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katabasis (love)

Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1477
Zone libre :
katabasis (love) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

katabasis (love) Ra48t6aq_o katabasis (love) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

katabasis (love) AxI6stHu_o katabasis (love) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 518
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.
cw: horreur, gore, résurrection, nudité, vomissement, déicide.
La poix gonfle et se rétracte ; c’est un vide, chaotique et primordial, un épanchement de ténèbres à l’origine de tout. Gonfle et se rétracte, comme une respiration difficile ou le carcasse d’un mort en laquelle grouillent les nécrophages. Gonfle et se rétracte, comme s’il était impensable et pourtant possible que deux mondes entrent en contact dans la fusion d’une brèche. La sensation est terrible. Elle est terrible au point que les vociférations souterraines entourant cette décharge surnaturelle ne soient pas assez tonitruantes et horribles pour la traduire. Dans l’inframonde, l’aberration gronde par vagues immenses dans chacun des douze ciels liquides, les superficies immatérielles se dissocient et les couleurs sépulcrales vrillent entre elles pour mieux noircir. Une sensation de panique s’étend dans les confins infinis et avec cette panique la ruée d’une horde obscure accompagnant l’énorme serpent qui gagne la surface.

Pourtant, là-haut tout est calme. C’est à peine si le sol de l’appartement tremble un peu, à la manière d’un bruissement que le tonnerre frappant au loin provoquerait. Tout est calme et tout le reste pendant de longues minutes. L’air. Seul l’air se charge d’une légère odeur d’encens où l’on note une pointe de pourriture. L’air et la lumière. Puisque les reflets s’effacent, sur chacun des objets et matières décorant la pièce. Des petits détails de rien du tout, des petits détails vicelards et perfides, car ces détails savent mais n’annoncent rien : rien du spectacle titanesque qui se joue à quelques couches quantiques de là, dans un maelstrom assourdissant provoquant une tempête ignoble dans le pourtant très calme, très silencieux et immobile monde des morts.

Et puis l’odeur d’encens devient brutalement insupportable, avec cette pointe de pourriture qui asphyxie les narines et irrite la gorge. Et à l’odeur s’ajoute la poix, qui gonfle et se rétracte et se montre enfin, par une fissure énorme dans le sol. Puisque les reflets ont été tués, c’est la lumière, maintenant, de quelle que source qu’elle vienne, qui crève d’un coup ; l’appartement tout entier est plongé dans les ténèbres, celles-là même à l’origine de tout. De vraiment tout. Même d’une résurrection dont, sans doute, on se serait bien passé. La résurrection d’un monstre qui se déploie, au milieu de la roche et du sable de la fissure, dans des atours rétrécis ; silhouette nue qui s’arrache de là comme un cadavre s’arrache de sa tombe. Les bras se jettent, puis tombent, mains s’accrochant aux surfaces réelles et irréelles, de ce monde et d’un autre, pleines d’un suc qui ressemble à du sang mais n’est vraiment que le sang des ciels qu’il lui a fallu trancher. Ses grondements de peine et de fureur sont étouffés par une procession de feulements stridents, que lâchent d’autres silhouettes ombreuses s’échappant avec lui. Une horde de démons et de défunts sur laquelle le monstre n’a aucun contrôle.

Les os craquent à chaque mouvement, accompagnés par des bruissements organiques ; la silhouette reprend une forme humaine comme si elle ne savait plus ce qu’était précisément que la forme humaine. Des bosses, des excroissances, des reliefs hideux se succèdent jusqu’à ce que le monstre, allongé par terre dans ses râles d’agonie, ne redevienne totalement homme. L’odeur, les ténèbres et la cacophonie se résorbent finalement, de même que la fissure terrestre et sablonneuse derrière laquelle ne reste que le modeste sol de l’appartement, resté intact. L’homme finit par se redresser, un coude après l’autre, masse fourbue qui peine à se mettre sur ses deux jambes. Et lorsque c’est fait : de perdre l’équilibre. Un premier meuble le reçoit. Quelle étrange sensation. Celle de n’être plus qu’une solidité relative, menue et vulnérable. Marcher ? Il ne sait plus faire. Tout comme il ne sait plus respirer. Une toux le ravage, fait tomber du sable brûlant et noir depuis ses commissures et sa gorge. Une gorge qui a été tranchée, une tête qu’on a décapitée ; remise à sa place, elle arbore pour tout stigmate une épaisse cicatrice qui rend l’homme aphone.

Les pensées sont confuses, les sens à vif, et s’il est furieux il ne sait plus pourquoi. Un nouveau mouvement et son grand corps massif qu’il considère pourtant minable et menu reperd l’équilibre. D’autres meubles le reçoivent, certains tombent, des bibelots se brisent et ses bras, appendices stupides et tout à fait inutiles, s’agitent ici et là pour se rattraper. Les lumières reviennent enfin, l’aveuglent, l’obligent à grimacer et lever une main devant lui. Aveuglent quoi ? Un œil. Un seul. L’orbite que couvrait celui en verre est restée creuse mais pas tout à fait vide ; quand l’homme baisse sa dextre une lueur orange sertie d’une fente noire fixe l’individu en face. Ce n’est plus l’encens funèbre et la pourriture d’un mauvais dieu qui flotte à présent dans l’air, mais celle de… la lessive. Et le rayon criard de quelques néons substituant les ténèbres et leur épouvante. “” Hébété, l’homme continue d’afficher des traits grimaçants et tendus. Et puis il se plie sur un spasme violent, et dégobille entre lui et l’individu une gerbe de liquides noirs et d’ossements, la mâchoire disloquée le temps de tout rendre. Quelques couleurs iridescentes et merveilleuses luisent un bref instant au milieu de l’immondice ; sans doute d’héroïques démiurges qu’il a eux aussi bouffés le long de son interminable périple.

ft. @love craft
Love Craft
Humain·e
Love Craft
CORPS
ESPRIT
ÂME
Alias : 1912 unabiding, the mute
Genre : nb fem, elle, genrée fem + inclusif
Age : 28 ans
Dollars : 2125
Statut : no love, no heart
Occupation : team leader modération de contenue MW; Citizen0 de la hot-line 1912, support aux supers
Habitation : dort plus souvent au travail, loue son appart au black
Pseudo : gan-sha
Comptes : andrea, rapha, georgie, pallabi, sunday
Genre IRL : elle/she
Messages : 453
Date d'inscription : 06/04/2023
FC : Marie-Pierra Kakoma
Crédits : miserunt
Thèmes abordés : hacking
Infos RP : De 300 à 500 mots
FR - EN
répond vite

katastrophe
cw: revenir d'entre les morts

René est parti et contrairement à ce que dira son ami.e, Love est un.e très bon.ne concierge. Elle profite de ne pas avoir René dans les pattes pour faire les lessives de tout le monde, trie même les blancs, les couleurs et le noir. Autant dire qu’elle est pas mal occupée, entre les lignes de code qu’elle se bouffe entre les cycles et le pliage de la garde robe. Déjà, elle met sur le côté les vêtements qu’elle a l’intention de piquer dans les prochains jours/semaines.
Du gain de temps.
C’est l’odeur nauséabonde qui lui fait abandonner le pliage des slips et strings, pour aller vers la salle de bain, s’inquiète de l’écoulement de l’eau sale. Elle se penche au-dessus de la machine qui tourne, mais ne voit rien dans la tuyauterie.
Pourtant, l’air infecte vient bien de la salle de bain. Elle plisse le nez, retient un gag dégouté, sait que ça n’arrangerait rien à sa situation. Et quand elle veut se redresser, tout s'éteint. Elle accélère son geste, se cogne contre une des armoires de rangement, laisse échappe un glapissement de douleur, se retour et “whaaaaat??” Assis.e sur la machine à laver qui a rendu l’âme entre temps, un spectacle d’outre tombe très bien décrit dans le post précédent.
Love garde ses yeux sur la scène, tend sa main sans trouver son téléphone. Il n’est pas dans sa poche, puisqu’elle ne porte pas de poche. Un simple boxer, un top résille à paillette clairement à René. Son appareil est à côté de son ordinateur qui crie sa musique dans l’autre pièce. Love songe un instant à enjamber l’ouverture au sol et la… masse informe (?), mais elle est également scotchée sur place, refuse de perdre une seule seconde de ce spectacle exceptionnel.
Elle ouvre la bouche, cherche une raison à tout ça. “Carmen…?” Ca lui apprendra à invoquer des esprits avec une planche Ouija (ou plus exactement, ça risque de libérer une nouvelle passion d’invoquer tout et n’importe quoi, roulette russe de l’au-delà).
Alors, Love décide de ne pas bouger tout de suite, parce que, quoi que ça soit, ça a l’air d’avoir du mal à s'extirper et Love, vraiment, est subjugé.e. Au final, devant l’épreuve que ça a être de naitre du parquet (normal), Love décide d’encourager la masse informe. On dirait un blob sombre, les bruits sont ragoûtants et ne parlons pas de l’odeur. Puis, la forme se fait, doucement, sûrement. Des bras, des jambes, une tête.
Est-ce que c’est comme ça que naissent les bébés?
Les cours d’éducation sexuelle lui auraient donc menti?
Mais finalement, l’humanoïde se met en branle, manque de tomber et Love décide enfin de descendre de son trône d’électroménager, tente de rattraper la forme, qui glisse de sa poisse et s’éclate par terre à nouveau. “Oups. Awh poor thing i’m so sorry. Wait lemme.” Mais qu’importe ce que Love dit, ça ne semble pas comprendre ce qu’elle dit. Iel s’agite et elle décide de reculer d’un pas. Elle touche les serviettes de bain, en lance une sur les épaules de la bestiole venue des enfers. Peut-être que ça l’aidera à mieux saisir la chose qui vomit sur son parquet.
René va la tuer.
Et finalement, ça se calme enfin, peut-être face à l’incapacité de la situation. Love vient se mettre à genou devant l’humanité en faillite, évite précieusement les relents de l’outre-monde. “Hey. It’s alright. Can you hear me?” Est-ce que ce truc va s’imprégner d’elle si elle est la première personne qu’iel voit?
Hm.
Love est prête à prendre le risque.
Elle lui passe un nouveau coup d’essuie sur le visage et sous la glaise et la crasse, elle reconnait les traits. Elle s’arrête, le fluff de la serviette sur le menton du nouveau-né. “Osmond?” Ses mirettes se fixent sur l’oeil unique et elle repasse la serviette mauve sur la gueule de la créature revenue d’entre les mondes, sait-on jamais que le faciès change.
Mais non.
La gueule est toujours là.
Love ne sait pas si elle doit pleurer ou en rire.
Alors elle se fige.
Incapable de penser à la prochaine étape.
ft.   @Osmond Rose
Osmond Rose
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katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

