreinte au corps, douloureusement, des formes physiques changeantes. non seulement elle est épuisante pour la chair, mais elle requière une formidable énergie, laissant son utilisateur affamé, tout en laissant des marques sur son esprit - forme empreintée et réelle forme se mélangeant parfois durant quelques temps après la retransformation dans sa réelle forme. pour le moment, l'utilisateur n'est capable que d'user d'une forme de kitsune et la métamorphose humaine - moins aisée s'il tente de prendre forme d'une femme. de plus, les métamorphoses sont limitées dans le temps, ne permettant pas de dépasser jusqu'ici deux heures.

Limite de rêverie : entrer dans les rêves d'autrui demande une certaine proximité et le kitsune doit se tenir à une certaine distance, alors, sentant le rêve, il est capable de s'y introduire. cependant, le rêveur peut bouter le kitsune hors de ses rêves s'il est assez conscient, déchirant le monde onirique.

Limite de la foudre: il ne peut créer la foudre, uniquement la manipuler lorsqu'elle existe déjà. de plus, il n'y est pas immunisé et elle le brûle, le calcine s'il est en contact avec elle.

Stigmates : prunelles qui se mirent d'or liquide, lors des émotions trop virulentes.
dos qui se voûte, quand il se fait prédateur, charmeur, comme pour mieux entourer la proie de ses intentions.
une cicatrice sur le menton, en forme de croissant de lune, souvenir d'une bataille avec ses frères s'étant terminé en chahutage parmi des meubles fracassés et un peu trop de sang à l'avis de la mère.

Pseudo : Litany.
Genre IRL : Elle.
Messages : 48
Date d'inscription : 18/03/2024
FC : Pierre Niney
Crédits : prettygirlavatar + (c) semper eadem (signa) + wicked game, chris isaak (paroles lyrics)
Thèmes abordés : meurtre. sang. dépression, dédain de classe. brutalité paternelle. pression sociale.
Thèmes refusés : à discuter.
Infos RP : rp souvent, beaucoup. réponses souvent sous 24h. (petit speedy gonzales)
entre 500 et 1500 mots, adaptation.
dialogue fr/eng selon la préférence du partenaire.
pas de pression pour mes partenaires, vous répondez quand vous pouvez

don't bleed on the floor
ft. @Jens Peeters ; tw : sang, blessure, violence.


Le goupil, blanc comme neige, observait l'agitation, de son promontoire pentu, toit où il s'était juché tel une gargouille à la fourrure soyeuse. Ses oreilles captaient les bruits alentours, dans une vigilance constante mais paresseuse. Abel s'était fondu dans la bête, épuisé, l'esprit fêlé de remontrances d'un paternel toujours exigeant. De mauvais souvenirs, sales comme souillés d'ombres, avaient émergés et il les avait repoussé, vaillamment. Mais il n'était de passé que l'on ne puisse enterrer à jamais. Alors, le kitsune avait prit le pas, comme à chaque fois. Fidèle âme bestiale, qui le faisait se sentir moins humain, propre, lavé de ses péchés et de ceux gravés dans sa chair. Il s'étiolait, Abel, avec bonheur dans la tête du rusé. Il fit bouffer sa fourrure froufroutante et se glissa sur le rebord, les yeux d'or captant les mouvances remuées de quelques âmes perdues. Abel savait qu'ici, la criminalité atteignait des sommets. Mais le kitsune n'en avait cure. Curieux goupil aux malices d'enfant. Il pencha la tête de côté, saisissant quelques bruits ressemblant à des cris. « Ce soir est une excellente nuit pour s'inviter dans les farces d'autrui » murmura t-il, de cette voix rauque, chantante, mélodieuse que possédait le renard, soeur jumelle de celle humaine, tout aussi modulée et charmante.

