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art is subjective, but objectively some people have more taste than others (archibald)

Lucian Holmes
True Blood
Lucian Holmes
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : art is subjective, but objectively some people have more taste than others (archibald) MSINwEB
Alias : LUCY | pour ses proches et ses collègues qui n'ont pas peur de l'utiliser; SHERLOCK | pour les petits rigolos; SMATURIN | grey hat réputé, connu au sein de CERBER, mais dormant depuis deux ans, qui réapparait de temps en temps; AKLOVELACE | alter ego du Metaworld, blue hat et épine dans le pied des hackers les plus redoutables du web.
Genre : CISGENRE | il/lui, mais il n'a jamais peur de jouer avec sa fluidité, notamment lorsqu'il abord ses identités en ligne et assume depuis toujours sa part de féminité.
Age : 65 ANS | en fait vingt de moins, la vieillesse est un concept avec lequel il peut jouer lorsqu'il part se réfugier dans des tableaux hors du temps. Immortalité qu'il pourrait saisir, si la solitude dans les peintures n'était pas si lourde.
Dollars : 390
Zone libre :
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Statut : SEUL | perdu dans un monde où le sexe semble être une priorité, il a souvent été seul et n'a jamais été en couple. Il ne cherche pas de réconfort sous les draps, mais d'un compagnon à ses côtés pour partager un peu de chemin en bonne compagnie pendant ce long voyage qu'est la vie.
Occupation : DÉTECTIVE PRIVÉ | il enchaîne les mandats divers et variés selon ses humeurs, généralement des enquêtes autour de l'art et autres objets de collections auprès des forces de l'ordre, comme des gallerie ou des particuliers ; CONSULTANT EN CYBERSÉCURITÉ | il offre ses services à qui le souhaite, son plus régulier employeur étant Theseus Corp. qui voudrait bien avoir l'exclusivité.
Habitation : NEO ARCADIA | habite un loft dans un building de verre et de lumière, avec une vue sur la rivière et Solaris, souvent éclairé par les néons de la ville.
Déchirures :
JANUS
○ LE REGARD À TRAVERS L'ART | Tourné vers le passé. Lucian peut discerner les événements du passé en peignant ou en dessinant les images. Ces visions se déclenchent généralement au contact d'un objet ou d'une personne, et généralement, il ne peut pas se la sortir hors de la tête avant de l'avoir mis sur papier (ou tout autre support). (niv.1) Tourné vers le future. Il peut maintenant voir des événements du futur en peignant ou en dessinant les images. Comme précédément, les visions se déclenchent toujours au contact d'un objet ou d'une personne, il ne peut pas se sortir ces images hors de la tête avant de les mettre sur un support. (niv.2)
○ LE VOYAGE À TRAVERS L'ART | Portes d'entrée. Après un contact visuel prolongé ou contact physique, il peut se téléporter à l'intérieur d'un tableau. Lucian se retrouve à vivre la journée de la scène dépeinte en répétition, sans avoir besoin de boire, manger ou dormir, il ne vieillit pas non plus. Pour en sortir, il faut trouver la bonne porte, encore faut-il savoir qu'il faut une porte. (niv.1) Portes de sortie. Lucian peut aussi voyager dans différents tableaux à travers les portes existantes. Généralement, il ne sait pas dans quel tableau il va tomber, mais peut tenter de le deviner s'il a par exemple observé la pièce où se trouvait le tableau initial. En effet, les tableaux ont besoin d'être dans le même environnement (salle d'un musée, entrepôt ou atelier) pour lui permettre de voyager entre eux. (niv.2) Chemins vers les portes. Au contact d'objets du tableau (généralement lié au voyage, à la direction, les portes ou Janus), un léger halo lumineux apparaît, qui, tel un fil d'Ariane, permet à Lucian de trouver les portes de sortie présentent dans le tableau. Fini les jeux de piste et tentatives d'ouvrir toutes les portes, il peut à présent suivre le chemin vers les sorties, qu'il mène vers un autre tableau ou la sortie. (niv.3) Compagnon de voyage. Lucian peut emmener avec lui une personne lors du passage dans les tableaux en maintenant un contact physique lorsqu'il déclenche sa déchirure. Une fois dans le tableau, son compagnon vit dans les mêmes conditions que lui (pas besoin de boire, manger ou dormir, il ne vieillit pas non plus), par contre il n'a aucune possibilité d'en ressortir sans Lucian puisqu'il est le passe-partout qui permet de trouver les portes de sortie et de les ouvrir. (niv.4)
○ MANIPULATION DES PROBABILITÉ À TRAVERS L'ART | Création de probabilité. À travers ses dessins, Lucian peu manipuler la probabilité que quelque chose se produise dans un instant T, déclenchant une suite d'événements qui mènera à la scène dessinée. Par exemple, s'il souhaite qu'un ramen se retrouve sur son bureau à 17h30, il devra dessiner son bureau, le type de ramen et l'heure. S'en suivra toute une suite d'événements pour arriver au résultat. Plus le dessin est précis, plus l'événement à des chances de se passer comme il le souhaite. (niv.1) Chance. Lucian peut pousser sa chance à travers ses dessins en ajoutant un symbole qui représente la chance ou contient le mot chance. Ainsi, il peut retrouver un objet, rencontrer une personne qu'il a besoin de croiser ou faire en sorte qu'une situation se termine bien. Il est impératif qu'il sache à quoi ressemble l'objet ou la personne, ou qu'il puisse dessiner la situation avec assez de précision et comme à chaque fois il n'a aucun contrôle sur l'effet papillon. Il ne peut invoquer cette chance qu'une fois par jour.(niv.2)