Le moelleux d’un tissu lui ravaude la crasse amenée avec lui ; un geste et un toucher que l’homme pense esquiver, mais reste pourtant immobile. Il a gardé la prédation primitive dont il était fait là-dessous, quand il se mouvait à l’allure des colosses, et les deux yeux, l’un globulaire l’autre de feu, pivotent lentement vers l’insolente main qui ose le toucher.
Le nettoyer.
Une lueur d’incompréhension lui fend davantage l’œil brûlant et un frisson de dégoût le traverse tout entier, issu non pas de lui mais de la souillure essuyée, propriété sentiente qui ne conçoit pas l’indulgence qu’on cède à l’horrible personnage. La voix de l’individu est encore distante, obstruée par la respiration difficile du ressuscité qui mollarde ici et là des fragments du dégueulis qui couvre le carrelage. “Osmond?” Le faciès s’immobilise à l’entente de ce son, trop peu familier et pourtant éloquent. C’est un nom. Mais le nom de qui ? Celui de son hôte improvisé ? Le sien ? Alors que lentement l’œil spectral aux allures reptiliennes s’estompe, la fatigue gagne l’homme ; et avec elle un trop plein d'incertitudes. Il oublie peu à peu d’où il vient, ce qu’il a dû traverser, s’affaisse sur le carrelage dont il sent chaque aspérité et sensation de froid. L’œil organique qui lui reste ne cesse en revanche de contempler le visage en face de lui, l’incompréhension éreintée marquée par ses sourcils froncés.
Un mouvement de lèvres. Il essaie de dire quelque chose. Mais la voix reste aphone, prisonnière de sa cicatrice post-mortem. Une main grimpe jusqu’au relief tracé de la balafre, en tâte l’épaisseur et la longueur, grimpe jusqu’à la serviette à la forte odeur de linge propre, continue jusqu’au poignet qui la tient. Les doigts s’y accrochent l’un après l’autre, avec une lenteur méfiante, jusqu’à s’enrouler complètement autour du membre.
L’arracher. Se défendre. Tuer. Trouver la force de massacrer ce qui sans doute veut en retour l’éliminer. Il ne comprend pas pourquoi la paire d’yeux noirs l’émeut autant et l’empêche de passer à l’action, car ce n’est après tout que de la chair et des os et une ixième proie à peine plus vivante que celles englouties jusque-là. Englouties comment ? Englouties pourquoi ? La mémoire continue de se vider, de ne laisser au prodigieux serpent rien de plus que quelques obscurs songes pour combler le crâne humain. La violence archaïque s’étiole elle aussi ; et la main desserre sa prise. Ce qu’il lui reste de regard continue de fixer l’individu avec une intensité de fou ou de nouveau-né. A contrario des deux syllabes proférées, ce visage lui est familier. Il en note chaque détail, chaque contour, chaque variante et dégradé, s’accroche à ses ridules et l’ombre de ses cernes. Un goût de roche, non, de béton, lui vient en bouche. Sapidité désagréable qui couvre la saveur du vomi paranormal ; évoque aussi, et pour une raison qu’il ne s’explique pas, un sentiment qu’il ne pensait plus connaître : de sécurité.
Les barrières s’affaissent en même temps que le corps de l’homme, éreinté. Il tombe dans les vapes, s’écroule dans les bras de l’individu.

ft. @love craft
Love Craft
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katastrophe
cw: revenir d'entre les morts, agression

Love se fige et Osmond s’accroche. Avec force, avec virulence, comme s’il y avait encore des couches et des couches de l’outre-monde à traverser pour y arriver. Elle échappe un petit glapissement, tente de se reculer. “Osmond”, commence-t-elle, “You’re hurting me.” Rien n’y fait, et elle le repousse d’une main, qui glisse sur la poisse ectoplasmique qui reste sur la peau du revenant. Elle se colle un peu plus contre lui, il s’appuie et puis, elle chavire en arrière, Osmond sur elle.
Nous ne nous attarderons pas sur les flash-back désagréables.
Osmond, de toute façon, ne bouge plus. C’est après quelques secondes de pur effroi qu’elle le secoue un peu, reconnaît le poids des corps sans vie. Quelques larmes de soulagement s’échappent du coin de ses yeux et elle se dandine jusqu’à s’extirper du poids de la figure amaigrie.
Elle reste assise un long moment, calme son coeur et la panique, la tête enfoncée entre les genoux, tentée de vomir à son tour. Mais il y a déjà assez de mélange étrange au sol et elle craint que ça la lie encore d’une autre manière à Osmond.
Pour être sûr.e que ce n’est pas un mauvais rêve, elle pince Osmond.
Mais puisqu’il n’est pas mort (il a l’air de respirer, encore), elle prend son courage à deux mains. Difficilement, elle parvient à traîner Osmond jusque dans la baignoire (s’il se retrouve avec quelques bleus, elle lui dira qu’il l’a mérité). Elle entreprend de le nettoyer du mieux possible, passe sous un jet d’eau chaude les parties qu’elle ne désire pas toucher, assez de traumatisme ainsi dans sa vie, merci bien.
Une fois plus ou moins sec, encore de la bouillasse noir derrière les oreilles et dans quelques plis, elle le traine/porte/souffle/désespère jusqu’au canapé de salon juste à côté. Elle lui flanque les vêtements les plus roses possibles en guise de vengeance.
Ca a vraiment la gueule d’un mauvais rêve.
Et il faut encore qu’elle nettoie la saloperie dans la salle de bain.
Et elle aussi.
Pas sorti.e de l’histoire.
ft.   @Osmond Rose  
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-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

Le songe est loin d’être reposant. Il est peuplé des cris que l’hécatombe a provoqués, de figures d’Orphans tordues par la douleur et la peur, d’un sentiment d’impuissance et de la colère qui en découle. Des cris qui ricochent dans le crâne humain, où le passage dans le monde des morts a laissé aussi sa trace ; le cauchemar s’épaissit de plusieurs couches, fait trembler le corps allongé qui se réveille brusquement, en sueur. Une alarme de voiture, à l’extérieur, berce un instant les tympans sifflants de l’homme. Quelques glapissements d’effroi retentissent à la suite, des flâneurs.euses nocturnes qu’un démon échappé effraie en détruisant voitures garées et poubelles publiques.
L’ancien leader se masse la tête, enfonce ses doigts épais dans la tignasse grise encore un peu humide. On l’a lavé. On l’a bougé. Péniblement, il se redresse sur un coude pour retrouver une position assise. On l’a… habillé. Sous son regard morne et pour le moins vide ses cuisses sont affublées d’un jogging rose — à mieux y regarder, ses bras sont aussi pourvus des manches roses d’un sweat. Le cauchemar persiste, sans doute…
Mais il est bien réveillé. La migraine est réelle et avec elle la perception lucide de ce monde insipide. Les coudes se plantent sur les genoux vêtus et il prend sa tête entre ses mains, crispant ses doigts autour du visage. Les flashs du carnage du QG de Orphans éclatent maintenant par petites piqures lancinantes tout en disparaissant dans l’obscurité de sa mémoire ; les ongles de l’homme se plantent plus encore dans la chair molle de son scalp pour tenter de les retenir. En vain.
Un mouvement devant l’arrache finalement à sa position. Une silhouette qui passe en coup de vent, occupée à nettoyer la pièce adjacente. “Love.” Le son lui échappe, difforme, sifflant, à peine audible, filament de douleur qui lui râpe l’œsophage. Les tremblements lui reprennent, ceux-là nerveux, mais le corps reste calme, le menton hirsute tourné vers la salle-de-bain où il entend qu’on s’affaire. Love. Quel étrange mot à dire quand on déborde de haine. Il connaît cette personne mais le reste demeure opaque. Ce qui ne l’est pas, en revanche, c’est le lien inextinguible qui l’unit à elle, un réseau invisible, souterrain, qui part d’elle et vient à lui. La sensation d’avoir répondu à son appel — et la conviction que c’était une erreur. Conviction mitigée ; pas la sienne, pas tout à fait. Sous ses pieds nus, quelques mouvements occultes s’insurgent encore de sa libération, picorent sa peau comme un fourmillement culpabilisant. Il s’en dégage en repositionnant ses voûtes plantaires sur le tapis à poils longs. Un autre élément de décor, en plus du rose dont on l’a affublé, qui lui fait plisser le nez.
Where am—” Le feu dans sa gorge ne désemplit pas. Il grimace, porte une main à sa cicatrice. Dans son cauchemar, il perdait la tête à tous les niveaux ; ça lui revient un peu. “Please—”, arrête-t-il son hôte, une main levée comme on marque un temps mort. La lassitude habituelle des traits retrouve son chemin sur la figure d’Osmond. “Stop rushing around, you're making my head spin.” Déjà plus de voix dans le ton sentencieux. Pour ce que ça lui donne de majestueux, dans ses atours roses et sa position de souffreteux. Il ne pourrait même pas se lever, les jambes restent flageolantes, il le sent. La main se retourne, invite. “Come—let me have a closer look at you.”  

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Love Craft
Humain·e
Love Craft
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ÂME
Alias : 1912 unabiding, the mute
Genre : nb fem, elle, genrée fem + inclusif
Age : 28 ans
Dollars : 2125
Statut : no love, no heart
Occupation : team leader modération de contenue MW; Citizen0 de la hot-line 1912, support aux supers
Habitation : dort plus souvent au travail, loue son appart au black
Pseudo : gan-sha
Comptes : andrea, rapha, georgie, pallabi, sunday
Genre IRL : elle/she
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Date d'inscription : 06/04/2023
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Crédits : miserunt
Thèmes abordés : hacking
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katastrophe
cw:

Tellement dans sa bulle qu’il faut un réel mouvement dans son angle mort pour que Love comprenne qu’Osmond s’est réveillé. Elle arrête son va-et-vient de serpillère, pivote sur elle-même, animal en alerte. Elle le zieute, les paupières abaissées, suspicieuse. Mais il lui parle et elle pousse un soupir, abandonne son matériel de nettoyage. Elle va jusqu’à l'accoudoir du fauteuil, sur lequel elle se perche, animal prudent et curieux. “I should get a look at you.” Mais Love n’est pas médecin et elle ne sait pas qui elle peut appeler à ce propos.
Osmond est mort.
Elle l’a vérifié, sait qu’il n’était plus de ce monde.
Sauf qu’il a salopé la salle de bain de René dans un retour à la poltergeist et qu’il est là, sur le sofa de René. Elle fronce un peu les sourcils, se demande si finalement c’est la faute de Carmen, ou de René. “How did you get here?” Question idiote, elle ne sait même pas si elle comprendrait ce qu’il a à dire. Love sait qu’Osmond est un mutant, il n’y a pas de doute là-dessus, imagine que c’est lié à son pouvoir. Mais il a l’air terriblement misérable, même si Love ne le regarde pas avec une once de pitié.
C’est la méfiance qu’elle a dans ses traits.
How are you feeling?” Peut-être commencer par quelque chose de plus sain/simple. Ses mains restent sur ses genoux, même si elle aurait envie d’étudier Osmond sous tous les angles.
La réalité est qu’elle a vu assez d’angles d’Osmond pour tout une vie.
Do you feel thirsty, or hungry?” Love est terriblement désemparée. Elle ne sait pas faire ça, prendre soin des autres, veillez à leur bien être. C’est tout juste si elle arrive à s’occuper d’elle-même (aurait été un franc massacre sans Uber eat).
Alors, d’Osmond?
N’était-ce pas lui qui a pris soin d’elle, dans une époque révolue, oubliée.
Est-ce qu’elle l’oubliera à nouveau, une fois le cycle de care arrivé à sa fin?
ft.   @Osmond Rose  
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1477
Zone libre :
katabasis (love) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

katabasis (love) Ra48t6aq_o katabasis (love) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

katabasis (love) AxI6stHu_o katabasis (love) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
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Crédits : Martyr (av.)
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katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

