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lunatics and slaves (amy)

Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

lunatics and slaves (amy) Ra48t6aq_o lunatics and slaves (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

lunatics and slaves (amy) AxI6stHu_o lunatics and slaves (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 521
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]


I have become the dark art of you - your steady ache - your silent cry. The shadow of your pain, underneath the fabric of your cloak. Hiding, like you hide your beaten legs - I cry for you. I suffer through. I carry every throbbing pain.
* * *

tw: deuil, mention de filicide, état d'ébriété, blessures, sang.

L’appartement de Samson est un immense loft fait de briques et de métal, où le confort est moderne mais minimaliste. Son père n’aimait pas cet endroit et le qualifiait de caveau contemporain et, souvent, ils se disputaient à ce propos en feignant chacun son tour être particulièrement passionné par le sujet pour le simple plaisir de rivaliser en plaidoyers brillants.

L’appartement de Samson n’a guère changé depuis. Il est toujours aussi moderne et minimaliste et il lui manque de cette âme que regrettait Osmond. La poussière s’est en revanche installée, formant des nappes grises sur la plupart des meubles et même des moutons noirs dans certains angles du sol en béton. Il faudrait passer un grand coup de nettoyage, mais pour passer un grand coup de nettoyage encore faudrait-il passer à autre chose tout court. Et Osmond n’est pas passé à autre chose. Loin s’en faut. Il a pris l’habitude de visiter le caveau contemporain de son fils comme il a pris l’habitude de visiter sa tombe au cimetière, trouvant à cette routine un quelque chose de réconfortant, d’illusoirement consolant. Une fantaisie composée sur mesure pour oublier que ses mains sont rouges du sang de Samson.

Aujourd’hui il aurait eu trente-cinq ans. Osmond est assis à la table de la cuisine et il consulte d’un air absent les photographies qu’il a ressorties pour l’occasion. Celle pincée entre son pouce et son index est un polaroïd que lui avait envoyé Mia pour les deux ans de Samson. De son écriture ronde et grotesque elle avait écrit la date d’anniversaire en dessous du portrait du garçon, dans une tentative assez peu subtile - mais pas si vaine que ça - d’encrer dans la tête du géniteur un jour et un mois dont il allait devoir se souvenir pour le reste de sa vie. Ce qu’ignorait Mia c’est qu’Osmond allait survivre à Samson, comme il a survécu à ses premiers enfants et à leurs enfants après eux. Ce qu’ignorait Osmond c’est qu’il allait un jour précipiter lui-même le triste sort de ce fils-là, comme il a précipité nombre de sorts avant le sien et comme il en précipitera d’autres encore. La dextre retombe lourdement dans le reste de la pile étalée devant lui, tandis que la senestre vient se glisser sur le relief de son menton, de sa mâchoire, et poursuit son ascension jusqu’à la nuque où la pression s’exerce sous le col ouvert de sa chemise. Les doigts et les ongles s’encastrent avec force dans la chair, débarrassant ce qu’ils peuvent du malaise physique qui le pressure depuis son arrivée. Il a la tête baissée et rentrée dans ses épaules larges. Son aura, d’habitude si envoûtante, est fade et pitoyable.

Quand la porte d’entrée s’ouvre la gueule d’Osmond se redresse d’un seul coup. Ses yeux larmoyants s’imprègnent d’une stupeur immédiate, presque teintée d’épouvante. Il croit un moment que Samson, ou le spectre de Samson, va traverser le seuil de la cuisine pour venir l’embrasser ou se venger. Mais c’est une autre carrure qui se présente, plus petite, plus massive aussi que ne l’était celle élancée de son fils. "Aimee…?!" Osmond met quelques secondes supplémentaires à réagir davantage, manifestement interdit face à l’intrusion du mutant. "How did you…", get in, voulait-il dire - l’en accuser -, mais ses sourcils se froissent moins maintenant qu’il réalise l’état dans lequel Amy apparaît. "What happened?", s’enquiert-t-il aussitôt, se levant dans la foulée pour approcher d’Amy. Il a bu, comme peuvent en témoigner les deux bouteilles de vin ouvertes sur la table et le pas pesant avec lequel il réduit la distance les séparant. Il a bu et il a chialé - presque, mais c’est tout comme, avec ce goitre de larmes qu’il sent se tasser dans sa gorge et menacer à tout moment d’exploser en sanglots. La contrariété le gagne dans un nouveau froncement de sourcils, parce qu’Amy le voit comme personne ne devrait le voir, mais les plaies et les contusions profondes du Hammer le ramènent à sa préoccupation première. Soufflée dans un sévère : "who did this to you?"

Arrivé à sa hauteur, Osmond penche légèrement son buste de côté pour attraper un torchon près de l’évier et le rouler dans ses mains. Il s’en sert pour essuyer le menton du mutant sur lequel s’écoule tout le sang dont son nez pisse. Un regard vers le bas, pour s’assurer qu’aucune goutte n’a été altérer le sol poussiéreux, et Osmond abandonne le torchon entre les doigts abîmés d’Amy. Sa sollicitude est sincère. Il a oublié la mission suicide qu’il a confiée quelques jours plus tôt au Hammer, quand il lui paraissait nécessaire d’obtenir des informations sur celle qui se fait appeler Destiny dans le tréfonds de New Blossom, quand il lui paraissait également nécessaire de rappeler au Hammer qu’il dispose maintenant comme il veut de sa vie. Et puis ça lui revient, là, dans le brillant de ses yeux mouillés, et tandis qu’il regarde le marcel où une corolle rouge s’étend, Osmond se demande combien de temps le Hammer va réussir à tenir à ses côtés avant que lui aussi il ne le massacre. "You're bleeding…", murmure-t-il d’une voix feutrée, ridiculement émue, le regard figé mais l’air absent. Sa main s’est levée en direction de la tâche, sans oser ni la toucher ni révéler la blessure qui se cache en dessous.
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : lunatics and slaves (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) QqYmgTIa_o

***
They tell me you are evil,
|
lunatics and slaves (amy) W8FXup2v_o lunatics and slaves (amy) K529KiGF_o
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and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
Messages : 190
Date d'inscription : 21/02/2023
FC : jeremy allen white
Crédits : .exe (av), des (gif)
Thèmes abordés : violence, gang life, red flag-ism
Thèmes refusés : ràs
Infos RP : dial en fr ou en anglais comme vous préférez!
couleur de dial: darkgoldenrod


Amy aurait peut-être dû prendre l’ascenseur. Les gens riches aiment vivre en hauteur, mais les gens riches ont aussi un cardio pourri. Alors qu’il se traîne au dix-septième étage, il est même en train de se demander si la richesse est proportionnelle aux problèmes cardio-vasculaires, ce qui expliquerait le cas d’Osmond Rose. Même si le cas d’Osmond Rose s’explique aussi du fait qu’en plus d’être extrêmement riche, il était extrêmement vieux.
Amy a peut-être un peu de fièvre, et peut-être un peu trop d’anti-douleurs coincés dans le gosier, avalés rapidement avant d’arriver ici. Il s’est arrêté un instant, vérifiant encore une fois que la compresse placardée sur ses irréprochables muscles abdominaux est encore en place, et encore pas trop rouge et imbibée. Il avait pris quelques instants pour se rafistoler dans son arrière-cuisine, avant de partir à la recherche de son boss, sous le regard médusé de Dakota qui avait ricané un: garde moi un bout de bidoche pour les burgers d’ce soir! Amy n’avait eu la force que de lui coller un taquet mou à l’arrière du crâne, éraflant son cuir chevelu aussi gras que le sien.  

Amy ne connaissait pas ce bâtiment. Osmond l’avait traîné dans un nombre incalculable d’appartements, duplex et autres maisons de campagne, tous plus luxueux les uns que les autres, parfois dans le secret, plus souvent dans l’ébullition du personnel de maison mettant tout en œuvre pour ressusciter l’entité immobilière, alors que son riche propriétaire ne comptait y rester que quelques heures, le temps de se changer, de serrer une paire de mains aussi riches que les siennes, ou d’attendre sans rien faire, seulement pour avoir le luxe d’arriver en retard à ses réceptions de gens riches.
Bah, peut-être qu’il l’a acheté hier…, hasarde le mutant en reprenant son souffle sur le palier.
La porte est entrouverte, c’est presque imperceptible, du fait que l’embrasure est de l’épaisseur d’une cravate tombée par terre.

Amy fronce les sourcils ; ça n’était pas vraiment le genre d’Osmond de laisser traîner ses affaires; ou si c’était en fait le cas, il y avait toujours un larbin pour ramasser à sa suite. Amy se penche pour récupérer la pièce qu’il enroule dans son poing. "Boss?… - Aimee…?! How did you…" Amy lève le poing pour désigner la cravate, en balbutiant. "What happened?" Il plisse les yeux pour comprendre ce qui est en train de se passer sur la figure d’Osmond; il ne se rappelle plus l’avoir vu aussi ivre, aussi émotif. On dirait qu’il va pleurer, mais ça, Amy ne le comprend même pas encore. "It's— Il hésite, ignore si Osmond est suffisamment ivre pour supporter ce qu’il va lui révéler; qu’il n’y avait rien -pas grand chose- à révéler, du fait du passage à tabac dont il avait été victime. "Who did this to you?" Amy n’est pas sûr de savoir; mais même s’il l’était, les gestes qu’a Osmond à son intention le désarçonnent suffisamment qu’il en oublierait son propre nom. Il s’ébroue un peu et récupère le torchon avec un certain apaisement, continuant de tamponner son nez brisé.