Il savait que c'était sûrement des bêtises, mais il se glissa au sol, faisant sursauter trois fumeurs aux yeux hagards. Ils observèrent la bête, créature tout droit sorties de contes fabuleux, à l'allure aussi fière que son port était altier. Alors, dans un léger rire, l'astucieux renard les toisa de ses prunelles d'or liquide. « Allons, remisez moi vos mâchoires, n'avez-vous donc jamais vu un kitsune, bonnes gens ? » Lueur farceuse, pleine de malice, et profitant d'une autre sortie, il pénétra le bar. Ses sens furent assaillis d'odeurs : arôme humain, sans équivalent, sueur et phéromones pesantes ; senteurs d'alcool qui calcinent un instant le flair, puis le laissent en paix humer d'autres bouquets. Enfin, surprenant, quelque chose tenant du marin - sent-il réellement le sel, ou l'imagine t-il ? Son entrée n'a fait que peu d'émules, car une silhouette accroche déjà les regards. Le sien même s'y épingle, s'écarquille de surprise ravie. L'haleine qui halète soudain, insolente : « S'il possède des tentacules, il est cependant peu cavalier de votre part de vous jeter sur ce pauvre homme. Eh bien, puisque vous semblez insister pour batailler, voici mes crocs » et, la bête prenant le pas sur la conscience, il file, flèche blanche, d'un bond saute au-dessus de l'inconnu - il voit les tentacules, Abel, et en bégaye intérieurement de fantaisie enfantine. Il atterit avec habileté sur le bar, pattes qui se poissent aussitôt de la saleté mêlée d'alcool renversé. L'échine qui, alors, se gonfle tandis que d'un geste, ses neuf queues viennent repousser le barman qui s'approchait, bouteille en main - et pas pour servir les clients.

L'arôme du sang se dégage de l'inconnu. Blessé, il l'est. Chemise toute chiffonnée d'une plaie - et bleu est le sang. Première pensée - l'hémoglobine d'azur, tel les nobles. Mais non - le médecin, le scientifique raisonne et songe au cuivre dans les céphalopodes. Sont-ce ses tentacules qui ont abîmé la si grande silhouette ? Géant aux remugles océaniques. Le médecin reprend pied, n'y voit rien de grave au point de craindre pour la vie de son nouveau compagnon. Et, calciné de la folie de l'ambiance pesante, il s'exclame, le regard fendu de pupilles défiantes. « Dois-je craindre d'attraper quelque maladie, en mordant ces bagarreurs ?  » Défi, alors que les griffes s'enfoncent dans le matériau du comptoir. Cillant loin de l'homme, enfin il retient l'attention - exclamations surprises devant l'étrange renard aux neufs queues. Déjà, quelques armes sont dégainées, de vieilles pièces, souvent, rien qui ne lui fasse peur, à Abel. Il glisse à terre, esquive un coup de pied et s'approche de son allié. Un coup d'oeil voit les tentacules à l'oeuvre et il a un froncement de museau, qui découvre ses crocs en un sourire fripon. « Vous êtes un géant parmi les vôtres, mais vos tentacules sont impressionnantes !   » et le voilà qui se questionne, de quel genre de mutation peut-il s'agir ? Comme paresseusement, il aggripe un mollet, chaussure qui heurte ses côtes pourtant, et il gronde en goûtant l'adversaire. Il s'échappe à nouveau, cabriole autour des ennemis, rejoint l'inconnu, repart - jusqu'à ce qu'autour d'eux, un cercle se forme, hésitant. « Les voilà bien moins arrogants. Ravi d'avoir pu me mettre en travers de leur chemin - tout droit sur vous, de toute évidence, et sans intention louable. A qui ai-je l'honneur, mon cher ?  » Brouhaha de musique, quelques physionomies qui se floutent, mutations affreuses, béquilles de pouvoir, ici des bras recouverts d'épines, là un sillon de magma sur un poitrail musclé. Ils ne sont pas les seuls à posséder des déchirures, mais l'animosité semble refroidie. A moins qu'ils ne planifient de se jeter tous dans la mêlée. La fourrure se hérisse encore, les queues s'agitent comme un éventail.