Il suppose que c’est elle, Love. Que cela soit un surnom, un nom d’emprunt ou— non, ce n’est rien d’autre que ça. Un nom d’emprunt. Love. Gravé en filigrane sur son visage méfiant comme si ce visage l’avait déjà mille fois regardé avec méfiance ; une habitude qui réveille cette satanée mémoire endormie, morte, ou quelque chose entre les deux. Love reste à une certaine distance sans venir s’assoir à côté de lui pour qu’il l’observe de plus près, comme demandé. Les rides se plissent sur une expression contrariée. Autre habitude qu’il se remémore vaguement ; elle le contrarie souvent. Elle est pourtant en vie et n’a pas l’air de le haïr. C’est qu’il a dû être très patient avec elle. “I should get a look at you. - No need.” Elle a déjà fait assez sur cette carcasse humaine dont il se désintéresse platement.
Osmond tire un peu la nuque vers l’avant, dévisageant Love dans le clair-obscur du salon, l’orbite vide absorbant les quelques ombres. Il déborde de questions mais c’est elle qui les pose avant lui. “How did you get here?” Il cille. C’est à lui que revient le droit de lui demander ça. La malice et la tromperie n’ont pas l’air de briller dans les billes noires des Love ; c’est que la question est sincère. “You brought me back.” Il y a du reproche dans le grain étouffé et placide de sa voix. Il ne sait pas encore grand chose mais il sait qu’il ne voulait pas revenir. Il sait aussi que si sa mémoire est pour l’instant inerte elle demeure lourde, et lorsqu’elle se ranimera il lui faudrait supporter son poids cruel. Pour cette raison, Osmond détaille Love à la recherche d’indices. Il veut comprendre comment elle s’y est pris et s’assurer que nul ne recommence jamais.
How are you feeling?” Le regard met un certain temps à s’arracher à son auscultation. En partie creux, il se redresse vers Love, légèrement plus haut.e que lui puisqu’elle est perché.e. La concentration qui a succédé à la contrariété fait maintenant place à la confusion. Ça n’a tellement pas d’importance qu’il n’a aucune réponse à donner, mais parce que la question est posée l’esprit embrumé s’interroge malgré tout comme si Love lui avait brusquement braqué un miroir et qu’il découvrait son reflet. Piteux et faible. Un rictus sévère le traverse. “Pathetic.” Osmond se pince le nez en fermant les paupières, un soupir las ponctuant sa réponse. Son existence sur terre n’a jamais été très digne, c’est à croire qu’il devait la terminer comme il l’a commencée.
Mais il ne l’a pas encore tout à fait terminée.
Do you feel thirsty, or hungry?” Love ne cesse pas, elle continue de lui poser des questions, encore et encore. De le ramener aux préoccupations terrestres. Ça l’ennuie, l’agace, le contrarie. “… yes, and… yes,” avoue-t-il pourtant, presque trop penaudement derrière ses allures de monarque déchu (et rose). Il se rend compte avoir faim, avoir soif, avoir même peur et être perdu. Quand il relève le menton son regard crevé fait le tour de la pièce qu’il ne reconnaît toujours pas, avant de revenir sur le seul élément qui lui semble familier dans cet océan de désarroi. “Do you need me to kill you?” Sans transition. Pour lui c’est une question comme une autre qui ne revêt pas le moindre problème moral. Il la pose avec le même grain de sollicitation que Love lui a demandé s’il avait soif ou s’il avait faim. Osmond cherche sans comprendre. Il est forcément ici pour une raison. “Do you need me to kill someone for you?” Il y a de l’exaspération dans cette formulation car il ne supporterait pas avoir été invoqué comme on invoque un piètre démon. Mais enfin ; si cela lui permet de repartir, alors soit.
I'm not sure there's anything else I can do for you.” Une franchise qui s’accompagne d’un froissement de sourcils. Le monstre redevenu homme qui demeure malgré tout monstre ; on ne pourra cependant pas lui reprocher de ne pas connaître ses limites. Son ventre gargouille mais il l’a déjà oublié. Son seul orbe organique reprend la dissection méticuleuse du visage de Love où il essaie de deviner avant même qu’elle réponde ce qu’elle veut de lui. “Why did you bring me back?” 

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katastrophe
cw:

Il y a quelque chose de rassurant qu’iels se scrutent toustes les deux comme des créatures étranges, zoo du paranormal. Il n’y a pas besoin des regards en coin (auxquels Love n’excelle clairement pas), de questions détournées. Il n’y a que l’établissement des faits.
Ou, dans leur cas, de toujours plus de mystères.
Osmond la regarde comme s’il la voyait pour la première fois et ça s’enfonce en elle, pareil à des kilos de gravats.
Il ne se souvient pas d’elle.
Elle inspire, ferme les yeux, fronce les sourcils sous les ténèbres. Pourtant, il y a le doux son de la voix légèrement rauque d’Osmond et elle sait qu’elle ne rêve pas.
C’est pour ça que ça lui fait si mal.
You brought me back.
Non.
Dammit, Karen.” Carmen* Ca lui apprendra à jouer avec les fantômes. Love rouvre les yeux, regarde un instant ses mains, ne sent rien de spécial, rien de paranormal en elle. Toujours humaine, du bout des ongles au bout des tresses. Elle se redresse, va chercher son paquet de clopes qui trainent quelque part. Elle ramène une tasse en guise de cendrier, se promet d’aérer parfaitement pour que cette odeur ne reste pas dans l’appartement de René.
Quoique en voyant le sol de la salle de bain, il y a d’autres sujets qui inquiéteront son hôte.
Elle amène la carafe d’eau, un verre, et le restant de nouilles qu’elle dépose sur la table basse. Elle a pris une fourchette, à la place des baguettes. Doute de la dextérité de celui revenu de l’outre-monde.
Elle retrouve sa place sur l'accoudoir, les jambes installées sur le coussin du fauteuil. Elle se porte cependant en arrière, repousse Osmond du pied aux questions. “Chill, dad, jeez.” Elle s’allume sa cigarette, un zippo familier entre les mains, qu’elle considère à peine actuellement. “I didn’t summon you back. You are dead… were?” Elle inspire le tabac, appuie un point de sa tempe. “Do I look like an exorcist to you?” Elle lève soudainement un doigt. “Don’t answer that.” Parce que dans son boxer et son haut transparent, doublé de la couche d’ectoplasme de de l’enfer, elle ne veut même pas entendre une voyelle sortir de la bouche d’Osmond. “I didn’t even know you could come back from the dead. Like, next time give me a heads up, to avoid me sulking for days.” Ca la dérange, qu’elle admette ça avec autant de liberté.
Iels n’étaient pas si proches que ça.
Est-ce que revenir d’entre les morts compte comme une activité saine père-enfant?
Mais bon, puisqu’iels en sont à titiller le diable. “You don’t remember who I am, do you?” Bien l’égocentrisme Love, très bien. “Do you even remember who you are… were?” Mieux.
ft.   @Osmond Rose  
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Love est une silhouette étrange à contempler. Sans doute parce qu’elle est en vie et déborde de mouvements concis et fébriles en tourbillonnant dans une pièce où les ombres la bordent ici et là. Ça fascine Osmond, lui qui vient des ténèbres où tout est mort. Chaque fois que les lumières crues des néons la récupèrent il a néanmoins des rictus et des torsions de lippes mauvais, comme si on le vexait. Pourtant, son calme demeure. Une tranquillité lourde et attentive. Une docilité fragile qui lui couvre les épaules, affaissées et tournées vers Love qui est revenu.e s’assoir.  
Les réponses affluent au même rythme que la pitance vers laquelle le regard crevé se baisse. Il récupère l’eau, dont il boit tout le contenu qui lui déborde des commissures, et capture les nouilles, qu’il mange gauchement, à la fois affamé, à la fois attaché à ce que lui répond Love.
La surprise le traverse au mot dad, tandis qu’il reste coi à celui d’exorciste, empêché par un doigt sévère de répondre. S’il ne se souvient de rien il sait toutefois avoir croisé — bien qu’affronté serait sans doute plus juste à dire — suffisamment d’exorcistes dans son existence pour examiner cellui-là avec perplexité. La fourchette se lève brièvement au-dessus du carton huileux, signant sa reddition ; soit, iels ne débattront pas à ce sujet. Il a de toute façon des restes froids et fort peu ragoûtants à avaler goulument.
I didn’t even know you could come back from the dead. Like, next time give me a heads up, to avoid me sulking for days.” Osmond continue de fixer Love autour de qui des simili d’indices commencent à se construire. Mais il n’est pas plus avancé sur le reste. “You don’t remember who I am, do you? Do you even remember who you are… were?” Un silence profond résonne en lui. Du vide à perte de vue qui lui donne le vertige. “Your father?” La déduction s’accompagne d’un ton feutré, presque grinçant, où la confusion côtoie l’hésitation. Quelque chose se réchauffe un peu dans le froid immense de son vide ; si la chose sonne faux l’envie d’y croire l’adoucit. En dehors de cela c’est le néant. Non pas dans le sens où il ne trouve rien, mais dans celui où c’est précisément tout ce qu’il trouve en cherchant un peu.
Du néant.
Et puis, une lueur. “What’s in your hand?” Le bras se tend jusqu’aux mains de Love, tremblant et maladroit mais terriblement décidé à s’emparer du zippo. Les doigts le saisissent et le ramènent vers lui. Ses empreintes palpent le vieux métal ciselé. “That’s not yours,” commente-t-il platement, continuant de tourner l’objet entre ses ongles sales. “Who’s Karen?” Il repose de son autre main le carton huileux vidé de son contenu. “Did she borrow it?” Plus il touche et regarde le zippo plus il sent y être connecté. L’objet était sans doute à lui — des scènes de spectacle végasiennes, l’odeur du cigare et des rires étouffés y sont attachés. Puisque Love semble innocent.e et tout aussi perdu.e que lui, se pourrait-il que cette Karen soit la vraie coupable de son retour ?
Absorbé par ses réflexions Osmond finit par lever son regard crevé vers la silhouette perchée. “I remember you as Love. A nickname, perhaps? Should I call you that or something else?

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katastrophe
cw: deadname

Une liste se fait dans l’esprit de Love.
Tout ce qu’Osmond Rose a mangé devant elle.
Des frites dans le café.
Du bubble tea.
Des nouilles froides.
Et peut-être qu’on apprend le plus, sur les gens, en les regardant manger. Il lui manque l'élégance qu’il avait dans le Red Chips, où il élevait à lui tout seul la crasse du lieu. “Want something else to eat?” demande-t-elle de manière détachée. Il faut dire qu’il n’a pas laissé une seule chance à la nourriture.
Et puis, il y a plus important que la nourriture du corps (même si, en considérant la manière dont il est venu au monde, elle se doute qu’il doit avoir faim… devrait-elle l'amener chez Amy?). Il y a la celle de l’esprit.
Déréglé.
Oublié.
Your father?AH!” Elle tend son bras vers lui. “Wrong!” Elle savait qu’il tomberait dans le piège, sinon il aurait eu une mine encore plus patibulaire au souvenir. La satisfaction, pourtant, est de courte durée. Si lui aussi a oublié le lien qui les unissait dans ce passé, qu’est-ce qu’il leur reste? N’est-elle plus que la personne qui l’a cueillie dans une vase noire et nauséabonde? Plus les interrogations d’Osmond pleuvent, moins elle voit l’homme qu’elle a connu.
Reprendre à zéro.
Quelque chose de terriblement dérangeant pour Love, qui a une horreur - justifiée - pour l’amnésie. Le sujet se porte sur le zippo et elle fronce les sourcils, bien qu’elle laisse glisser l’objet de ses doigts, le métal froid se transmet d’une paume à l’autre. “That’s not yours. Who’s Karen? Did she borrow it?Who’s Karen?” Love a déjà oublié le glissement de sa langue. “You gave it to me, before you died.” Elle penche la tête, se demande si Osmond savait qu’il mourrait.
Est-ce que c’est ce qui a justifié sa gentillesse et sa patience ce jour là?
Elle se gratte le coin du crâne, souffle la fumée de sa cigarette. “Do you remember it?” Elle ne sait pas l’importance qu’a l’objet pour Osmond. “Do you… want it back?” C’est demandé avec la réticence de ces enfants qui ont grandi avec peu, et donc s’attachent terriblement au peu qu’iels ont.
A contre-coeur.
C’est tout ce qu’est la conversation, pour Love.
I remember you as Love. A nickname, perhaps? Should I call you that or something else?” Elle ne sait pas expliquer et n’exprimera définitivement pas la violence, de ne pas être rappelée. Elle préférerait écraser la braise de sa cigarette sur sa propre langue. “It’s not a nickname.” Il y a une tension dans sa nuque et elle redresse le menton. “That’s my name.” C’est dit avec cette sévérité. “You used to call me another way. But let’s not get there. It was trash, anyway.” Fitting, pour celle qui avait été retrouvé.e dans les gravas.
Mais elle n’a jamais aimé ce nom.
Ni la personne qu’elle était.
Nouvelle taffe de cigarette, elle regarde Osmond dans l'œil. “You’re a mutant. Remember any of that?” Love ne sait pas exactement l’étendue des pouvoirs d’Osmond. Il n’y a qu’une information dont elle est sûr.e. “What about Jo?” Plissement vif des sourcils. Elle craint assez pour l’appartement de René, ajoute rapidement: “maybe let’s try Jo when we are outside. The place is already fucked-up enough.
ft.   @Osmond Rose  
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1477
Zone libre :
katabasis (love) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

