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So put your best face on everybody (Arlow)

Sloane Hatcher
Blue Blood
Sloane Hatcher
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : So put your best face on everybody (Arlow) RS5VKej
Alias : Une source proche des Sept, Hatcher, l'entourage des Sept... ┄ les noms sont nombreux pour la désigner.
Genre : Elle.
Age : Quarante-quatre ans ┄ il semblerait. C'est ce qu'on semble lui rappeler régulièrement.
Dollars : 2045
Zone libre :
01.
YOU ARE DOING
A BEAUTIFUL JOB
OF FIGURING OUT
SOME DEEP SHIT

So put your best face on everybody (Arlow) 43f76dbd1a5fd6be5ed7019fcd56e1de29a47cba

02.
ANYTHING IS POSSIBLE
WHEN YOU HAVE THE
RIGHT PEOPLE THERE
TO SUPPORT YOU

So put your best face on everybody (Arlow) Kbic

03.
WHAT IS COMING
IS BETTER
THAN WHAT
HAS GONE

So put your best face on everybody (Arlow) 7706afa34d758ebfdb4cf6cea1edd4c609e11e6e So put your best face on everybody (Arlow) 0b60a6d31f3a0257a716c7fdcbdf8f561867032f

Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
V É R I D I Q U E
Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
C Y B E R D O G
Hector. Le cyberdog le plus détesté. Aux allures de beagle. Capable de parler, de répondre, de déballer la météo et de vous donner des conseils sur votre bien-être.

Pseudo : Sunny Sand
Comptes : Dani Duarte
Genre IRL : Elle.
Messages : 643
Date d'inscription : 06/02/2023
FC : Sienna Miller
Crédits : av. self ; cs. Phyla
Thèmes abordés : Surmenage professionnel, insomnie, addiction
Infos RP : Dialogue - #596643
Disponible - oui
Rythme - réponse toutes les semaines
Longueur - variable (mais souvent long)



PUT YOUR
BEST FACE ON
EVERYBODY /
I get up, I get down. Been a hell of a ride but I'm thinking. it's time to grow
(Circa Waves) (icons. muxisium)


Ce soir, Sloane a un vernissage.
Ce soir, Sloane refuse de laisser le travail ronger davantage son quotidien. Pour une fois.
Ce soir, Sloane sort.

C’est ainsi qu’on la retrouve face à son miroir. À ne plus savoir quoi mettre. Elle se dévisage. Ne se reconnaît pas dans ses vêtements. Trouve que quelque chose a changé. Peut-être la fatigue qui tapisse le fond de ses yeux océans. Peut-être ce rouge à lèvres qu’elle ne s’est plus vu porter depuis des mois. Peut-être parce qu’elle se regarde frontalement pour la première fois depuis longtemps. Elle s’est perdue de vue, Sloane. A fui pour ne plus se voir, pour échapper aux sentiments et aux émotions. La fuite est terminée. Il est l'heure d'observer. Elle a changé. Cette dernière année l’a changée. La preuve en est cette soirée. À une époque, elle n’y serait pas allée. Sloane aurait réfléchi plusieurs fois avant d’y aller, aurait trouvé des milliers d’excuses pour rester à la maison. Mais ça y est. Elle a cessé de se poser des questions, des mois qu’elle se mêle au milieu artistique, des mois qu’elle s’octroie des soirées ici et là, loin d’Icarus, des mois qu’elle change sans s’en apercevoir.

Une étrangère, pourtant si familière. Voilà ce que lui renvoie son reflet. Une étrangère qui imite chacun de ses gestes, en miroir. Qui lisse sa longue jupe, quand Sloane en fait de même. Qui imite Sloane, quand elle tire sur son bustier blanc. Chaque geste, chaque respiration, chaque regard est copié, reproduit à la perfection. C’est elle qu’elle voit dans la glace, elle qu’elle redécouvre, elle qu’elle doit réapprivoiser.