Là où le patron semble avoir oublié qu’Amy et les autres risquent leur vie pour lui un peu plus chaque jour, le Hammer tente de faire preuve d’un professionnalisme un peu misérable. "I ain't sure, I think it was the Deadc— - You're bleeding… - Tis just a scratch; I wanted to see your firsth—" Dérouté et paniqué par l’inquiétude de son patron, Amy se met en branle, écartant la main tendue d’Osmond d’une pression fiévreuse, pensant que le magnat s’inquiétait seulement des taches qu’il laisserait sur le parquet. "Sir, can you show me the bathroom; don't worry, I'll clean up my mess..." Le souffle du Serpent est tellement proche du sien, et il sent encore ses phalanges vibrer contre les siennes: "You've been drinking, boss?"
Osmond Rose
Originel·le
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MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
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-- lésions radiques invisibles.
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-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

Quelque chose de chaud et de lourd vient écrabouiller ses phalanges, éloigner son geste avant qu’il n’aille plus loin ; le contact l’arrache à ses pensées, ou plutôt à son absence sidérale de pensées, et c’est d’un air d’abord penaud, puis confus, qu’Osmond se met à regarder Amy. "What?" Ses yeux mouillés sont auréolés d’un froncement de sourcils sombres. Qu’est-ce qu’il veut nettoyer ? Ah, le sang, oui, le sang qui dégouline encore de ses naseaux malgré la précaution prise. Osmond est remué par un haussement gourd de l’épaule droite. "Err, who gives a shit…" Il ne sait même plus pourquoi il voulait à tout prix éviter qu’Amy dégouline ; jusqu’à ce qu’il baisse à nouveau le regard en direction du sol - ce sol si poussiéreux - et que l’angoisse d’abîmer la bulle qu’est cet appartement revienne comme un pieu en plein coeur. "I mean… no, I do give a shit, keep the towel on your nose…", se contredit-il dans la foulée, la moue bougonne, stricte, un peu teintée de cette panique sous-jacente et coupable.

"You've been drinking, boss?" La tête revient trop brutalement dans son axe. De même que le mensonge revient trop aisément dans sa boche. "No." Amy a des yeux exagérément innocents. Osmond a l’impression de les voir vraiment pour la première fois - probablement parce qu’ils n’ont jamais été aussi près. Deux grandes billes bleu ciel sous des paupières tombantes. Osmond est traversé d’un frisson désagréable, comme si c’était un putain de chérubin taille XXL qui le confrontait aux portes du Paradis. "… maybe", se défend-t-il, l’articulation molle et le regard fuyant. "Yes", avoue-t-il enfin, la gueule débarrassée de sa gêne passagère pour reprendre de sa nonchalance habituelle. "Alone. Like a fucking alcoholic." Sentence gratuite qu’il s’assène avec une légèreté cruelle. "Come with me…", dit-il enfin, adressant à Amy un petit signe de tête dans la direction qu’il prend. "I show you the bathroom."

La lumière criarde qu’il allume dans la salle-de-bain l’aveugle instantanément. D’un mouvement vers l’arrière, Osmond percute Amy - sans grand effet physique, comme si, de chair ou de métal, le Hammer était impossible à déséquilibrer. Osmond a un regard bref vers le corps bousculé et un sorry silencieux, expéditif mais concerné. Puis il bougonne derechef, tout en avançant dans la salle-de-bain immense parsemée de tubes luminescents : "Bloody neon lights, he had to put them everywhere." Ses mains tâtent le panneau de configuration tandis qu’il obstrue encore l’entrée. "It’s eh, it’s gotta be somewhere… Aimee, can you…" Il s’écarte enfin du chemin du Hammer, lui montrant l’écran tactile incorporé au mur d’un geste mou de main. Osmond s’approche d’un meuble près du lavabo design en béton, l’éventre et y enfonce ses mains pour en arracher finalement un tube orange d’analgésiques prescrits au nom de Samson Rose, du désinfectant, des compresses et du sparadrap. Il déverse sa rapine près du lavabo au moment où les néons s’éteignent au profit d’une lumière plus douce. "Thank you Aimee!" Osmond pivote un peu en sa direction, ouvrant distraitement le bouchon du désinfectant. "What would I do without you." Il se fend d’un sourire social, avant de retrouver ses yeux moites et bleus de chérubin. Nouvel inconfort musculaire dans ses épaules ; il se retourne, ravalant au passage son sourire.

La bouteille de désinfectant est posée sur le rebord du lavabo, à côté des compresses. Il désigne le tout d’un petit signe de tête tandis qu’il s’éloigne vers la porte. "Here you go." Il se retourne au dernier moment, appuyant une épaule contre le cadre de la porte, mains glissées dans les poches. "You should take the meds too; if you don't have a headache you're going to get one soon." Osmond a une petite grimace irascible en observant de profil le nez cassé d’Amy. "Christ, they could have at least spared your face." Pas qu’Amy ait un tarin particulièrement gracieux, mais il participe bizarrement à ce charme rustique que le texan traîne dans chacune de ses moues et mimiques - sans compter son accent à vous amouracher vaches et bœufs de lui. "Not the Deadcrows, you said? Well, I suppose that's good news; I wouldn't want to upset them, nor have to kill their minions because they messed with y--(sa langue fourche, hésite, se rattrape) with my darling Orphans." La réticence a laissé sur sa gueule un rictus crispé. Une bagarre interne fait rage, entre la désinhibition due à l’alcool et son besoin constant de contrôle. La tristesse pathétique ravivée par la date anniversaire abîme de cette capacité qu’il a à se maîtriser même quand on pense qu’il ne se maîtrise plus.

Le Hammer est là, battu et défait, dégradé comme une statue à la chute de Rome, et si la jalousie méchante du Serpent aurait pu s’en régaler, Osmond n’y trouve rien de plus qu’un écho à son propre état, un reflet sécurisant ; il retrouve de ce sentiment réconfortant quand il se pense parfois seul dans son grand penthouse et qu’Amy apparaît en jogging et marcel pour venir se chercher sa boisson protéinée au frigo, trouant la solitude d’Osmond d’un peu de vie, d’un peu de banalité, d’un peu de simplicité. "How long have we known each other, Aimee?", demande-t-il soudain, l’haleine et le ton chargés d’alcool. Il a momentanément oublié Deadcrows et consorts. "Four? Five years?" Osmond s’est mis à regarder les soins qu’Amy s’applique. Parfois, son regard terrible et embué décroche pour s’égarer ici et là dans la salle-de-bain, puis revient sur les gestes du mutant. "Feels like it was yesterday… or ages ago", souffle-t-il presque pour lui, l’oeil rêveur s’étirant jusqu’aux boucles blondes et grasses d’Amy.

Il revient à lui dans un soubresaut. Les souvenirs se sont précipités dans son esprit et ont reformé la scène de leur recontre ; Amy était derrière son comptoir de misère, voûté et affecté, par ses factures et par une nouvelle concernant son fils. "How’s your kid by the way? The one you were so upset about when we first met. You never talk about him", s’en étonne-t-il. C’est assez flou - le détail ne l’a jamais intéressé plus que ça, anecdotique au possible dans les quelques autres informations, elles utiles, qu’Osmond a récoltées sur son compte - mais, bien que flou, anecdotique et inintéressant, le détail lui semble soudain valoir qu’ils en parlent.
Amy Armstrong
True Blood
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Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
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Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
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"No. - Hun hun." Le mensonge est si exaspérant qu’Amy a l’impression, le temps de quelques secondes, qu’Osmond a émoussé sa capacité à mentir par sa simple et récurrente fréquentation, aussi bien que par son taux d’alcoolémie. Il le fixe du regard, attendant qu’Oz s’extirpe de son piteux mensonge, allant même jusqu’à renifler bruyamment son air, pour lui signifier que son haleine disait le contraire. "… maybe. - That’s better. - Yes. - Here you go." Amy ne réalise pas qu’il ne se remet en branle qu’à ce moment-là, suspendu qu’il était à l’embarras transpirant de son patron. "Alone. Like a fucking alcoholic. - Don’t say that, boss; it happens to the best of us." Les lèvres d’Amy disparaissent tandis qu’il se retient de se moquer, en le suivant dans la salle de bain. Il commence à trouver ça un peu amusant, de voir son patron dans un état pareil; ça lui ferait presque passer la douleur qui pulse dans son pif, et le goût du sang qui s’immisce entre ses dents.

L’association des lumières néon et du dos d’Osmond qui le percute donne à Amy l’impression, quelques secondes, de se trouver dans la scène d’ouverture d’un film X. Une fois encore, il trouve que ça ne ressemble pas au goût du Serpent qui préférait les ambiances tamisées, du style perdu au milieu de la jungle amazonienne. Il s’approche de la console qu’il tapote pensivement, puisque ses compétences technologiques se limitent à un usage abusif de l’ARGO space. Il manque de finalement enfoncer son poing sur la surface à cristaux liquides avant de trouver le bouton pour éteindre les néons. Là, ambiance fin fond de la jungle.
"Thank you Aimee! What would I do without you." Son affabilité continue de désarçonner Amy, dont les yeux roulant dans leurs orbites lui font une courte douleur au front. "You don’t really think that, boss."