katabasis (love) Ra48t6aq_o katabasis (love) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

katabasis (love) AxI6stHu_o katabasis (love) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 518
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

Il y a une hésitation marquée sur la vieille figure. Manger plus, oui. Autre chose, aussi. L’odeur des nouilles flotte encore dans l’atmosphère mais ce n’est pas ça qui rappelle son appétit. Il a faim d’âmes. Et les plus pourries possibles. “I’m good.” Mensonges et ironie font partie intégrante de son langage ; il se souvient. Combien d’autres réminiscences l’attendent aux portiques de sa mémoire ? Beaucoup. Il les sent presser contre ses tempes à la façon d’une horde — semblable à celle qui l’a accompagné jusqu’ici et dont il perçoit par petites pulsations nerveuses la présence chaotique dans le quartier.
AH! Wrong!” S’il avait la capacité de sursauter l’enthousiasme de Love l’aurait fait bondir. Une chance que son corps soit un poids mort dont il peine encore à bouger chaque excroissance. Il sourcille devant la scène, surpris encore, déçu, en opposition à l’élan triomphant qui savoure son erreur et célèbre l’absence d’un lien filial. C’est un soulagement vexant, naturellement, mais il ne peut pas nier qu’il ferait un père ignoble. La réaction de Love est ennuyeusement appropriée. “So the dad was just a tic,” commente-t-il pour lui, contemplant d’un air sombre le zippo qu’il fait tourner entre ses doigts. Il ne se réhabitue que difficilement à la sensation du toucher. Tenir la fourchette lui a coûté presque autant d’énergie qu’il lui en faut pour inspecter l’objet.
Karen est assez vite oubliée. Il ne saura jamais qui elle est. “You gave it to me, before you died.” Son œil se lève en direction de Love. Le mystère s’épaissit et se diffuse tout à la fois, comme la fumée que la bouche de Love souffle. “Do you remember it?” Un bref silence. “You were upset. And it was bright.” La prunelle glisse sur le côté, aspirée par les flashs vifs qui s’imposent à l’esprit. Une promenade étrange sur les hauteurs de la ville. Une façade. Le sac de Love. Ses tremblements catastrophés et ses bras repliés, pareils à une grille derrière laquelle on se protège. De lui. “Do you… want it back?” L’œil revient observer le visage qui le surplombe, plus familier et complexe qu’il y a quelques secondes, avant de basculer derechef vers le zippo. “Yes.” Il a très bien remarqué sa réticence. C’est sans doute pour cela qu’il précise. “I have a feeling that it is a kind of … catalyst. I was guided by it. Summoned, really.” Il y a un durcissement implacable sur son faciès et dans le feutre de sa voix. “I don't want this to happen again.” Une crispation raide fait se refermer les doigts sur l’objet. Il entonne un nouveau silence plutôt que de faire promettre à Love de ne jamais recommencer ; c’était après tout un accident. Elle n’avait pas l’intention de le ramener à la vie.
C’est un soulagement qui lui fait l’effet d’un coup de poignard.
It’s not a nickname. That’s my name.” La sévérité de Love trouve un allié sur le visage d’Osmond, redevenu impavide mais attentif. Il se sent sourire intérieurement, attendri par sa froideur. “You used to call me another way. But let’s not get there. It was trash, anyway.” Un plissement de sourcils trahit sa confusion. Il ne se souvient pas du surnom de Creet ni du cataclysme bétonné dans lequel il l’avait trouvé.e mais leur conflit gravitant autour de ce passé se précise, aiguillé par la distanciation du ton que Love prend. “What an infuriating non-father I must have been,” jauge-t-il d’un haussement de sourcil. Le qualificatif lui a quasiment été soufflé par les toux malingres de sa mémoire et la voix lointaine de Mute y résonnant.
You’re a mutant. Remember any of that? - And I thought I was a god.” Dans sa tenue décontractée, trop serrée et rose, Osmond a un mouvement de tête las avant de s’enfoncer plus pesamment dans le canapé, de profil à Love. Chacune de ses questions désobstrue la mémoire du revenant, met en relief des parties de son histoire et de sa personnalité. Le sarcasme de sa remarque n’est pas dénué de sincérité. Il y a bien eu un temps où il se croyait démiurge. Et le sable brûlant qui irrite encore sa gorge et s’incruste dans sa cicatrice oeuvre comme une tentation à continuer de le croire. “What about Jo? - Who's that now? - maybe let’s try Jo when we are outside. The place is already fucked-up enough.” Osmond a tourné la tête vers Love. Il la considère longuement, assommé par les vagues de récognition et l'interrogatoire dont il fait l’objet. Interrogatoire auquel il n’a pas l’intention de mettre un terme.
Give me one, will you?” Il donne un coup de menton là où Love garde ses cigarettes. Son bras a un mouvement saccadé et sa main tremble quand il récupère la transaction. Le zippo crisse, le fait frissonner perceptiblement, allume la tige. “ɿςԲ૯੮.” Le véritable nom de son serpent de ténèbres est un condensé de sifflements sordides et de stridulations gutturales dans la bouche de son maître. Imprononçable pour tout autre organe que le sien. “Jo, yes,” souffle-t-il, répandant plus de fumée encore dans ce coin de salon. Osmond remonte le fil de ses pensées, et avec elles celui de ses souvenirs. Ses vertèbres craquent en revenant dans leur axe. “I remember it. Not quite the entity I thought it was, down there. It's more of … an ideological thing.” Les mots sonnent creux, ils sont vains pour donner corps au compendium des lois occultes auxquelles il appartient. Un certain désir s’entremêle pourtant à sa voix, celui d’initier Love, l’ouvrir aux arcanes d’un monde qui le fascine et le tourmente. “A balance,” mime-t-il, les paumes brièvement levées oscillant dans la pénombre. Puis il fume. Regarde à nouveau Love. “Jo was part of me. And I,” il souffle encore, fumée opaque, regard absorbé. “I was chaos.” Une solennité aussi cruciale qu’elle est glaciale traverse la vieille figure. “An arduous task,” ajoute-t-il, un sourire comblé ourlant un coin de sa bouche. Son seul oeil brille d’une lueur tout à la fois joviale et infernale tandis qu’il passe d’une bille noire de Love à l’autre, désireux de lui communiquer sa béatitude. Passagère.
It felt right. A place to belong.” La jovialité s’éclipse de ses rides tandis qu’il embrasse l’appartement d’un regard morne, voyant au-delà de la lumière crue des néons et de la décoration savamment pensée rien de plus que l’insipide réalité dans laquelle on l’a ramené. “Tell me, Love. Do you know who killed me?” Il sait qu'il est mort et il sait qu'on l'a tué. Que cette cicatrice couvrant sa gorge et l’œuvre de son assassin — pas que ce soit d’une quelconque importance. Ce qu’il veut vraiment demander c’est. "Do you know why I was killed?Why doesn't this world want balance?

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Love Craft
Humain·e
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Alias : 1912 unabiding, the mute
Genre : nb fem, elle, genrée fem + inclusif
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Occupation : team leader modération de contenue MW; Citizen0 de la hot-line 1912, support aux supers
Habitation : dort plus souvent au travail, loue son appart au black
Pseudo : gan-sha
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katastrophe
cw:

Love scrute Osmond comme elle n’a jamais scruté personne. Parce qu’il n’est plus l’homme qu’elle a connu, qu’elle en viendrait presque à regretter le fantôme de leur passé. Elle ne sait pas encore si c’est une bonne chose, d’avoir cette opportunité. Elle n’a jamais cru à la possibilité de recommencer à zéro. Parce que son dernier départ à elle avait tout de faux.
Celui d’Osmond n’est pas plus mal non plus.
So the dad was just a tic.No, that was a trap.” Dans leur vie passée, Osmond aimait son intelligence, sa capacité à résoudre les problèmes d’une manière différente, habile. Ici, il semblerait que l’intelligende de Hierophant soit restée dans l’outre-monde, ou qu’elle ne se soit pas encore éveillée.
Elle ne devrait pas lui en vouloir.
Mais il y a cette rancune qu’elle ne s’explique pas, Love. Celle de voir l’homme qui n’avait fait que miroiter ce qu’il aurait pu être pour elle, n’être plus rien et n’avoir plus aucun souvenir d’elle. Passé définitivement effiloché, incapable de rattraper la moindre bribe de ce qui n’existe plus depuis longtemps.
Et pourtant.
Pourtant Osmond se rappelle des choses sans importance.
De ces souvenirs peu glorieux, surtout. Les paupières de Love s’affaissent un peu à la mention de souvenir du revenant, surement une victoire pour lui. Love regarde ses orteils, se demande s’il serait judicieux d’écraser ça dans l'œuf.
Surtout qu’Osmond veut lui prendre son jouet fétiche.
Elle plisse encore plus les lèvres, concède à contre-coeur. “Fine. I guess you can have it back.” Elle se mord l’intérieur de la lève, ne pense pas à tous les souvenirs qu’elle a construit avec ce briquet. “You better get me a new one, once you remember your card code.” Elle va pas le laisser s’en sortir comme ça non plus. “What an infuriating non-father I must have been.I don’t know. It was me, who couldn’t remember that part.” Et quelque chose l’effraie au plus haut point, cette possibilité que Love et Osmond se connaissent depuis la nuit du temps, mais continuent de s’oublier, l’un après l’autre, ouroboros de l’amnésie. Elle fronce les sourcils.
Ca expliquerait Jo. “ɿςԲ૯੮.” Son guttural que Love n’explique pas, tente de mettre les sonorités bout à bout, pour former un sens préhensible par sa psyché. “Jo, yes.Oh. Joffrey. Makes sense.” Elle préfère relevé ça que l’idée délirante (mais possible) qu’Osmond soit un quelconque dieu des ténèbres. Elle ne serait pas étonné.e que des bougies noires soient allumées quelque part dans le monde vouée à la noirceur Joffrey. “I was chaos.You’re wearing pink, dude.An arduous task.Nah, it suits you.” Le sourire de Love montre toutes ses dents.
Deux personnes peuvent être le chaos incarné. Trous noirs en résonance.
Et les questions se font de plus en plus grave, sans que Love ne cille.
Il faut dire que Osmond qui se Poltergeist dans la salle de bain de René a mis la barre très haute aujourd’hui.
Elle regarde l'orbite unique. “I don’t know.” Elle tape ses cendres dans le récipient. “We’re not close, Osmond.” Il n’y a même pas une pointe de regret, parce qu’elle s’enfonce assez en dessous de son coeur pour qu’elle ne s’entende pas dans sa voix. “You got your lies, I got mine. That was our balance.” Elle le pointe de ses deux doigts qui gardent sa cigarette. “The fact that you came only for the lighter is proof enough. There are probably people who knew you better, know what happened.” Elle pense à Amy, la seule personne qui lui vienne en tête. “What if I tell you fish’n’chips? Ring any bell?” On dirait qu’elle passe du coq à l’âne.
Mais pour une fois, ça fait sens.
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katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

