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doomy (amy)

Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
doomy (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

doomy (amy) Ra48t6aq_o doomy (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

doomy (amy) AxI6stHu_o doomy (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 521
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]


Put your ear to the ground and you might hear the sound
w/ @Amy Armstrong

Ce n’est pas raisonnable, lui dit-on ; autant pisser dans un violon. Osmond a déjà quitté son lit de convalescence dans lequel infirmiers.ères et médecins particuliers l’y tiennent depuis deux jours (deux jours de trop pour le magnat). "Je vais vous dire ce qui n’est pas raisonnable", entend-t-on dire depuis son dressing de la taille d’un studio, dans lequel il a momentanément disparu, "mon putain de service de sécurité." Il réapparaît très vite vêtu d’un pantalon et d’une chemise rentrée, comme s’il était doté du pouvoir supplémentaire d’être chic vite et bien. Pas d’esbroufe cela dit. Il aurait pu être dix fois plus élégant s’il l’avait voulu - pour en mettre plein la gueule à certain.e.s, quand il est nécessaire de rappeler que son vrai pouvoir est surtout le fric.

Un.e inifirmier.ère s’étrangle. "Mr. Rose, vous n’êtes pas en état !" Mr. Rose s’immobilise devant saon géôlier.ère, le téléphone à la main. Il lae considère une longue poignée de secondes, derrière ses émeraudes froides et cet éternel calme facial, et tandis qu’il paraît avoir été heurté jusqu’au plus profond de ses tripes, se fend finalement d’un sourire - qui n’atteint pas ses yeux. "Demandez un chauffeur." Une distance immense s’est subitement installée entre lui et saon inifirmier.ère, une distance majestueuse (et méprisante) comme il en impose parfois entre lui et les autres. On opine et s’active. Ce qui apaise un peu Mr. Rose.

Sa déambulation reprend dans le penthouse. Le téléphone toujours en main, il contacte en visio Aimee. La sonnerie s’étire en longueur. Osmond a le temps de regarder deux fois à travers baie vitrée les bâtiments d’Icarus Inc. s’élever face à lui. Il en est à serrer la mâchoire deux fois plus puissamment quand la sonnerie fait place à une enfilade d’autres sons signifiant que le contact a décroché. Osmond baisse la tête en direction de l’écran. "Ah ! Aimee, très bien. J’ai besoin-", puis plisse les yeux, s’attardant sur certains détails visuels que la caméra d’Aimee lui renvoie : angle rapproché comme quand vos contacts utilisent un casque VR, sueur apparente, et rougeurs au niveau des joues. "Tu es à ta salle de sport ?" Oz se serait fendu d’une kyrielle d’autres supputations s’il n’avait pas l’esprit ailleurs. Passée la surprise, et sans laisser à son homme à tout faire le temps de répondre, il enchaîne cependant sur une question qui le préoccupe davantage. "Je dois urgemment me rendre aux bureaux pour régler un problème. J’ai besoin que tu m’accompagnes." Il n’explicite pas plus. "J’envoie un chauffeur te chercher. Non, tu sais quoi, le mien passera te prendre. Tu es à Nexus, c’est ça ? Le Raging Bull, 3ème Avenue ?" Armstrong ne lui a jamais dit où se trouvait sa salle de sport. Mais peut-on vraiment cacher quoi que ce soit au Serpent.
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : doomy (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
doomy (amy) QqYmgTIa_o

***
They tell me you are evil,
|
doomy (amy) W8FXup2v_o doomy (amy) K529KiGF_o
|
and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
Messages : 190
Date d'inscription : 21/02/2023
FC : jeremy allen white
Crédits : .exe (av), des (gif)
Thèmes abordés : violence, gang life, red flag-ism
Thèmes refusés : ràs
Infos RP : dial en fr ou en anglais comme vous préférez!
couleur de dial: darkgoldenrod

tw: langage explicite, contenu explicite vitef


Till colle son oreille bionique contre la porte de la salle de bain. Mais la prothèse défectueuse n’attrape que de faibles bruits: une respiration haletante, le grincement du lavabo ou de la baignoire comme si on essayait de les déplacer, et un bruit plus moite qui, dans un premier temps, ne le surprend pas, puisque provenant donc d’une salle de bain. "Yo, Amy, t’es là??"
Ce dont Till ne se doute pas, c’est que de l’autre côté de la porte, la main dans le froc, Amy a enfilé son casque de VR pour se connecter à son compte sur le Metaverse, pour un rencard chaud bouillant avec xX_J3nn¥_Xx.
Soudain, au moment où il se sent sur le point de, disons, voir flou, la photo d’Osmond Rose, le genre de cliché qu’il a récupéré en premier résultat de la recherche sur le net, s’affiche en transparence sur son écran, un peu trop bien calé au-dessus de l’avatar de la nana avec qui il avait trouvé un peu de bon temps à passer.
Amy, hébété et suant, hésite quelques instants, de fatales secondes, avant que son réflexe pavlovien à la ramasse prenne le relais et décroche d’un tressautement de paupière, tandis que ça continue de s’agiter dans le Metaverse et dans la salle de bain (une scène digne de l’ouverture d’Inception).

"Ah ! Aimee, très bien. J’ai besoin-", Amy était en train de retenir sa respiration, comme si ça allait aider à rendre son teint moins rougeaud à l’écran. Il était hors de question que son patron réalise ce qu’il était en train de faire, voire même de se retenir de faire, ou plus exactement de faire alors qu’il avait pas prévu de le faire dans ses conditions, aka, avec la gueule de son boss en premier plan (bref).
"Tu es à ta salle de sport ?" Amy cligne des yeux, avant de jeter un coup d’œil coupable vers le bas de l’écran. "Ouais— ‘fin pas exactement mais— - Je dois urgemment me rendre aux bureaux pour régler un problème. J’ai besoin que tu m’accompagnes." Amy n’est pas attentif, la panique le gagnant peu à peu, ainsi qu’un autre sentiment somme toute plus enivrant et agréable qui n’a vraiment rien à faire là. "Hun hun…" Amy lance des regards paniqués à sa compagne virtuelle qui n’a pas l’air décidée à s’arrêter en si bon chemin. Et, pour couronner le tout, il recommence à entendre, cette fois-ci hors de son casque, la voix de Till qui tambourine derechef à la porte en lui demandant ce qu’il fabrique.

"J’envoie un chauffeur te chercher. Non, tu sais quoi, le mien passera te prendre. Tu es à Nexus, c’est ça ? Le Raging Bull, 3ème Avenue ?" Amy n’écoute que d’une oreille, et lorsqu’il entend Raging Bull, il s’emballe, son souffle matérialisant de la buée sur l’écran: "Ouais mais nan, j’suis euh— dans une salle de bain miteuse, en train de prendre son pied, un pied sur le rebord de la baignoire. Nan mais ouais, boss, j’arrive, ‘fin j’suis là, je— - Amy tu fous quoi là-dedans??" La poignée de porte est secouée et le verrou rouillé manque de lâcher à tout moment.  
Un savant mélange de stress, de stimuli visuels et plus généralement physiques viennent à bout de l’écart d’Amy qui se confond en excuses couplées aussitôt de jurons, tandis qu’il raccroche quasiment au nez de son patron lorsqu’il s’abandonne dans sa propre paluche. Dans la foulée, il s’extirpe du casque de VR, sans même un dernier mot pour sa partenaire. C’est à ce moment-là que Till déboule, consterné face au spectacle d’Amy, le casque dans une main, remontant son jogging de l’autre, lui exposant son boule confus. "Mais putain gros fils de pute, j’t’ai dit de pas faire du sale avec mon putain de casque!!" Amy le bouscule d’un épais coup d’épaule et sort de la salle de bain pleine de buée. "Ouais c’est bon, fais pas chier, faut qu’j’y aille," grommelle-t-il avec l’impertinence de quelqu’un qui ne reconnait jamais ses torts.