"Here you go." Quand Amy comprend qu’Osmond ne compte pas s’en aller de la salle de bain (how surprising; he never missed a chance to check on my bod), sentant son regard appuyer sur ses épaules, Amy se défait de son marcel blanc qui s’écrase mollement par terre, suivi par la cravate qu’il avait gardé à son poing. Il lui expose son dos massif qui, une fois n’est pas coutume, est tâché d’hématomes disgracieux, comme autant de déjections au sommet d’une statue sur la place commune d’un village. "Christ, they could have at least spared your face. - I know, right? They got a guy with this anti magnetic field gun or some shit… I couldn’t use my power properly…" explique-t-il dans un ronchonnement bourru, tandis qu’il commence à imbiber des compresses de désinfectant, en se contorsionnant grossièrement pour repérer où se trouvaient ses plaies.

"Not the Deadcrows, you said? Well, I suppose that's good news; I wouldn't want to upset them, nor have to kill their minions because they messed with y— - Yeah— Amy répond trop vite. - With my darling Orphans." Amy pique un fard en réalisant qu’il avait osé se sentir special.
Un silence s’immisce entre les yeux, de temps à autre interrompu par les gémissements d’Amy qui continue de se tordre dans tous les sens, tamponnant avec force réserve les plaies sur ses côtés et ses bras. Le manque de souplesse lui est conférée par son épaisse carrure, bien qu’une certaine grâce se dessine dans les plis épais de ses côtes raclant le dessus de son bassin, à la manière des maîtres antiques de la sculpture, pour peu qu’on ait appliqué une couche de moiteur sur la surface des statues, dans un souci de réalisme.

"How long have we known each other, Aimee? Amy met un temps avant d’interrompre son geste, infichu de savoir si Osmond attendait une véritable réponse de sa part. Feels like it was yesterday… or ages ago. Cette fois-ci, Amy se fend d’une remarque ironique: - So what? You thought I wouldn’t last that long?" Si Osmond se plonge dans ses souvenirs, Amy, lui, l’observe en cet instant précis, comme il l’observait rarement. Il n’avait pas trop le loisir de le faire, il n’en avait pas le courage, et généralement, quand il le regardait, c’est qu’il devait le faire, Oz l’obligeant à engluer ses yeux dans les siens, pour être sûr qu’il comprenne les ordres. Il ne sait pas s’il le trouve vieux, s’il le trouve beau ou misérable. En tant que personnalité publique, Osmond était plastiquement apprécié, à défaut que ce soit moralement, et quand il arrivait à Amy d’écouter les conversations des badauds qui commentaient ses apparitions médiatiques, il ne savait pas s’il approuvait ou était simplement jaloux qu’on puisse trouver son boss séduisant.

"How’s your kid by the way? The one you were so upset about when we first met. You never talk about him." Chassant les pensées intrusives qui faisaient irrémédiablement leur petit bout de chemin, à chaque fois qu’il observait une personne hot, Amy hésite et hausse une épaule. Il en parlait de temps en temps, à Harper ou même à Kian: I simply don’t tell you about him. "Junior’s doing well; I got to see him once a month… I’m pretty sure he’s mine, by the way, and that she was just being mean…" Il faut dire que la ressemblance était troublante, maintenant que le môme avait écopé de la tignasse blonde de son potentiel père. Il balaye néanmoins ce qu’il ignore être l’un des drames de sa vie, en tendant une compresse propre à Osmond.
"Sorry to ask you that, boss, but could you maybe help me? They hit me in the back, right there, il balance un avant-bras épais comme un jambon par-dessus son épaule, pour désigner le dessous de son omoplate. And I can’t reach it… See how the blood keeps dripping down my spine…" Un filet de sang traçait effectivement son chemin le long de sa colonne vertébrale, formant une tache brune sur l’élastique de son jogging.

Tandis qu’Osmond se met au travail (or not, but let’s say, for the sake of their relationship, that he does), Amy reste silencieux, les mains appuyées sur le rebord du lavabo. Il sait que les usages voudraient qu’il lui retourne la question, à propos de son fils. Mais il sait aussi qu’il a une chance sur deux de commettre une erreur en le faisant. D’un autre côté, la situation était à son avantage: il était à moitié à poil, blessé (il sait qu’Oz n’aime pas quand il est blessé; ça voulait souvent dire qu’il avait échoué, et puis, Oz n’aimait pas qu’on abime ses affaires), et Osmond avait un coup dans le pif et le loisir de le tripoter comme bon lui semblait. Si ça le rendait plus loquace, de son côté, ça rendait Amy plus franc: "Boss, do you want me to ask you about your son? I could, but I just don’t want you to— feel uncomfortable."
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

lunatics and slaves (amy) Ra48t6aq_o lunatics and slaves (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

lunatics and slaves (amy) AxI6stHu_o lunatics and slaves (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

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Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

"Junior’s doing well; - Great! - I got to see him once a month… - Good for you. - I’m pretty sure he’s mine, by the way, and that she was just being mean… - Oh." Osmond n’avait pas conscience que le gros du problème se situait dans l’ascendance floue du gamin. Il grimace un peu et ses sourcils obscurcissent momentanément et de manière assez horrible son regard clair. Imaginer Amy en père est déjà très perturbant en soi étant donné que le garçon, enfin l’homme - mais là est en effet la couille, puisqu’il se comporte davantage en adolescent qu’en parent - que l’homme, donc, est peu dégourdi avec sa propre vie ; alors l’imaginer vouloir s’acharner dans ce rôle qui ne lui sied pas, auprès d’un gamin qui n’est peut-être même pas le sien, est encore plus troublant. Osmond émet l’hypothèse, sans jugement aucun, qu’Amy est un imbécile heureux en surface seulement : cela pour mieux cacher l’imbécile malheureux qu’il étouffe sous sa masse de viande musculeuse. C’est assez touchant, il ne se le nie pas. D’autant plus touchant qu’il a une ou deux fois - deux fois, pour être exact - campé cette exacte position dans sa très longue existence ; mais la similarité s’arrête là, puisqu’il est, lui, un homme mature depuis facile sept générations - peu importe ce qu’en diront les offensées.

"Sorry to ask you that, boss, but could you maybe help me? They hit me in the back, right there (Osmond suit le geste du regard) And I can’t reach it… See how the blood keeps dripping down my spine…" Osmond marque un silence agacé. From alcoholic to fucking nurse. Il imaginait sa soirée mieux se passer que ça. Avec en tout cas plus d’alcool - qu’il n’en a déjà bu - et moins d’efforts à produire. Ses yeux glacials font un aller-retour entre le profil dégommé du chérubin et la plaie désignée, appuyant un temps déraisonnablement long sur ce silence qu’il laisse planer, pour le seul plaisir exaspéré de ne pas accéder de suite à la requête. Puis alors que la facture du jogging s’imbibe, l’épaule se détache du cadre de la porte et Osmond approche. "It is; dripping down your spine," relève-t-il, sarcastique, les prunelles non moins irisées d’amusement. Amy est loin d’être con. C’est le piège dans lequel beaucoup d’abrutis tombent ironiquement en ne se fiant notamment qu’à ses allures et ses manières "d’imbécile heureux" ; mais Amy ne cache pas qu’un seul petit secret sous sa viande musculeuse, il en cache plusieurs. Dont une malice insoupçonnée. "Gotta take care of it if I don't want any blood on the floor, right?" Le regard qu’Osmond lui jette atterrit dans le miroir en face, où les yeux moites d’Amy apparaissent dans le reflet.

Osmond se saisit du paquet de compresses et du désinfectant en se penchant un peu en avant. Il remarque au passage qu’Amy n’a pas pris les antidouleurs, et que son jogging est en effet humide. Quand il revient sur son axe un peu de sang a imbibé le bas de sa chemise rentrée - pour la simple raison qu’a contrario d’Aimee Armstrong, Osmond Rose a du bide. "Damn it…" 8000$ foutus en l’air. La petite idiote du pressing pourra peut-être rattraper ça. Peut-être pas. Le soupir dont se fend le magnat a le luxe d’être petitement incommodé. Il reprend son geste là où il l’a arrêté, tire la compresse du paquet, l’imbibe de désinfectant dans une gymnastique digitale qu’il réserve habituellement à un autre contexte que le nursing, puis se décale - pas deux fois, la bavure - repose paquet et flacon, et revient derrière Amy. Son dos est massivement grotesque. Bien qu’Osmond soit plus grand et qu’il ait son épaisseur bien à lui, le corps d’Amy lui fait toujours l’effet d’une bête de somme : pourrait travailler des heures sans se plaindre et pourrait labourer de son poids autant de terre que nécessaire - ou labourer autant de culottes que nécessaires, s’il en croit la légende qu’Harper lui a plus d’une fois soufflée à l’oreille.

Main gauche et compresse viennent sans plus tarder essuyer le bas du râble, suivant le sillon rouge qui s’est dessiné contre la chair pâle. La compresse, consciencieusement maniée, s’arrête au niveau de l’omoplate. Où elle est pressée plus vigoureusement. Osmond observe les trapèzes d’Amy rouler de douleur sous sa paume, de même qu’il le sent remuer un peu contre son hypogastre. La main droite rejoint à son tour le dos d’Amy, le flanc droit précisément où elle prend un appui ferme mais indulgent pour immobiliser le corps du Hammer. Ainsi positionné, Osmond sent une onde d’excitation traverser son bassin et venir irriguer ses veines. La fièvre éthylique est revenue tapisser sa gueule de cette nonchalance particulière, presque insolente, et, tout naturellement, une pesanteur libidineuse se glisse dans sa force. Amy est brûlant. La main droite s’en assure d’un glissement lent et supplémentaire. La plaie béante devient secondaire. Son soin est appliqué de manière mécanique, à l’aulne de ce qu’Osmond Rose sait appliquer comme soin.