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Jens Peeters
Carbon Copy
Jens Peeters
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : don't bleed on the floor ▬ jens & abel. B9jp
Alias : Lucky ; paraît que c'est un énorme chanceux.
Genre : Homme cisgenre, pronoms masculins.
Age : 44 ans.
Dollars : 205
Zone libre :
don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 28f0

You're strange,
but I'm too.

Statut : Célibataire ; apparemment être à demi un calmar attire pas des masses.
Occupation : Chauffeur de taxi volant ; le sien bien à lui, gare aux rayures sur la carrosserie du coup.
Habitation : Crimson bay.
Déchirures : KRAKEN - créature fantastique connue pour son immense taille, capable d'attaquer des navires et les couler.

[.Changement de taille.]
(NIV.1) Le mutant peut grandir et prendre jusqu'à 1m de plus maximum, et ce de manière proportionnelle ; ainsi ses membres suivent et sa force s'en retrouve doublée.

[.Transformation semi-permanente.]
(NIV.1) La nature humaine laisse place à celle du calmar dont est inspiré la créature mythologique ; ainsi le sang de Jens devient bleu, se compose désormais de cuivre comme l'animal plutôt que de fer. Se génère sur sa peau une sorte de "manteau" qui la rend à la fois plus friable et en même temps résistante aux brûlures du froid ou du feu. L'effet est permanent, contrairement aux deux tentacules qui se génèrent, sortant d'entre les côtes et se rétractant dès qu'il le décide (ou s'il s'épuise trop) ; ils sont composés de ventouses et de crochets.

Limites : [.Changement de taille.]
(GÉN.) À chaque palier, ses organes se retrouvent plus encore exposés, la taille de ceux-là augmentant avec Jens. Ses réflexes sont moins marqués, mais sa vitesse demeure à peu près la même. S'il utilise cette mutation, tout ses besoins s'en retrouvent affecté et ainsi, il doit manger et boire (même dormir) proportionnellement à la taille qu'il aura prise.

[.Transformation semi-permanente.]
(NIV.1) Les tentacules, si découpés, ne se regénèrent pas avant un long moment et ainsi pourront ressortir mutilées si elles n'ont pas su se soigner pendant au moins une semaine à un mois, selon le degré des mutilations. Aussi, si les côtes brisées au passage des tentacules se reforment lorsqu'elles se rétractent (rendant le processus très douloureux dans un sens comme dans l'autre), il n'en est pas de même pour la surface qui, elle, reste à vif et doit être recousue afin de cicatriser correctement. Une fois les bords reconnectés l'un à l'autre, ça ira plus vite qu'un être humain normal mais ça reste douloureux et énergivore. (GÉN.) Le changement de son sang rend sa peau extrêmement froide et ; parce qu'il reste encore humain, Jens recherche la chaleur et peut aisément tomber en hypothermie s'il reste à de trop basses températures longtemps. Aussi, il doit énormément boire dans la journée pour aider son système interne, en proie à ce changement, à marcher correctement. Sans ça, la machinerie peut vite se casser et Jens peut finir à l'hôpital avec divers symptômes qui peuvent le conduire à la mort.

Mémo RP : Couleur dialogue : teal
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Brooks, Ernest, Sean, Gabriel, Vico, Zacarias, Tanner, Armando, Kenneth, Oscar, Spy, Ysidro, Xaver
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 38
Date d'inscription : 28/01/2024
FC : Matthias Schoenaerts
Crédits : (avatar, banns, gif ; perso) (code signa ; ellaenys) (paroles : HugoTSR)
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Staff : ADMIN I MJ
TW : bagarre, sang, homophobie suggérée, mecs cishet.


C'est con, un mec.

Vraiment con, même. C'est fait d'ego, de ce truc qu'on leur pisse dessus dès la plus tendre enfance ; de cette injection d'être toujours le meilleur. Putain, c'est vraiment chiant un mec ; et Jens se demande bien ce qui peut encore les attirer chez ces cons-là. C'est qu'il venait juste boire sa bière et suivre le match à la télé avec du monde autour, profiter de la chaleur que les corps dégagent pour se réchauffer les veines ; qu'il était alors posé alors là, d'avant que dans son dos on vienne à y mettre un coup après quelques provocations qu'il n'avait même pas remarqué.