Le molosse attrape ses clefs et son écharpe (oui, il est en marcel et en écharpe dehors en hiver; vous allez faire quoi) et court en petites foulées jusqu’à la voiture qu’il avait empruntée à son patron et qu’il n’avait pas encore eu l’occasion de lui rendre (Osmond n’avait même pas l’air de s’en être rendu compte; ce type était décidément trop riche). Le véhicule est exagérément noir et luxueux, et Amy casse toujours son petit effet, lorsqu’il peine à s’extirper du siège conducteur en cuir, à la place d’un chauffeur un peu stylé en costume.
Dans un temps record, Amy est arrivé au Raging Bull, où le chauffeur d’Osmond (stylé et en costume, lui) l’attend devant une voiture encore plus noire et plus luxueuse et l’observe monter avec circonspection. Lorsqu’Amy s’engonce dans l’habitacle, il n’a pas bonne mise: le front et les épaules trempées, le nez et les mains rouges du froid, son écharpe s’effilochant sur son poitrail haletant, le jogging lui titillant le sourire du plombier. "Boss, salue-t-il en bafouillant, assis à côté du magnat impassible. J’devais passer rendre un truc à un mec— c’est… c’est pour ça que j’étais à la salle mais pas dans la salle, 'fin que j’venais de l’extérieur quoi…" qu’il se sent obligé de bafouiller sous le regard éviscérant de son patron. "Comment vous vous sentez? vous êtes sûr que vous êtes déjà en état de sortir? ils ont dit quoi les médecins?"
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
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MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
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"Nan mais ouais, boss, j’arrive, ‘fin j’suis là, je—" Osmond a petit recul de tête surpris quand la connexion est coupée. Aimee Armstrong ne lui avait encore jamais raccroché au pif. Une contrariété sourde lui trotte sur le râble alors qu’il range son téléphone, aussitôt balayée par ses fameuses préoccupations plus importantes. Osmond parcoure en sens inverse les couloirs interminables couverts d’une végétation luxuriante et récupère son manteau qu’il passe d’un simple geste sur les épaules, sans s’embêter d’enfiler les manches. "Lia, mon véhicule ?" Parmi toutes les personnes présentes, seule une voix artificielle lui répond - évanescente, comme dotée d’un don d’ubiquité. "Garée en bas Monsieur. Richard vous attend." Osmond émet un bruit satisfait. "Ce bon vieux Rick." De ses six chauffeurs.es, c’est cellelui qu’il préfère.

Pour autant, leurs seuls mots échangés auront été bonjour Richard, bonjour Monsieur et un Raging Bull pressé. Assis à l’arrière de la berline tout confort et toute technologie équipée, Osmond regarde par la fenêtre, absorbé par ses pensées. Ce n’est pas la première cyberattaque que ses équipes déjouent, mais c’est la plus grosse jamais essuyée. Le poing serré devant sa gueule, coude sur le rebord de la vitre, il ressasse à propos de ces emmerdes dont il n’a clairement pas besoin, il ressasse à propos de ses employé.e.s certes capables mais de toute évidence pas assez, il ressasse à propos de Theseus Corp. qu’il sait être encore derrière tout ça. Ils veulent l’avoir à l’usure. Les ongles se plantent dans la carne. Il sent dans sa bouche le goût du venin.

Il n’a pas vu le temps passer (on le voit rarement passer, en macérant dans sa rage). Quand il est tiré de ses pensées c’est parce qu’Aimee s’engouffre dans l’habitacle avec tout le peu de subtilité qu’Osmond lui connaît. Aimee apporte avec lui le froid extérieur et une forte odeur de transpiration. Osmond frisonne pour le froid, mais accepte la sueur comme elle vient. "Boss (salutation de tête), j’devais passer rendre un truc à un mec— c’est… c’est pour ça que j’étais à la salle mais pas dans la salle, 'fin que j’venais de l’extérieur quoi…" La voiture a déjà redémarré. Osmond observe Aimee sans émettre le moindre son, le bouffant lui et sa drôle de dégaine des yeux. Il ment. Et terriblement mal. C’est une qualité que le Serpent sait apprécier. Il a un sourire en coin, ténu et fragile, comme décalé de la situation. Aimee lui rappelle souvent Samson. Pas son fils, non. L’Autre. Le seul qui ne l’a jamais déçu (n’en a, peut-être, tout simplement pas eu le temps). "Mh-mh, à la salle mais pas dans la salle", reprend Osmond, tournant la tête en direction de la vitre alors que le regard traîne encore un peu. Sur le simple marcel notamment ; comment cet homme fait-il pour avoir aussi chaud ? Question restée en suspens.

"Comment vous vous sentez? vous êtes sûr que vous êtes déjà en état de sortir? ils ont dit quoi les médecins?" Osmond souffle, les sourcils froncés. "Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. Je vais bien." Vexé dans sa fierté, l’Originel plante son attention sur des éléments inintéressants comme des ponts, des façades, des quidams qui marchent dans les rues de New Blossom. Tout qui ne soit pas l’épais corps d’Aimee, insolent de santé. "Je dois éviter toute source de stress", confie-t-il enfin, dans un sourire mi-figue mi-raisin où traîne en tout cas de l’acidité. Puis il rit, parce que la blague est belle et qu’il est, quand il veut bien, assez bon joueur. Le menton revient à l’endroit du Hammer. "Tu veux bien m’éviter toute source de stress, Aimee ?" Omsond se fait complice. La prunelle brillante, alors que le poing continue de se serrer. Il a une confiance aveugle en les capacités mutantes du colosse et, plus rare, une confiance aveugle en sa capacité à les contrôler. Sans jamais le lui dire expressément, Osmond l’insinue dans les missions qu’il lui confie ou les compliments détournés qu’il égraine quelque fois dans leurs échanges.

Retour à la vitre. Le magnat se renfrogne. "Il y a eu une cyberattaque au siège." Les sourcils se haussent et deux doigts viennent pincer l’arête du nez. "Un individu suspect a été vu par mes hommes au moment de l’attaque. Ils le soupçonnent s’être réfugié dans le parking souterrain. Le périmètre est fermé et surveillé mais je préfère m’en occuper personnellement." La main s’agite, fout une taloche surprise à l’atmosphère thermorégulée (et puant maintenant la sueur) de l’habitacle. "Je ne veux pas que ça fasse de vagues. Les autorités n’ont pas à savoir pour ce petit… mh, tracas." Les autorités et consorts. "Je veux que tu neutralises cet individu, d’accord Aimee ? Ne t’en fais pas, je m’occuperai de lui faire la causette." Le regard revient se planter sur le colosse, soudain excessivement intense d’attention, après ces longues minutes d’évagation.
Amy Armstrong
True Blood
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Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
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Date d'inscription : 21/02/2023
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couleur de dial: darkgoldenrod


Osmond gobe l’excuse d’Amy comme un cacheton de placebo, ce qui suffit au butor pour relaxer son dos épais et gluant contre le cuir du siège. Amy ne se sent jamais très à l’aise à l’arrière des bagnoles d’Osmond. Au volant, il a toujours l’excuse d’avoir l’esprit occupé par sa destination; en revanche, à l’arrière de la voiture, tout devient tout de suite trop grand et trop spacieux et trop vide. Il garde ses courtes jambes campées, tendues par la désagréable sensation que s’il se laisse aller trop loin dans le fond de son assise, ses pieds risquent de ne plus toucher le sol.
"Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. Je vais bien." Amy pince un sourire amusé au bout de son bec. "Pourquoi, Lia voulait pas vous laisser sortir du lit?" hasarde-t-il en levant les yeux au plafond, pour croiser l’absence de regard de l’intelligence artificielle du magnat du lithium avec laquelle il avait pris la mauvaise habitude de se chicaner. Amy allonge le bras pour récupérer dans un minuscule frigo intégré, une bouteille d’eau vaguement fluorescente. "Je dois éviter toute source de stress," Amy, pensif, a un regard presque attendri pour son biceps, tandis qu’il flexe pour ouvrir la bouteille. "Tu veux bien m’éviter toute source de stress, Aimee ?" Il interrompt son geste, le goulot flirtant avec sa bouche, sa gorge s’asséchant comme un œuf sur sa carlingue. Il a même cet insupportable petit geste, pinçant le col de son marcel et le secouant doucement pour se ventiler la figure, n’aidant pas avec l’odeur de transpiration. Son regard toujours un peu larmoyant pendouille un temps au bout de celui d’Osmond, dont les iris ont parfois le même éclat d’acier.
"Bah ouais, ouais, carrément, boss," répond-il d’un ton détaché pas très naturel, noyant son embarras dans de bruyantes gorgées d’eau minéral slash boisson énergisante.

Il écoute la suite du récit avec l’attention d’un puits, ses phalanges rouges roulant contre les aspérités régulières de la bouteille en plastique. "Je ne veux pas que ça fasse de vagues. Les autorités n’ont pas à savoir pour ce petit… mh, tracas. Je veux que tu neutralises cet individu, d’accord Aimee ? Ne t’en fais pas, je m’occuperai de lui faire la causette." La familiarité de la mission finit de le détendre et d’un haussement d’épaules lourd, il accepte. "Ça m’va," s’ébroue-t-il, le confort n’en menant pas large sous le regard fixe de son patron. L’échine d’Amy s’affaisse, comme un bloc d’acier sous une presse hydraulique.
Le reste du trajet est plutôt silencieux, se déroulant au rythme des grincements du cuir sous les fesses d’Amy qui peine à trouver une position confortable. La voiture s’enfonce dans le bide de l’énorme complexe ultra-moderne, où d’autres voitures les attendent en barrant le passage.