Elle se secoue. Se chasse de devant le miroir. L’heure tourne. Si elle veut être présente lors du discours, elle doit partir. Maintenant. Le taxi l’attend, l’oblige d’autant plus à ne pas traîner. Sloane se hisse sur des talons, attrape sa pochette et abandonne l’appartement et Hector. Cette soirée se fera sans le regard scrutateur et désapprobateur de son cyberdog. Tout comme le reste de sa vie, si elle en avait le choix. Une discussion qu’elle aura un jour, avec sa mère. Dans la voiture, Sloane se love contre la portière, croise encore son regard dans le reflet de la fenêtre. Un regard qui l’interroge et dont elle tente de faire abstraction. Préfère se concentrer sur l’extérieur. Sur la succession de buildings aux hauteurs effarantes, au milieu d’une circulation aux conducteurices pressé·e·s. Sur les lumières qui se muent en tracé lumineux sous l’effet de la vitesse.

D’un coup, la façade de la galerie, son éclairage accueillant, ses invité·e·s sur le trottoir et à l’intérieur, sa musique d’ambiance, son atmosphère feutrée. Sloane a le choix. Rester dans le taxi et demander à faire demi-tour ; descendre du véhicule et se mêler à ces visages de plus en plus connus. Deuxième option choisie. Elle s’extirpe de l’habitacle, rejoint les passionné·e·s d’art et les opportunistes. Un geste de la main dessiné en direction d’une amie. Artiste ayant l’opportunité d’exposer deux de ses tableaux ce soir, aux prises avec des admirateurices. Elles discuteront plus tard. De toute façon, Sloane n’a pas besoin de compagnie pour apprécier le moment. Elle n’est jamais plus apaisée qu’en naviguant au milieu des œuvres. À s’interroger sur les couleurs, les matières, les messages. À étudier les formes et les techniques. À s’imprégner de l’univers de chaque artiste. Il y a du beau, de l’original, du touchant partout où elle pose le regard. Il y a de la vulnérabilité, de l’émouvant, de la puissance partout où les mains des artistes sont passées. Leur capacité à retranscrire des émotions, à les partager, à les faire vivre, restera à jamais un mystère pour Sloane. Sans aucune envie de le percer. Parce qu'il y a des mystères qu’il faut savoir respecter. Celui-là en fait partie. Tableau après sculpture, elle sourit. S’attriste. S’extasie. Se fige. Angoisse. S’émeut. Météo changeante, instabilité des émotions. C’est pour ça qu’elle aime l’art. C’est pour ça qu’elle n'aimerait pour rien au monde être ailleurs.

Cette bulle, elle en sort quand elle retrouve les traits amicaux d'Arlow. L'un des visages qui lui arrachent un sourire dès qu'elle le voit. Avec lui, elle est certaine de ne pas être face à quelques démonstrations hypocrites. Exactement ce qu'elle recherche ces derniers temps. Sloane s'en approche, se glisse derrière lui, alors qu'il observe un tableau. Les sourcils se froncent en voyant le personnage au centre. Représenté avec deux visages partiellement superposés, probablement dans une tentative de démontrer les différentes facettes des êtres humains. “Je suis sûre que le peintre était ivre quand il a fait cette toile.” qu'elle glisse discrètement à l'attention du journaliste, avant d'afficher un nouveau sourire. “Bonsoir, Arlow.” Mouvement de tête en direction du tableau. “Vous avez vu des oeuvres intéressantes ?” Toujours avide de connaître son avis, de découvrir son regard sur les créations des artistes et de profiter un peu de son savoir, de sa passion.

  @Arlow Darling  

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I'm just scared of never feeling it again /
It's time to let it go, go out and start again But it's not that easy. (kodaline)
Arlow Darling
Altéré·e 2-C
Arlow Darling
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : So put your best face on everybody (Arlow) Eccfe5ae4430660bcf6fdbe782517e558be60027
Alias : Cosmos
Genre : H/il-lui (mais tout lui va)
Age : 33 ans
Dollars : 70
Statut : Célibaqueer
Occupation : Blogueur, journaliste, pour le média qu'il a créé : The Good Angle, mettant en avant l'art et de multiples artistes.
Habitation : Une maison ni trop grande ni trop petite dans Le Nexus avec son fils.
Altérations : CONNECT RS // 1-C
Implant de connexion aux réseaux sociaux. Il permet un accès direct à ceux-ci, qui s'affichent alors en hologramme pour les porteur-se, ainsi que l'envoi de notifications. Lea porteur-se peut rédiger un court message ou réaliser une courte vidéo et la poster ensuite.
Limites : Une utilisation quotidienne pendant plusieurs heures d’affilées peut endommager les fonctions cognitives, notamment apporter des troubles de l'attention.

