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Mars ;; Lucero

Ernest Morrow
True Blood
Ernest Morrow
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Mars ;; Lucero Qzv8
Alias : Shapeshifter.
Genre : Suffit de demander ; dépend de l'apparence qu'Ernest a.
Age : 162 ans ; la quarantaine en apparence quand il est avec sa propre tronche.
Dollars : 60
Zone libre :
Mars ;; Lucero 9ef96f64d5c47b5e3e2316a8ad583015c01530a6

My nights are yours.

Statut : En couple ; le coeur qui s'agite dès qu'Amilcar est dans le coin, avec joie, même si leur relation est gardée secrète.
Occupation : Écrivain de romans érotiques qui se voient adaptés en série ; rien de bien incroyable, en somme - insérer un hurlement interne ici.
Habitation : Nexus.
Déchirures : [Changement d'apparence temporaire.]
— Niv. 1 : Capacité de changer littéralement d'apparence. Le mutant imite le physique d'une personne et la lui vole temporairement, que ce soit dans ses capacités physiques (sauf les mutations s'il y en a) à son ADN. Il n'existe pas de différence entre la copie et le modèle d'origine ; la transformation peut durer un maximum de quatre heures.
— Niv. 2 : La transformation peut s'étendre jusqu'à huit heures à la suite.
— Niv. 3 : La transformation peut s'étendre jusqu'à quatorze heures à la suite.
— Niv. 4 : La transformation peut s'étendre jusqu'à vingt heures à la suite.
— Niv. 5 : La transformation peut s'étendre jusqu'à vingt-cinq heures à la suite.

[Fusion Temporaire.]
— Niv. 1 : Lorsqu'il touche une autre personne, il fusionne temporairement avec elle, combinant leurs traits physiques ; le tout est encore étrange, pas vraiment beau, pas vraiment plaisant à l'oeil. Une métamorphose hybride, qui semble parler avec deux voix encore. Mais après ça, chacun garde une petite trace de l'autre ; un souvenir, ou bien une connaissance que l'un ignorait et que l'autre savait.

Limites : [Changement d'apparence temporaire.]
La transformation est particulièrement douloureuse, parce que ce sont jusqu'à ses cellules qui changent pour correspondre au corps copié - et se régénèrent ensuite à l'inverse, rendant son vieillissement quasi impossible depuis son avant dernier niveau. Il sent le sien se rompre et se reformer selon le but visé et il lui a fallu de très nombreuses années pour parvenir à maîtriser sa mutation et ne pas ressortir d'avec des transformations ratés. Et pour couronner le tout, il doit avoir au moins eu un contact physique, même fugace, avec la personne pour que son épiderme s'imprègne de cette apparence à voler. Si le contact remonte à trop longtemps, Ernest ne pourra plus reprendre ce physique ; et celle-ci se limite purement et simplement aux êtres humains.

[Fusion Temporaire.]
(NIV.1) Très faible maîtrise de quand ça peut advenir ou non ; la fatigue joue sur cette mutation, s'il n'est pas capable de se reposer correctement, il y a plus de risques accrues que cette fusion vienne sans qu'il le veuille. La fusion ne peut pas dépasser l'heure pour le moment. Le savoir acquis suite à la fusion est minime, équivalent à, par exemple, savoir soudain comment faire un plat qu'on aurait jamais goûté pourtant. (GEN) Au contraire de sa première mutation où il prend l'apparence physique de quelqu'un, ici il partage ce moment avec l'autre personne. Ainsi les personnalités se mélangent, sans pour autant s'effacer complètement ; les souvenirs s'entremêlent aussi, la proximité forcée donne un ton étrange dans la psyché des deux personnes. Une nouvelle fois, les personnes altérées sont le point faible, parce que le métal ne peut pas être reproduit par la déchirure, mais s'il ne manque aucun organe vital, la fusion pourrait tout de même marcher - s'il manque un bras, avec de la chance, la fusion mettra celui d'Ernest à la place. Une confusion mentale entre les deux personnes peut survenir parfois, selon le degré de conscience de la situation ou non - trop prise au dépourvu, il faudra quelques heures pour se remettre de tout ça. S'il était transformé en quelqu'un d'autre, le processus de défusion sera particulièrement douloureux pour Ernest qui devra subir à la suite les deux contrecoups de ses déchirures.