Le grand sourire fomentateur de Love flotte encore sur son unique rétine comme une série d’épingles brillantes tandis qu’elle répond : “I don’t know. We’re not close, Osmond.” Les syllabes dissonantes de son faux nom marquent un point d’arrêt sec qui le fait avoir un petit mouvement de menton. Plus il passe du temps avec Love plus les linéaments de leur relation se distinguent. Plus il lui semble qu’elle se recule et qu’il ne peut rien faire pour la rattraper. C’est une étrange sensation que celle de perdre quelque chose qui n’a de toute évidence pas lieu d’exister. “You got your lies, I got mine. That was our balance. - I see. - The fact that you came only for the lighter is proof enough.” Une conclusion réductrice qui lui fait plisser du nez. “I didn't come back for the lighter, the lighter is what made it possible for me to come back,” souligne-t-il d’un ton à son tour sévère sans être froid. Il n’apprécie pas qu’elle s’imagine être un élément de second ordre dans l’équation occulte qui l’a ramené à la vie, quand bien même tout ses souvenirs les concernant ne soient pas entièrement revenus : il en sait assez pour savoir qu’elle compte pour lui.

There are probably people who knew you better, know what happened.” Il ramène son visage droit devant, s’absorbant dans une énième contemplation du salon. Sa main ne lui transmet pas la brûlure que la cigarette provoque en se terminant entre ses doigts. “What if I tell you fish’n’chips? Ring any bell?” Le souffle lui manque momentanément, comme si on avait vidé la pièce de tout oxygène. Il papillonne des yeux, hausse les sourcils, coince davantage sa nuque dans le dossier du canapé. “Reminds me of coffee.” Une expression déconcertée ondoie sur ses traits acérés, la même qu’il a eue en découvrant la composition du petit-déjeuner de Love ; le souvenir se façonne doucement dans sa tête, avec une indulgence traitre. Ils sont à la fois ici, dans ce salon inconnu, et là-bas, à l’angle de sa mémoire où se construit une salle pleine de néons et d’odeur de friture. Ils trempent quelques frites dans le breuvage et un petit sourire germe en dessous de ses sourcils froncés. “Now I'm hungry for chips.” Il y a un regard mi-amusé mi-accusateur qui glisse vers Love.

Puis le relief de son sourire se morcèle sur une expression grave, sombre, et bouleversée. Le regard crevé dérive longuement, comme s’il voulait échapper à quelque chose qui le suivrait dans la pénombre. “Reminds me of metal, too.” A son goût, qu’il sent peser sur sa langue et couvrir ses gencives. Le goût s’accompagne presque instantanément d’une peur panique et d’une colère immenses qui le font se lever d’un bond, le corps rigidifié sur une posture alertée. La cigarette lui brûle maintenant complètement les doigts mais ils continuent de l’écraser entre eux et déverser de la cendre sur leur passage. Le zippo est comprimé dans son autre main.
Osmond se met à faire quelques pas soudain moins hésitants et moins tremblants, comblant l’espace de sa carrure massive et ridiculement rose. Il paraît noyé dans une réflexion intense qui le possède presque plus qu’il ne la possède. Derrière son son unique rétine ne flotte plus l’insolent et joyeux sourire de Love, mais une suite précipitée de visions caléidoscopiques, accompagnées par une série sans fin d’émotions totalement contradictoires. Des spasmes agitent les mains d’Osmond, allant jusqu’à couper la cigarette en deux.

Where is—I don’t understand—” Un grand heurt éclate soudain sur l’une des vitres du salon, sans la briser pour autant. A l’extérieur, une première silhouette grouillante et noire rampe à la verticale dessus, avant qu’une seconde la rejoigne, agitées à égale mesure qu’Osmond s’agite. “Where is everyone—where is he?” La pénibilité du dialogue réside en cela qu'il ne s’adresse pas à Love mais à quelque chose d’autre qui refuse encore de lui répondre. Les démons parviennent à s’insérer dans les millimètres d’interstices et se reformer de l’autre côté, redevenus formes bipèdes qui se courbent et claudiquent dans le dos de leur maître, en direction de Love qu’ils identifient comme la source du problème. Deux carcasses fuligineuses bien plus grandes qu’elles si elles se redressaient, qui fondent sur sa personne pour la détruire.
Osmond se retourne in extremis, le visage tordu par l’effroi et la fureur, un bras tendu en direction des créatures. “YOU DO NOT TOUCH HER.” Elle s’immobilisent instantanément, contracturées par des douleurs qui les font pousser plusieurs cris stridents et difficilement supportables. L’implacabilité de la voix de leur maître se termine dans un sifflement difficile alors qu’il fait face aux flots de réminiscences tout en approchant maladroitement ses nouveaux pouvoirs. “You do not…,” répète-t-il cette fois dans un trémolo ténu qui ne lui ressemble pas. Il a la certitude d’avoir assez perdu comme ça ; le doigt qui désignait les démons se baisse dans des tremblements raides. “You do not touch her.” L’intonation reprend en autorité et calme alors qu’il regarde Love avec toute l'intensité dont son seul œil est capable.

I’m sorry.” Pour beaucoup de choses les concernant. A commencer par la paire de monstres qui était prête à la tuer. Il n’y a jamais eu de place à ses côtés ; tout est voué à être anéanti. Sa sincérité pudique mais austère n’en dira guère plus. “I'll take them with me.” Il appuie sa promesse d’un mouvement de tête vers les démons qui continuent de feuler et de se tordre par terre en griffant profondément tout ce qui se trouve à leur portée. “They won't bother you again.” Pas qu’il minimise la tentative d’assassinat. Mais ils s’entendent. La main gauche continue de serrer le zippo, blanchissant ses jointures ; il contourne très amplement Love, les créatures rampant douloureusement à sa suite, jusqu’à arriver à la porte de l’entrée. “Do you know what this fish’n’chips is called?” Il fait dériver son regard vers les paires entassées à l’entrée, cherchant chaussure à son pied.

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katastrophe
cw: démons, peur de l'abandon

C’est un bon début, observe Love, quand Osmond confirme le mot café, et non frites. Certes, il arrive en deuxième, mais il est plus facile d’imaginer Osmond boire du café dans un lieu qui ne s’y prête pas, plutot que les dites frites (même si elles sont très bonnes).
Et soudain, la moue se plisse et elle se penche vite, pour taper sur la main qui se fait malmenée par la cigarette, les braises trop proches des doigts. Elle donne une tape, pour qu’Osmond lâche les cendres et la fin de la clope, Love qui s’empresse d'écraser le reste de la braise pour ne pas abîmer plus encore l’appartement de René. “Are you all right?” Mais la gueule se tord à nouveau, chez celui revenu des morts.
Love garde le silence de longues secondes. La demande est faite d’une toute petite voix, entre le murmure et les secrets confidents des enfants pris dans leurs bêtises. “Is it because of the fries?” Celles qu’elle lui a fait tremper dans le café. Mais Osmond avait l’air d’apprécier, dans les limites de ce que le coeur de Hiérophant peut traduire de son affection pour une chose (doute que l’organe batte pour quelqu’un) (et l’idée fait encore plus de sens pour elle qui est incapable d’aimer) (une rare similitude fabulée d’un père mort, puis un père enlevé, que des figures paternelles absentes, qui du coup ne peuvent que lui enseigner l’absence des sentiments) (va-t-elle badder si elle apprend un jour que même celleux qui reviennent d’entre les morts peuvent aimer? sûrement) (d’où vient Love, pour n’avoir de l’amour qu’un nom qu’elle s’est elle-même attribué?).
La loop de réflexion est coupée, happée par des figures matérialisées de l'éther et l’obscurité. Love ne bouge pas, parce qu’elle apprécie être une observatrice silencieuse. Elle ne bouge pas, surtout, parce qu’il y a ce frisson d’outre-monde qui la tient par les côtes, elle a tout juste son téléphone à portée de main, filme l'interaction comme quand Carmen s’est manifestée dans le bureau de Hiérophant.
Elle sent le souffle de l’enfer sur ses paupières, tend la main.
La voix d’Osmond retentit et iels sont trois à sursauter, gamins pris sur le fait.
Love range immédiatement sa main dans son dos, tandis qu’elle continue de visser son troisième oeil électronique sur les choses.
Love ne sait pas ce que sont ces créatures, mais elles obéissent à Osmond et elle échappe un “awh man” puis un “awh daddy” à l’injonction protectrice du mort-pas-mort.
Et puis, elle se relève soudainement quand les orteils d’Osmond flirtent avec les chaussures. “Wait!” Le téléphone s’abaisse. “Are you leaving?” Brisure qu’elle ignore dans sa voix. Son regard vacille entre les créatures étranges et Osmond. “Can I keep one?” L’art de la négociation. “Can I come with you? Where are you going? Like. Do you even know, where you are going?Do you know what this fish’n’chips is called?See, you don’t even remember the place. I’m coming with you.” Elle tend son doigt vers Osmond. “Don’t move.” Parce que si le rose va très bien à Osmond, Love n’a rien qui puisse constituer une garde robe acceptable.
Elle plonge dans la chambre de René, enfile les premiers vêtements roses qu’elle trouve.
Parce que, bien sûr, si elle fait une sortie père-enfant avec Osmond, they’ll be matching.  
ft.   @Osmond Rose  
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1477
Zone libre :
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the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

katabasis (love) Ra48t6aq_o katabasis (love) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

katabasis (love) AxI6stHu_o katabasis (love) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 518
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

cw: horreur, manipulation mentale, asservissement.
Osmond ne fait pas attention aux protestations de Love, même si la demande explicite de vouloir garder l’un des démons lui arrache une expression confuse - mais pas indignée, plutôt même charmée malgré la dangerosité mortelle que lesdits démons représentent pour Love. “No you’re not—,” la semonce-t-elle quand elle annonce vouloir venir avec lui. Un refus implacable, et totalement futile puisqu’elle disparaît déjà de son champ de vision pour aller se changer.
Osmond reste planté au milieu de l’entrée, déconcerté, un pied encore glissé dans l’une des paires qu’il essaie, le regard crevé observant le vide laissé par Love. Les gargarismes odieux qui chuintent à côté attirent finalement son œil unique qui tombe sur les démons et un échange silencieux et perplexe se produit entre eux. Il pourrait déguerpir de là avant que Love revienne car il se sait tout à fait capable de retrouver cet établissement seul, quand bien même il lui faille exécuter plusieurs individus et essaimer des frayeurs nocturnes, mais il y a une forme de réjouissance légère qui s’est manifestée à la seconde même où elle a confirmé vouloir l’accompagner.
Alors il se contente d’enfiler le reste des baskets blanches avant de donner pour consigne de ne pas attaquer ni tuer Love à ses démons, comme un coach sportif briefe son équipe avant le match. Quand elle réapparaît dans ses atours roses, Osmond arque un sourcil, passant de sa tenue, à celle de Love, à l’allure épouvantable des familiers qui vont leur tenir compagnie. “A very discreet squad indeed.