Limites :
SƎᗡISNMOᗡ
○ L'ARTISTE | Ce n'est qu'à travers de ses dessins ou au contact de l'art que ses déchirures opèrent, il ne peut pas se téléporter n'importe où à sa guise ou créer de portail, il ne peut pas créer d'objet à partir de rien ou exprimer ses vision autrement qu'en les posant sur papier (ou toile) d'abord. Son affinité avec l'art n'a pas d'impact sur son style ou ses aptitudes, qu'il a dû développer au fil des années en apprenant à dessiner et peindre comme tout le monde.
○ VISIONS SANS CONTEXTE | Les peintures qu'il créait avec sa première déchirure, ne sont qu'une vignette d'un instant T. Il n'a aucune idée de ce qui s'est passé avant ou après, il en est de même avec sa troisième déchirure. Dans le cadre des portraits issus de visions, il ne connaîtra pas forcément les protagonistes ou lieux qu'il dessine.
○ DÉCALAGE HORAIRE | La notion du temps est un peu trouble au sein des tableaux dans lesquels il voyage, si la journée répétée semble se dérouler au rythme régulier de 24h, il ne sera pas forcément calqué à celui du monde réel (par exemple les scènes de nuit, décalant ainsi la journée). Il en est de même pour l'espace, les distances parcourues dans les tableaux étant truquées. Ainsi, à la sortie du tableau, le mutant sera un peu déboussolé, mais surtout, il va subir un contrecoup similaire au décalage horaire. En fonction du temps passé dans le (ou les) tableau, il va falloir plusieurs heures voir une semaine avant de pouvoir reprendre son rythme. S'il est resté plus de 12h, en plus du décalage horaire, une sensation similaire à une gueule de bois sera aussi ressentit. Son compagnon subira les mêmes effets.
○ PRÉCISION ET FINALITÉ DANS LE TRAIT | Il doit terminer ses dessins ou peinture afin que la probabilité d'un événement se passe, mais surtout pour garder un semblant de contrôle sur celui-ci. Plus un dessin est vague, moins il y a de chance que ça se produise, mais si un dessin est trop précis, plus il y a de chance qu'il y ait de mauvaises surprises.
○ UN DÉBUT ET UNE FIN | Dans le cadre de sa troisième déchirure, si Lucian peut choisir le point de départ ou la finalité d'un événement, mais il n'a aucun contrôle sur ceux qui vont apporter le résultat souhaité, ni les conséquences qui en découleront.
○ EFFET PAPILLON | Le chemin de l’enfer est pavé de bonnes intentions, et si Lucian, parfois, tente de trouver l'histoire autour de ses toiles ou de manipuler les événements futurs, il n'est pas à l'abri de créer une réaction en chaîne, peu importe ses intentions, le résultat ne sera pas forcément positif ou celui qu'il aurait souhaité.
○ DOUTES & INDÉCISIONS | Janus représente la dualité, et par conséquent Lucian l'est aussi. Un coup pessimiste, un coup optimiste, souvent proie aux doutes, il se remettra constamment en question. Ça s'est souvent répercuté dans sa vie, mettant des bâtons dans les roues dans le cadre de sa profession, mais aussi dans ses relations à force de douter constamment, et à tout questionner, même quand le meilleur arrive.
○ AUCUN SENS DE L'ORIENTATION | Un autre contrecoup de sa capacité est certainement son manque déplorable de sens de l'orientation et c'est certainement pour cela qu'il s'est plusieurs fois perdu au milieu des peintures à chercher les bonnes portes de sortie. Et il en est de même dans les rues labyrinthiques de certains quartiers de la ville.