Mémo RP : Couleur dialogue : indianred.
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Sean, Vico, Zacarias, Armando, Jens, Spy, Ysidro, Xaver, Thiago, Horacio, Kain, Prudence, Nox, Mats
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 115
Date d'inscription : 05/05/2023
FC : Jimmy Simpson
Crédits : (avatar ; mad’eyes) (gif, bann ; perso) (gif profil ; manny-jacinto) (code signa : ellaenys)
Thèmes abordés : Personnage croyant (catholique)
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier, narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Misc : Couleur dialogue : indianred
Staff : STAFF
Il y avait eu cette hésitation ; sur tellement de points. Déjà, sur le fait de bel et bien y retourner un jour ; de lui envoyer bel et bien ce bouquet de fleurs, d'en signer le bon et de payer un supplément vu le lieu de livraison. Un dernier regard sur celles-ci, à les trouver somptueuses, impressionné par les fleurs de ce nouveau siècle, parce qu'elles respirent la bonne santé sans que ce soit véritablement le cas. Ernest un poil malheureux que tout se fane plus vite que dans le temps, se rappelle des jardins somptueux, de quand la petite se baladait et qu'elle... Arrête. "C'est parfait. Merci beaucoup." La fleuriste vérifie que le mot est bien accroché et lui dit que le livreur partira en tournée tout bientôt ; et il acquiesce, avant de se détacher de là.

Des jours à faire tourner le tout en boucle, à se demander ce qui était une bonne idée ou non. Et finalement, Ernest était de ce genre de personnes parfois impulsives, qui savent écouter leurs têtes et les coups de sang qu'elles peuvent avoir parfois ; à se dire, qu'au pire, il peut aisément disparaître ! Alors après avoir tripoté cent fois sa chevalière, il avait cessé, parce que l'envie d'écouter ce que la tête lui disait, celle sans raison, qui voulait prendre ce risque et puis, tant pis. Il n'aurait plus qu'à attendre de voir si c'était le bon pari ; sinon, oui, il ne signalera pas sa présence à l'avenir s'il retournait à la boutique - c'est qu'elle avait de chouettes choses souvent.

Chère mademoiselle Lucero,

Peut-être suis-je un poil vieux jeu - n'est-ce pas vous qui m'avez déjà dit sentir la poussière ? - mais je tenais à vous offrir ce bouquet pour vous dire encore une fois pardon, pour notre précédente rencontre. Peut-être était-ce vraiment rien pour vous, mais votre réaction m'a réellement beaucoup touché.
Ainsi, par cette missive, j'aimerais aussi vous inviter à dîner. Mais pour ne pas trop vous effrayer et trop vous sortir de votre zone de vie - y rentrer n'est pas forcément si aisé - je vous convie au Westway Diner qui fleure bon la nostalgie d'un autre temps et qui, je l'espère, saura vous amuser un peu.

Demain soir, à 20h, cela vous irait ?

Votre redevable Ernest Morrow.

Bien kitsch à souhait ; et pourtant il sourit encore, en songeant à ce bête mot de rien du tout ; à ce quelque chose, écrit à la main parce qu'il avait insisté, parce qu'il aime le faire et qu'il ne veut pas en perdre l'habitude. Et puis, c'était l'occasion de montrer comme il boucle le L majuscule de ce joli prénom, même s'il n'use toujours pas du surnom ; c'est qu'il trouve ne pas le mériter encore et espère que ce repas au détour d'un simple diner sera suffisant ; apparemment, les gens d'aujourd'hui auraient pris ça pour une tentative de séduire, s'il avait pris le restaurant dont il voulait vraiment ; et il ne souhaite pas la mettre mal à l'aise, veut sincèrement la remercier.

