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Counting Stars

Carter Bowers
Blue Blood
Carter Bowers
CORPS
ESPRIT
ÂME
Alias : — 24K, GOLDENBOY; Alias donné par Icarus Inc. afin de polir son image de marque. Peu de gens le surnomme encore par son prénom dans l'industrie.
Genre : — HOMME CISGENRE, Naviguant dans la fluidité, il répond aux pronoms masculins.
Age : — 27 ANS, né en 1998.
Dollars : 252
Zone libre :
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Statut : — CÉLIBATAIRE, Il est difficile d'avoir de véritables relations sous les yeux des caméras, il se considère comme bisexuel, mais il est toujours dans le placard aux yeux du public.
Occupation : — IDOLE D'ICARUS, Il évolue dans plusieurs sphères, son visage fait vendre donc il est placé ici et là. Aujourd'hui une pub et demain un tapis rouge. Bien qu'il soit principalement mannequin, il fait régulièrement des rôles de second plan au cinéma.
Habitation :
Déchirures :
ALCHIMIE AURIFIQUE
Métal précieux et noble, recherché depuis des millénaires pour sa rareté. Traversant les océans à bord de majestueux galions. La possibilité d’avoir une source d’or à proximité garantit la puissance et la richesse de celui qui la possède.

— Touché de Midas; Capacité à transformer en or les objets inertes ainsi que les objets vivants de petites tailles.

— Mimétisme aurifique; Il peut recouvrir son corps ou transforme ses organes en or, améliorant sa force de frappe et sa résistance.

— Pureté; Modifie l'alliage de ses transformations, pouvant ainsi rendre ses objets plus ou moins précieux ou résistant, selon ses besoins.

Mémo RP :
— Sloane
— Samantha
— Malenia

Pseudo : — WOODEN SPOON, jii
Genre IRL : — MASCULIN, il.
Messages : 98
Date d'inscription : 17/03/2024
FC : — ELORDI, jacob.
Crédits : ava;draiochta
Thèmes refusés :
Counting stars
I couldn't lie

La vie de paillette, éphémère idylle qui reposait sur une image parfaitement construite que Carter devait entretenir au prix d’une vie privée carrément inexistante. Besoin inestimable pour cet enfant autrefois timide qui avait au fil des entrevues, appris à sortir de sa coquille. Ce manque d’assurance inscrit dans ses gènes faisait en sorte qu’il préférait rester dans l’ombre, se complaignant des silences. Lorsque les caméras étaient tournées vers les autres, ça lui permettait de souffler un peu. Aujourd’hui, il devait assister à une conférence de presse suivit d’un cocktail où les Sept seraient à l’honneur. Fidèle à leurs habitudes, les apprentis devaient quant à eux, faire acte de présence afin de démontrer leur soutien et de faire le beau devant les caméras. Chaque geste, chaque couverture médiatique et chaque apparition étaient habilement orchestrés afin de créer une narrative aux yeux du public. Carter n’y avait donc pas échappé. Habillé de son plus bel habit, il parcourait la salle décorée avec excès. Les gerbes de fleurs blanches et les draperies enrobaient la pièce et créaient une atmosphère d’opulences bien typique d’Icarus. Il se mêlait à la foule, attrapant au passage un verre de bulles sur le plateau d’un serveur qui passait par-là. Loin d’être le parfait orateur, il avait reçu plusieurs cours afin d’améliorer ses discours et ainsi de réussir à contrôler son audience comme il le souhaitait. C’était un amalgame de techniques qu’il contrôlait maintenant avec une aisance déconcertante et qu’il appliquait à toutes les conversations qu’il avait eues jusqu’à maintenant. Ça faisait plusieurs minutes qu’il valsait de droite à gauche, se faisant approcher par différentes têtes d’Omnivox Media, prenant de ses nouvelles ou simplement pour discuter de banalité de la vie quotidienne. Les mains encombrées d’une flûte à champagne maintenant vide, il s’approcha du bar afin de commander quelque chose de plus consistant. En déposant le verre sur le comptoir, le barman s’approcha de lui en tendant l’oreille afin de se concentrer sur ce que Carter allait commander « Le Talisker 30 ans, sur glace. » Masquer le goût d’un nectar aussi précieux avec une glace était peut-être complètement ignorant pour certains, mais Carter n’avait jamais été fan de liqueur brune. Il s’agissait seulement d’une tactique afin de ne pas boire d’une traite le verre qu’on lui servait. L’ivresse était littéralement sa pire ennemie dans ce genre de situation et bien qu’il eût besoin d’une dose pour se lâcher un peu, il devait habilement doser afin de ne pas perdre la carte. Occupé à scruter les invités, il s’amusait à s’imaginer quitter la salle en douce. Il avait déjà conversé avec une bonne majorité des gens ici, s’assurant ainsi d’avoir augmenté son capital médiatique pour la soirée. Il s’imaginait s’éclipser pour retrouver ses quartiers, s’étendre devant un bon film complètement nu sur son sofa, peut-être qu’il pourrait se commander le room service, avant de s’être complètement déshabillé (bien évidemment), pour profiter d’un petit encas de fin de soirée. L’idée commençait à être alléchante. Puis, le barman lui tendit son verre. Bien entendu, ses consommations étaient couvertes par le géant des médias qui s’assuraient que ses employés ne manquent jamais de rien. Il remercia l’homme derrière le bar avec un hochement de tête apathique et approcha le verre de ses lèvres. De l’autre côté du bar, son regard plongea dans celui d’une femme qui ne lui était pas inconnue. Leur regard était soutenu, quelques secondes le temps que la première rasade d’alcool se glisse dans sa trachée. Il interpréta ce regard comme une invitation à la discussion. Une main dans les poches, il se frayant tranquillement un chemin dans la foule pour venir la rejoindre.