Amy s’expulse de l’habitacle, salue les quelques hommes de main dont il remet vaguement les visages. Il doit admettre qu’il aime bien voir l’effet qu’il fait auprès d’eux; lorsque le patron ramène son Hammer, c’est qu’il veut régler ses comptes vite et bien. C’est dans ces moments-là qu’Amy aime bien faire tache, au milieu de tous ces types en costards et en lunettes de soleil. Il est la preuve vivante (et suante) qu’il est suffisamment précieux (enfin, utile) aux yeux du Serpent pour que ce dernier ne l’encombre pas de règles simples comme le port de la ceinture ou de manches longues.
D’ailleurs, après avoir fait un tour vite fait afin d’apprécier l’air chargé d’essence, Amy retourne auprès d’Osmond, talonné par l’une de ses sous-fifres qui projette un plan des locaux depuis une tablette. Le mutant se défait nonchalamment de son reliquat de t-shirt qui s’écrase à ses pieds comme une petite mue (see what i did there). Il suit vaguement ce qu’on lui explique, tandis que de ses avant-bras, jusqu’aux épaules en passant par ses impressionnants biceps, sa peau se change en acier, l’enveloppant comme s’il était plongé dans une cuve. Un même genre de vague métallique remonte de l’élastique de son jogging, grignotant les muscles abdominaux et pectoraux, étranglant son cou de bœuf pour s’arrêter sous son menton. "Et on sait s’il est modifié votre gus, là? j’voudrais pas m’faire pirater la caboche en retour…"
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
doomy (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

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you never
feared the abyss

doomy (amy) Ra48t6aq_o doomy (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

doomy (amy) AxI6stHu_o doomy (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 521
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

Les salutations sont expédiées d’un petit signe du chef. Osmond est rapidement rattrapé par Sadie, de la sécurité, qui s’arme d’une unité high-tech pour illustrer ses propos. Après un récapitulatif sommaire, elle ajoute. "Il a réussi à atteindre le data center." Osmond cligne des yeux. "Mon data center ?", son index pointe vers le bas, "celui que j’ai fait construire et installer sous nos pieds avec un système de sécurité à sept chiffres, ce data center ?" Sadie se crispe. "Oui Monsieur Rose. Celui-là même." Elle lève un peu plus son unité high-tech devant eux pour mettre en exergue les plans 3D du bâtiment, auxquels s’ajoutent des captures d’écran prises depuis trois caméras différentes. "On ne sait pas comment il s’y est pris mais l’individu est parvenu à entrer dans la zone pour faciliter à une source tierce le piratage de nos données." Osmond reste calme. Ses yeux continuent de regarder la projection en 3D, et plus particulièrement les captures d’écran sur lesquelles ont peut  plus ou moins voir la tête du suspect. Amy apparaît derrière, avançant vers eux de son pas pesant et tranquille. La superposition d’Armstrong sur les captures d’écran provoque un tic facial chez Osmond, bizarrement satisfait ; il a bien fait de l’amener.

Sadie, sensiblement déconcentrée par la mise à nue littérale du colosse, met quelques secondes à reprendre. "Hum. Dès que l’alarme s’est déclenchée il est remonté jusqu’ici, au niveau du parking. - Et on sait s’il est modifié votre gus, là? j’voudrais pas m’faire pirater la caboche en retour…" Osmond pivote un peu la tête en direction de Sadie, attendant qu’elle réponde aux inquiétudes justifiées du colosse. Sadie paraît embarrassée. "On suppose que oui. Un homme seul, aussi compétent soit-il dans ce domaine, n’aurait jamais pu venir à bout de notre système de sécurité. - Oui, le fameux à sept chiffres", complète le magnat avec une acidité qu’il ne cache pas. "Mais il y a un détail étrange que nous avons relevé…" Sadie lève ses doigts et pianote en l’air pour zoomer sur d’autres captures d’écran, celles-là thermiques. "L’individu n’a… pas de température corporelle." Osmond fronce les sourcils, sort de son manteau une paire de binocles noires, les enfile et se penche un peu en avant pour mieux détailler la silhouette pitch blue de la petite enflure. Son profil finit par se tourner à l’endroit du Hammer, recouvert de son acier brillant, qu’il consulte en silence avant de revenir dans son axe droit pour retirer son manteau - refilé au premier bras qui se tend parmi la grappe d’hommes de main stationnés derrière eux. "Continuez de boucler le secteur et surveiller vos moniteurs, on s’en occupe. - Vous… êtes sûr ? Je peux dépêcher des hommes pour qu’ils le débusquent. - Je sais." Osmond a un sourire creux. La prunelle pétillant d’excitation ou de colère, on ne sait pas trop. "Mais vous en avez assez fait comme ça." Un geste pour son sbire d’acier. Le ton plus gentil. "Viens Aimee, allons-y."

Osmond retire précautionneusement ses binocles pendant qu’ils marchent à travers les allées du parking. Il les range cette fois sous sa veste, sans quitter le panorama bétonné des yeux. "Ta caboche n’a rien à craindre", précise-t-il au titan qui l’escorte. Il a un sourire rassurant, de temps en temps cassé par les ombres crues que les néons provoquent. "S’il est en effet modifié et qu’il peut s’attaquer au réseau de données, je doute qu’il sache en revanche se battre contre un colosse en acier. Encore moins atteindre son cerveau !" L’incertitude quant à d’autres capacités subsiste évidemment, d’autant plus maintenant qu’ils savent pour la température corporelle de l'intrus, mais que serait un pep talk sans quelques omissions nécessaires. "Par contre", Osmond s’arrête, obligeant Aimee à faire de même puisqu’il s’est tourné vers lui, "essaie de te calmer, là-dessous." Sa main, à plat, oscille dans le vide pour indiquer le dessous de ceinture. "Je ne sais pas où tu te trouvais quand tu étais à la salle sans être à la salle, mais Seigneur, Aimee, tu es bouillant comme un ado en rut." Osmond secoue la tête, l’air incommodé. "Comment veux-tu que je traque notre homme si tout ce que je détecte sont tes phéromones post-coïtales ?"
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : doomy (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
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***
They tell me you are evil,
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and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
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tw: violence, langage grossier


"On suppose que oui. Un homme seul, aussi compétent soit-il dans ce domaine, n’aurait jamais pu venir à bout de notre système de sécurité. - Oui, le fameux à sept chiffres", Amy a toujours trouvé ça drôle, quand Osmond a le seum. "Mais il y a un détail étrange que nous avons relevé. L’individu n’a… pas de température corporelle." Lorsqu’Osmond se penche en premier, Amy se ravise, plissant ses yeux transparents en tentant de réfléchir à un type de mutation qui pourrait entraîner pareille caractéristique. Il ne s’encombrait généralement pas de ce genre de réflexions, à partir du moment où l’individu.e n’était pas susceptible de transpercer sa carapace.
C’est avec tout autant de circonspection qu’il l’observe se débarrasser de son manteau (un peu plus et il s’attend à ce qu’il l’imite jusqu’au bout et se foute à poil). "Continuez de boucler le secteur et surveiller vos moniteurs, on s’en occupe. - On? - Vous… êtes sûr ? Je peux dépêcher des hommes pour qu’ils le débusquent. - Je sais. Mais vous en avez assez fait comme ça. Viens Aimee, allons-y."

Bien entendu, Amy s’exécute, mais pas avant d’avoir échangé un regard avec Sadie, dans le dos du big boss. Les sourcils de Sadie se tordent au-dessus de son regard inquiet qui se veut quand même un peu impassible. Silencieusement, Amy articule un t’inquiète poulette, je m’en occupe (enfin plus ou moins dit comme ça), et s’élance à la poursuite d’Osmond. Il va donc pour ouvrir le bec, histoire de s’en occuper, t’inquiète poulette, que le Serpent l’interrompt: "Ta caboche n’a rien à craindre. - Ah? - S’il est en effet modifié et qu’il peut s’attaquer au réseau de données, je doute qu’il sache en revanche se battre contre un colosse en acier. Encore moins atteindre son cerveau !" La bouche d’Amy se pince: "Ouais, ‘fin c’est c’qu’on avait dit pour le mec mouche là et j’le sens encore passé dans mes trous de pif…" ronchonne-t-il en frottant son arête du nez qui se recouvre progressivement d’acier, comme une petite prothèse de sport.