Même si, demain, il se fera élégant ; parce que hors de question de ne ressembler à rien pour un dîner auquel il a convié, qu'importe que la nourriture y soit simple ; ce ne sont pas les manières qu'on a pu lui apprendre, après tout. Alors oui, il a bien meilleure allure que dans les fringues trop petites du vieux monsieur qu'il a pu incarner ; et garde pour cette fois son visage, parce qu'il serait impoli d'en afficher un autre pour un rendez-vous pareil. Y'a juste une part de tristesse, parce qu'il n'y a pas de chaise à tirer, qu'il ne pourra pas être plein de manière... Alors il attend simplement, avec un petit présent pour la mexicaine, devant le diner ; sans être sûr qu'elle viendra.

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Elle a d’abord l’espoir que ce soit un client qui franchisse la porte de son commerce; puis elle voit les fleurs, et se prépare à devoir rembarrer gentiment mais fermement le parfait inconnu qui se dit qu’il va la charmer en venant la trouver sur son lieu de travail avec des fleurs. Le malaise n’a jamais tué personne, dit-on, et même si Luce n’est pas facilement déstabilisée, elle se prépare quand même à devoir sortir le poivre de cayenne de sous le comptoir – sait-on jamais.
Heureusement, le pauvre homme l’aborde d’un « livraison pour une mademoiselle Cortes ? » et s’évite un plein jet de poivre entre les deux yeux, même si les doigts ne restent pas loin du tiroir, juste au cas où. Parce que bon c’est louche quand même cette histoire… qui pourrait bien décider de lui envoyer des fleurs, comme ça ? À part Lucian ou Clemente, elle ne voit pas trop, et déjà elle n’est pas entièrement certaine de leur avoir communiqué son adresse. Il y a bien Taylor, mais… elle préfère ne pas penser à Taylor. Et puis son frère n’est pas du genre à faire livrer quoi que ce soit, préférant l’embêter en personne, s’étaler partout dans sa boutique et faire fuir tous ses (rares) clients.

Sans surprise, après la suspicion vient la curiosité. Les fleurs sont déposées sur le comptoir et Lucero s’empresse de détacher la petite carte soigneusement pliée qui est logée entre deux (magnifiques) fleurs. L’écriture est élégante et fluide, quoique petite; l’encre pas tout à fait fixée au papier glacé s’estompe légèrement sous son pouce lorsqu’elle la déplie.
Les premiers mots la font sourire; elle n’imagine pas ce qui va suivre, ne s’attarde pas vraiment à ce que ça peut signifier, de recevoir un tel bouquet. Des remerciements et rien de plus, assurément. Mais les remerciements sont suivis d’une invitation à dîner – en tout bien tout honneur, de toute évidence – et Lucero est surprise de sentir le rouge lui monter aux joues. Un rouge furieux qui débute à la gorge, qui lui chauffe les oreilles et peint l’intégralité de son visage d’une couleur fort peu seyante. Et, comble de malheur, elle bénéficie d’une audience: le bougre de livreur n’a toujours pas quitté. Peut-être attend-il un pourboire ? « Je me disais bien qu’il avait l’air louche. Son regard quitte la carte et se pose sur le livreur et son air préoccupé. Je peux lui faire passer un message en retour si vous voulez, mam’zelle. » Une inspiration d’abord, avant de trouver les bons mots pour expliquer sans aucun détail que tout va bien; mais il poursuit sans lui laisser l’occasion de placer un mot: « Je peux ajouter une baffe ou deux.Gracieuseté de la maison. »

Et ça la déride enfin, cette offre de transmettre un message par les poings, pour ce courrier qui visiblement s’inquiète de l’honneur des jeunes femmes bien. « Non, je. Ça ira, merci. Combien je vous dois ? » La négociation est de courte durée, et il repart avec quelques dollars en plus.
Et Lucero caresse les pétales soyeux du bout des doigts, hume le parfum entêtant des fleurs qui envahit la boutique, et tente de retenir le sourire un peu trop large qui refuse de la quitter jusqu’au lendemain.