"Boss, - Mh? - do you want me to ask you about your son? (Osmond relève la tête) I could, but I just don’t want you to— feel uncomfortable." Un temps de réflexion est appliqué. Et celui-là sincère. "If I--" La vague concupiscente se retire, laissant Osmond en plan sur sa grève rêche. Il cligne des paupières, abruti par la question et ce que ça dit de leur relation. Un petit rire blanc s’échappe finalement des lippes entrouvertes d’Osmond. "Lord, sometimes I forget…" Qu’Amy lui fait grâce de sa présence parce qu’Osmond insiste. Qu’Amy lui prépare ses dîners parce qu’Osmond le lui demande. Qu’Amy se déshabille volontiers parce qu’Osmond le bouffe de temps en temps des yeux. Qu’Amy ne ferait rien de tout ça s’il n’y avait pas en contrepartie le fric d’Osmond et ce que le fric d’Osmond peut lui apporter comme vie de luxe. "I forget you're just like my whores." Osmond est calme. Osmond continue même de sourire, d’une petite mine désolée jouxtant sans difficulté sa cruauté blessée. Quand Amy remue - par objection, par inconfort, ou parce que son dos massif lui démange, only that same fucking Lord knows - les mains épaisses d’Osmond s’aplatissent davantage. Obligent, d’une fermeté maintenant rugueuse, à l’immobilité. "Stay still." La tête s’incline. Lorgne les nouvelles coulures de sang qui filent jusqu’au jogging. "It bleeds again."

Il procède au même mouvement qu’auparavant. La compresse est à ce stade si imbibée qu’il la sent humidifier sa paume. "No, Aimee, don’t bother," répond-t-il enfin. "Let's talk about Junior's mother who wanted to be mean to you." La gueule d’Osmond est redevenue lisse. Y traîne une pellicule de sueur rance, là sur ses tempes, là sur sa nuque, qui est apparue depuis qu’il touche la chair chaude du mutant. "Distract me!" finit-il d’un ton grinçant, percé cependant d’un enthousiasme bizarre, maniaque.
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : lunatics and slaves (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) QqYmgTIa_o

***
They tell me you are evil,
|
lunatics and slaves (amy) W8FXup2v_o lunatics and slaves (amy) K529KiGF_o
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and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
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Si Amy gigote quand le désinfectant pique sur sa plaie, il s’immobilise brusquement lorsque Osmond pose sa main sur sa hanche. Il a aussitôt une embarrassante impression de déjà-vu, le renvoyant pendant le tournage de "Blow the pipe 2", second opus de l’un des films X dans lesquels il avait tourné il y a quelques années, dont le scénario se résumait à la visite d’un plombier qui dégénère. Dans le second film, le mari de la femme au foyer rentre plus tôt que prévu, pour découvrir plombier et épouse sans dessus dessous, et décide de prendre sa revanche, as in, de prendre part aux festivités. L’acteur qui jouait le mari était autrement plus massif et gigantesque (et velu) (well i guess) qu’Osmond, mais à peu de chose près (as in, de layers de fringues), la pose ressemblait un peu trop à celle de la fameuse scène dite du syphon de l’évier.

Si le souvenir en lui-même n’est pas totalement agréable (les tournages se passaient rarement sans accroc, le plus ennuyeux étant lorsqu’il ne se faisait pas payer pour telle ou telle raison à la fin de son contrat), Amy ne sait pas trop quoi penser de la situation. Il ignore si Osmond pense quoi que ce soit non plus, s’il s’imagine quoi que ce soit, et que peut-être ce n’est que lui, Amy, qui se monte le chou et se fait des idées sur la suggestion du pli de son dos, ou sur la pression qu’exerce Osmond sur sa hanche. Si ça n’était pour le discours blessant d’Osmond, Amy aurait pris sur lui et se serait tenu à carreaux. Pourtant, lorsque la compresse que tient Osmond descend de nouveau dangereusement dans son dos, Amy se braque et peste:
"You know what? No, man, fuck you!" Il se dégage, se décalant sur le côté, restant quand même un peu de dos, pour être sûr de se calmer dans son joggos et sur ses joues, avant de se retourner pour lui faire face. "I wasn’t being a whore, I was trying to be nice!" Son regard est aussitôt attiré par la tache rouge laissée sur la chemise de son patron; il remonte les yeux jusqu’aux siens: "You can’t just be doing that and call me a whore!" A entendre comment sa voix part en vrille, et comme sa face rubiconde luit, il pourrait aussi bien ajouter: or I might like it, but you know what, no homo sir.

"Be-besides… are you that fucking desperate for them to ask about your fucking son? That’s pathetic." Amy respire fort et passe une main confuse et fiévreuse dans ses boucles, qui gardent un instant ses phalanges prisonnières (révélant une vue imprenable sur son triceps). "Fuck, I don’t know, boss! I don’t know how much it hurts. I’m supposed to protect you from being hurt, so I don’t wanna be hurtful." Amy avait croisé Samson une poignée de fois. Il l’avait trouvé pompeux et insupportable. Il ne serait pas étonné que cet insupportable appartement pompeux soit le sien, tiens. Pour autant, et puis, étant père lui-même, il n’osait même pas imaginer le chagrin qu’avait ressenti Osmond quand son fils avait disparu.

"But I’m certainly not risking my ass out there for you to call me a whore! Fuck off!" Il le boule pour se diriger vers la porte, va même jusqu’à ramasser son marcel (et la cravate, huhu). Au dernier moment, il fait demi-tour, et se met à tourner en rond dans cette salle de bain trop grande, refusant d’en avoir fini avec lui, pour s’immobiliser de nouveau. "You know what? Try asking your whores to do a single thing I’m doing for you; they ain’t gonna stay for shit! They’ll be crawling in the lap of an other sad old rich jerk instead."
Amy faisait bien entendu tout ça parce que c’était son travail. Il faisait aussi tout ça parce qu’à force, il avait autant besoin d’Osmond qu’Osmond avait besoin de lui; que ce soit pour lui procurer un toit ou un confort qu’il ne pouvait habituellement pas se permettre (so, a whore). Mais aussi parce qu’avec le temps, quatre ou cinq ans donc, Amy avait appris à apprécier sa compagnie et que s’il n’avait pas réellement aimé Osmond, il aurait eu tout le loisir de se casser quand il le pouvait. Il avait (sur)vécu suffisamment longtemps sous le même toit que des gens qui le méprisaient pour ne pas avoir à subir ça, maintenant qu’il était grand et (plus) autonome, à en juger par les innombrables fugues qui avaient parsemé son adolescence.

Un peu essoufflé, Amy reprend en maugréant: "And I ain’t distracting no one…" Sa main libre est plus consciencieusement que d’habitude portée à son entrejambe. C’était un geste qu’on le voyait faire souvent; Amy se prenait pour un mâle, alpha la plupart du temps, bêta quand Osmond était dans les parages, qui, de surcroit, ne portait que des joggings, et avait donc la fâcheuse tendance à avoir ce geste insupportable, comme pour s’assurer que ses balloches étaient toujours là. "You’re distracting yourself about right." Du regard, il montre sa ceinture du regard, toujours attiré malgré lui par la tache en bas de sa chemise: "I ain’t paying for that one." Osmond avait ronchonné un nombre incalculable de fois sur l’état de ses fringues quand il lui prenait l’envie de s’aventurer un peu sur le terrain, généralement flanqué d’Amy qui, s’il parvenait à préserver son patron en vie, échouait malheureusement régulièrement à préserver les fringues dudit patron propres. Si, à leur tout début, Amy avait une fois proposé à Osmond s’il voulait qu’il lui file un rechange, il se retenait désormais de l’envoyer balader en lui disant que s’il ne voulait pas salir ses fringues, il n’avait qu’à pas en porter.
Osmond Rose
Originel·le
Osmond Rose
CORPS
ESPRIT
ÂME
Genre : Cis., masc.
Age : Quinqua de 236 ans.
Dollars : 1492
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) B2f554b632f53d58adceffc067acc491
the day I died
I didn't tell
my body

|
you never
feared the abyss

lunatics and slaves (amy) Ra48t6aq_o lunatics and slaves (amy) 9HqrKldU_o

Occupation : Propriétaire du Noctal (maison close) et gérant de l'Unlock (pawnshop) dans les profondeurs de l'Underapple. Leader déchu des Orphans, déclaré mort depuis décembre.
Habitation : Ses appartements souterrains au Noctal.
Déchirures :

₪ A P O P H I S ₪

Lord of darkness and chaos

lunatics and slaves (amy) AxI6stHu_o lunatics and slaves (amy) ApEwOZTM_o
***
While they scream and perish,
he licks a finger and turns the page

MUE -- régénération cellulaire, cicatrisation en surface et en profondeur, vieillit beaucoup plus lentement et se remet de blessures ou maladies graves.