Et c’est peu dire. Les quelques pauvres hères qu’iels croisent changent tous de trottoir ou fuient carrément à l’opposé. Un sdf se réveille sur leur passage en frottant ses yeux bouffis avant de décider que tout ça n’est qu’un cauchemar et de se rendormir. Les démons manquent trois fois de se ruer sur des individus et trois fois leur maître est obligé de les rappeler à l’ordre, exactement comme s’il sortait les chiens à la nuit tombée - si les chiens devaient être des créatures infernales assoiffées de chaire et de sang. Il est décidé assez vite qu’iels prendront un nocturne pour réduire la distance entre Nexus et Crimson Bay et la paire rose accompagnée des monstre chthoniens finit par attendre sagement à l’arrêt de bus.

Osmond s’est assis sur le seul banc, inondé par la lumière d’un néon qui grésille désagréablement et donne à son visage des ombres inquiétantes. Bras croisés, le dos en appui contre la vitre de l’abri, il replonge dans un silence qui l’absorbe et le dévore. Les flashs continuent de l’assaillir en se rapprochant petit à petit des derniers évènements vécus avant de mourir. Il n’a pas encore des visions de l’hécatombe. Mais les souvenirs de son combat intemporel et quelques autres visages sans rapport avec cette lutte défilent devant son regard absent. Deux cent ans d’existence qui grésillent dans son crâne au même rythme que les éclats spasmodiques du néon au-dessus de lui.

Les deux démons se contracturent inhumainement, installés à l’envers sous la toiture de l’abri, leurs orbites vides fixant obsessionnellement Love. Quand le bus arrive ils ont le réflexe de se coller un peu plus à la paroi pour passer inaperçu, le temps que le véhicule s’arrête et ouvre naïvement ses portes. Osmond se lève et suit le mouvement de Love qui monte dans le bus, suivi à son tour par les créatures qui tombent lourdement sur le bitume avant de marcher à quatre pattes les quelques marches. “What the f—??!” Le chauffeur a encore les yeux exorbités d’horreur quand Osmond l’interrompt de sa voix tranquille. “You're going to drive us to Crimson Bay and you're not going to charge us anything.” Son pouvoir coercitif rompt instantanément toute notion de libre arbitre dans la sapience de l’homme, qui papillonne des yeux comme après une longue sieste et redémarre en balbutiant un “uh, yeah, sure” docile.

A l’exception d’une vieille dame assise au milieu, le nocturne est vide. Elle fixe la mauvaise troupe d’un regard ahuri lorsqu’iels passent tranquillement pour aller s’assoir tout au fond, sur les quatre places alignées. Elle ne détache plus ses yeux d’elleux de tout le trajet, planquée derrière son siège. Osmond se fait la remarque qu’elle pourrait constituer un en-cas utile pour ses monstres et, sans exclure l’idée, se met à observer pensivement par l’une des vitres latérales les lumières de la ville qui défilent. “You know, a goldfish would make a better pet,” dit-il à Love tout en continuant d’observer le décor urbain. “Or, if you prefer, I can offer you a submissive being,” propose-t-il d’un ton sincère et affable. Il a véritablement envie d’offrir quelque chose à Love, quelque chose en échange du zippo mais aussi quelque chose qui lui fasse plaisir. Dans sa conception terrible et diabolique des valeurs morales, offrir un individu asservi à Love lui paraît donc être une proposition décente et tout à fait appropriée pour lui exprimer sa gratitude.

ft. @love craft
Love Craft
Humain·e
Love Craft
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Alias : 1912 unabiding, the mute
Genre : nb fem, elle, genrée fem + inclusif
Age : 28 ans
Dollars : 2125
Statut : no love, no heart
Occupation : team leader modération de contenue MW; Citizen0 de la hot-line 1912, support aux supers
Habitation : dort plus souvent au travail, loue son appart au black
Pseudo : gan-sha
Comptes : andrea, rapha, georgie, pallabi, sunday
Genre IRL : elle/she
Messages : 453
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Crédits : miserunt
Thèmes abordés : hacking
Infos RP : De 300 à 500 mots
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répond vite

katastrophe
cw: démons, peur de l'abandon

Le rose n’est pas la couleur de l’amour, mais pour cette sortie extraordinaire, Love peut faire un effort. Elle arrive même à avoir un semblant de style, un ras le cou (rose) ajoutée ainsi qu’un haut sans manche en fausse fourrure noir. Ses lourdes docs martens sont enfilées dans l’entrée et elle jette un coup d’oeil aux animaux de compagnie. “Should I get them pink stuff too? I don’t want them to feel left out.” Mais Osmond est déjà occupée sur la serrure. Love court à travers l’appartement, embarque deux foulards roses (oui), son téléphone, son sac où elle fourre son ordinateur, par réflexe éternel.
Elle n’a malheureusement pas de bombe de tag à portée de main.
Tant pis.
La réaction du peuple sur leur chemin arrache les plus grands sourire que Love n’a jamais eu, ose même penser que sa sortie nocturne bat sa rencontre avec SPECTROV (ne le reconnaitra jamais à voix haute). Elle prend une succession importante de photos, de vidéos. Elle a surtout une décision importante à prendre.
Les sept minutes d’attentes à l’arrêt de bus vont être les plus longues de leurs vies, pour les démons.
Love les étudie tous les deux avec attention, met le banda rose autour du cou de l’un d’entre eux, puis le bandana à poires plus foncée autour du poignet de l’autre. “Oh my g-”. elle se coupe rapidement. “Oh my hell!” De meilleur goût, Love. “You are so cuuuute.” Une volée de photos sans flash plus tard, elle se tapote la lèvre de l’index. “How am I gonna name you?” Parce que si Osmond n’a pas eu l’obligeance de lui donner ses noms, ce qu’ils sont prêts à être renommés, comme les pokémons rencontrés dans les hautes-herbes, n’est-ce pas?
Logique imparable.
I’m going to call you… Behemoth.” Elle ne sait pas si le regard de la créature de l’outre-monde brille un peu plus, ou si ce n’est que son imagination. L’autre trépignerait presque d’impatience, avec son bracelet à poires roses. “and you…hmmm” le suspense est intenable. “Marshmallow.” Mimique qu’elle imagine boudeuse, tandis que Behemoth doit avoir ce qui ressemble à un rire (dans les projections humaines de la psyché de Love).
Les trois créatures se tendent devant le bus et Love les rassure d’un “it’s okay, it’s safe.” Jamais dans sa vie elle n’aurait cru devoir rassurer des entitées qui ne viennent pas de ce plan. Mais la vie est pleine de belles surprises et même si ça avait très mal commencé dans la salle-de-bain de René, tout s’améliore. Minus le brainwashing du contrôleur. Elle badge quatre fois sa carte de crédit, pour compenser le trouble à l’ordre publique.
Love hésite entre s’asseoir sur les jambes de Behemot ou d’Osmond, préfère ne pas pousser le vice - ni sa chance - trop loin. Elle s’installe sur le siège de devant, balance ses pieds, la semelle de ses docs qui effleurent parfois les pattes griffues de Marshmallow.
Elle aurait dû donner des crocs à Osmond.
Des Crocs roses.
Love lève soudainement la tête à la voix de l’intéressé, le regarde dans l’oeil. “You can’t remember the place of the Red Chips, but you think a fish is a pet?” Elle un petit rire qui lui échappe, elle s’appuie contre le dossier, son bras qui dépasse de l’autre côté. “Nah, I want one of them.” Elle est persuadée qu’elle en a entendu l’un des deux soupirer. “What are they, anyway?” Puis, elle fronce les sourcils. “Is Amy one of them?” Ca ne serait pas impossible, iels ont plus ou moins la même carrure.
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cw: mention de torture, de mort, angst.
You can’t remember the place of the Red Chips, but you think a fish is a pet?” Osmond reste silencieux en entendant enfin le nom de l’établissement où iels se rendent. Ce sont des syllabes lourdes et épaisses qui lui traversent douloureusement les tympans en abandonnant derrière elles un sifflement permanent. Le Red Chips lui paraît véritablement rouge quand il essaie de se le représenter au-delà de la salle pleine de néons figurée dans son souvenir, un rouge brutal et chaud qui lui inspire la mort, l’odeur du ketchup tiède et une paisibilité opaque dans laquelle se réfugier.

Nah, I want one of them. - You're being unreasonable.” Sa langue siffle entre ses dents blanches et serrées avec un ton de réprimande relativement neutre. Il ne lui offrira jamais aucun de ses démons mais il aime secrètement qu’elle insiste et s’obsède autour de cette idée, comme s’il avait trouvé l’élément moteur de leur relation ; tant qu’elle sera fasciné.e par eux elle reviendra vers lui. Il tourne son regard crevé vers Behemoth - ou bien est-ce… Marshmallow… - avant d’en revenir à sa contemplation de la ville. “They would kill you the moment I lost control.” Osmond ne clarifie pas intentionnellement son incapacité à transmettre ces entités à quiconque - lui-même ne les possède pas à proprement parler. Il fait planer le doute, ouvre plusieurs portes dérobées en même temps qu’il en ferme calmement certaines.

What are they, anyway?” L’intérêt de Love est accueilli par un petit sourire discret. “All the things we run from. Failure, abandonment, despair, loneliness, pain, resentment, misery ... The embodiment of the darkness that smoulders in our hearts.” Il adresse un nouveau regard à Behemoth - ou Marshmallow - l’œil brillant d’une complicité unilatérale. “Aren't you?” Le démon lui retourne ses orbites vides qui absorbent toute la lumière dans une réponse silencieuse mais assourdissante. Osmond se souvient très précisément des années de torture qu’ils lui ont fait subir dans l’inframonde, bien avant qu’il renaisse de cette souffrance et se compose une masse à la taille de sa fureur et de sa puissance. Années, siècles, millénaires ; il ne sait pas combien de temps il est resté prisonnier de ce tourment pour la simple raison que le temps y était lui aussi mort. Il sait simplement que ces créatures qui l’ont un jour torturé lui sont maintenant assujetties.

Is Amy one of them?” Le profil taillé à la serpe est traversé par la fulgurance d’un spasme. L’orbe passe du démon au vide qui le sépare du démon, errant bizarrement dans cet entre-deux. Puis la nuque vrille dans une procession de craquements et c’est tout le visage d’Osmond qui se tourne vers celui de Love. “What did you just say?” Il se fait menaçant sans le vouloir. Néfaste dans le ton et dans le feutre de sa voix. Sa gorge se sature d’une indignité mauvaise qui remonte jusqu’à ses traits sévères marqués par des sourcils sombres. Une laideur momentanée, qu’une lueur candide finit par adoucir : “is he here?” Osmond paraît plus confus que jamais en ces quelques heures succédant sa résurrection.