Stigmates : TAILLE | il mesure 1m96 et c'est sans aucun doute un atout qui l'a sortit plus d'une fois d'une galère.
○ MYOPIE | aveugle comme une taupe, il doit toujours porter des lunettes ou des lentilles sinon il ne voit pas plus loin que le bout de son nez.
○ CICATRICES | les plus évidentes à l'index de sa main gauche, qu'il s'était fait lorsqu'il changeait les cordes de son instrument à quinze ans et mais aussi une blessure par balle sur son bras gauche et le baiser glaçant d'une lame sur son mollet.
○ TATOUAGE | peu connu, il possède un tatouage minimaliste d'un violon brisé sur l'omoplate droite.

Inventaire :
LUCIAN'S BELONGINGS
○ TELEPHONE CRYPTÉ | objet essentiel de l'hackeur par excellence, son téléphone possède deux modes, le classique qui est généralement activé et le crypté, qui est déclenché par ses empreintes digitales et se désactive dès qu'il ne l'utilise plus. Il passe de l'un à l'autre avec aisance. Il n'a pas grand chose dessus, outre son carnet de contact, une application de carte géographie et un accordeur.
○ MONTRE INTELLIGENTE | elle donne l'heure, mais aussi lui sers de boussole quand il circule en ville, ce qui lui évite d'avoir constamment son téléphone dans la main.
○ SAC À DOS | il quitte rarement son champs de vision, il contient l'un de ses ordinateur portable (qui s'ouvre par empreinte digitale et qui lui aussi possède deux modes), un ou deux carnets à dessins, une trousse où il range des crayons de couleur, des stylos, des marqueurs, des tubes de peinture et une seconde où il range des fusains, de la pastel et de la craie. Il y a aussi un pinceau, des business card, une carte de la ville et un kit pour crocheter les serrures.
○ LUNETTES DE VUE AVEC DES VERRES VIEWFINDERS (Version débridé, donc illégal) | Ces verres, une fois enclenchés via un bouton sur la branche des lunettes, permettent de scanner les choses autour de soit : objets, lieux ou même personnes dans un rayon maximale de six mètres. Les informations sont directement tirées du web et donc dans le domaine public. Lorsque les verres scannent une information dont il ne devrait pas avoir accès, le système le repère immédiatement afin de corriger le potentiel glitch. En cas d'erreurs trop fréquente, un rappel du produit sera envoyé au propriétaire afin de les faire vérifier. Tous ces verres viennent avec un numéro de série et peuvent être tracés avec plus ou moins de précision lorsqu'ils sont connectés. Lucian a ajouté un programme pirate pour les débrider, afin d'élargir son rayon (12 mètres) et avoir accès à d'autres informations, notamment celles venant du dark web, mais aussi lui signaler la présence de caméras, d'objets connectés, ou d'anomalies à proximité. Les informations qu'il obtient sont à prendre avec un grain de sel, quant aux anomalies, si les verres les détectent, il ne pourra pas nécessairement savoir ce qu'il y a d'anormale. Le programme pirate lui signale uniquement que quelque chose (ou quelqu'un) qui ne devrait pas exister (ou se trouver là), existe. Les modèles civils se distinguent par un reflet bleu-violet dans les verres de lunettes lorsque la personne les utilise. Ceux de Lucian se teintent en une couleur plus rosée voir ocre ce qui l'oblige en plus de les utiliser discrètement et avec parcimonie pour ne pas affoler le système.
○ POCHES | son portefeuille, ses clefs et une boussole.