"Par contre, Osmond fait volte-face, Amy est obligé de s’arrêter de respirer pour que son poitrail ne s’écrase pas contre celui de son boss. Ah voilà! il y avait toujours un mais (ou un par contre), essaie de te calmer, là-dessous. La bouche d’Amy bâille aux corneilles sans se résoudre à expulser un quoi interdit. Je ne sais pas où tu te trouvais quand tu étais à la salle sans être à la salle, mais Seigneur, Aimee, tu es bouillant comme un ado en rut. S’il a interrompu momentanément sa transformation en acier, sa figure se barbouille de rouge. - J’ai… - Comment veux-tu que je traque notre homme si tout ce que je détecte sont tes phéromones post-coïtales ?" Honteux et confus, Amy a cet inutile réflexe de se renifler les dessous de bras. Ses épaisses épaules s’affaissent, tandis qu’il rabat instinctivement ses paluches sous sa ceinture. Il se met presque aussitôt à suer de plus bel, comme pour noyer le poisson (et lesdits phéromones). "C’est euh— à cause des prot’, m’sieur…" se justifie-t-il en dissimulant difficilement la gêne de son mensonge dans sa respiration saccadée.

Les courtes secondes qu’ils restent à se regarder, l’un en chien de faïence, l’autre plutôt en chien battu, paraissent si longues, avant qu’Amy ne tapote le bas de son ventre, dont le bruit, étouffé par la fabrique du jogging, résonne métalliquement: "Mais vous inquiétez pas, boss, ça va euh— refroidir une fois que j’suis changé." Rien n’était moins sûr, en revanche, ça lui permettait de grignoter quelques minutes, afin de laisser à l’acier le temps de finir de l’engloutir. Il contourne timidement son patron, ses mains venant presser la racine de ses cheveux, tandis que le métal finit sa course jusqu’à la pointe de ses boucles.
Il n’y a pas à minauder: mis à part la paire de baskets éventrées et le jogging distendu, la mutation d’Amy lui donne une dégaine des plus fascinante, à l’instar d’une rutilante statue en mouvement, ou d’un robot qu’on a enrobé d’un trop-plein de muscles.

Les deux mutants continuent de progresser précautionneusement (enfin, plus ou moins, Amy est à ça de soulever des voitures pour voir si le pirate ne se cache pas dessous). "Boss, à votre avis, pourquoi il a pas de température corporelle? Vous pensez qu’c’est aussi un genre de… Il ne trouve plus le mot reptile: lézard?"
Osmond n’a pas le temps de s’offusquer de la remarque qu’Amy se sent décoller du sol, un énorme bras en cuir constricteur enroulé autour de sa taille "Bordel de m—"

Amy n’a pas le luxe de comprendre ce qui lui arrive et encore moins qui lui fait face. Le combat est brouillon mais agressif, à la Amy, en fin de compte. Le molosse se contorsionne, gonflant les muscles de son dos, arrachant l’un de ses bras à l’entrave, pour qu’il se fasse aussitôt paralyser par un autre de ses tentacules bruns. Lorsqu’un troisième vient lui étouffer la gorge, Amy voit rouge et d’un déplacé: "On a dit pas la tête, putain!!!" Ce vent de panique le fait redoubler d’efforts et de vigueur.
Aussi, à l’issue d’une lutte acharnée, maîtrisant avec une lourde vigueur grinçant du métal contre le cuir, Amy finit par arracher, dans un râle frustré, l’un des interminables bras de son adversaire qui, contre toutes attentes, ne crie pas de douleur en retour.
Peu à peu, les tentacules roulent au bas de ses jambes, tandis qu’il se libère et reprend le dessus, épinglant le morbide mutant au sol, écrasant ses côtes entre ses cuisses (don’t skip leg days, kids), ses mains pressant les tentacules comme d’épais bouquets de réglisse (but less tasty) (bon c’est pas très tasty in the first place le réglisse, so).
Une salve de coups de boule d’acier plus tard, et l’adversaire, dont le crâne ploie dangereusement à chaque nouveau coup, semble perdre connaissance.
"Rappelez-moi d’me débarrasser d’mes écouteurs filaires, boss…" plaisante Amy, ahanant au-dessus du suspect inconscient. Ses muscles crépitent, sa carapace d’acier se rétractant péniblement, fatigué qu’il est de l’intense effort.
Il finit par se relever, rassemblant les innombrables appendices sous son bras comme autant de câbles, et balance le corps étrangement léger sur son épaule, avant de retourner auprès du reste des hommes d’Osmond.
Osmond Rose
Originel·le
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CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

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SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

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CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

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INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
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-- Amy [décembre 2025]

tw: violence, mention de blessures, sang, meurtre.

"C’est euh— à cause des prot’, m’sieur… - Mh-mh, à cause des prot’." En trente-trois minutes rien n’a changé. Aimee ne sait toujours pas mentir. Des bruits métalliques, mais étouffés, finissent par résonner entre eux. Osmond baisse doucement les yeux sur les abdominaux transformés. "Mais vous inquiétez pas, boss, ça va euh— refroidir une fois que j’suis changé." Pas de réponse. C’est en partie vrai. Changé en métal, Aimee disparaît de ses radars prédateurs. Mais Osmond a ses raisons de ne pas confirmer. Un petit mouvement de cabèche enjoint le colosse à continuer de marcher, le sourire au bord des lippes. Aimee le contourne, laissant dans chacun de ses pas d’autres bruits sourds et secs, et dans la tranquillité du sol bétonné un défilé de vibrations. Les yeux froids du Serpent s’égarent sur les trapèzes épais du Hammer, un reflet appréciatif sur la rétine, un autre, plus brillant, dégueulant doucement de jalousie. Aimee Armstrong est la personnification du mutant comme on aime se l'imaginer dans la culture populaire ou les légendes urbaines - il aurait fait un Sept en tous points parfait, briefé ici et là pour éviter de faire mauvaise presse, mais à part ça, banco : puissant, beau, propre et lisse, pas forcément le meilleur ami des associations féministes mais, comme dit, un coach et quelques bannissements bien placés dans le metaworld auraient suffi à bâillonner la part problématique du sacrosaint héros. Osmond ne le quitte pas des yeux le reste du trajet marchant, non plus devant, mais derrière lui.

"Boss, à votre avis, pourquoi il a pas de température corporelle?" Rose est tiré de ses pensées. Son visage se détend. "Vous pensez qu’c’est aussi un genre de…" Les godasses cirées font une halte brusque. L’air s’est chargé de signaux chimiques puant l’agressivité, un goût amer, comme bouchonné, qui se dépose sur la langue du Serpent. Un Aimee prend forme dans sa bouche. "Lézard?" Et crève entre gencives. Osmond laisse l’adversaire s’emparer du colosse, les petites boucles noires momentanément soufflées par la vélocité de l’attaque. Aimee est emporté dans un ronflement de cuir et de métal impressionnant, bientôt suivi par un tintamarre d’autres sons alors que le combat commence. Les godasses, toujours aussi cirées, reculent de quelques pas prudents. Le buste reste sage, droit et immobile, presque trop calme devant le tableau biblique des deux antagonistes s’écharpant. "On a dit pas la tête, putain!!!" Oui, éviter autant que possible sa gueule d’ange - même si, en l’état, la petite vexation essuyée par le lézard aurait tendance à dire : vas-y mon salaud, cogne bien. Mais le parjure est de courte durée. Osmond se réarme bien vite de sérieux et, bien qu’à distance toujours aussi raisonnable, lorgne à présent la rixe d’un oeil concerné. "Je le veux vivant, Aimee", éclate entre deux coups puissants résonnants de métal, "sur ta gauche !" survient aussi, et quelques autres avertissements comme en ont les coachs de boxe bien à l'abri du ring.

Quand la lutte se termine entre les cuisses du Hammer (… ok), le Serpent se rapproche avec le même calme. "Rappelez-moi d’me débarrasser d’mes écouteurs filaires, boss…" Osmond écoute d’une oreille. Il opine dans le vide, le regard braqué sur la carrure inerte. "K.O. c’est assez proche de mort, en terme d’utilité", râle le magnat, s’agenouillant, puis soulevant du bout du doigt l’un des tentacules. Un mod on ne peut plus illégal, comme les cinq autres a priori greffés directement dans son dos. Le tout semble avoir fusionné avec le corps et ne faire plus qu'un, non pas grâce à la protochirurgie, mais grâce... à un genre de mutation ? Tout est en tout cas glacial au toucher. "Putain de Dieu, belle bête", souffle-t-il pour lui-même, tant admiratif que moqueur. Aimee n’a pas besoin qu’on lui dise quoi faire pour récupérer le colis (Aimee a de moins en moins besoin qu’on lui dise quoi faire, a déjà remarqué Osmond, non sans savourer les fruits de son dressage). "Ça va Aimee ?", s’enquiert-il alors qu’ils marchent en rebroussant chemin. Les yeux froids auscultent le corps musculeux, abîmé de plusieurs bleus et blessures mais finalement peu, comparé à toute la charge que l’armure a encaissé. Les doigts hésitent à venir toucher des reliefs de peau où le métal peine à dégager. Finalement rangées dans ses poches, les mains se dérobent à l’idée.