MEMORIZE // 1-C
Implant suivant la fonctionnalité d'un bloc-notes. Une fois activé, les pensées sont automatiquement enregistrées et « écrites » puis stockées. Le porteur peut y revenir et y apporter des modifications par la suite.
Limites : L'implant doit être activé pour fonctionner et a une capacité de stockage limité (~1To).

TYMPAN+ // 2-C
Prothèse de tympan synthétique et amélioré. Il supprime les acouphènes, permet une meilleure écoute des sons et peut trier ces derniers pour ne se focaliser que sur un.
Limites : L’entretien doit être fait régulièrement. La prothèse engendre des maux de têtes fréquents et peut dysfonctionner après l’écoute d’une trop grande quantité de sons/de décibels trop hauts en 24h.

Stigmates : Une fine cicatrice sur le haut de la jambre droite et des pieds portant les signes des heures passées à danser sur le plancher.
Inventaire : LUNETTES INTELLIGENTES X02
Les lunettes ont une fonction « loupe », permettant de zoomer au plus près des choses et avec précision, sans aucun flou. Les fonctions « flash » et « lampe-torche » permettent d’y voir même dans les endroits les plus sombres. Un appareil photo intégré permet également d’enregistrer et d’envoyer sur un drive tout moment souhaité être immortalisé.
Limites : Les lunettes doivent être rechargées tous les jours. Une utilisation trop importante peut fatiguer l’œil et l’abimer de façon permanente.

+3 points d'altérations

Pseudo : Lyne
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Genre IRL : elle
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Thèmes abordés : Meurtre, mort d'un proche (maladie grave), adoption
Thèmes refusés : Harcèlement (merci d'en discuter au préalable)
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Come hang
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BANG! - AJR


Le vélo est sorti de l’allée alors qu’il envoie un dernier message à son fils. « Je vais rentrer tard ce soir, sois sage gamin ! » Des ordres qui n’en sont jamais vraiment, Arlow a déjà le sourire aux lèvres alors que la réponse arrive. « La baraque à moi tout seul ? C’est la teuuuf ! » Le plus vieux lâche un rire, sait très bien que Bart n’en ferait rien. Et même imaginer rentrer avec la maison sans dessus dessous ne lui fait pas grand-chose. Il préfère savoir qu’il s’amuse, qu’il profite de ses ami-es. Il lui fait assez confiance pour ne pas s’en inquiéter et c’est aussi pour ça qu’il part sans l’ombre d’un doute. Le vélo reste son moyen de locomotion préféré. Ça lui évite les bouchons, pires qu’à Londres. Et il adore sentir le vent dans ses cheveux, forcer sur ses muscles, pouvoir regarder le ciel et les passant-es dès qu’il faut s’arrêter, écouter les bruits alentours, les musiques des magasins, les discussions qui vont et viennent et mêmes les klaxons qui s’éparpillent parfois. Ça lui fait toujours un peu redécouvrir le monde, ça le fait l’aimer encore plus.

Il repère la galerie d’art au loin principalement grâce au monde devant l’entrée et s’arrête au parking à vélos le plus proche pour l’y cadenasser (il en a déjà perdu plusieurs). Arlow prend un instant pour se recoiffer dans le miroir de son téléphone, checker les dernières nouvelles des réseaux sociaux via son implant sans pour autant y répondre. Lorsqu’il arrive à l’intérieur, on lui propose une coupe de champagne qu’il ne refuse pas. Petite gorgée prise avant d’aller serrer les mains de certaines personnes qu’il apprécie, artistes et amateurices d’art, quelques aguerri-es également. Les vernissages sont à la fois un lieu de rencontre et de rassemblement. Il y a toujours les nouvelles têtes et il y a toujours les habitué-es. Arlow papillonne dans les discussions, entièrement dans son élément, offre des compliments sincères aux artistes qu’il reconnaît, évite avec talent les autres. Et après plusieurs minutes de politesses, il finit par se diriger vers l’exposition. Cœur qui enfle déjà à la vue des premières œuvres, il prend le temps. S’arrête quelques secondes ou quelques minutes devant chaque tableau, chaque sculpture, lit les descriptions, s’intéresse aux détails qui lui paraissent les plus importants -que peut-être seul lui aura remarqué et c’est toute la beauté de l’art. Qu’une seule œuvre puisse à la fois faire pleurer, rire, énerver. Pour celles qui le marquent le plus, il note rapidement son ressenti via son deuxième implant, y reviendra plus tard. Parce qu’Arlow veut surtout profiter, de toutes les émotions à ressentir, de chaque coup de pinceau, de chaque courbe encrée dans la pierre. Il prend le temps d’être dans l’instant présent.