Mémo RP :
Pseudo : writerinafoxhole.
Comptes : Llewhelyn Morrow & Pasqual Castillo & Ulysses Sharp & Quillan Iskandar.
Genre IRL : they/them, il/lui.
Messages : 1023
Date d'inscription : 26/01/2023
FC : Lee Pace.
Crédits : PROFILE | (avatar & gif) writerinafoxhole, (ship gif) bones ❤︎. SIGN | (gif) writerinafoxhole, (code) proposée par ellaenys.
Thèmes abordés : doutes, anxiété, indécision, hacking, mention de force de l'ordre.
Thèmes refusés : en tant qu'hypersensible, des discussions hors rp en amont sont primordiales, notamment pour les thèmes suivants : violences, mutilations, tortures, personnage sous-influence sans consentement ou de manière passive (alcool, drogue, lié à un pouvoir), harcèlement, discrimination, racisme, lgbtphobie, relations toxiques. Thèmes automatiquement refusés : actes sexuels explicites, manipulation physique ou mentale, violences extrêmes (terrorisme, militaire), inceste, pédophilie. Listes non-exhaustives, dans le doute contactez-moi. ❤︎
Infos RP :
art is subjective, but objectively some people have more taste than others (archibald) E47WfVr
irl: ralentissement, irl messy, rythme avec des pics et des chutes de motivation.
taux de procrastination: 65%

○ 4 rps en cours, 2 prévus, dm me.
○ contact par mp ou didi.
○ fréquence de rp variable.
○ longueur des rps entre 200-1000+ mots, je m'adapte généralement à mes partenaires.
○ rp avec dialogues français ou anglais.
○ couleur de dialogue: cadetblue.

Misc :
REMINDER
○ finir le scénario de Victor.
○ demander évolutions de déchirures.

Lucian s’aventurait rarement aussi loin de chez lui, et encore moins dans les environs de l’Underapple dont il avait longé l’accès quelques minutes plus tôt alors qu’il se baladait dans la rue Old Moma. Lucian ne connaissait pas vraiment l'endroit, simplement la bouche de métro, qu'il avait utilisé par le passé pour accéder l'Underapple, mais ses souvenirs de cette rue remontaient à bien plus loin, à l’ancien musée ayant parcouru en long, large et travers ses couloirs lors de sa visite à New York dans les années 80, un peu avant sa disparition, à lui, dans un tableau de chez son père.

Des années s’étaient écoulées depuis, Lucian n’avait pas eu la chance de retourner à New York avant que la ville n'explose, disparaissant sous New Blossom. Lors de l’événement, il venait de retourner en France, le monde avait tellement changé que l’explosion de la capitale le toucha d’une manière différente, mais il avait été relativement réticent à s’installer aux Etat-Unis, malgré l’offre de CERBER. Depuis, il n’était pas reparti, pas encore et s’il se plaisait dans son appartement, ce n’était pas pour la ville ou le pays qu’il restait. De toute façon, il passait plus de temps sur le Metaverse ou les musées, quand ce n’était pas dans les tableaux. Ce n’était pas très sain, ni une bonne idée et si pendant longtemps la Cyber Unit avait été son excuse de ne pas sortir et sa reconversion aussi. Lucian ne boudait pourtant pas la ville pour autant, mais il préférait les ballades dans son quartier, allant d’un point familier à un autre, souvent lié à un restaurant. Parce que sinon, il se perdait, car il n’avait aucun sens de l’orientation. Le nez toujours baissé vers sa montre ou son portable afin de retrouver son chemin dans les dédales de la ville.