Et tout avait dégénéré ; simplement parce que le mutant avait botté le cul de l'autre dans un combat ; de ceux qu'on fait plus bas, d'avec de l'argent en jeu ; la foule autour qui leur hurle de s'étriper ; et les poings qui se cognent alors la peau jusqu'à faire s'écrouler l'autre. Et forcément, faut toujours un perdant ; et ça n'avait pas été Jens, cette nuit-là. C'dur à avaler, pour un mec hétéro ; suffit de voir le p-word qui s'est échappé de ses assaillants - et si le kraken été plus véhément, il leur aurait balancé quelques piques senties.

Mais Jens n'a jamais baigné dans ces eaux-là.

S'est juste adapté à la situation ; à ce quatre, cinq, six (...) contre un ; à cette connerie d'ego qu'a voulu grossir ses rangs pour obtenir la raclée qu'il veut mettre à celui qu'avait osé lui faire perdre de la thune et fait gagner des hématomes en prime. Et parce qu'il est plus question d'y aller à la loyale, Jens avait décidé d'user de ses mutations ; profitant que ses fringues soient toujours plus larges pour se grandir jusqu'à les sentir craquer ; à déboutonner sa chemise qui le couvrait pour laisser toute la latitude aux tentacules qui viennent à naître d'entre ses côtes, explosant tout sur leur passage ; même l'humanité ; et d'avec leur naissance, y'a son propre ego qu'est rentré en jeu.

Cette volonté de nuire tout pareil.
L'instinct devient un brin plus animalier ; surnaturel.

Et le kraken avait déversé sa colère contre les Humains ; agit d'avec l'envie de les voir échouer ! Mais le kraken ne s'attendait pas à recevoir de l'aide, dans cette bataille ; et les marins d'eau douce tremblent un peu plus encore, face aux deux créatures - et si l'une a encore figure humaine, elle n'en demeure pas moins monstrueuse. L'immaculé fourrure à ses côtés semblent même faire tâche à côté du colosse ensanglanté ; observe son arrivée d'avec le même étonnement que tous ; mais se fait à sa présence dans la bataille ; se débat bien assez ainsi, un tentacule venant à fracasser dans le mur un abruti tandis qu'un autre tente de découper la seconde - c'est le poing humain qui l'accueil, lui.

Et ça se calme, autour.

Le mutant reste pour autant aux aguets ; l'allure de géant encore, à dominer ce qui doit l'être. "Tu parles bizarrement, l'ami." Le vocabulaire est bien trop joli ; et ça fait tache dans le paysage ; et en même temps, c'est marrant. "On m'surnomme Lucky." Le sourire s'étire, rendant sans doute son expression plus inquiétante encore, comme s'il était heureux de la bagarre. "Mon jour d'chance encore, visiblement." Regard sur la bestiole - devine bien qu'il doit s'agir d'une mutation. "Et toi, l'feu follet ?" Jens n'a jamais manqué d'humour ; même dans le pire, même quand faudrait juste dire merci et pas trouver malin de le surnommer ainsi. Mais c'est qu'il s'agite de partout et que ça lui fait penser à ça.

Le mutant se mouve ; semble vouloir se frayer un chemin, lorgnant sur les uns et les autres ; hésite à se grandir encore, mais sent déjà le supplice que subissent ses affaires face à cette mutation que les fringues ne suivent jamais. Et déjà qu'il est torse poil (ou torse tentacule), il préfère éviter d'être totalement à poil - ça fait mauvais genre et puis, y'a des paires de yeux qu'il a pas envie de choquer, Jens. "Si vous voulez encore vous la mettre, c'est l'moment ou jamais." Parce que le kraken veut voir la fin du match, plutôt que de se faire découper encore un bout de tentacule.

Mais bon ; l'ego, tout ça... Surtout avec un gros furet qui parle en plus pour les humilier.