CORRUPTION -- (niv.1) se nourrit de transgressions commises, gain d'énergie vitale ; (niv.2) commande à autrui la transgression qu'il veut voir commise ; (niv.3) son esprit est impossible à corrompre en retour, toute tentative de manipulation, intrusion ou altération se solde par un échec, la sensation d'une angoisse profonde, et des effets secondaires variables (nausée, évanouissement, lésions cérébrales graves).

TENEBRES -- (niv.1) obscuration des lumières artificielles, visibilité nulle pour l'œil humain et les appareils ; (niv.2) obscuration des lumières naturelles, même principe ; (niv.3) invocation d'une entité ténébreuse, "Jo" (pour Jawbreaker) semblable à un serpent de fumée, long de 7 mètres avec la force de 7 hommes.

SERPENTS -- (niv.1) transformation de n'importe quelle matière en serpents ; (niv.2) les contrôle même à distance et communique avec eux.

INFRAMONDE -- (niv.1) résurrection ; (niv.2) invocation d'entités démoniaques et spectrales.

Limites :
MUE -- procédé long (4h) et douloureux (écorchement vif).

CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

TENEBRES -- (niv.1) perim. de 20m pour 10 minutes ; (niv.2) perim. de 30m pour 5 minutes ; (niv.3) durée de l'invocation variable (9 à 15 minutes), Jo provoque des tremblements (max 3 échelle de Richter) en arrivant, et quand il ne peut pas traverser les revêtements routiers (max 6 sur l'échelle de Richter).

SERPENTS -- (niv.1) transformation max égale à son poids, pour une durée de 3h ; (niv.2) télépathie simple loin de la complexité d'une langue (émotions, compréhension des intentions, flashs visuels).

INFRAMONDE -- (niv.1) quitte son immensité et sa puissance dans le supramonde, difficulté à se réhabituer à son corps humain ; (niv.2) 3 démons ou 1 défunt pour un total de 1h/24h, peut perdre le contrôle sur les défunts.

Stigmates :
-- œil de verre (droit).
-- haemolacria (droite).
-- lésions radiques invisibles.
-- brouilleur de capteurs vivant.
-- une cicatrice de décapitation.

Inventaire :
-- (lost) une vieille chevalière avec le logo d'Icarus dessus et un peu de sang dans les interstices.
-- des lunettes de soleil pitch black.

Pseudo : .exe
Comptes : Jeremiah.
Genre IRL : She/her.
Messages : 521
Date d'inscription : 13/02/2023
FC : Rufus Sewell.
Crédits : Martyr (av.)
Thèmes abordés : Body horror, gore, occultisme, horreur, manipulation, violence, dysf. familial, meurtres, terrorisme, criminalité.
Thèmes refusés : Ràs.
Infos RP :
(( dial : slategrey ))
-- présence régulière.
-- dials fr ou ang.
(( 4/3 rps ))
-- Love [AU]
-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

cw: narration crue, explicit content

La réaction immédiate n’est pas pour plaire à Osmond. Il attendait véritablement qu’Amy le bassine avec ses histoires de cul mélodramatiques aux rebondissements aussi médiocres que pluriels ; il attendait qu’Amy déverse tout ce qu’il a dans la tête comme il lui arrive souvent de le faire, à un point que l’intellect d’Osmond décroche toujours dès la deuxième phrase et se laisse porter dans des rivages d’inanité - la tête pareillement vidée, pour des raisons différentes.

Les bras d’Osmond se rétractent dans le mouvement, tandis qu’Amy s’ébroue dans son petit coin de lavabo. "I wasn’t being a whore, I was trying to be nice!" Osmond roule des yeux : aussi irritable que ses putains. "Yes, alright Aimee, thank you for that." Son jeu de comédien est intact, ce qui le surprend presque vu son état et son manque d’envie certain de préserver l’orgueil blessé de son homme-à-tout-faire. Amy a un regard pour la crasse qu’il a laissée sur lui. "You can’t just be doing that and call me a whore!" Ce qui lui fait se demander dans quel contexte Aimee Armstrong serait enclin à ce qu’on le traite de pute. "What an ambiguous thing to say," souligne-t-il, d’un filet de voix égal ne cherchant pas à couvrir celle échauffée d’Amy.

Osmond dépose calmement la compresse imbibée de sang sur le rebord du lavabo. Il sent le souffle erratique d’Amy farcir l’air d’un surplus tiède. "Be-besides… are you that fucking desperate for them to ask about your fucking son? That’s pathetic." Osmond Rose, ou comme le mythe le veut, Le Serpent, est un individu connu pour son sang froid. Rares sont ses colères, plus rares encore ses débordements. Ça ne l’empêche pas d’être terriblement nocif, et prendre mal certaines choses, mais la quasi totalité des offenses qu’on lui fait ou cherche à lui faire glissent sur lui sans l’atteindre. La petite pique d’Amy, aussi menue et sans mérite soit-elle, trouve cependant une percée entre les écailles du Serpent. Et la colère, soudain, monte jusqu’à son regard mortifère. "Careful, Aimee."

Il revient dans son axe, s’arrachant à sa contemplation du lavabo où il a laissé la compresse rouge pour jeter un regard oblique au mutant. "Fuck, I don’t know, boss! I don’t know how much it hurts. I’m supposed to protect you from being hurt, so I don’t wanna be hurtful." Osmond s’était préparé à pire. Une certaine agressivité s’était même logée dans ses poings, prête à frapper comme il frappe parfois des gueules qu’il a envie de casser pour des raisons variées. Il ne s’en serait définitivement pas sorti face à la force mutante du Hammer mais il l’aurait suffisamment amoché dans le processus pour contenter cette pulsion passagère. L’aveu plaintif d’Amy a pourtant un effet purgatif, aussi efficace qu’un lavage d’estomac après intoxication.

Sans dégueuler sa bile aux pieds d’Amy, Osmond oscille d’un appui à l’autre en se reculant un peu. Il ne croit pas en grand chose dans ce monde si ce n’est à sa propre personne, au pouvoir de l’argent, à la capitalisation des talents, et à la loyauté - dans cet ordre. Et la loyauté, Osmond ne la soupçonnait pas tellement chez Amy. Il a toujours cru - et, par scepticisme, continue encore un peu d’y croire à l’instant t - que le zèle du Hammer relatif à sa protection était proportionnel aux avantages matériels qu’il tirait de son boss. Confus, désorienté dans ses certitudes, et à deux doigt d’admettre qu’il avait peut-être tort, Osmond rouvre la bouche dans un bruit humide et un claquement de langue. Amy l’interrompt, emporté par son débit de parole et les couilles qui lui ont finalement poussé face à lui. "But I’m certainly not risking my ass out there for you to call me a whore! Fuck off!" La masse du Hammer le bouscule sans gêne et sans difficulté, obligeant Osmond à reculer de plusieurs pas francs pour reprendre son équilibre. "Aimee," l’appelle-t-il une première fois, sur un ton conciliant. Puis une seconde fois, sur le ton de la remontrance, alors qu’Amy a ramassé ses - leurs ? - affaires et prend la tangente. "Aimee."

Le concerné fait volte-face. Pas plus calmé. Pas plus disposé qu’Osmond à en rester là. Ils se confrontent derechef. "You know what? - Please, tell me! - Try asking your whores to do a single thing I’m doing for you; they ain’t gonna stay for shit! - You'd be surprised. - They’ll be crawling in the lap of an other sad old rich jerk instead. - Now that’s just tasteful. No one had ever called me an old rich jerk, how sharp of you farm boy!" Un silence. Comprimé entre eux et seulement rompu par la respiration forte et limite animale d’Amy. Osmond est beaucoup plus tranquille, beaucoup plus flegmatique face à l’agitation physique de son vis-à-vis ; pour autant, il sent l’adrénaline fourmiller dans ses poignets, comme si l’agressivité miraculeusement purgée s’était diluée en excitation pure - même plus sexuelle, organique, à ce stade. "Are you done?", l’interroge-t-il, non sans le provoquer dans le timbre employé.

Pour seule réponse, Amy se réarrange le paquet, sous le regard (pas tant) surpris, puis consterné, de son boss. "And I ain’t distracting no one…" Certainly not coarseness, se retient-il de siffler. S’il n’a, très volontairement et avec une assiduité féroce, jamais voulu répondre aux attentes qu’exigeait son rang de Lord, il n’en reste pas moins que la vulgarité d’Aimee Armstrong lui est toujours déconcertante tant elle est cliché. "You’re distracting yourself about right. - Excuse me?" Amy ne peut pas avoir grillé les quelques gouttes de sueur qui lui ont coulé dans le dos au moment où cette même vision grotesque lui a donné envie d’y ajouter sa propre main. Nouveau regard pour la tâche. Osmond y jette un coup d’œil évasif. "I ain’t paying for that one." Un rire étonnamment sincère franchit l’œsophage du magnat. Si Amy avait déjà payé pour quoi que ce soit, ça se saurait. Le tribut de son sang s’élève néanmoins à une certaine valeur ; cela, Osmond le sait, a fortiori maintenant qu’on lui a rafraîchi la mémoire.