« Hm. Je vois que ton style s’accorde bien avec celui de monsieur Smith. » Le sourire est taquin, la moquerie gentille; et une exagération totale. Ernest est élégant, ce soir. Un peu trop pour l’endroit qu’ils s’apprêtent à fréquenter, peut-être, mais pas au point où il y aurait l’air déplacé. « ¡Qué guapo! C’est beaucoup mieux comme ça. » Un peu trop, même. Engoncé dans le tweed usé, de deux tailles trop large et trop court, l’image n’est vraiment pas la même. Vraiment pas la même. Lucero se félicite d’avoir opté pour un ensemble sobre mais somme toute plutôt classique (peut-on vraiment se tromper en s’habillant en noir de la tête aux pieds ?), qui ne lui donne pas l’air d’aller à un tout autre événement. Mais elle se demande presque si elle n'aurait pas dû faire un peu plus d'effort. Sauf que ce n'est pas un rencard... enfin, elle espère. Elle pense ? Non, ce n'est définitivement rien de tel. C'est Ernest, c'est tout; le vieil homme charmant qui s'est écroulé de façon totalement terrifiante sur son plancher, et qui cherche tout simplement à se faire pardonner.
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— Niv. 2 : La transformation peut s'étendre jusqu'à huit heures à la suite.
— Niv. 3 : La transformation peut s'étendre jusqu'à quatorze heures à la suite.
— Niv. 4 : La transformation peut s'étendre jusqu'à vingt heures à la suite.
— Niv. 5 : La transformation peut s'étendre jusqu'à vingt-cinq heures à la suite.

[Fusion Temporaire.]
— Niv. 1 : Lorsqu'il touche une autre personne, il fusionne temporairement avec elle, combinant leurs traits physiques ; le tout est encore étrange, pas vraiment beau, pas vraiment plaisant à l'oeil. Une métamorphose hybride, qui semble parler avec deux voix encore. Mais après ça, chacun garde une petite trace de l'autre ; un souvenir, ou bien une connaissance que l'un ignorait et que l'autre savait.

Limites : [Changement d'apparence temporaire.]
La transformation est particulièrement douloureuse, parce que ce sont jusqu'à ses cellules qui changent pour correspondre au corps copié - et se régénèrent ensuite à l'inverse, rendant son vieillissement quasi impossible depuis son avant dernier niveau. Il sent le sien se rompre et se reformer selon le but visé et il lui a fallu de très nombreuses années pour parvenir à maîtriser sa mutation et ne pas ressortir d'avec des transformations ratés. Et pour couronner le tout, il doit avoir au moins eu un contact physique, même fugace, avec la personne pour que son épiderme s'imprègne de cette apparence à voler. Si le contact remonte à trop longtemps, Ernest ne pourra plus reprendre ce physique ; et celle-ci se limite purement et simplement aux êtres humains.

[Fusion Temporaire.]
(NIV.1) Très faible maîtrise de quand ça peut advenir ou non ; la fatigue joue sur cette mutation, s'il n'est pas capable de se reposer correctement, il y a plus de risques accrues que cette fusion vienne sans qu'il le veuille. La fusion ne peut pas dépasser l'heure pour le moment. Le savoir acquis suite à la fusion est minime, équivalent à, par exemple, savoir soudain comment faire un plat qu'on aurait jamais goûté pourtant. (GEN) Au contraire de sa première mutation où il prend l'apparence physique de quelqu'un, ici il partage ce moment avec l'autre personne. Ainsi les personnalités se mélangent, sans pour autant s'effacer complètement ; les souvenirs s'entremêlent aussi, la proximité forcée donne un ton étrange dans la psyché des deux personnes. Une nouvelle fois, les personnes altérées sont le point faible, parce que le métal ne peut pas être reproduit par la déchirure, mais s'il ne manque aucun organe vital, la fusion pourrait tout de même marcher - s'il manque un bras, avec de la chance, la fusion mettra celui d'Ernest à la place. Une confusion mentale entre les deux personnes peut survenir parfois, selon le degré de conscience de la situation ou non - trop prise au dépourvu, il faudra quelques heures pour se remettre de tout ça. S'il était transformé en quelqu'un d'autre, le processus de défusion sera particulièrement douloureux pour Ernest qui devra subir à la suite les deux contrecoups de ses déchirures.