Ce qu’il veut vraiment dire, il doit l’arrondir en bouche avant de l’expliciter aux oreilles d’un.e mortel.le. “In this timeline?” Ses quelques souvenirs, dans un diner, dans un ranch, à une foire, l’avaient plutôt orienté vers les 70ies. Osmond s’était déjà habitué à faire le deuil de ce garçon aux boucles blondes comme il a dû très rapidement refaire le deuil d'enfants et d'amours perdu.e.s. Ses poings serrés sur ses cuisses se détendent et se frottent entre eux avec l’impression de caresser quelque chose de lisse et d’un peu froid. Amy se forme sur ses fines lèvres, l’apaisement brillant dans son seul œil. Les souvenirs qui l’envahissent à présent feraient rougir Love. “Those damn blue eyes finally have a name…” dit-il pensivement, appréciant intérieurement l’agréabilité des moments qu’il revit dans son crâne. “No. No, he's not one of them. He's nothing of the sort.” L’ombre d’un sourire se met à flotter sur ses lippes, avant de s’en débarrasser d’un mouvement de tête pudique. Il y a quelque chose de chaud et d’agréable qui lui remplit son insondable noirceur. “I’m glad he’s here.

Le chaud palpite, brûle, incendie tout à l’intérieur et donne quelques couleurs indues à sa carnation moribonde. Mais une douleur perce lentement la béatitude ressentie, un malaise angoissé qu’il n’identifie pas tout de suite. Son visage perd peu à peu de sa couleur et ses rides s’enfoncent sur une expression tourmentée. “But maybe ... maybe we shouldn't visit him …” Son menton carré se tourne subrepticement vers Love. “It was a terrible idea,” profère-t-il, soudain cinglant. Et déjà il se lève, avec une précipitation raidie, remontant le couloir du bus pour ordonner au chauffeur de changer de cap.

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katastrophe
cw: démons, peur de l'abandon, hétéronormativité, langage explicite

Then, don’t lose control.” Aux problèmes simples, des réponses simples, ce regard presque innocent qui regarde l'orbite maître. Love ne sait pas de quoi est capable Osmond, en réalité. Mais peu de gens crèvent le parquet de René en revenant d’entre les mondes, elle a confiance en lui.
Une drôle d’idée, n’est-ce pas.
Et ça devrait la déranger.
Mais il y a ce côté tellement sombre chez Osmond, qu’elle ne peut que lui faire confiance.
Et cette observation, puérile d’un enfant: il est revenu.
Certes, il n’est pas revenu d’entre les morts pour elle, et l’idée même parait incongrue.
Mais il est revenu.
Et pour Love, où personne n’est jamais revenu vers elle pour une raison désintéressée, ça vaut tout l’or du monde.
Et le platine.
Et les diamants.
Et ceux trouvés dans le sang.
What did you just say?Is Amy one of them?Is he here?” Et ce n’est qu’à cette question que Love se rend compte qu’Osmond a très certainement bien entendu la question la première fois. Elle plisse les lèvres en une petite moue sérieuse, zieute un instant Behemot et Marshmallow comme s’ils avaient une explication.
Mais la mort n’apporte rarement une raison.
Osmond, définitivement, n’en a pas et elle le regarde se lever et Love est plus rapide encore, l’attrape par l’avant-bras, pour le retenir. “Why would it be a bad idea? He helped me, you know, with Carmen.” Love est aussi difficile à suivre que son père. “He is attached to-” elle se coupe brusquement, échappe un “oh” assez bas, qui prend écho dans sa réflexion. “OH.” Sa nuque marque quelques centimètres en arrière. “DID YOU TWO FUCK?” La vieille au milieu du bus la regarde et même les démons on l’air offusqué de son ton. “What?” Elle secoue la tête. “Sorry?” Peu sûre. “I didn’t picture you as… you know… queer.” Revient le plissement des lèvres, cette fois-ci qui peint une expression impressionnée sur le visage de Love. “But he looks so straight!” Osmond moins, maintenant qu’il est en rose. Elle plisse des yeux, voit le monde sous un spectre nouveau. “Do you.. you know. Fancy him?” Elle repense au cuistot à l’odeur de graisse.
Il a vraiment fallu que Osmond revienne d’entre les morts pour qu’elle le voit venir celle là.
Et encore.
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CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
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Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

katabasisSay how gorgeous and lovely I was from a distance before you pulled me apart to find the dead stories inside.

cw: deuil, bad parenting.
Why would it be a bad idea? He helped me, you know, with Carmen.” Osmond marque un arrêt au-delà du fait que Love le retient par l’avant-bras. “Carmen?” Carmen. Et les quatre autre visages d’enfants qui émergent maintenant dans ses souvenirs. Les sourcils se froncent, les paupières s’aplatissent et se scellent. Sa main libre se lève et s’accroche au dossier d’un siège passager. “He is attached to-” Il ne l’entend pas. Ses tremblements défilent le long de ses muscles en revivant les étreintes, les punitions, les gestes affectueux et ceux distants. En revivant l’absence : Sophie qu’il n’a jamais pu reprendre dans ses bras. Le bus prend un virage et Osmond chancelle sans fléchir, la main obstinément accrochée au moelleux du tissu. Celle de Love fait pareil sur son avant-bras. Ses clameurs traversent la douleur et le deuil du père qui se demande de combien d’autres enfants encore il doit se remémorer la disparition. Ses longues phalanges s’arque-boutent et agrippent fermement le bras agité de Love.

I didn’t picture you as… you know… queer.” Osmond se retourne, confus, la mine assombrie et absorbée, visiblement irrité par toutes les informations qu’il droit traiter à la suite, sans aucun temps d’arrêt. “What is queer?” demande-t-il de façon distante, sans réel intérêt. Il a du mal à relâcher sa prise sur Love mais le geste finit par être de trop dans leur nouvelle posture. Alors iels se lâchent. “But he looks so straight! - Who?” Et puis de comprendre. Amy. “Common mistake,” balaie-t-il d’un mouvement de tête expéditif, amorçant déjà une volte-face pour reprendre sa marche en direction du chauffeur. “Do you.. you know. Fancy him?” Osmond a un petit rictus désapprobateur en s'arrêtant à nouveau. “I'm not fifteen, Love, I don't fancy people.” L’esquive est implacable et relève davantage son accent posh. “He’s—” Il secoue son menton carré, taillé pour une autre époque. “He’s important to me.” Ce qui veut plus ou moins tout dire, dans la mesure où peu d’êtres ont été importants dans sa très longue existence.

Osmond braque son regard crevé sur Love avec un vague froncement de sourcils, comme s’il était sidéré de le lui avoir avoué ; il ne dit jamais ce genre de choses, pour la simple raison que ces confessions sont des armes qu’on peut aisément retourner contre lui. “But I don’t need to see him.” Ni le voir, ni lui redonner espoir. Amy peut encore échapper au monstre d’égoïsme qu’est Osmond ; il ne jure de rien une fois qu’il aura senti les yeux du mutant se poser sur lui. “He thinks I'm dead, and that's the way it has to stay.” Il a cette même pensée pour Helmina et Izak. Love sera la seule à savoir qu’il est revenu d’entre les morts avant d’y retourner. Et cette fois pour de bon. Il a l’intime conviction qu’elle est de toustes la moins faible, la plus à même de savoir encaisser cet état de fait sans broncher ; elle est pragmatique et froid.e comme lui.

Stop the bus.” Et le bus s’arrête. Ses démons s’arrachent à leur banquette pour le suivre, entraînant Love de leur corps sinueux et méphitiques. Dehors, Osmond laisse l’air froid de la nuit apaiser ses pensées et tempérer les émotions qui y sont affectées. “Do you have another belonging of mine?” Ce sera là sa dernière quête : retrouver les effets personnels qui pourraient le ramener à la vie. Il n’a jamais été matérialiste ni particulièrement attaché aux objets. Ce devrait être une affaire rapidement réglée. Le zippo n’est plus un problème. Reste sa chevalière et, … “… Did you see Amy wearing a pendant? A silver cross?

ft. @love craft
Love Craft
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Alias : 1912 unabiding, the mute
Genre : nb fem, elle, genrée fem + inclusif
Age : 28 ans
Dollars : 2125
Statut : no love, no heart
Occupation : team leader modération de contenue MW; Citizen0 de la hot-line 1912, support aux supers
Habitation : dort plus souvent au travail, loue son appart au black
Pseudo : gan-sha
Comptes : andrea, rapha, georgie, pallabi, sunday
Genre IRL : elle/she
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Date d'inscription : 06/04/2023
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Infos RP : De 300 à 500 mots
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katastrophe
cw: démons, peur de l'abandon

Osmond a l’air de buter plus sur son vocabulaire que sur tout autre chose et il y a un élan d’impatience qui s'éprend chez Love. Elle souffle un peu, gonfle les joues, inspire. Elle se rappelle qu’Osmond était mort il y a quelques heures et qu’elle doit faire preuve de tout ce dont Osmond n’est pas foutu de faire preuve depuis qu’il est revenu à lui.
La charge mentalte…
He’s important to me.” La bouche s’ouvre, aucun son ne sort, l’agacement oublié chez Love. Puis, elle se contente de sourire, offre un pouce vers le haut à la figure non-paternelle. “But I don’t need to see him.What?” Elle retourne son pouce vers le bas. “No, bouh!He thinks I'm dead, and that's the way it has to stay.” Love n’est pas stupide, contrairemnet à ce que son entourage durant son enfance à tenter de lui faire croire, lui faire assimiler. Elle sait qu’Osmond n’avait rien de sain, n’a déjà pas la gueule d’un ange. Iels ne se seraient pas rencontré, si Osmond avait été une personne lambda. Elle sait qu’il traine dans le criminel.
Mais autant Amy n’a pas l’air d’être queer elle sait qu’il n’est pas non plus innocent.
Why does he have to think that you’re dead?” La réalisation cruelle lui traverse les visage, lui crève les yeux. “You’d have done the same to me, don’t you?” Elle se redresse, suit l’homme et les démons qui ont décidé de sortir, sans écouter ce qu’elle avait à dire. “Wait!” C’est fébrile et faible et elle écrase l’observaiton de ses docs, quand elle arrive à nouveau sur le tarmac de ces quelques rues, entre nulle part et le Red Chips. “No, I told, you don’t have shit.Did you see Amy wearing a pendant? A silver cross?Why does it matter? Why don’t you want to see him? He was in pieces, Osmond. Like, really sad about your death. I don’t think you’ve given him instructions of what to do with his life once you’re out of it. Once you’re fucking dead. But that’s what you do, don’t you?” Le ton monde. Elle n’explique pas la colère qui l’emporte sur sa vague. “Once you have a way out, you stay away from people. Is that all we are to you? Throwaway pieces and then you pretend we never existed? What right do you have to decide for us?” L’ire est rare chez Love, parce qu’elle peut toujours trouver un moyen logique pour la détourner.
Pas aujourd’hui.
Parce que Osmond qui crève le plancher pour revenir d’entre les morts ne fait aucun sens.
Osmond n’a jamais fait aucun sens, pour elle.
Why did you save me and then not even fight for me? Why do you keep thinking we are better off alone?!
ft.   @Osmond Rose  
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
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ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1477
Zone libre :
katabasis (love) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

katabasis (love) Ra48t6aq_o katabasis (love) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

katabasis (love) AxI6stHu_o katabasis (love) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

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cw: mention de meurtre, de morts, de négligence, de suicide, comportement toxique, manipulation émotionnelle.
Why does it matter? Why don’t you want to see him? He was in pieces, Osmond. Like, really sad about your death. I don’t think you’ve given him instructions of what to do with his life once you’re out of it. Once you’re fucking dead. But that’s what you do, don’t you? Once you have a way out, you stay away from people. Is that all we are to you? Throwaway pieces and then you pretend we never existed?” Il existe un monde dans lequel Osmond aurait été profondément désolé de tout ce malheur qu’il entraîne à sa suite et qui se cristallise ce soir sur le visage de Love. Il sait que ce monde existe : une mutante le lui a un jour fait voir. Un monde où il aurait été élevé dans l’amour et l’acceptation, un monde où ses pas ne l’auraient jamais conduit jusqu’aux portes d’un laboratoire londonien pour tenter de traiter un mal dont il n’aurait jamais souffert. Ce jour-là Osmond a pleuré en réalisant qu’il était sans doute la pire version qui pouvait exister de lui. Il se souvient si précisément de ce jour, de cette mutante, et l’expérience existentielle tout à la fois merveilleuse et cruelle qu’elle lui a fait vivre, qu’il se souvient aussi et sans aucune difficulté de la chaleur qu’avait son sang quand il l’a tuée.
Il existe un monde dans lequel Osmond aurait consolé Love, ses mains sereines et tendres enveloppant les crispations de sa colère. Mais ce n’est pas le leur. Et il est, de toute évidence, la pire de toutes ses versions.