"You've got some nerve," lui cède-t-il, imprégné et par le sang d’Amy et par l’amusement. Une dernière œillade sardonique le rend momentanément menaçant, mais elle passe aussi rapidement que la tâche s’étend rapidement sur le blanc immaculé de sa chemise. Osmond épingle la facture et se met à tirer dessus pour mieux voir. "Rather romantic, don't you think? I finally have your blood on my hands." Il y a une satisfaction aigue à énoncer ce fait à voix haute. Un désir cynique également, celui de se rappeler qu’un jour Amy y passera aussi. "Well, mostly on my shirt," se corrige-t-il, tombant le masque du dramaturge. "Turn around." Osmond a lâché sa chemise et effectue un petit mouvement de tête pour appuyer ses dires. "You still have an open wound and now it’s dripping on the floor--for the love of God, shut your mouth." Oui, Amy s’en branle, de son sol, Osmond a compris. Comme Osmond a compris aussi certaines autres choses.

Quand Amy obtempère (or not, but let’s say, for the sake of their relationship, that he does), Osmond se réarme d’une nouvelle compresse et du rouleau de sparadrap, avant de revenir derrière lui. Il termine de soigner l’omoplate. S’applique dans les gestes, adresse quelques regards intensifs au reflet d’Amy. Le sparadrap tiré, coupé d’un coup de dents et appliqué, il appuie de sa main pour parfaire l’adhésion. "I've been unfair to you." Le poids de sa paume est de plus en plus lourd. Sa main finit par quitter la zone soignée et recouverte pour s’en aller vers l’autre épaule, dans une caresse épaisse qui ne termine pas sur le trapèze, mais va au-delà, passe sur la clavicule, rejoint le buste. L’étreinte oblige Amy à reculer contre Osmond. Son bras fait quasiment le tour de la poitrine musculeuse - quasiment. Il y a presque autant à prendre là-dedans qu’il n’y en aurait à prendre avec des seins épais. "I’m sorry," qu’il lui souffle contre tempe, butant son menton contre joue. La câlinerie est familière. Il sent la gaze du pansement imbiber un petit peu le haut de sa chemise, et le restant de son début d’érection se caler confortablement contre les reins eux aussi imbibés d’Amy. Fuck the expensive shirt, obviously.
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : lunatics and slaves (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) QqYmgTIa_o

***
They tell me you are evil,
|
lunatics and slaves (amy) W8FXup2v_o lunatics and slaves (amy) K529KiGF_o
|
and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
Messages : 190
Date d'inscription : 21/02/2023
FC : jeremy allen white
Crédits : .exe (av), des (gif)
Thèmes abordés : violence, gang life, red flag-ism
Thèmes refusés : ràs
Infos RP : dial en fr ou en anglais comme vous préférez!
couleur de dial: darkgoldenrod

tw: explicit language, explicit content

Osmond se met à rire, un genre de vrai rire, qui éclate de sa bouche pointue, incontrôlée, écrasant ses deux yeux bleus glacés. La réaction désarçonne Amy qui sent que sa colère n’est pas prise au sérieux, et de fait se dégonfle comme un muscle mal échauffé. Mais d’un autre côté, Amy semble aussi avoir désamorcé l’énervement d’Osmond, qui aurait été d’un mauvais goût et d’un risque certain au vu de l’état dans lequel Amy était, sans compter la propension de son patron à se démener sur quiconque se dressait sur son passage quand il était de mauvaise humeur. "You've got some nerve." Pendant un très court et nécessaire instant, la tension est de nouveau palpable, à l’instar d’Osmond triturant le bas de sa chemise tachée, à l’instar d’Amy dont les ongles courts, loin de ne faire que palper l’intérieur de sa main, en crèvent plutôt la paume à force de serrer le poing. "Turn around." Amy reste immobile, pas suffisamment dupe pour se laisser attaquer par derrière. "You still have an open wound and now it’s dripping on the floor— - I don’t fucking— - For the love of God, shut your mouth."

Tout en grommelant dans la barbe qu’il ne fait plus pousser depuis cet hiver où il n’avait obtenu que de lamentables poils blonds dispersés sur son menton fuyant, Amy obéit, parce que de toute façon, il ne pourra pas se balader dans la rue avec du sang dégoulinant partout sur son pantalon, et encore moins trouver un taxi pour rentrer chez lui. That’s it, thats the reason he is doing what he's been told. Ça et pas du tout pour sentir encore un peu plus, encore une fois, la dégradante sensation d’Osmond collé dans son dos, le maîtrisant avec une indolence et une vigueur suspecte.

Amy retourne à sa place devant le miroir, la tête baissée, le regard fuyant mais la nuque exposée, et la main d’Osmond retourne à sa place sur son épaule, s’affairant sur sa stupide plaie. Le marcel dans son poing est roulé en boule sur le rebord du lavabo. Amy se dit que c’est toujours ces quelques secondes de grappillées, quelques secondes de contact rien qu’à lui, où l’influence de son patron sur sa petite personne prend toute son ampleur et tout son sens, qu’Osmond aurait pu tirer des fils des muscles du dos d’Amy que ce dernier n’en aurait pas été plus horrifié que ça.

"I've been unfair to you." Amy a les oreilles qui rougissent, et son visage se ferme d’embarras. Les secondes s’étirent, douloureuses, délicieuses, à l’instar du bras d’Osmond qui s’étire, s’enroule sur son épaule comme un serpent (how convenient). Par réflexe, Amy tressaute, se forçant aussitôt à s’immobiliser, étourdi par l’initiative de l’autre homme qui vient lui comprimer le pectoral, le tirant contre lui. Le dos voûté d’Amy se cale, se redresse et presque se cambre contre la poitrine d’Osmond. Amy ne sait plus si le cœur est placé à droite ou à gauche, certains disent même qu’il est un peu au milieu; toujours est-il que le sien bat à tout rompre, là, sous le bras d’Osmond, qu’il pourrait plonger sa main juste sous sa peau et le lui agripper si l’envie lui prenait, pour l’extraire de sa poitrine et y mordre à pleines dents. "I’m sorry," Amy ne sait déjà plus de quoi ils parlent, son esprit s’émoussant, se réduisant à l’intense sensation de son haleine contre sa peau, sifflant tout juste contre son cerveau rabougri, et de son bassin contre ses fesses. "What the f—", gémit-il pour toute réponse, en peinant à comprendre la pulsion, la poussée dans son dos, qu’il écrase en retour, par réflexe, par envie, par n’importe quelle excuse qu’il serait seulement capable de formuler dans sa cervelle engourdie. "fuck— I— I’m not a fucking whore", he said, you know, like a whore. Sa main empoigne celle d’Osmond, l’enjoignant à presser et malaxer davantage ses muscles pectoraux, jusqu’à ce qu’il ressente une douleur pincée, ses ongles courts creusant dans les jointures prononcées et saillantes des doigts d’Osmond, allant même parfois jusqu’à buter contre la grosse montre chère ou l’avant-bras poilu. Amy commence à se frotter à Osmond, feignant vaguement essayer de se dégager, alors que chaque va et vient ne fait que creuser toujours un peu plus un sillon moite entre ses fesses.

Il ignore combien de temps il se laisse aller contre lui, à gémir des insanités maquillées en protestation, trop longtemps certainement, imaginant à cette situation des suites toutes plus steamy les unes que les autres, se finissant là, où dans n’importe quelle autre pièce de ce duplex luxueux qu’il n’avait même pas encore pris le temps de visiter. Il y projette d’autres chambres qu’il connaît, d’autres cuisines dénichées par hasard dans le penthouse d’Osmond, d’autres balcons sur lesquels il avait fait le pied de grue, pendant que son patron se pavanait au bras d’autres gens aussi riches que lui. Quand la vision devient si nette qu’il manque de jouir sans même avoir baissé son jogging, il sort subitement et confusément de sa transe et fait volte face, son épaisse poitrine comprimée, la rougeur de sa nuque cascadant sur ses épaules voûtées, son corps lourd s’écartant à peine d’Osmond, si bien qu’il parle dans sa bouche, soufflant de désarroi contre son menton: "No, fuck! no, sir, we can’t do this. I mean— I would, I would love to but— You’re drunk, boss", explique-t-il avec un fiévreux dépit, comme quoi un red flag n’en est plus un quand il s’agit d’abuser de la personne qui l’emploie et l’obnubile. "You should drink water— you should eat something; lemme just—"

Les mains qui battent l’air sur ses épaules semblent hésiter un instant à défaire ou refaire le col de sa chemise, tiennent timidement à distance le visage d’Osmond, en appuyant sur la ligne ferme de sa mâchoire, louchant sur des lèvres autrement plus fines que les siennes, luisantes et rouges de bafouillements, ne se décidant pas à venir bouffer celles du Serpent. Ses gestes se raffermissent de temps en temps, d’intenses secondes, si Osmond tentait d’insister, ses muscles gourds roulants contre les bras et la poitrine de son patron pour l’empêcher de le tripoter davantage, bien que la lutte en elle-même n’ait des airs de parade nuptiale. "Let’s fix you something, is there any food here? La manière qu’il a de le regarder donne l’impression que c’est lui, la bouffe. Get your shit together, boss, and then we’ll do whatever we— you want."
Osmond Rose
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CORRUPTION -- (niv.1) doit assister aux transgressions ou qu'elles soient survenues dans les 72h pour s'en nourrir ; (niv.2) ne manipule plus qu'un max de 6 personnes par jour, 4 en simultané à cause d'une malédiction ; (niv.3) ne contrôle pas la gravité des effets secondaires, dépend de si l'individu est novice ou non.