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Il attend, simplement ; n'a pas eu de réponse, n'en attendait pas ; au pire, quoi ? Il attendra une heure pour rien et rentrera en se disant que ça devait être de trop, qu'il laissera du temps s'écouler avant de retourner la voir pour les affaires (sans doute sans lui dire qui il était) et ainsi aurait été les choses. Mais une voix l'apostrophe et il relève les yeux vers elle, de derrière les verres de ses lunettes et il lui sourit doucement ; la trouve splendide sans se dire autre chose que cela. "J'ai tenté d'être plus présentable, en effet !" Et il écarte un peu les bras pour se laisser voir, soufflant un doux rire avant de les laisser retomber contre ses flancs. "Vous êtes magnifique, mademoiselle." Qu'il se doit de souligner, parce qu'on ne peut pas laisser une dame sans compliment et qu'en prime, il est pensé.

Il lui fait signe pour rentrer dans le restaurant, la suivant après lui avoir ouvert la porte. Et dès lors il n'est plus dans son univers du tout, parce que tout les codes ont tellement changé à présent qu'ici, c'est soit des banquettes, soit des chaises clouées au sol... Alors il l'invite à prendre plutôt la banquette du fond, juste histoire d'être en paix et ne pas subir les passages. Débarrassé de sa veste qu'il dépose à côté de lui, Ernest s'installe en venant replier les manches de sa chemise à hauteur du coude, histoire de se donner un air plus détendu - mais tiendra-t-il longtemps, telle est la question - et la regarder finalement. "Merci d'avoir accepté l'invitation." Il espère que le bouquet lui a plu, mais en bon gentleman il ne demandera pas, ne souhaite pas mettre le doigt là-dessus ; on ne force pas les compliments d'une dame !

Finalement il lui présente la petite poche qu'il sort de sa veste, l'offrande pour la Cortes. "Tenez. Ce n'est pas grand-chose, mais... J'espère que ça vous plaira." Et si elle fouille dedans, elle trouvera juste une petite boîte avec un collier à l'intérieur ; fine et élégante, une chaine en argent avec en pendentif une perle simple. Et il lui sourit lorsqu'elle la voit. "Si vous n'en voulez pas, vous pourrez toujours la revendre au magasin. Je veux ma part dessus, par contre !" Qu'il plaisante afin de ne pas laisser un quelconque malaise se poser, suivi d'un rire dans le fond de la gorge qui sort très doucement ; puis il vient à croiser ses doigts entre eux, par-dessus la table.

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« C’était demandé si gentiment. Comment refuser ? » Les fleurs montées jusqu’à son studio, la moitié dans un vase antique qui appartenait probablement à la grand-mère de quelqu’un, sises dans la lueur fantômatique de l’ouraline. L’autre moitié divisée dans plusieurs verres qui jonchent toutes les surfaces du studio jusqu’au bord de la fenêtre grillagée, un petit bouquet redescendu pour lui tenir compagnie (et la faire sourire) entre deux clients. Ça doit bien être la première fois qu’on lui offre des fleurs: si simple, si efficace. Un geste si attentionné, gentleman d’une autre époque. On est bien loin des bouquets pour demander pardon après avoir encore négligé de vider le lave-vaisselle (ou bien pire).