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Même si j'ai l'mental, j'écoute que la pluie, je sais qu'elle ment pas
Abel Montrouge
Blue Blood
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The world was on fire
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What a wicked game to play, make me feel this way
What a wicked thing to do, to let me dream of you,
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And, I don't want to fall in love,
No, I don't want to fall in love
With you.

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fox caffeinated.
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Statut : myocarde pétrifié. pas intéressé. ((occupé à hanter les rêves d'un certain big grumpy cat))
Occupation : Médecin en chef ; Icarus Inc, section M, Immortalis.
Habitation : grand appartement, à Solaris.
Déchirures : Déchirure 1 : métamorphose

— Niveau 1 : la nature même du kitsune, sous sa forme la plus pure. un renard à neuf queues, au poil immaculé, aux mirettes d'or. les canines qui se dévoilent sous le grondement animal. la conscience humaine, pourtant, malicieuse et futée. homme fait de chair, de fourrure et de mythe.
— Niveau 2 : tirant de son origine la capacité à prendre différentes formes, il peut à présent calquer son apparence sur celles humaines, uniquement proches de sa propre forme de base. plus faciles sont celles masculines de genre, plus simples à confondre avec sa propre carnation.

Déchirure 2 : rêveries

Niveau 1 : capable de sauter de songe en songe, le kitsune - sous la forme qu'il désire - peut apparaître dans les rêves d'autrui et en altérer la teneur, y formant cauchemars, goules et monstres, ou y apportant répit et douceur selon ses besoins.
Niveau 2 : à plus longue distance, le kitsune peut flairer le rêveur et ses songes, et y pénétrer plus facilement. il camoufle plus habilement son effraction dans le monde onirique et est plus difficile à chasser, comme entouré d'illusions plus complexes à percer pour le rêveur qui n'y verra qu'un élément de son rêve.

Déchirure 3 : foudre

Niveau 1 : les kitsunes sont capables d'utiliser la foudre, de la manier lorsqu'elle existe déjà à l'état naturel. c'est donc sous les orages, environné d'électricité, que le kitsune peut manipuler l'éclair pour en foudroyer ses ennemis ou éclairer son chemin.

Limites : Limite de métamorphose : la métamorphose empreinte au corps, douloureusement, des formes physiques changeantes. non seulement elle est épuisante pour la chair, mais elle requière une formidable énergie, laissant son utilisateur affamé, tout en laissant des marques sur son esprit - forme empreintée et réelle forme se mélangeant parfois durant quelques temps après la retransformation dans sa réelle forme. pour le moment, l'utilisateur n'est capable que d'user d'une forme de kitsune et la métamorphose humaine - moins aisée s'il tente de prendre forme d'une femme. de plus, les métamorphoses sont limitées dans le temps, ne permettant pas de dépasser jusqu'ici deux heures.

Limite de rêverie : entrer dans les rêves d'autrui demande une certaine proximité et le kitsune doit se tenir à une certaine distance, alors, sentant le rêve, il est capable de s'y introduire. cependant, le rêveur peut bouter le kitsune hors de ses rêves s'il est assez conscient, déchirant le monde onirique.

Limite de la foudre: il ne peut créer la foudre, uniquement la manipuler lorsqu'elle existe déjà. de plus, il n'y est pas immunisé et elle le brûle, le calcine s'il est en contact avec elle.

Stigmates : prunelles qui se mirent d'or liquide, lors des émotions trop virulentes.
dos qui se voûte, quand il se fait prédateur, charmeur, comme pour mieux entourer la proie de ses intentions.
une cicatrice sur le menton, en forme de croissant de lune, souvenir d'une bataille avec ses frères s'étant terminé en chahutage parmi des meubles fracassés et un peu trop de sang à l'avis de la mère.

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don't bleed on the floor
ft. @Jens Peeters ; tw : sang, blessure, violence.