Cela fait déjà quelques minutes qu’il est arrêté devant une œuvre, y cherchant un sens caché qu’il n’aurait pas trouvé. Le tableau l’intrigue de par sa non-originalité. Arlow se dit qu’il y a peut-être plus, ou que c’est juste ce sentiment de mal être, finalement, qu’il en récoltera. Emotion comme une autre. Tout à ses pensées, il ne s’aperçoit pas de la personne qui s’approche. La voix le fait sursauter, il retient un cri qui s’échappe malgré tout dans une sorte de chuchotement trop bruyant alors qu’il recule, cramponné à sa coupe de champagne et les yeux rivés sur elle. Quelques gouttes s’échappent, mais rien de grave. Il fait un geste d’excuse aux regards noirs désormais posés sur lui, chuchote cette fois sans trop de bruit : « Désolé, désolé. », avant d’enfin se tourner vers la nouvelle arrivante, sourire déjà retrouvé. « Bonsoir, Sloane. Ça fait plaisir de vous voir, même avec frayeur. » Visage inconnu, devenu familier puis amical. Arlow est heureux d’avoir trouvé une âme qui semble être aussi passionnée que la sienne dans ce monde de faux-semblants et de politesses artificielles. « Pas celle-ci en tout cas. C’est du déjà-vu, non ? Le manque d’originalité n’est pas forcément un problème, mais si c’est tout ce qu’on y voit, ça peut le devenir. » Le fort accent anglais traîne sous la critique.

Arlow dit ce qu’il pense, sans retenue. Il a un petit appétit pour la surprise et ne s’en cache pas. Il veut être pris au cœur dès les premières secondes. « Il était peut-être un peu trop ivre. » Il regarde à nouveau la toile, penche légèrement la tête, l’air sérieux. « Ou pas assez. » Et puis la décision est prise, alors qu’il hoche la tête. « Si ça représente un simple masque, je préfère Lorenzo Lippi et son Allégorie de la simulation. Beaucoup plus d’interprétations possibles. » Arlow se détourne définitivement du tableau, attention entièrement posée sur Sloane. « J’aurais peut-être aimé parler avec l’artiste, cela dit. On voit tout sous un nouvel œil en les comprenant un peu, même s’iels ne nous parlent pas de leur art. » Il laisse toujours une chance de rédemption, après tout. A l’art, tout du moins. Et il adore écouter les gens parler, parler de tout, de rien aussi, de ce qui est aimé, ce qui est détesté. Il n’en garde que le positif, que ce qui lui importe à lui. « Vous avez eu le temps de faire le tour, déjà ? Laquelle vous a fait le plus ressentir ? » Curieux, avide de savoir si elle s’arrête sur les mêmes œuvres que lui puisque les deux semblent régulièrement se retrouver aux mêmes expositions. « Je vous montrerai ma préférée du soir, après. Deal ? » Il en a toujours au moins une. Il est toujours heureux de partager ses goûts et d'apprendre à connaître ceux des autres.

ft. @Sloane Hatcher

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Cosmos ✧ The colors of the rainbow are also on the faces of people. I see them bloom for me and you and I think to myself : what a wonderful world.
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Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
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Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

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Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

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La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

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┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

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Effet garanti, alors qu’elle se faufile derrière Arlow et lui adresse quelques mots. Effet immédiat, lorsqu’il sursaute, étouffe un cri, chuchote. L’intérêt soudain des autres convives ne lui échappe pas. La convenance veut que l’ambiance soit calme, élégante, paisible pour pouvoir profiter des œuvres. Arlow vient d’en briser la douce symphonie, avec pour cheffe d’orchestre Sloane. “Bonsoir, Sloane. Ça fait plaisir de vous voir, même avec frayeur.” Elle rit. D’un rire franc qui prend naissance au creux de son ventre et éclate à l’orée de ses lèvres. D’un rire qui chasse la sensation d’être une étrangère dans son propre corps. D’un rire qui, elle le trouve, lui ressemble. “Oh, je vous ai fait peur ?! Vraiment ? Je n’avais pas remarqué !” La malice fait briller son regard. Il n’y a d’innocence que la main qui se porte à son cœur, profondément, sincèrement désolée du sursaut causé. “C’est également un plaisir de vous voir !” Toujours. Visage fréquenté uniquement dans ce cadre, toujours entouré d’une multitude d'œuvres. Elle ne se fait pas d’illusion. Ce contexte le rend sûrement plus élégant, plus beau, plus cultivé qu’un autre. Mais ça lui convient. Cela fait partie du charme d’Arlow. Il n’irradie jamais plus que quand il est dans une galerie, à partager son savoir. Cette fois encore ne fait pas défaut.