Lucero est loin de s’attendre à ce qu’un deuxième cadeau suive le premier; elle tend la main avec précaution, dénoue le cordon de la pochette du bout des doigts. « Tu n’étais pas obligé. » Pas sur le ton de la remontrance, loin de là. Elle n’est jamais du genre à refuser un cadeau - tout d’abord parce qu’elle a des manières, et ensuite parce qu’elle aime les cadeaux, voilà tout.
La vue de la perle au bout de sa chaîne la fait sourire. Une expression chaleureuse, irrépressible, qui lui est toute dédiée lorsqu’elle lève les yeux vers lui pour le remercier. « Pas question de la revendre ! Les doigts refermés autour de la boîte ouverte comme s’il esquissait le geste de la lui reprendre; les sourcils froncés, l’air faussement outré. Elle est superbe. » Heureusement, elle porte peu de bijoux, et s’empresse de l’enfiler, s’assurant que le joli pendentif est convenablement placé, l’attache camouflée sous ses cheveux. « Voilà. »

Elle s’accoude à la table, pose le menton sur ses doigts noués. « Est-ce que vous essayez de me charmer, Mr. Morrow ? Parce que je dois dire que ça marche un peu. » Le clin d’oeil a tout juste ce qu’il faut d’exagéré pour souligner la blague, et Lucero jette enfin un oeil au menu. Poulet frit, sauce buffalo épicée et un panier de frites à partager, minimum.
À sa gauche, un jukebox miniature permet de sélectionner les chansons; elle fouille ses poches à la recherche de vieille monnaie. « La dernière fois, tu m’as dit que je pouvais te demander n'importe quoi - presque - à-propos de ta vie. Elle suit la liste des chansons du bout du doigts, jusqu’à parvenir à quelque chose qui lui plaît; insère la pièce et appuie sur le bouton. Je voulais demander… quelle était ton époque préférée, pour la mode ? »
Ernest Morrow
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— Niv. 1 : Capacité de changer littéralement d'apparence. Le mutant imite le physique d'une personne et la lui vole temporairement, que ce soit dans ses capacités physiques (sauf les mutations s'il y en a) à son ADN. Il n'existe pas de différence entre la copie et le modèle d'origine ; la transformation peut durer un maximum de quatre heures.
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— Niv. 1 : Lorsqu'il touche une autre personne, il fusionne temporairement avec elle, combinant leurs traits physiques ; le tout est encore étrange, pas vraiment beau, pas vraiment plaisant à l'oeil. Une métamorphose hybride, qui semble parler avec deux voix encore. Mais après ça, chacun garde une petite trace de l'autre ; un souvenir, ou bien une connaissance que l'un ignorait et que l'autre savait.

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La transformation est particulièrement douloureuse, parce que ce sont jusqu'à ses cellules qui changent pour correspondre au corps copié - et se régénèrent ensuite à l'inverse, rendant son vieillissement quasi impossible depuis son avant dernier niveau. Il sent le sien se rompre et se reformer selon le but visé et il lui a fallu de très nombreuses années pour parvenir à maîtriser sa mutation et ne pas ressortir d'avec des transformations ratés. Et pour couronner le tout, il doit avoir au moins eu un contact physique, même fugace, avec la personne pour que son épiderme s'imprègne de cette apparence à voler. Si le contact remonte à trop longtemps, Ernest ne pourra plus reprendre ce physique ; et celle-ci se limite purement et simplement aux êtres humains.

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Un bout de sourire qui s'installe sur le visage ; une part de lui est ravie de savoir que l'invitation lui a plu ; c'est qu'il n'était pas bien sûr, c'est qu'il ne sait plus comment marche les gens d'aujourd'hui. Parce que Lucero est une femme d'une génération à laquelle il ne saurait jamais appartenir, même s'il s'y essayait. Alors il s'est tenté à rester lui-même, like a manchot maladroit et essayant de s'en sortir au mieux malgré ses maladresses sociales. Mais ça a plu à Lucero ; bien assez pour qu'elle vienne, magnifique en prime. Alors il ne pouvait que lui offrir en prime ce cadeau supplémentaire, parce qu'il ne se voit pas inviter quelqu'un ainsi et ne rien apporter, parce que les fleurs qu'il aurait pu ramener d'ordinaire avaient servi d'invitation... Alors voilà ; et il se tente même à une blague pour que ça ne soit pas gênant.