Aujourd’hui, Lucian n’était pas vraiment perdu, puisqu’il errait sans but, la carte sur sa montre, au cas où. Lucian était descendu à Crimson Bay pour aller manger un burger et frite dans un petit diner qu’il adorait, puis pris d’un peu de nostalgie en passant dans le coin, il s’était aventurer dans la rue, carnet de dessin dans une main, un stylo bic dans l’autre, sketchant les différentes devantures de la rue. Appuyé contre un mur il dessinait la façade du motel devant lequel il s’était arrêté. Le regard passant de la page au bâtiment, l’œil remarque quelque chose à l’une des fenêtres, terminant rapidement le sketch. Le détective traversait la rue pour regarder d’abord à travers la fenêtre, hésitant avant de finalement se diriger vers l’entrée et passer la porte.

« Hello ? S’hasardait-il, son accent anglais semblait presque résonner dans la pièce, mais pas de réponse. Son regard se posait un instant sur le tableau qui l’avait poussé à rentrer pour finalement entendre du bruit et voir un jeune homme apparaître à la réception.  Oh, bonjour, je m’excuse, je ne reste pas longtemps, votre tableau m’a attiré l’œil. Expliquait-il, son carnet de dessin toujours en main, le stylo coincé derrière l’oreille. Vous savez où vous l’avez récupéré ? »

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at the crossroads ✧ Senses are our doors on this world, the key to unlock meaning and creativity.
Archibald Sherwood
True Blood
Archibald Sherwood
CORPS
ESPRIT
ÂME
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Alias : "Archie", "Apple", ou bien "Hé toi", tout lui va.
Genre : Masculin cisgenre • Il.
Age : 37 ans • 02/07/1988
Dollars : 150
Zone libre :

You think because l'm kind that it means I'm naive, and maybe I am.
It's strategic and necessary.
This is how I fight.

art is subjective, but objectively some people have more taste than others (archibald) 5dead4ee11263fc58e08b6344b50cadb997bcd9c

Statut : Célibataire, rougissant au moindre compliment. En crush, sans le savoir, confiné tout au fond de sa poitrine.
Occupation : Réceptionniste de jour - et plus ou moins homme à tout faire - au Old Moma Motel de Crimson Bay.
Habitation : Un petit studio cosy, juste à côté de son lieu de travail. On ne sait jamais, une urgence en pleine nuit est si vite arrivée...
Déchirures : [ PSYCHOMÉTRIE ]

- Lecture d'objet - prisme émotionnel, résidu d'âme : unité de temps (niv 1) ; de lieu (niv 2) ; d'action (niv 3).

- Lecture de cadavre : unité de temps, verum corpus - dernière heure de vie vue et vécue. (niv 1)

Limites : - Mains nues et contact prolongé, épuisement proportionnel, santé fragile et vacillante (hypoglycémie et hypotension chronique.)

- Limitation aux cadavres humains, décédés récemment. Biais traumatique important, perte de repère, cauchemars récurrents. Vomissements et évanouissements.

Stigmates : Yeux grisés lors de l'expression de mutation. Couleur persistante jusqu'à ce qu'il se repose pleinement.
Pseudo : Syato
Comptes : Seth • Orion • Gregory • Oswald • Leon
Genre IRL : fluide, il/iel/elle.
Messages : 35
Date d'inscription : 14/04/2023
FC : Iwan Rheon
Crédits : Bones ♥ (avatar) EEAAO (citation)
Thèmes abordés : décès de proches (parents) – adoption – santé fragile – menace/harcèlement - champs lexical de la mort - dégoût de soi - morts violentes et graphiques - psychose/névrose
Thèmes refusés : Globalement je tolère à peu près tout, tant que c'est discuté en amont et que toutes les parties sont à l'aise. ♥
Infos RP : • 3ème personne du singulier, avec incursions de la 1ère.
• Présence de connexion régulière, rythme un peu moins selon l'inspi et l'irl (à comprendre, je suis un escargot avec des coups de boost sporadiques ->)
• Longueur de post variable, je compte pas vraiment.
• Dialogues principalement en français, pas de soucis avec l'anglais.