"Apportez…" Revenus au point de départ, Osmond tourne sur lui-même, cherchant quelque chose dans le parking sur lequel positionner l’intrus. Un type dont il ne remet pas le nom se radine avec un escabeau, probablement emprunté à un cagibi de service. "Ah, très bien. Merci…" Flottement. Il ne remet toujours pas le nom. Petit tournoiement de l’index, indiquant à Aimee d’installer sa prise. Il est aidé d’autres agents de sécurité, qui font d’avantage office de tuteurs pour maintenir assis le type que de véritables cerbères. Osmond approche et assène quelques claques gentilles sur la joue droite. "Allez, on se réveille. Hé." Il se redresse, circonspect. "J’espère que tu ne lui as pas grillé sa carte mère ou je ne sais quoi, Aimee." Torsion de nuque. Un échange de regards. Le dos de la main se lève sans prévenir et fout une baffe bien sentie à la pieuvre câblée. Quelques poings retiennent par la fabrique le corps qui bascule. Le coup est étonnement violent - plein d’un énervement contenu. Osmond ramène sa dextre, exerce un petit massage au niveau de l’auriculaire où repose une petite chevalière sans prétention. L’or a laissé une strie sanguinolente sur la lèvre craquelée du type. Qui émerge enfin.

"Pas trop tôt." Les mains du Serpent éventrent le manteau dont est affublé l’intrus, cherchent et fouillent en palpant le corps détruit d’altérations et de coups portés par les massues du Hammer. "Comment tu t’appelles ?" Le réveil est maintenant complet. En toute réponse, un crachat atteint la pommette du magnat. Léger recul, paupières fermées, puis rétractation des bras. "Original", dit-il sans grande emphase. Osmond recule, tourne les talons, et s’essuie de ce même revers de main qui a frappé la carne. Il s’approche d’un de ses hommes auprès de qui il demande l’arme de service (ah, America). En se retournant, Osmond l’a prise en main avec une dextérité manifeste (cinquante ans de chasse là sur les terres galloises là sur les terres prussiennes, pensez si c'est utile). Il arme d'abord le chien, et développe ensuite. "C’est simple. J’ai des questions, et tu vas me donner les réponses. Chaque question restée sans réponse, c’est une balle dans les articulations. J’ai là-dedans (il consulte l'homme de main à qui il a emprunté le calibre) dix ? oui, dix cartouches, et moitié moins de questions. Alors tu vois, j’en ai, des provisions." Quelques tentacules se mettent à vrombir. Osmond les désigne. "Aimee, tu veux bien m’attacher tout ça ?" Le mutant redevenu partiellement Homme s’exécute. Il passe devant le Serpent qui patiente ; le dos encore nu traverse son champ de vision, se plante même devant et lui cache même une partie de l’altéré-mutant. En se baissant pour cueillir un à un les gros câbles, un sixième se lève en traître au-dessus de l’échine d’Aimee, dépliant une lame qui vise la nuque.

Un Aimee prend forme dans sa bouche. Mais le coup part avant. Le calibre 9 mm se loge dans la tête de l’altéré-mutant, neutralisant tout aussi brusquement son geste. La détonation ricoche contre toutes les colonnes, dans tous les tympans, provoquant même un inconfort pour l’ouïe de l’Originel qui, pour tout dire, ne pensait pas devoir en arriver là. Et là- encore moins… Stupeur générale. Certaines silhouettes pliées par la surprise se redressent lentement, tandis que tous les visage se tournent vers le boss, au poing duquel fume encore le canon. Il met quelques secondes à rassembler ses pensées. "Débarrassez-moi de ça." Ça est vite saisi à bout de bras. Le flingue retrouve le holster d’où il provient. "Et de ça aussi." Le flingue, donc. Avant qu’on se sépare, le magnat précise. "Rien ne sort d’ici." Une petite panique le gagne, accompagnée d’un trop-plein de colère. "Je connais tout de vous", se sent-il d’ajouter, les adresses, les secrets, où habite maman et qui est l’amant du jeudi. Les épaules sont rentrées, la tension palpable. Osmond a un dernier regard pour Aimee, sur qui toute sa colère se cristallise, puis il tourne les talons sans plus un mot, direction sa berline. Sadie hésite à emboîter son pas, mais elle en est encore à loucher sur la flaque de sang, bouche bée. Elle a, quand même, le réflexe de noter sur son unité high-tech, dans un petit encart : contact équip. net. discrète, asap.
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
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Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
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and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
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Thèmes abordés : violence, gang life, red flag-ism
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Le "Putain de Dieu, belle bête," d’Osmond traîne de la patte dans la caboche d’Aimee tandis qu’il hisse le corps inconscient sur son épaule. Il a un petit regard en coin humide à l’intention de son patron, toujours autant confus quand le magnat agissait et s’exprimait comme s’il n’était pas l’un des leurs. Il y avait une pudeur vis-à-vis de la mutation d’Osmond Rose qu’on ne voyait que rarement à l’œuvre. Comprendre les jeux de pouvoir et de manipulation passaient souvent au-dessus de la tête d’Amy qui se foutait bien de comment Osmond gérait ses déconcertantes déchirures (il aime faire croire qu’il a déjà vu l’une de ses mues traîner dans l’une des salles de bain du penthouse). En revanche, de temps à autre, il se surprenait à se demander si Osmond le qualifiait aussi de belle bête, au même titre que s’il était un buffle sous stéroïdes qu’on exhibe au salon de l’agriculture du futur.
Et parfois, encore plus rarement encore, Amy se demandait ce qu’il ressentirait si c’était effectivement le cas.

"Ça va Aimee ?" Le butor n’a pas besoin de faire volte-face pour d’ailleurs sentir le regard expert de son patron sur son échine ployée. "Ouais, ouais, c’était juste un peu euh— surprenant…" Il n’était en effet pas parvenu à comprendre si le mutant était bel et bien un mutant ou un drôle de cyborg slash androïdo-humain comme Theseus savait si bien les faire. Il y avait quelque chose de trop technologique à sa déchirure, mais quelque chose de trop organique à ses altérations. Et Amy en savait quelque chose, tandis que de dernières rayures d’acier finissaient de s’enfoncer dans ses plaies pour les colmater, donnant à ses cicatrices à panser un déroutant reflet argenté.

Les deux hommes rejoignent le reste du groupe et Osmond entreprend d’essayer de réveiller le suspect. Amy n’est pas peu fier de l’avoir envoyé dans les roses aussi efficacement, mais un tel exploit n’est pas autant du goût de son patron: "J’espère que tu ne lui as pas grillé sa carte mère ou je ne sais quoi, Aimee." Le concerné se balance doucement d’avant en arrière, les mains se rejoignant difficilement dans son dos (le soucis d’avoir des bras et des muscles dorsaux trop épais), ses yeux trop bleus disparaissant presque tant il regarde le plafond, avant de glisser un petit coup d’œil à l’intention de Sadie, pour voir si elle était autrement plus impressionnée qu’Osmond.
Une fois que le hacker ouvre les yeux, l’échange est impatient et de courte durée. Le Serpent ne met pas longtemps à foutre les doigts sur un flingue afin d’accélérer la cadence. C’est toujours désarçonnant de voir Osmond à l’œuvre, levant l’agacement dans sa voix et dans la prise de l’arme, à l’instar du spectacle terrifiant d’un serpent en mouvement (Amy en avait avalé, des documentaires animaliers, au beau milieu de la nuit, avant qu’on l’appelle pour se mettre aux fourneaux) (sans pour autant retenir quoi que ce soit, il n’était pas ce genre de petits génies qui s’ignorent).