Il n'aimait pas la violence. Du moins, pas habituellement. Apanage des brutes, dernier recours de ceux incapables de mettre des mots comme des lances. Pourtant, pourtant - peut-être le kitsune avait-il senti l'électricité dans l'air, atmosphère de match, de rots gras et de bière frelatée. La bête n'était pas venue pour participer à quelque bataille, mais sa curiosité avait toujours mené Abel à pointer le bout de son museau partout, fureteur et commentateur souvent narquois. Il n'avait cependant pas anticipé atterir en pleine bagarre de bar, devant un colosse aux muscles saillants, aux tentacules remuants et couvert d'un sang d'azur qui ne pouvait être que le sien, car ce n'était sans doute pas de la gouache.

Un mollet trop proche, un grondement sur la chair et les canines qui goûtent l'hémoglobine avant d'émettre un pouah bruyant et écoeuré. Recrache le morceau de tissu, presque comme dans un film, et l'allure de son allié et lui-même semblent si étranges, si insolubles dans cet endroit, qu'il y aurait matière à se demander s'ils n'étaient pas les victimes d'une mauvaise blague. L'homme aux arômes océaniques continue de se débattre, et, enfin le calme. Un calme avant la tempête, à voir le cercle autour d'eux, mais assez, au moins, pour leur pemettre d'échanger. A la remarque, le renard part d'un rire vif, aussitôt éteint aussitôt qu'aboyé. « Lucky hein ? Eh bien, même si je ne vois nulle part de trèfle ou de leprechauns, disons que ce nom te va bien, ce soir.  » Drôle d'énergumène, mais son ton bourru lui plaît. Son faciès presque effrayant, devant cette espèce de lueur plaisante. L'on dirait que son ami d'un soir semble apprécier la bagarre. Le renard aux multiples queues fronce le museau, dardant ses yeux d'or sur ceux qui les entourent, avec un air si princier et dédaigneux que deux d'entre eux avancent d'un pas, l'égo piqueté. « Feu follet ?  » qu'il s'exclame, outré, le ton réellement indigné que l'on puisse faire le parallèle entre sa sublime personne et ces flammèches ridicules, créatures fades et sans apparat, comparé à sa forme véritable. « Quel outrage ! » Il bondit, encore et toujours, esquivant agilement. Au moins détourne t-il l'attention de quelques uns, et d'autres, même s'ils sont nombreux, commencent à se fatiguer, usés peut-être de voir de la résistance. Nouvelles morsures, assez pour faire tomber arme ou courage adversaire. Une chaise tombe - s'écrase, après la piètre visée d'une demoiselle - près de son crâne, fait vriller les oreilles comme des carillons tintés.

« Je vous conseille jamais  » grogne t-il encore, gonflant sa fourrure pour se faire plus gros - même si sa taille, deux fois plus imposante qu'un goupil normale, avoisinne les genoux ou les cuisses de bien des présents. Et ses canines, toutes sorties en un dentier furieux. « Tu peux m'appeller Kit. Plus concis que kitsune. Quant à vous, j'aimerai mieux que vous évitiez d'abimer la carcasse de ce rouquin à tentacules, vous seriez bien aimables  » qu'il lance, museau levé, billes d'or qui cillent, lentement. Et, comme un seul homme, la masse cesse d'être hostile. Peut-être parce que, soudainement, toute l'attention se porte sur un écran - et alors qu'une seconde avant, l'électricité ambiante était pesante comme du ciment, tous se mettent à hurler quand un commentateur émet "But ! C'est un très beau but du joueur ..." et c'est des dos tapotés, des sauts de joie. Pour un peu, on oublierait les deux mutants, dans l'alégresse, si ce n'était le cercle les laissant seuls. Le renard écarquille un brin les mirettes, le faciès exprimant l'incrédulité. Allons bon, l'envie leur est passée de nous donner un avant-goût de la semelle de leurs chaussures ? La magie des matchs de sport, de toute évidence.