Et bien évidemment, la perle lui va superbement bien.

Il se perd un instant sur le bijou, sur le cou de Lucero, puis en revient à son visage ; lui sourit, trouve que c'est simple, peut-être même trop, mais qu'elle le porte à merveille. Et une pensée fugace lui vient, à se dire que c'est sans doute le genre de personne qui sait mettre tout en valeur dès lors qu'iels le portent... Mais Lucero, ce qu'elle lui donne, c'est un rose aux joues face à ses mots. C'est que ce n'était pas le but, parce qu'il ne peut s'imaginer qu'une femme sans doute bien plus jeune que lui - pas difficile quand on a son âge - puisse s'intéresser à une relique du passé comme il peut être, en ayant l'information. Et parce qu'elle souligne la blague, il lui offre un bref sourire suivi d'un "allez savoir !" qui se veut tout aussi blagueur... Et qu'il regrette la seconde d'après, parce qu'Ernest a peur que ce soit trop. Ou déplacé. Ou bien même les deux à la fois.

Heureusement, Lucero rebondit directement ; et il la regarde faire, n'ayant pas compris le pourquoi de son agitation immédiatement. "Oui ?" Et quand il la voit pour choisir une chanson, se retrouve finalement à sourire et écoute les premières notes, tout en réfléchissant à cette question qu'il n'attendait pas. Il a vécu trop d'époque, a du mal à choisir de prime abord... Une pogne s'élève pour venir chasser en arrière ses mèches de cheveux, restant là en suspens, avant de relâcher sa tignasse quand il trouve sa réponse. "Je dirais les années soixante." Et il se demande si elle sait ce qu'il en était. "Mais le contexte sociale aide. Le monde sortait de nombreuses années strictes et soudainement, la mode explosait. On a découvert celle-ci, en vérité. Les femmes pouvaient s'habiller comme elles le voulaient, les hommes avaient droit à plus de couleur qu'auparavant. Tout était à faire et sans doute que tout a été fait." Il souffle un rire. "C'était galvanisant, surtout après la guerre qui était encore présente dans tous les esprits." Il s'en souvient encore, même après autant de temps ; alors si peu de temps après ? Le contexte aide à aimer ce moment de sa vie.

Il l'observe ; se demande s'il peut renvoyer la question ; puis, s'y essaye. "Et vous ? Une préférence sur cette question ?" Peut-être avait-elle posé ça là pour qu'on lui renvoie celle-ci. Et si non, et bien ce n'est pas peine perdue, parce qu'il pourra toujours découvrir ce qu'il en est malgré tout.

Un regard sur elle encore, soutenu, après la réponse de Lucero ; puis il vient à le poser sur le menu... Et définitivement, il est perdu. "Je dois vous avouer que je suis peu familier de l'Amérique. C'est la première que j'y mets les pieds et... Tout est si différent de l'Europe." En 162 ans de vie, c'était sans doute très surprenant ; le vieux continent avait toujours su le retenir, rempli de ses souvenirs ; mais au moins Ernest en fait-il des nouveaux ici-bas. "Je ne connais donc pas la sauce buffalo..." Dodeline de la tête, après lecture ; moue qui accompagne le geste, à reconnaître son ignorance. "Sauriez-vous m'aider encore une fois ?" Il lui sourit, d'avec ce fond d'amusement qui fait pétiller ses yeux, derrière les verres.

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Your blood, what matter is it made of ? Do you feel it travel in and out your heart ? Needles, stitching up the big holes, Do you hear the echo begging you to let go ?
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