Mme. Sloane Hatcher. Il la connaissait de nom sans jamais avoir eu la chance d’avoir une conversation avec elle. Jolie femme avec un caractère bien trempé donc les apparitions à la télévision avaient toujours comme couverture les frasques des Sept. Il savait que leur rencontre n’était qu’une question de temps, qu’il s’agissait de l’une des têtes à charmer afin d’obtenir un rôle dans l’équipe. Elle n’avait peut-être pas de véritable rôle décisionnel, mais d’avoir l’attaché de presse dans sa poche n’était pas une mauvaise chose. Lorsqu’il arriva près d’elle, il se présenta. « Mme. Hatcher c’est bien ça ? Je crois que des présentations sont d’usages » il habillât sa dernière phrase d’un grand sourire amical. « Je m’appelle Carter, enchanté de pouvoir faire votre connaissance. » Ne voyant personne autour d’elle, il proposa d’ouvrir la conversation comme on lui avait savamment enseigné. « Vous avez quelques minutes ? » Lui demanda-t-il sans vouloir la déranger ?


@Sloane Hatcher
Sloane Hatcher
Blue Blood
Sloane Hatcher
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Counting Stars Ih3dn9R
Alias : Une source proche des Sept, Hatcher, l'entourage des Sept... ┄ les noms sont nombreux pour la désigner.
Genre : Elle.
Age : Quarante-quatre ans ┄ il semblerait. C'est ce qu'on semble lui rappeler régulièrement.
Dollars : 1941
Zone libre :
01.
YOU ARE DOING
A BEAUTIFUL JOB
OF FIGURING OUT
SOME DEEP SHIT

Counting Stars 43f76dbd1a5fd6be5ed7019fcd56e1de29a47cba

02.
ANYTHING IS POSSIBLE
WHEN YOU HAVE THE
RIGHT PEOPLE THERE
TO SUPPORT YOU

Counting Stars Kbic

03.
WHAT IS COMING
IS BETTER
THAN WHAT
HAS GONE

Counting Stars 7706afa34d758ebfdb4cf6cea1edd4c609e11e6e Counting Stars 0b60a6d31f3a0257a716c7fdcbdf8f561867032f

Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
V É R I D I Q U E
Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
C Y B E R D O G
Hector. Le cyberdog le plus détesté. Aux allures de beagle. Capable de parler, de répondre, de déballer la météo et de vous donner des conseils sur votre bien-être.