Soupirant d'incompréhension - comment l'humanité pouvait passer d'une bataille à cela, c'était au-dessus de ses forces - il leva le museau vers Lucky. « Jolis tentacules. Néanmoins, vos plaies semblent douloureuses - je suppose qu'elles jaillissent en traversant vos chairs, comme cela doit être déplaisant. Avez-vous d'autres blessures ?  » s'enquiert-il de son ton toujours poli, tranchant avec le lieu, ses clients et son vis-à-vis. Tel un prince parmi les gueux. Il s'ébroue, frotte une patte contre sa tête - grimace, quand il sent une bosse près de son oreille qui ondule de déplaisir. Mais rien de cassé, du moins chez lui. Le ton est professionnel, c'est le médecin qui parle : « Que faites-vous, habituellement, lors de telles lésions ? Il faudrait désinfecter tout cela, et si les plaies sont profondes, recoudre ...  » Monté sur une table, peut-être celle de Lucky, il penche sa tête triangulaire pour z'yeuter, sans gêne. Son odorat est saturé d'odeurs, mais proche de l'homme, c'est l'arôme de mer - et de sueur mêlée - qui se fait le plus fort. « Moi qui abomine la violence, habituellement, me voir mêlé à une rixe, quelle plaisanterie cocasse » souffle t-il, roulant des épaules.

La métamorphose commence à lui peser, après l'intensité de la bagarre. Abel devine qu'il risque, sous peu, de devoir reprendre forme humaine - et qu'il aura faim à en dévorer le comptoir et les chaises, s'il avait pu. Pour le moment, il roule ses queues contre lui comme une énorme couverture, toute gonflée de fourrure douce. Contre son flanc, là où une chaussure l'a heurté, une marque sale souille son pelage, aussi brûlant que le coup.


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Jens Peeters
Carbon Copy
Jens Peeters
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : don't bleed on the floor ▬ jens & abel. B9jp
Alias : Lucky ; paraît que c'est un énorme chanceux.
Genre : Homme cisgenre, pronoms masculins.
Age : 44 ans.
Dollars : 205
Zone libre :
don't bleed on the floor ▬ jens & abel. 28f0

You're strange,
but I'm too.

Statut : Célibataire ; apparemment être à demi un calmar attire pas des masses.
Occupation : Chauffeur de taxi volant ; le sien bien à lui, gare aux rayures sur la carrosserie du coup.
Habitation : Crimson bay.
Déchirures : KRAKEN - créature fantastique connue pour son immense taille, capable d'attaquer des navires et les couler.

[.Changement de taille.]
(NIV.1) Le mutant peut grandir et prendre jusqu'à 1m de plus maximum, et ce de manière proportionnelle ; ainsi ses membres suivent et sa force s'en retrouve doublée.

[.Transformation semi-permanente.]
(NIV.1) La nature humaine laisse place à celle du calmar dont est inspiré la créature mythologique ; ainsi le sang de Jens devient bleu, se compose désormais de cuivre comme l'animal plutôt que de fer. Se génère sur sa peau une sorte de "manteau" qui la rend à la fois plus friable et en même temps résistante aux brûlures du froid ou du feu. L'effet est permanent, contrairement aux deux tentacules qui se génèrent, sortant d'entre les côtes et se rétractant dès qu'il le décide (ou s'il s'épuise trop) ; ils sont composés de ventouses et de crochets.

Limites : [.Changement de taille.]
(GÉN.) À chaque palier, ses organes se retrouvent plus encore exposés, la taille de ceux-là augmentant avec Jens. Ses réflexes sont moins marqués, mais sa vitesse demeure à peu près la même. S'il utilise cette mutation, tout ses besoins s'en retrouvent affecté et ainsi, il doit manger et boire (même dormir) proportionnellement à la taille qu'il aura prise.