Il y a de ces journées douces comme des tartes aux pommes, gorgées de sucre et de cannelle. Le soleil acidulent les heures, alors qu'il déploie ses rayons contre la façade du motel. L'hiver est relégué aux souvenirs et aux anticipations de l'année prochaine, pour l'instant, c'est le printemps qui prévaut.
La saison préférée d'Archibald, approchant à grands pas.
Depuis la matinée, son sourire ne fait que grandir, alors que les tâches s'accumulent. Et déjà qu'il ne renie jamais à donner un coup de main, l'énergie du retour à la lumière ne fait que décupler sa bonne volonté. L'employé virevolte presque, à passer par ici, à repasser par là, à alléger la charge physique ou mentale de ses collègues alors que les lieux ne sont même pas remplies.
On lui lance, avec tendresse, de lever le pied. On lui demande aussi ce qu'il a mangé, pour pouvoir avoir la même chose lors des coups de mous intempestifs de ce genre de métier. Archibald ne fait que sourire davantage : ce n'est un secret pour personne, comme les fleurs qui éclosent, la vie reprend ses droits en cette période de l'année.
Et Dieu seul sait que le mutant la chérit au plus haut point.

Peut-être que cette saison lui apportera encore plus de réconfort cette fois-ci. Peut-être qu'il pourra même songer à démontrer toute sa beauté placardée au coin des rues métalliques de New-Blossom la merveilleuse à qui veut bien la voir.
À Brooks, par exemple ?

Penser à l'homme lui colle un rougissement immédiat tandis que le tambour du sèche-linge cesse de tourner sous ses yeux. La ronde des draps est terminée, tout comme sa petite pause bien méritée. Un bip retentissant le sort de sa rêverie, cessant dés qu'il sort le linge propre et sec pour l'enfourner dans son panier et le monter aux étages adéquats. Tout en sifflotant un air léger, un générique de série télé, il ne sait plus vraiment laquelle et de toutes manières, elle laissera vite sa place à une autre chanson tirée de son imagination. Un véritable jukebox boute-en-train, cet employé de jour.

Alors qu'il remonte de la laverie et passe par la réception, l'attention du dit employé - qui devrait initialement se contenter de la surveiller, cette réception - est attrapée au vol par l'arrivée de quelqu'un. Le visage s'illumine naturellement pour lui souhaiter la bienvenue, comme de raison, qu'il s'agisse d'un homme de passage, juste d'un curieux, ou d'un potentiel client.

« Bonjour ! », lance Archibald, avant de tourner les yeux vers l'objet de la venue du visiteur. Le tableau du hall n'est pas le premier à l'intriguer, et Archibald a l'habitude de connaître quelques détails à son sujet. Sans doute pas tout - ce privilège reste réservé au propriétaire des lieux -, mais suffisamment pour alimenter une petite conversation de passage.
« Ah, celui-ci ? C'est un vestige du musée qui se trouvait ici auparavant, avant la destruction de la ville en 2005. Il a été récupéré lors de fouilles et restauré, puis donner au motel au moment de sa construction... C'est un des rares survivants en bon état, je crois. » Archibald a toujours un peu d'émotion quand il évoque ces évènements. Il n'était pourtant pas présent à New-York lors du drame, mais il ne peut que compatir avec le sentiment de détresse qui ont dû animer les rues à cette période.
Le tableau représente une forme de fontaine éthérée, dépourvue de contours nets. Archibald aime sa présence, s'y perdre et le contempler quand le travail se fait plus rare - ou qu'il a déjà tout fait de son côté.
Mais son sourire perdure alors qu'il tourne les yeux vers son interlocuteur. Le carnet et le crayon l'intriguent, et le pousse à poser, à son tour, quelques questions.
« Vous êtes un artiste, vous aussi ? », demande-t-il, le regard joyeux.
Ce n'est pas tous les jours qu'on vient le questionner sur le tableau de la réception, et il s'agit souvent d'amateur.ices d'art en tout genre. Autant en savoir plus pour pouvoir échanger gaiement !
La journée s'y prête, après tout.