"Aimee, tu veux bien m’attacher tout ça ? - Yup, Amy s’accroupit, exposant son habituel sourire du cuistot (oui, je renomme, parce qu’à ce rythme, c’est devenu une institution slash incontournable chez lui). Il ne réalise pas que le mutant altéré est sur le point de faire du susdit sourire une fermeture éclair intégrale, et son échine n’explose en muscle d’acier qu’en réaction au coup de feu qui siffle au-dessus de ses boucles.
Amy fait volte-face, son équilibre mis à mal par sa position accroupie. Contrairement au reste des employé.e.s d’Osmond, il n’a pas un second regard pour le cadavre fumant de l’interrogé, son troublant regard d’eau figé sur le visage contrit de son patron. Sa bouche s'arrondit autour d'un "Boss…" soufflé, sa stupéfaction prenant source dans un sentiment qu’il ne peut encore expliquer.
Tandis qu’Osmond siffle des ordres nerveux, Amy s’est lentement redressé, le regard vague. Il semble confus, pris au dépourvu par l’anomalie qui venait de lui ébouriffer les cheveux. Si, après presque deux ans, Amy était devenu aussi efficace, c’est qu’Osmond l’avait préposé à des rôles simples à exécuter. Amy était the Hammer, Amy cognait et protégeait. Aussi, il n’avait pas l’habitude qu’on lui vienne en aide; et le Serpent était bien le dernier des Orphans qu’il se serait imaginé venir lui sauver la peau (sans rancune).

Amy ne se remet en branle que lorsqu’il réalise que le Serpent disparaît de son champ de vision. Cette fois-ci, il ne fait pas preuve d’autant d’application et, en voulant dépasser son patron pour s’interposer entre lui et la voiture, s’écrase sur la portière arrière de celle-ci, la faisant rebondir sur ses suspensions. Et, le soucis avec Amy (entre autres), c’est qu’il agit avant de réfléchir (puisque la plupart du temps, on réfléchit pour lui, ça fait une étape en moins). Aussi, s’il est parvenu à empêcher Osmond de rentrer dans la voiture, il n’a pas la moindre idée de ce qu’il veut lui dire, à la lumière de cette flagrante bavure.
Il sent simplement que, malgré la petite distance qu’il a parcouru sans difficulté, propulsé comme un boulet de canon, il respire trop fort dans le silence étouffé du parking. Il ajuste sa position, son dos moite s’engluant contre la vitre. "Boss, j’suis euh— désolé, j’ai pas vu qu’il—" Jusque là, rien de trop anormal; il arrivait à Amy de tomber dans des pièges stupides, mais une fois encore, il devait toujours s’en sortir tout seul, parce que c’était son job, parce qu’on ne pouvait pas se mesurer à sa force, et de fait, à la force des traquenards dans lesquels il plongeait comme une mouche sur une merde, ou comme not-blue-eyed-people se retrouvent inéluctablement englué.e.s dans les regards bleus (c’est un peu plus joli).
"Fallait pas, vraiment— enfin, si, les mots sont courts, fuyant sa bouche de piaf comme son regard fuit celui d’Osmond. Mais ‘faut pas, hein, vous avez dit que j’devais vous éviter le stress, ses yeux s’accrochent momentanément à la poitrine de son patron, avec une intensité telle qu’on dirait qu’il essaye d’en deviner les pulsations fiévreuses, il espérait. Mais— merci, hein… J’vous en dois une—" Il s’essaye enfin un court instant à déchiffrer le regard d’acier du Serpent, sous le prisme de sa propre confusion.
Osmond Rose
Originel·le
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the day I died
I didn't tell
my body

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you never
feared the abyss

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Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

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***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 521
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

tw: manipulation psychologique.

Osmond marque un arrêt brutal quand Amy réapparaît dans son champ de vision et s’interpose entre lui et la portière. "Boss, j’suis euh— désolé, j’ai pas vu qu’il—" Les yeux froids toisent le pauvre Hammer essoufflé et transpirant qui n’a jamais eu l’air aussi penaud qu’à cet instant. Osmond bout de l’intérieur, imprégné par la frustration que son acte a engendré et l’impossibilité, maintenant que le type est mort, d’obtenir ses précieuses réponses. "Fallait pas, vraiment (plissement de nez, un rictus dérouté s’insère sur son expression fermée) enfin, si. Mais ‘faut pas, hein, vous avez dit que j’devais vous éviter le stress. Mais— merci, hein… J’vous en dois une—" Le silhouette reste figée, en contraste à celle d’Amy qui gigote devant lui en encrassant de sueur la carrosserie et la vitre.

"Oh tu m’en dois plus qu’une, Aimee." Osmond est rarement hostile dans le ton, et même s’il lui arrive d’être agacé comme tout un chacun, sa voix ne se rompt pas sous la pression du venin. Sauf parfois. Quand la chose est personnelle ou qu’il est poussé à bout. Amy ne l’a pas poussé à bout. Amy ne le pousse jamais à bout ; il le réconforte même, dans sa présence, dans sa malléabilité. Mais Amy est une cible facile sur laquelle cristalliser à l’instant t toute sa colère. Amy est une brute de muscles et de métal : il est fait pour encaisser. Le Serpent bascule en avant. Mais ce ne sont pas ses crocs qu’il plante ; c’est son index, sur le sternum du mutant. "Tu me dois ta vie." Au bout du doigt, la pression est forte, douloureuse. La colère continue de glisser un peu partout sous les chairs d’Osmond, serpentant jusqu’à ses nerfs qui sont à vif depuis trop de mois. "T’imagines le merdier dans lequel je viens de me mettre pour toi ?" Une insistance est faite sur le pour toi, souterrainement manipulatrice. "Tu crois que j’avais besoin de ça Aimee ?" Malgré la colère, la frustration et l’envie de broyer n’importe quoi dans ses bras, Osmond garde son sang froid. Les yeux larmoyants et désolés d’Amy n’y sont pas pour rien. Le Serpent reste sensible à la loyauté, même maladroite et pataude.

Le doigt fait place à la main tout entière, laquelle grimpe jusqu’à l’épaule. Osmond serre plus doucement, produisant même un petit balancement de réconfort. "Ça va, c’est bon. Je trouverai une autre solution…" La mâchoire se serre, provoque un gros soupir dans lequel le Serpent tente d’évacuer sa tension. "Redresse-toi, allez." Son bras tire, accompagne Amy dans sa nouvelle posture et quand il est plus droit, la paume de main se déplace aussi, vient se caler contre les cervicales musclées - plusieurs mèches bouclées sont capturées sous ses doigts. Osmond penche un peu la tête, force un échange de regard, entre attitude bienveillante et emprise psychologique. "Mais ne me fais pas regretter, d’accord ?" Autrement dit, Osmond ne regrette pas encore. Il est en colère, oui, et passablement excédé par la tournure des évènements, mais de là à ce qu’Amy ait subitement perdu ses faveurs, n’exagérons pas.

Attendant qu’au minimum un signe de tête confirme avoir bien entendu, il se déplace alors d’un pas et ouvre la portière contre laquelle Amy s’est appesanti. "Monte, je te ramène." Sadie s’est approchée, visiblement remise (son professionnalisme le faisant en tout cas excellemment croire). "Monsieur…? - Pas maintenant." La main de Rose exerce un signe bref. Il sent l’énervement revenir à la vue seule de son employée, et du reste des agents de sécurité qui sont encore dans le décor. "Faites ce que je vous ai dit de faire, je ne veux pas connaître les détails. On se reparle demain." Sadie se pince les lèvres et opine. Osmond s’engouffre à son tour dans le véhicule, puis demande à Rick, sensiblement chamboulé, de démarrer. Le silence de l’habitacle rappelle au Serpent le silence soporifique d’un vivarium. Il s’y sent de suite mieux. Les pensées sont plus claires. "Où est-ce que je te dépose ?", demande-t-il à Amy, la voix un peu détachée de la situation puisque l’esprit est occupé à ressasser. Nulle mention du penthouse. Simple omission de sa part qu’il corrige en glissant une main vers le coffret réfrigéré. "Tu peux rentrer avec moi, bien sûr, ça ne me dérange pas." Sa mignonette d'alcool dans les mains, il s'enfonce plus confortablement dans le cuir de sa banquette. Ses doigts dévissent le bouchon avec lenteur, repensant malgré lui aux (autres) recommandations du médecin. Nouveau soupir. Il fait traîner la transgression en se réintéressant à Amy. Quelque chose est resté gravé dans ses oreilles, des mots prononcés avec une spontanéité déroutante, comme quand on reçoit un cadeau et qu'on se fend de politesses convenues. "Pourquoi il ne fallait pas ? C'est ce que tu m'as dit tout à l'heure. Tu aurais préféré que je laisse ce type enfoncer sa lame dans ta nuque ? Ne me dis pas que tu ne prêtes pas la moindre valeur à ta vie, ça me vexerait..."
Amy Armstrong
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Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
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"Oh tu m’en dois plus qu’une, Aimee." Ce n’était pas la première fois qu’Amy prenait des engagements auprès de gens peu recommandables. Mais il fallait avouer qu’avec Osmond Rose, il avait balancé la barre très haut et avait développé une dette telle qu’il n’en voyait jamais vraiment le bout. Et voilà que cette dette en question venait de prendre une autre dimension, qu’aucun argent ou service ne pourrait le tirer de là d’ici peu. "Tu me dois ta vie." Amy ne sait plus dans quoi il s’est engagé. Une vie, c’est un peu difficile à calculer, bien qu’il n’ait jamais considérer que la sienne put avoir une valeur quelconque.