What right do you have to decide for us? - Every right.” Quelque chose d’obscur s’est emparé de lui ; de sa voix, de sa posture, de son profil, de ce regard crevé qu’il retourne à Love sans ciller. C’est une sensation très paisible que celle de s’abandonner à sa nature ; de plonger dans la noirceur ineffable qui sommeille en lui. Chaque fois qu’il a lutté contre, son cœur s’est brisé. Et avec son cœur les vies autour de lui. La lettre de suicide que lui avait laissée Edwin ne pouvait pas être plus prophétique : son amour est un poison. Un venin. Et quand il regarde Love, dont il peut encore sentir la présence rassurante sur ses empreintes digitales, il revoit le corps mutilé d’Edwin, celui noyé de Katharina, s’imagine sans peine celui torturé de Sophie. Ceux de toustes les Orphans qui étaient ce jour-là avec lui, dans le QG, quand Icarus a envoyé ses chiens les tuer. Bobby est mort les yeux ouverts et devant lui, l’interrogeant d’un air désespéré comme s’il était sûr, même à l’article de la mort, que le Serpent pouvait encore les sauver.
Dans un autre monde, sans doute.

Why did you save me and then not even fight for me? Why do you keep thinking we are better off alone?!” La souffrance de Love attire les démons derrière elle. Ils peuvent sentir toutes ses peurs rouler dans sa gorge, un millésime qu’il leur suffirait d’aller arracher de leur mains noires. “Why would I have fought for you?” C’est une bonne chose que Love le croit, malgré tout ce qu’iels ont pu se dire dans ce bureau sombre et isolé et les confessions qu’il lui a faites. “You were of no use to me. Just a kid found in the trash by accident. You think it's unfair? My mother let me starve to death because I disgusted her. Do you hear me whimpering about it? Pull yourself together Love, you are not the only one who's suffered in this world. Who's been abandoned.” Osmond est d’une froideur inhumaine, comme si la vie n’était jamais revenue réchauffer sa carcasse et relancer l’organe vital qui lui sert de cœur. Il toise Love sans douceur, la cruauté tapissant sa langue d’un accent nouveau, impitoyable. Le ronron du moteur du bus remplit le silence qu’il impose, avant de reprendre et ce sans laisser à Love le temps de s'en relever.

But you are very right about one thing; you are all throwaways. How could you not be? You are capricious and ungrateful, never satisfied with what I can offer you.” Il renifle. “You remind me of one of my sons.” La déception ourle ses lippes, rend son regard encore plus dur. “As I said, I have no interest in useless individuals to carry around like a ball and chain.” Osmond demeure tranquille. Une eau dormante, noire et profonde dans laquelle tout sombre. “Amy was useful: therefore important.” Il y a un silence, quelques secondes seulement ; des jours, des mois et des années de relation qu’Osmond écrase dans sa main et sent s’enfoncer dans sa chair comme des bris de verre. “Now? Now I don't need him anymore, and I certainly don't need to hear him whine about how he can't live as a functioning adult without me by his side telling him what to do.” Son calme marmoréen fléchit sur un vague haussement de sourcil. “He has always been so weak.

Le ronron du moteur ronfle un peu plus pesamment et quelques pas descendent du bus. “Er, shall we go sir?” Osmond marque un temps pendant lequel il toise une dernière fois Love de ses airs infâmes et sévères. Dans un autre monde, ses mains sereines et tendres auraient enveloppé les crispations de sa colère. Dans un autre monde, Ernö n’aurait jamais eu à la lui arracher de peur qu’il la détruise elle aussi.
Why do you keep thinking we are better off alone?!
Because you are.
Osmond vrille la nuque en direction du chauffeur et opine, ses démons contournant Love et lui pour commencer à monter. La vieille dame lâche un petit couinement à l'intérieur, étouffé par la vitre.

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katastrophe
cw: démons, peur de l'abandon, abandon, dispute, bully, deadname

Love a déjà entendu pire.
Love a déjà ressenti pire.
Love, vraiment, est indicible, inébranlable.
Parce qu’elle sait, qu’elle n’aura rien d’Osmond. Et le fait qu’il ne lui offre rien, que sa verve, est terriblement rassurant.
Pas de faux espoir.
Pas de passé à rattraper, à reforger.
Osmond est une crasse.
Pour une crasse.
Bouh-fucking-woo. Are you really justifying being an asshole because your mom abandoned you?” Elle l’applaudit, avec la même condescendance qu’Osmond lui a offert. learned that from daddy. “That’s rich coming from the so-called chaos. Turns out you’re just a basic bully.” Elle retient le doigt d’honneur bien senti. “You remind me of one of my sons.Did you give him a shitty name as well?” C’est facile, maintenant que la langue est déliée et que la rancune est là, libérée de son être. Tout le monde en prend pour son grade, même Amy.
Love le regarde, comme elle a regardé tous les hommes qui l’ont un jour blessé.e (et ils ont été nombreux). Elle le regarde avec cette incompréhension pure, de la puérilité qu’ils prennent à repousser les autres, comme un acte gratuit. “You do realize that you were crawling on my floor a few hours ago?” La colère l’a quitté.e, parce que Love a toujours du mal à rester agrippé.e à une émotion trop longtemps. “Don’t get mad at other people's weaknesses while you can’t even control yours. You should be mad at yourself. Because the truth is, without people like Amy, you probably wouldn’t be anywhere. You need people, and even when you can’t have them, you end up with Behemot and Marshmallow.” Elle replace la sangle de son sac sur son épaule, un geste nerveux. “That’s how dependent you are.” Elle regarde les démons monter dans le bus, et cette fois-ci, elle ne les accompagne pas. “You should get out of here ma’m, while you can.” Elle regarde les deux créatures de l’obscure. “You too.
Love a cette chance, d’avoir cette liberté de pouvoir partir.
Love, surtout a cette expérience inscrite dans les os.
Celui de la solitude.
Et c’est en partie, grâce à Osmond.
Qui l’a retrouvé.e.
Trop tard.
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SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

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Stigmates :
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-- une cicatrice de décapitation.

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cw: manipulation émotionnelle.
C’était si facile. Tout l’est toujours plus avec la colère, le dégoût ; il a rarement eu besoin d’autre chose que de ses mots pour convoquer la noirceur de tous les cœurs. Aussi férocement se persuade-t-elle ne plus en avoir un, Love en a un. Il est fissuré par les épreuves, vidé par la détresse, il ne bat plus qu’à un rythme fonctionnel mais il est là, il peut le sentir au même titre que les démons se remplir par sa faute. Déborder jusque dans sa bouche. Osmond écarte calmement quoique difficilement le regret qui l’étreint, celui de devoir faire croire à Love qu’elle n’est rien pour lui et ne l’a jamais été. Il a hélas lui aussi un cœur, de la même forme que celui de Love si ce n’est plus vieux, beaucoup plus usé, et s’il s’emplit à cet instant c’est d’un chagrin inconsolable. Elle peut le mépriser, le détester, elle peut lui cracher à la figure tout ce qu’elle voudra ; mais il supporte mal la voir dans cet état, poussé.e dans ses retranchements sur un trottoir de Crimson Bay. La vie, oui, lui a déjà été suffisamment âpre comme ça. Comme avec Amy. Comme avec Hel et Ike. Il semble que le malheur ait toujours pris un malin plaisir à le conduire jusqu’à ses brebis les plus fatiguées pour le voir les dévorer. Il n’y a pas de place pour un fardeau comme lui à leurs côtés ; cruel, froid, inhumain, rongé par une noirceur qui ne laisse briller aucun éclat. Les clameurs enthousiastes et solaires de Love ne sont déjà plus, et son sourire si grand, si triomphant et hardi s’est effacé au milieu de ses traits crispés. Le regret s’épaissit dans sa  poitrine tandis qu’il continue de la regarder, jusqu’à lui sembler briser ses côtes. Un sentiment humain comme il s’étonne en posséder quelques uns encore ; mais il suffit de ne pas lutter, de se laisser aller, bercé par les mots de Love, et la noirceur revient toute entière l’habiter.

Stay put.” Le ton de son ordre n’est pas élevé. Il est sur la même ligne sonore que le ronron du moteur. La vieille dame reste immobile malgré les encouragements de Love. Les démons quant à eux l’ignorent, désintéressés maintenant qu’ils ont trouvé une nouvelle proie autour de laquelle s’assoir. Osmond continue de toiser Love avec le même air, sévère et déçu. Elle a mis le doigt sur beaucoup de choses justes le concernant, ce qui lui est particulièrement désagréable et douloureux, mais aussi satisfaisant. Il aime son intelligence assassine. L’aurait-il élevé.e qu’il n’aurait pas mieux fait. L’aurait-il élevé.e qu’elle n’aurait pas été moins malheureux.se.

Osmond n’ajoute rien. Après un silence interminable, bruyant des mots qu’il ne lui aura pas dits, il fait tranquillement volte-face et rentre à nouveau dans le bus. Les portes mécaniques se referment derrière lui, les suspensions se relâchent, et le moteur double son ronron quand le bus redémarre.

Osmond s’est assis au fond, à la même place. Il contemple longuement le vide où danse encore sur sa rétine le regard éprouvé de Love. Puis il bascule le sien crevé jusqu’à la place où elle était assis.e, à côté de lui, remarquant un fil rose abandonné sur le tissu rêche de l’assisse. Il le récupère d’un pincement de doigts délicat, avant de l’y tenir pour l’y faire pensivement rouler. Petit brin fragile entre ses grandes mains néfastes. Des mouvements finissent par l’arracher à sa contemplation. Behemot et Marshmallow ont quitté la vieille pour venir s’asseoir de part et d’autre de la banquette, leurs orbites vides observant intensément Osmond. Ils peuvent sentir toutes ses peurs rouler dans ses pensées, un millésime qu’il leur suffirait d’aller arracher de leurs mains noires comme ils l’ont déjà tant de fois fait.

Leur maître détache son regard du fil sans le relâcher, un rictus exécré soulevant ses fines lippes. “Give me a break.” L’incantation crève sa voix feutrée et les renvoie séance tenante d’où ils viennent. La banquette devient subitement vide, subitement calme. À plusieurs sièges de là, la petite vieille pousse un soupir tranquillisé. “Where to, sir?” La mine sombre d’Osmond revient à sa contemplation de la vitre, les mains jointes entre elles, doigts perpétuellement pincés sur le petit fil. “The gates of hell, I suppose.

L’entrée de l'Underapple, lui faudra-t-il préciser.

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