[.Transformation semi-permanente.]
(NIV.1) Les tentacules, si découpés, ne se regénèrent pas avant un long moment et ainsi pourront ressortir mutilées si elles n'ont pas su se soigner pendant au moins une semaine à un mois, selon le degré des mutilations. Aussi, si les côtes brisées au passage des tentacules se reforment lorsqu'elles se rétractent (rendant le processus très douloureux dans un sens comme dans l'autre), il n'en est pas de même pour la surface qui, elle, reste à vif et doit être recousue afin de cicatriser correctement. Une fois les bords reconnectés l'un à l'autre, ça ira plus vite qu'un être humain normal mais ça reste douloureux et énergivore. (GÉN.) Le changement de son sang rend sa peau extrêmement froide et ; parce qu'il reste encore humain, Jens recherche la chaleur et peut aisément tomber en hypothermie s'il reste à de trop basses températures longtemps. Aussi, il doit énormément boire dans la journée pour aider son système interne, en proie à ce changement, à marcher correctement. Sans ça, la machinerie peut vite se casser et Jens peut finir à l'hôpital avec divers symptômes qui peuvent le conduire à la mort.

Mémo RP : Couleur dialogue : teal
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Brooks, Ernest, Sean, Gabriel, Vico, Zacarias, Tanner, Armando, Kenneth, Oscar, Spy, Ysidro, Xaver
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
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Date d'inscription : 28/01/2024
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Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Staff : ADMIN I MJ
TW : bagarre, sang, mecs cishet.


Le surnom semble pas plaire ; mais il aura le mérite d'avoir fait se marrer un peu Jens ; et l'empêchera pas d'y penser encore, à le voir si agité ; et puis, quoi, c'est mignon un feu follet non ? Enfin, pas qu'il en est vu pour de vrai, mais dans la culture populaire c'est plutôt mignon. "Kit, ok." Kitsune, trop long à cet instant ; Kit, c'est bien. Lui rappelle le nom d'un acteur, tiens ; il sait juste plus lequel à cet instant.

Kit, kit, Kiiiit...

Ouais, nan, ça lui revient définitivement pas. Et puis, y'a la situation, faut pas se perdre dans sa tête, à chercher une image mentale alors qu'il en possède même pas tant. Et en prime, il vient de rater un but ; et il pleure intérieurement à cet instant, parce qu'il sait même pas ce qu'il se passe et sérieux, quelle galère ! Il grogne sur le coup, soupire ensuite ; quitte sa posture de combat ; il voulait juste passer une bonne soirée à la base. Regarde ensuite le compagnon à quatre pattes et l'écoute. "M'ah, j'en sais rien." C'est un peu une brute, Jens ; il était encore dans l'action, a pas fait attention. "Le pire viendra après." Il hausse les épaules, semble avoir l'habitude. "Et toi, Kit ?" C'est qu'il a plus le poil tout à fait propre.

L'observe sur sa table, sourit un peu alors qu'il tente de fermer un peu sa chemise, parce qu'il se sent pas de subir le contre de la transformation tout de suite. "J'agrafe et j'attends." Autant dire qu'ils souffrent terriblement à chaque fois, mais c'est le coût de sa transformation. "Et si ça s'infecte..." Il souffle un rire ; et on devine aux cicatrices autour des tentacules qu'il semble s'y faire aussi. Observe l'autour un instant et puis fait signe à la bestiole, alors qu'il se mouve, à le suivre. "Allez viens, kit, avant qu'ils se rappellent qu'ils voulaient s'battre." Il récupère juste sa veste au passage, prêt à décoller de là.

Dans la rue, l'air frais lui fait du bien ; et sans doute qu'il aura quelques bleus de cette rixe ; mais pas grave, façon tout le monde s'en fout durant les courses. "T'as le poil crade, au fait." Qu'il prévient, alors qu'ils marchent. "T'as la dalle, Kit ? Parce que perso, j'vais bientôt avoir envie de dévorer un banc de poissons entier." Le fait ricaner ; le contre coup de ses déchirures, une nouvelle fois. "J'ai de quoi grailler chez moi." Il sait pas bien si le mutant est toujours coincé sous cette forme ou s'il en a une humaine ; après tout, lui-même se transforme au fur et à mesure ; il a un voisin ailé.

Plus rien ne surprend à force.

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Même si j'ai l'mental, j'écoute que la pluie, je sais qu'elle ment pas
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