L’avis est mordant, critique. À la hauteur des exigences d’un expert ayant vu passer trop d’œuvres. “Peut-être que c’est plus qu'un simple masque.” qu’elle avance, sans avoir pu encore étudier le toile. Sloane s’installe à côté de lui, observe la peinture avec un œil déjà influencé par Arlow. Mais elle voit ce qu’il veut dire quand il souligne le manque d’originalité. L'œuvre lui fait le même effet. Elle lui renvoie quelque chose de neutre, presque passible. “Avec un peu de chance, iel est là ce soir et vous pourrez lui en parler.” Curiosité piquée, à l’idée que la personne derrière ces coups de pinceau soit présente ; à l’idée de découvrir à quoi elle ressemble, comment elle s’exprime, l’énergie qu’elle dégage. Ça en dit toujours long sur les gens. Et c’est probablement là une déformation professionnelle. Celle d’Arlow est peut-être d’en apprendre davantage sur les autres à travers les œuvres qu’iels apprécient. C’est comme cela que Sloane se retrouve à accepter un deal sorti de nulle part. “Okay, faisons ça.

Un bras est passé autour de celui d’Arlow pour le conduire vers celle qui l’a transportée. Elle n’est pas loin. Seulement une vingtaine de pas, le temps de contourner des groupes en pleine discussion et des pans de murs couverts par l’art. Et puis d’un coup, elles sont là. Mains en plâtre qui se nouent, s’enlacent, se lient. Les doigts s’emmêlent, deviennent les phalanges d’une seule et même main. Il y a une puissance qui se dégage de cette étreinte. L’union de deux âmes qui ne souhaitent pas être séparées, qui arriment leur corps l’un à l’autre dans un espoir désespéré de rester ensemble. Reste à savoir ce qui lie ces deux mains. L’amitié ? L’amour ? La solidarité ? La loyauté ? Le choix est vaste. Sloane y voit l’amour. Sent son cœur se remplir de cet état qu’elle ne ressentira plus jamais. Elle aurait aimé avoir une main à saisir avec tant de désespoir, de dévouement, de promesse. Elle a cru l’avoir. Elle s’est aperçue que c’était faux.

L’émotion grimpe, bloque la gorge. Elle s’oblige à s’éclaircir la voix, à revenir à l’instant présent. New Blossom. La Galerie. Arlow. L'œuvre. “Je la trouve particulièrement saisissante.” Il lui faut une pause, avant d’ouvrir un peu son coeur. Juste ce qu’il faut afin de laisser entrevoir à Arlow ce qui l’émeut. “Dans un sens, elle me fait penser au Vampire d’Edvard Munch. Les deux personnages s’agrippent l’un à l’autre, par désespoir, et je retrouve le même élan dans ces deux mains qui s’accrochent. On ne sait pas comment interpréter ni le tableau ni cette sculpture, mais on ne peut qu’être d’accord sur la fragilité du moment qu’ils partagent et la force de leur union.” Un plateau de coupes de champagne passe non loin. Sloane s’en saisit d’une, trempe ses lèvres dans le précieux nectar. Les bulles éclatent les émotions ravivées, détournent l’attention, assez pour ne plus avoir l’estomac noué. “Je ne sais pas… je crois que ça vient me chercher un peu trop dans mon vécu actuel.” La confession est lâchée avec un sourire. Elle a appris depuis bien longtemps à ne pas s’excuser pour son vécu, à ne pas rire de gêne quand elle confesse. Assumer jusqu’au bout chacune de ses vulnérabilités, c’est ce qui la rend plus grande, plus forte. C’est ce qui lui permet d’avancer.

  @Arlow Darling  

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