"T’imagines le merdier dans lequel je viens de me mettre pour toi ?" A défaut d’imaginer ça, Amy se concentre sur la pression du doigt sur son sternum, juste au-dessus du creux de ses pectoraux, là où la sueur s’agglutine dans la gouttière de peau. S’il baissait les yeux, et il résiste très fort, il pourrait voir le dessous de l’ongle d’Osmond s’humidifier.
Amy n’a pas l’habitude qu’on le touche quand il transpire. Généralement, c’était plutôt le contraire, et on l’évitait, à juste titre, parce que son épiderme après l’effort n’avait rien de très ragoutant. Les seules fois où on le touchait et l’agrippait alors qu’il était tout moite, c’était lorsqu’il passait la nuit avec quelqu’un. Les paroles d’Osmond s’éloignent encore un peu.

Si Amy se laisse manipuler et siffler dessus dans l’espoir que ça passe plus vite, rompu à cette habitude depuis sa plus tendre enfance, il se surprend plusieurs fois à se laisser aller à la poigne d’Osmond, avant de se reprendre et d’accentuer la tension dans son cou ou dans sa position, poussant volontairement là où Osmond tire, lui faisant raffermir sa prise dans l’effort. "Redresse-toi, allez."
Amy n’a pas l’air de comprendre tout à fait le pouvoir que cette petite crise implique; ni d’apprécier l’ombre d’une emprise qui ne s’exerce peut-être pas que dans un sens. Il ne réalise pas à quel point il s’était rendu indispensable pour qu’Osmond pense à deux fois avant de le sacrifier afin d’obtenir de précieuses infos qui pourraient sauver son empire. Amy a comme le vertige, alors qu’il ne sait même pas qu’il se situe plus haut qu’il ne voudrait bien le croire dans la liste des priorités du Serpent; très haut et pour autant suspendu dans le vide, à l’instar de tous les autres employé.e.s et Orphans. Il ne sait pourtant pas ce qui le retient.
Amy ignore beaucoup de choses et toujours ça l’agace un peu.
"Mais ne me fais pas regretter, d’accord ?" Amy hoche la tête, la racine de ses cheveux tirant sur son cuir gras.

Osmond le fait monter et Amy s’engonce une nouvelle fois dans l’habitacle, encore plus tendu et fourbu qu’avant. Il s’affaisse au bout de la banquette arrière, le dos calé dans le coin formé par la portière et le siège. Il attend patiemment que son patron ait fini d’échanger avec Sadie puis le chauffeur (ou dans l’autre sens, il s’en fout). Son genou cogne contre celui d’Osmond quand ce dernier prend place à son tour; Amy ne le retire pas. Il opine du chef lorsqu’il lui propose de rentrer avec lui. Il va pour laisser aller sa tête contre l’appui, faire semblant de roupiller le temps d’arriver à la maison, mais c’est sans compter les sifflements du Serpent qui interroge: "Pourquoi il ne fallait pas ? Amy rouvre un oeil, s’il n’avait pas tout le temps l’air aussi con, il aurait l’air soulé. C'est ce que tu m'as dit tout à l'heure. Tu aurais préféré que je laisse ce type enfoncer sa lame dans ta nuque ? Ne me dis pas que tu ne prêtes pas la moindre valeur à ta vie, ça me vexerait..." Amy se masse le pectoral d’embarras, comme d’autre se frotterait la nuque. "J’sais pas…" Effectivement, si sa vie n’avait pas de valeur, cela voudrait dire que la dette qu’il avait envers Osmond serait annulée et non avenue, ce qui n’était peut-être pas plus mal; d’une simple mise à mal de son estime, Amy avait coincé son doigt dans l’engrenage. Encore eût-il fallu qu’il s’en rende compte. "Nan j’disais ça comme ça, par euh— politesse."

Amy fixe un moment la mignonette, et a même ce léger shift du poignet, comme pour signifier qu’il voulait aussi en boire un coup. "J’me doute que j’ai d’la valeur… enfin, en tout cas que ma mutation en a, parce que vous en avez besoin…" Ses yeux remontent le long du bras de son patron, accroche les coutures impeccables de son costume, trempe leurs pieds dans ses terribles yeux d’eau, l’accusant sans vergogne que, si Amy n’avait pas eu cette déchirure, jamais Osmond ne se serait retourné sur lui et lui serait venu en aide. Amy était sot, mais il n’était pas aveugle. "Et puis, de toute façon, vous allez en faire quoi d’ma vie? Genre, que vous faites pas déjà?" demande-t-il d’une voix dont on ne saurait démêler la provocation du manque de discernement.
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
doomy (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

doomy (amy) Ra48t6aq_o doomy (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

doomy (amy) AxI6stHu_o doomy (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

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(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

tw: violence graphique dans la narration, toxicité ++.

"Nan j’disais ça comme ça, par euh— politesse." Les doigts d’Osmond s’immobilisent, arrêtant tout de go l’ouverture du capuchon. Aimee Armstrong est beaucoup de choses. Mais poli ? Qu’on lui permette d’en douter. Les yeux du Serpent passent de la mignonette qu’il tient entre ses grandes mains à la rotule d’Amy clouée contre la sienne, avalant l’espace séparant la fiole et les genoux comme une mâchoire animale se disloque pour avaler sa grosse proie.

Le ronron du moteur s’occupe de remplir le silence s’ensuivant, silence qu’Osmond ne rompt anormalement pas. Il voit bien que dans son champ de vision Amy quémande une lampée, mais les doigts reprennent leur œuvre pour désaltérer sa bouche à lui. Posture autoritaire sous laquelle transpire une volonté délibérément vexante, dirigée à l’endroit d’un Hammer moins franc qu’il le devrait - à moins que le garçon n’ait, en effet, aucun contrôle sur ses mots et aucune idée de ce qui se trame vraiment dans sa tête ; possible, mais Osmond n’est pas d’humeur à être clément.

La bouche du magnat produit un claquement sonore quand la gorgée est avalée. Le martini a un goût inhabituel et l’espace de quelques secondes Osmond se demande s’il n’est pas empoisonné. Même là, en sécurité dans sa voiture et en compagnie du Hammer, la paranoïa continue de tirer sur ses nerfs avec la même intensité qu’elle le faisait dans les 50ies - période de désaccords avec la Cosa Nostra, toute une époque. "J’me doute que j’ai d’la valeur… enfin, en tout cas que ma mutation en a, parce que vous en avez besoin…" Osmond redresse la tête et croise le regard de chien battu que lui livre Amy. Chien battu qui grogne un peu ; parce qu’il a du discernement et qu’il veut qu’on le sache. Comme c’est touchant. Un sourire voûté lui répond - aux accents cruels. "Tu as tout à fait raison Aimee", dit-il, sans rien ajouter d’autre qui pourrait tiédir la froideur de cet acquiescement. Et de revisser tranquillement le goulot de sa mignonette.

Osmond est très fort au jeu du plus malin. Ses techniques varient selon le terrain - un spectre de choix allant de la sympathie obséquieuse à la violence psychologique - et, très objectivement parlant, on lui a rarement ravi son trophée. Pour autant, la répartie est moins intelligente que d’habitude. Elle a même un affreux air de mécanisme de défense, ce que la crispation subséquente de son sourire trahit.

C’est que leur dynamique ne s’était, jusqu’alors, jamais prêtée à ce genre de dérive - particulièrement inutile, puisque Amy est malléable et fonctionne tout simplement à la récompense matérielle. Entre Osmond et son cuisinier-homme-à-tout-faire, ça a toujours été familier, jovial et aisé. Donc, pourquoi donner raison à Amy. Pourquoi risquer de dégrader ce rapport de force illusoirement accommodant. La logique voudrait plutôt qu’il le rassure, qu’il lui dise être important pour sa personne et non pas uniquement pour sa mutation, qu’il le flatte, qu’il lui rappelle qu’ils sont plus qu’un boss et son employé : qu’ils sont amis. Mais ce serait, alors, le manipuler en disant vrai. Et cette vérité, découverte dans l’infinitésimal espace ayant séparé sa volonté de sauver Amy et son acte irréparable, dérange Osmond.