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-- Darius [fb, 1820]
-- Laudna [été 2025]
-- Amy [décembre 2025]

cw: ivresse, langage et contenu explicite

Les mots d’Amy ne sont plus des mots dans l’oreille d’Osmond ; ce sont des gémissements, des grognements, des borborygmes lourds et chargés qui tombent dans ses tympans avec régal. S’il ne pige pas toujours ce que lui jargonne le texan, la compréhension est là limpide. D’autant plus limpide qu’Osmond sent sur sa langue mutante toute l’excitation dont sue soudain Amy et qu’à l’image d’un puissant aphrodisiaque déposé sur papilles, ces phéromones rappellent que plus rapidement le désir du Serpent. Entre la poussée de tendresse qui l’a conduit à enlacer Amy et le retour de ce désir, Osmond sent une confusion agréable le gagner, l’impression que tout est soudain très simple dans cette relation qui ne l’est pourtant pas.

L’alcool n’y est pas pour rien - quoiqu’il balayera l’hypothèse dans quelques minutes - et les gestes empressés, permissifs et insistants d’Amy non plus. Sans se faire prier davantage Osmond l’enserre de plus en plus, conscient de ses plaies et ecchymoses sans y prêter pourtant une trop forte attention. Il profite de son corps massif pour peser sur lui, jouit de sa chaleur, de ses reliefs beaucoup trop fermes, de son odeur de transpiration qu’il vient renifler contre sa tempe et ses mèches folles, et quand Amy se redresse, puis se cambre, un grondement appréciatif vrombit dans la poitrine d’Osmond. S’il a découvert tard les plaisirs de la chair, ce n’est pas pour autant qu’il les a consommés avec modération ; combien de fois s’est-il perdu dans la chaleur des corps, sinuant entre les poitrines, les cuisses, les jambes et les bras dans l’espoir efficient d’avaler suffisamment de cette chaleur pour ne plus avoir froid. Et combien de fois a-t-il maté Aimee Armstrong à la dérobée, dans ses efforts les plus physiques et sportifs, en étant pris de l’envie somme toute résistible de venir cannibaliser sa chaleur à lui en déposant ne serait-ce que sa main sur sa nuque luisante.

Amy fait volte-face et Osmond proteste. "Don’t--!" La contrariété s’est glissée sur son visage échaudé, bien qu’il ne rouvre pas encore les paupières. Son corps reste gourd contre celui d’Amy et son étreinte envahissante. Le peu de distance que vient de mettre Amy fait glisser un courant d’air entre eux. La tête penchée en avant, Osmond rouvre alors les yeux ; une barre luisante et noire, fâchée dans l’ombre du Hammer. "No, fuck! no, sir, we can’t do this. I mean— I would, I would love to but— - But what? - You’re drunk, boss." Les bruissements stoppés de leurs fringues reprend un peu. La contrariété d’Osmond est repartie comme elle est venue, laissant ses yeux seulement moites de désir et de ruse. "I said I’ve been drinkin', didn't say I was drunk…" Il redresse sa gueule avec majesté, toisant Amy de son regard trouble et définitivement imbibé. "You should drink water— you should eat something; lemme just— - Oh for fuck’s sake," se plaint-t-il, réajustant sa prise sur la taille d’Amy et se prenant les pieds dans ceux tournés vers lui. Il vacille, ce qui lui donne un prétexte supplémentaire pour accrocher ses mains à la chair nue et lésée et contre le jogging imprégné de sang.

Amy est si près. Osmond découvre seulement maintenant combien son haleine est chaude aussi. D’un geste indiscret il vient chercher une fesse habillée dans sa paume, incapable de céder au semblant de raison que lui intime Amy. "You’re so fucking hot…," qu’il marmonne, presque aussi inintelligiblement que s’il s’était fendu de ce stupide accent texan. Le regard alourdi, peut-être moins terrible que d’habitude mais coulant d’un désir effrayant, Osmond contemple la gueule d’ange d’Amy comme, sûrement, le serpent biblique matait Adam. A cette pensée, Osmond se marre, moqueur et irrévérent tandis que ses prises se font langoureuses et gentilles. "Let’s fix you something, is there any food here? - Oh yeah," se marre-t-il davantage, jetant sur Amy un regard goguenard et scabreux. "Get your shit together, boss, and then we’ll do whatever we— you want." Osmond marque un arrêt, lorgnant Amy par en dessous. Sa main quitte la fesse agrippée et rejoint l’autre pour se saisir des mâchoires d’Amy. Les doigts câlinent un peu l’ovale de son visage. "I hate your kindness so much…" Il le bouscule un peu, perdant momentanément l’équilibre contre leurs semelles emmêlées. Osmond sent sa bouche être pâteuse et ses lèvres s’engourdir. "It daunts me. I don't know how to handle it…"

Le vert usé de ses prunelles redevenu mouillé, il arrache sa gueule émue à la vision d’Amy, suivant le parcours de sa main droite qui retombe et s’enfonce dans le jogging. "And Lord knows I can handle a lot of things…," dit-il, l’air pensif. Il y saisit Amy, sans surprise épais et raide entre ses doigts, brûlant aussi, plus brûlant que ses muscles nus baignant dans le température ambiante de la salle-de-bain. Le va-et-vient de son poing s’adapte aux soupirs d’Amy. Premier baiser sur le menton fuyant. "We'll eat later, yes?" Second sur ses lèvres, sa bouche où il vient avaler ses plaintes et possibles objections. Sa langue aussi, qu’il bouffe ironiquement. Osmond s’entend soupirer à son tour, les épaules avachies et les mains moites. Amy a un goût étonnamment sucré. Un rappel de ses shakers protéinés, peut-être, ou de toutes ces petites bouches pulpeuses et pleines de gloss qu’il embrasse sur son temps libre. Sans considération pour cette éventualité, qui l’excite même assez, Osmond continue de prendre soin de lui, de le caresser jusqu’à ce qu’il le sente trembler et chanceler fesses contre l’évier. D’un main contre la nuque, il l’aide à se tenir, l’autre s’attardant encore un peu là où il fait si chaud et maintenant si humide.

Amy a le pouls vif, et Osmond aussi ; de le voir succomber au plaisir et de le sentir dans sa main comme il ne l’a jamais senti auparavant lui donne envie de l’embrasser une nouvelle et dernière fois. Ce fameux goût sucré revient. Not a whore, huh? Osmond se fait canaille, dans son sourire et son œillade (not drunk, huh?). "You know what I want?" Il laisse un petit silence planer. Amy est beau de là où il se tient, ruisselant de sueur, de sang et d’embarras. Osmond déplace sa main de la nuque pour ramasser une grosse mèche bouclée tombant sur son front. Il la ramène en arrière, tout comme il ramène en arrière sa main généreuse pour la retirer du jogging. "Your warmth." Your ass aurait convenu. C’est ce qu’il dit à ses putes et ça passe toujours crème. Mais les bras d’Osmond retrouvent le corps d’Amy avec une envie différente, vulnérable. Très accaparante aussi. Il s’est souvenu qu’il était un peu triste et il ne veut pas qu’Amy s’éloigne, pas même pour remuer son petit cul ferme dans une cuisine où la poussière recouvre tout. Qu’est-ce qu’il peut détester ce loft.

Osmond picore un instant le cou et l’angle de mâchoire d’Amy, sa peau rasée de près presque aussi douce que la sienne. Puis redresse la tête où ses cheveux poivre-sel se sont collés aux tempes. Difficile de croire qu’il veut avoir encore plus chaud que ça. Pourtant… "And… your big blue eyes to look at me while I’m inside you." Il a une moue lasse et presque boudeuse. Osmond est soudain très désabusé, à la limite du belliqueux. "But only if you want it too. I don’t need a mercy fuck."
Amy Armstrong
True Blood
Amy Armstrong
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : lunatics and slaves (amy) XAI06jDW_o
Alias : hammer
Genre : cis, masculin
Age : trente-cinq ans
Dollars : 655
Zone libre :
lunatics and slaves (amy) QqYmgTIa_o

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They tell me you are evil,
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lunatics and slaves (amy) W8FXup2v_o lunatics and slaves (amy) K529KiGF_o
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and I answer; yes, I know.

Statut : redflag
Occupation : fait les pires fish and chips du tieks pour les orphans
Habitation : la plupart du temps dans le ranch de osmond
Déchirures : IRON MAN

Niveau 1 : De manière plus ou moins aléatoire au début, certaines parties de son corps peuvent se changer en acier. L’alliage est plus ou moins souple selon les endroits, mais de fait aussi moins résistant.

Niveau 2 : Après la maîtrise de la transformation des tissus extérieurs de son corps, ses organes peuvent désormais aussi se transformer en acier.

Niveau 3 : La capacité à transformer ses organes a entraîné la possibilité de consommer du métal. L’ingestion n’est absolument pas nutritive, et concrètement, ne sert à rien, si ce n’est à vous débarrasser de l’emballage aluminium de votre sandwich sans polluer.

Niveau 4 : Amy peut désormais modifier l’apparence des parties de son corps qu’il change en métal. La modification n’excède pas la quantité de matière initiale, et se limite dans un premier temps à des excroissances, comme des piques, des cornes etc. C’est une version améliorée et plus maîtrisée de ce qu’il subissait quand il était petit, au début de l’apparition de sa mutation, lorsqu’il générait du métal à partir de lui-même dans une forme brute qui le faisait ressembler à rien.
Il peut par exemple puiser dans l’épaisseur de ses os pour former des piques de métal, ou tirer sur son sang pour faire apparaître des griffes au bout de ses poings. A l’avenir, il tentera même de pomper dans sa masse musculaire pour générer un genre de lame qui pourrait être l’extension de son bras.