Osmond n’aime pas s’attacher à ses pions ; ça fait désordre. Il peut leur céder de sa protection et même de son affection, de cela il ne s’en cache pas, mais il faut toujours que cette certitude plane pour le rassurer : il peut aussi les sacrifier à tout moment et cela sans que ça ne l’affecte. C’est comme si une jauge de profitabilité flottait au-dessus d’eux et qu’Osmond s’y fiait pour savoir si oui ou non il était temps d’égorger la truie bien farcie. Simple. Efficace. Tout ce que n’a pas été la scène du parking. Osmond pourrait se consoler en se disant qu’en terme de bénéfice/risque il valait de toute manière mieux tuer le hacker et sauver son mutant, mais il sait bien que la peur qui l’a traversé au moment où la lame s’est levée au-dessus d'Amy n’avait rien de pragmatique et n’était certainement pas calculée.

"Et puis, de toute façon, vous allez en faire quoi d’ma vie? Genre, que vous faites pas déjà?" Un soupir fend les narines du magnat. D’un geste raide, il lui tend la mignonette à moitié consommée. "Seigneur, ce que tu peux être ingrat." La fiole abandonnée dans les doigts calleux d’Amy, Osmond se penche un peu en avant pour retirer sa veste - dans le mouvement, la pression de son genou contre celui d'Amy empire, devient quelques secondes douloureuse. Il a chaud. A cause de la thermorégulation installée à bord, à cause du martini au goût douteux, à cause de cette poix grasse et collante que forment sa frustration, sa colère, et son inquiétude. Après une gymnastique difficile - il a manqué (?) coller un pain au Hammer - Osmond dépose le textile valant trois fois le salaire de son chauffeur entre lui et Amy. "Je te rappelle que ta vie est devenue autrement plus confortable depuis que tu me connais." La senestre s’affaire à remonter une première manche mais, quand vient le tour de la dextre, Osmond suspend son geste. Il y a une tâche de sang sur le blanc immaculé de sa chemise. Il la gratte un peu par réflexe. "Alors ton auto-apitoiement, tu me l’épargnes." La tâche s’étant naturellement étalée, Osmond a un rictus agacé qui suit la nouvelle direction que prend son regard, planté maintenant dans celui d’Amy.

Flottement.

Les yeux sont froids, comme inhabités de la moindre humanité, et quand enfin ils se raniment, c’est pour glisser sans gêne sur le torse resté nu, contusionné par le combat et éraflé par le métal. Osmond accueille un moment l’envie de voir ce corps si parfait devenir encore plus abîmé qu’il ne l’est déjà, puis l’écarte tranquillement alors qu’il détache son attention du buste musculeux pour l’envoyer vers sa vitre où les reflets ondulent. Il s’est ramené en arrière, les mains à plat sur ses cuisses - comme pour les obliger à rester sages, ou s’offrir une illusion de contrôle en cette fin de journée pour le moins confuse. "Ta vie, je vais en faire ce que bon me semble. Si demain quelqu’un doit porter le chapeau pour ce qui vient d’arriver, tu le porteras. S’il faut qu’un jour tu fonces tête baissée dans la tour d’Icarus pour en déloger les Sept, tu fonceras. Pour te la faire courte, Aimee, dorénavant si je te dis de sauter, tu sautes. Avec ou sans faveurs de ma part, avec ou sans doses de V dans tes poches. Tu sautes." Le timbre est calme, ce qui, adjoint à la menace, est toujours mauvais signe avec Osmond. Ses doigts se sont légèrement crispés sur la fabrique de son pantalon. Il continue d’observer la ville, de n’offrir à Amy qu’un profil tranché, distant. "Tu as d’autres questions ? Ou j’ai suffisamment éclairé ta lanterne ?"
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : doomy (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
doomy (amy) QqYmgTIa_o

***
They tell me you are evil,
|
doomy (amy) W8FXup2v_o doomy (amy) K529KiGF_o
|
and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
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"Seigneur, ce que tu peux être ingrat." Amy ne sait pas exactement ce que veut dire ingrat, alors il se contente de bruyamment noyer l’information dans les quelques maigres gorgées restantes de la mignonette. Il termine juste au moment où Osmond se débat de sa veste de costume, sous l’habitacle bas de plafond. Amy a encore le goulot de la petite bouteille au bord du bec, tout en observant son patron. Le Hammer ne bouge pas d’un cil quand l’épaule d’Osmond se contorsionne et que sa main sous son pif manque de lui taper la figure.
C’était une habitude qu’Amy avait développé avec sa déchirure; là où avant, il savait recroqueviller son échine quand il était petit et que son père était en colère, brandir sa garde pendant un combat clandestin, il ne bouge parfois plus quand les coups arrivent, se contente de contracter sa carapace d’acier qui lui grignote la peau, sans broncher, si ce n’était pour la grimace que la douleur de la mutation étalait en éclairs discrets sur son visage.

"Je te rappelle que ta vie est devenue autrement plus confortable depuis que tu me connais." En l’occurrence, le magnat ne semble pas pouvoir en dire autant, à voir comme il semble se débattre avec sa propre peau, toujours engoncé dans sa chemise sur-mesure, alors qu’il fait une chaleur à crever dans la voiture. Amy sent que son dos colle au cuir du siège, et se demanderait bien comment il allait s’en décoller sans faire un bruit de scotch, quand ils arriveraient. "Alors ton auto-apitoiement, tu me l’épargnes." Amy ne procure d’autre réponse que de lui accorder ses yeux dans les siens. Le regard inquisiteur d’Osmond ordonne quelque chose qu’il sait qu’Amy continuera de lui balancer, de temps à autre, parce que le Hammer ne fait pas dans la finesse, se prend en entier, s’avale tout rond.
Amy a l’impression que les yeux d’Osmond l’avalent tout rond, comme dans ces documentaires animaliers, où les serpents se déboitaient la mâchoire pour engloutir des buffles entiers.

Puis Osmond baisse les yeux. Parfois, ça lui fait ressentir de drôles de choses, quand Osmond le mate. Et parfois, ça ne lui fait rien ressentir, à peine comme une fine pluie sur sa peau, parce qu’il sait que, dans ces moments-là, Osmond a le regard satisfait d’un propriétaire sur la carlingue de son tout nouveau abri anti-atomique.
Alors Amy s’attarde sur la manche tachée, puis sur la crispation des mains du Serpent qu’il trouve un peu inhabituelle.
"Ta vie, je vais en faire ce que bon me semble. Si demain quelqu’un doit porter le chapeau pour ce qui vient d’arriver, tu le porteras. La routine, quoi, rien d’inhabituel; pas comme ses doigts tendues qui ont l’air de vouloir s’agripper très fort à quelque chose hors de portée très loin à l’intérieur d’Osmond. S’il faut qu’un jour tu fonces tête baissée dans la tour d’Icarus pour en déloger les Sept, tu fonceras. Amy se demande en combien de secondes il pourrait réduire ces mains en miettes. Pour te la faire courte, Aimee, dorénavant si je te dis de sauter, tu sautes. En combien de secondes, il pourrait agripper sa gorge et la réduire en miettes? Avec ou sans faveurs de ma part, avec ou sans doses de V dans tes poches. Son pouce caresse le goulot de la mignonette comme s’il s’agissait de la pomme d’Adam d’Osmond. Tu sautes. - Hm." La petite bouteille se brise dans son poing. "Tu as d’autres questions ? Ou j’ai suffisamment éclairé ta lanterne ?" Il l’ouvre, les miettes tombent sur le sol de la voiture, les reflets se prenant dans l’acier de sa paume. "Non, ça va, c’est super éclairé, maintenant." Il voulait dire clair.

Le reste du trajet se fait en silence, pendant lequel les deux hommes observent pourtant par la même vitre.
Arrivé devant l’immeuble du penthouse, Amy remercie le chauffeur d’une petite tape sur l’épaule (il a arrêté depuis peu de lui filer des pourboires, après avoir compris qu’il était bien mieux payé que lui) et sort de la voiture sans demander son reste. Tandis qu’Osmond se dirige naturellement vers son ascenseur privatif, Amy s’éloigne vers les escaliers. "J’ai pas fait mes dix-mille pas, j’vous retrouve là-haut," explique-t-il en bougonnant, et de disparaitre dans la cage d’escaliers, au rythme de ses lourdes foulées.
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