ARMSTRONG

Niveau 1: l’endurance et la force physique d’Amy augmentent, quand il se change partiellement en acier (il faut qu’il ait transformé une partie conséquente de son corps, comme ses bras ou ses jambes, ou encore même ses tissus musculaires). Il acquiert donc une force surhumaine.

Limites : IRON MAN:
si Amy garde sa forme métallique trop longtemps, les parties de son corps transformées perdent peu à peu de leur vitalité, et peut le rend incapable de bouger (une jambe en acier, ça pèse son poids, et je vous laisse deviner ce qu’il risque d’arriver si on parle de son poitrail). L’altération des tissus extérieurs est très douloureuse, et la sensation s’apparente à un genre de dépeçage. En ce qui concerne les tissus intérieurs, ça ressemble plus à une mauvaise digestion (un peu ironique, quand on sait que ça l’aide à digérer le métal, anyway).
En termes d’effets secondaires plus bénins, sa peau a tendance à rester de temps en temps un peu aimantée, même une fois revenue à la normale. Pour la petite anecdote, il a d’ailleurs remarqué que de plus en plus d’Orphans s’amusaient à lui aimanter des magnets fantaisie n’importe sur lui (iels essayent même parfois de les faire concorder à certains de ses tatouages, à la docteur maboule).

A propos de son niveau 4, il ne peut pas générer d’excroissances métalliques supérieures à la masse organique dont il se sert (par exemple, s’il prolonge son bras d’une lame d’acier, il perdra en muscle le temps de la transformation) (triste, je sais), ou si jamais il utilise son sang, il court le risque de faire un malaise etc. De plus, à chaque fois qu’il veut générer quelque chose qui n’est pas issu de tissus extérieurs, l’excroissance lui traverse la peau, au même titre que s’il se faisait poignarder, mais genre, de l’intérieur (yay).

ARMSTRONG:
pour l’instant, il ne peut pas conserver cette force et cette endurance quand il n’est pas transformé en acier. De plus, cette déchirure consomme beaucoup d’énergie, et il doit manger beaucoup plus pour compenser.

Stigmates : amy est très musclé, très tatoué, il a des petites cicatrices.
Inventaire : ses cheveux, son joggos, son marcel blanc et il sent toujours un peu la friture.
Mémo RP : osmond, les orphans
Pseudo : castace
Genre IRL : féminin, elle
Messages : 190
Date d'inscription : 21/02/2023
FC : jeremy allen white
Crédits : .exe (av), des (gif)
Thèmes abordés : violence, gang life, red flag-ism
Thèmes refusés : ràs
Infos RP : dial en fr ou en anglais comme vous préférez!
couleur de dial: darkgoldenrod

tw: langage et contenu explicites

La main d’Osmond quitte une courbe pour une autre, lui agrippant la mâchoire, dessinant une comparaison somme toute facile d’une Genèse inversée, où cette fois-ci, c’était le serpent qui lorgnait sur la pomme dite d’Adam (what a stretch).
"I hate your kindness so much… Amy n’aurait jamais pensé qu’être gentil aurait pu tant valoir le coup; il aurait peut-être dû écouter davantage ses professeur.e.s à l’école. - I’m not ki— - It daunts me. I don't know how to handle it… - I uh— Quand Osmond décolle sa main de son visage, Amy a ce mouvement du menton comme si sa moiteur l’emportait dans son mouvement. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque la main d’Osmond vient se coller autrement plus bas sur lui. Son énième fuck boss! (à croire que s’il le répète suffisamment de fois, ça finira par arriver, Candyman style) est recouvert par le: "And Lord knows I can handle a lot of things…" C’est bien la première fois qu’on le qualifie de a lot of things (quand les filles étaient énervées contre lui, elles avaient plutôt tendance à comparer la petitesse de ce qui lui servait de deuxième cerveau.
Le mouvement d’Oz qui enfonce sa main dans son jogging manque de lui faire perdre l’équilibre vers l’arrière. Il va pour se rattraper au lavabo mais ses paumes moites glissent. Si l’une reste malgré tout agrippée au lavabo, l’autre s’accroche à l’épaule d’Oz, désormais ballottée d’un genre de mouvement de balancier. "We'll eat later, yes?" Si sa réponse est inintelligible, c’est qu’elle est bafouillée contre la langue d’Osmond, dont ce premier baiser lui fait voir flou derrière ses paupières mi-closes, dont les épais cils brossent le haut de ses joues brûlantes.

La main d’Amy sur son épaule rampe plus bas dans son dos et froisse la chemise de plis humides. Il ne savait pas qu’un jour, Osmond Rose l’embrasserait. Etrangement, quand il fantasmait sur quelque steamy outcome que ce soit, il n’avait jamais imaginé qu’ils puissent s’embrasser. Beaucoup de ses petites amies avaient mis du temps avant d’accepter de l’embrasser, parce qu’à leurs yeux, il s’agissait d’un move plus romantique, plus concret même que lorsqu’elles bougeaient ses affaires chez lui (ou plus souvent qu’il bougeait ses affaires chez elles, après avoir assidûment oublier brosse à dent et marcels derrière lui). Cela fait maintenant des années qu’Amy a sa (ses) brosse à dents dans chacune des salles de bain (j’fais genre j’insiste mais let’s be honest, il n’est pas le plus prompt à se brosser régulièrement les dents, comme peut en témoigner la description de son haleine qu’en fait Osmond); peut-être qu’il s’agissait donc là de la suite logique.
Fort heureusement, le fil de cette pensée est coupé plutôt salement par la langue d’Osmond roulant contre la sienne, comme une compresse imbibée d’alcool, une dragée molle, laissée trop longtemps sur la plage avant d’une voiture garée au soleil (oddly specific, mais comme Amy dit tout le temps, faut pas gâcher) qu’il suce et écrase contre son palais avec gourmandise.
Osmond a le goût d’un whisky cher, sur fond de bain de bouche exorbitant, sur son lit de tabac ou autre senteur musqué, comme s’il léchait les boiseries vernies de ses bureaux. Amy en profite pour s’imaginer en train de le baiser sur ledit bureau, à voir comme il ahane, donnant de désordonnés coups de bassin, peinant à adopter le même rythme de sa paume autour de lui qui glisse après qu’il lui ait déjà à moitié joui dans la main.

"You know what I want?" Amy n’est pas certain qu’il accepterait une réponse différente que quelque chose comme you, ou genre your ass, ou même to give you countless money and bjs (still not a whore). "Your warmth." Si Osmond trouve Amy beau, c’est qu’il n’est jamais plus lui-même que lorsqu’il est dans l’incompréhension, sonné et suant, son regard confus suivant avec déception la main s’extirpant de l’élastique de son jogging. "O-ok?" Il a rouvert les yeux, qu’il avait fermés si fort que des taches de couleurs pulsent par-dessus le visage d’Osmond. Amy ne sait pas trop comment il est censé lui donner ça, his warmth, autrement qu’en lui frottant ses aisselles et son cul brûlants dans la figure (how romantic).
"And S’il n’avait pas les ongles enterrés dans la chair de son dos, Amy aurait sorti un carnet pour prendre des notes. Your big blue eyes to look at me while I’m inside you. But only if you want it too. I don’t need a mercy fuck. Il range son crayon mental, de toute façon, à ce stade, il ne sait pas écrire. "Ah, yeah, that I can d— wait what?" Ses boucles remuent, Amy le prend maintenant en tenailles par les épaules pour le regarder dans les yeux. Il est tout rouge. "What did you just— no that’s not how I—" La confusion le dévore comme la bouche d’Osmond quelques secondes auparavant, mais en moins agréable, en moins chaud, plus comme une douche tiède prise toute habillée, lorsque le marcel blanc trempée devient presque invisible, transparent et collé sur son dos (again, oddly specific). Il retire ses mains qui viennent s’essuyer dans sa nuque.
Il n’a pas la moindre idée de comment il allait expliquer son embarras, autrement que de la manière la plus lourdingue possible, frappé qu’il était, au fond, dans sa fierté de mâle alpha slash viril (lol).

"I didn’t think it would go— that way… Son pouce gluant se décolle de la peau de sa nuque, pour désigner son arrière-train comprimé contre le lavabo. I uh— I ain’t gonna be the one who’s gonna— who’s gonna taking it up the ass, boss… Un rire gêné, grinçant dans le fond de son épaisse gorge. That’s more like… your thing, right? Il est certain qu’il ne va pas s’en sortir et que, désormais, Osmond lui réserve un sort autrement moins enviable que simplement lui stick it up the ass. Mais il est comme ça, Amy, not like the other girls… ou plus exactement, not like the other whores (bon ok, j’arrête). I mean, you’re— I’m not— GAY LOL (j’ai laissé tel quel dans le brouillon). I’m more like bigger— like more manly than you, so— I should be the one… fucking you." Son rire jaune semble lui faire bomber le torse et gonfler ses muscles, pour en imposer davantage, tandis qu’il a lâché les épaules d’Osmond pour essayer de croiser les bras, comme si ce geste barrière pouvait lui sauver le cul, persuadé qu’il était que c’était ce qu’il méritait (que son cul soit sauvé, bien à l’abri dans son jogging collant et taché, et pas dégusté en tarte ou en compote, comme une pomme du jardin d’Eden) (et bim, la boucle est bouclée).
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