Pseudo : Sunny Sand
Comptes : Dani Duarte
Genre IRL : Elle.
Messages : 556
Date d'inscription : 06/02/2023
FC : Sienna Miller
Crédits : av. self ; cs. Phyla
Thèmes abordés : Surmenage professionnel, insomnie, addiction
Infos RP : Dialogue - #596643
Disponible - oui
Rythme - réponse toutes les semaines
Longueur - variable (mais souvent long)



COUNTING
STARS
/
There's a lot i see that i don't believe. There's so much that i think is true.
(The Whigs) (icons. inkmarrows)


Valse des mains qui s’élèvent dans les airs. Tentent d’attirer l’attention. Portées par l’espoir de poser une question. Celle qui fera frémir, qui saura piquer, qui créera l’émoi. Tous ne sont pas là en toute amitié, en toute bienveillance. Certains cherchent l’erreur, tendent des pièges. Là est toute la difficulté de l’exercice. Conférence de presse vécue comme un marathon. À chaque mile parcouru, une nouvelle douleur, une nouvelle inquiétude. À chaque question prononcée, le souffle coupé, la respiration suspendue. Dans l’attente. Sloane est présente. Bras croisés, le regard scrutant. Debout dans un coin. Dans le champ de vision des Sept. Prête à leur faire un signe. Prête à intervenir. Concentrée sur ce qui est dit, par qui. Mémorisant les abus de langage à améliorer, les zones d’ombres à travailler, les journalistes à amadouer. Bientôt, la fin de la conférence arrive. Il y aurait tellement d’autres interrogations. Si bien qu’ils repartent avec un peu de frustration. Moment choisi par Sloane pour lâcher sa posture, offrir un sourire aux journalistes qui la saluent. La sérénité peut revenir. Temporairement. Reste encore le cocktail donné après. Journalistes conviés pour partager un moment moins officiel. Mais le risque persiste. Un dérapage possible, occasionné par un mot de trop, un geste de travers.

Pour éviter les catastrophes, chaque Sept est affublé d’un assistant ou d’un chargé des relations presses. Toujours dans l’ombre. À observer que le Sept aille bien. À écouter en silence. Sans jamais broncher. Jusqu’au moment où la conversation devient périlleuse. Là, ils ont pour consigne d’intervenir, faire diversion. Sloane se mêle à cette chorégraphie, rejoint ses collaborateurs, s’assure que tout va bien. Jusqu’à ce que Vince lui sourit et lui dise de faire une pause. Tout va bien. C’est ce que son assurance semble dire. Il n’a pas tort. Tout va bien. Alors seulement, Sloane s’octroie un moment de répit. Direction le bar. Barman déjà occupé à préparer un autre verre. Elle y prête peu attention, laisse son regard voguer sur l’assemblée, un instant, avant de revenir sur le bar, le barman et son client du moment. Le visage de ce dernier ne lui est pas inconnu. Bien au contraire. Carter Bowers. La relève des Sept, à en croire les médias. Tous les apprentis super-héros sont susceptibles de l’être, mais lui plus particulièrement. Apprécié, adulé. La presse en a déjà fait son chouchou. Pas étonnant. Il a tout du gendre idéal. Le sourire. Le charisme. Les manières. Derrière ce beau portrait, il y a toujours une part moins glorieuse qui se cache. L’expérience et les rencontres ne cessent de le lui rappeler.

Elle note la nonchalance de sa démarche quand il approche. Main dans les poches. Verre dans l’autre main. Regard avenant. Nonchalance feinte, jouée ou naturelle ? Sloane ne saurait dire. Son attention est de toute façon sollicitée par le barman. “Qu’est-ce que je vous sers ?” “De l’eau plate, s’il vous plaît.” Pas là pour boire, Sloane. Contrainte à une sobriété professionnelle afin de pouvoir prendre les meilleures décisions, si catastrophe devenait survenir. Commande passée, c’est Carter qui se retrouve à ses côtés et l’interpelle de son ton courtois. Elle lui rend son sourire avec la nette impression qu’il attend quelque chose d’elle. “Je sais qui vous êtes.” C’est dit avec un sourire dans la voix. Oh que oui, elle sait qui il est. Son nom. Son alias. Ses rares frasques. Ses capacités mutantes. Sa popularité. Les rumeurs autour de lui. Elle sait. Elle ferait très mal son travail si elle ignorait tout de lui. Lui aussi sait. L’a déjà nommée. Alors, elle ne prend pas la peine de se présenter à son tour. “Enchantée, Carter.” Le verre d’eau est déposé sur le bar. Un remerciement est articulé en direction du barman.

Quelques minutes sont demandées. Une moue se glisse sur ses traits. “J’imagine que oui ?” Après tout, son assistant l’a bien renvoyée, en exigeant d’elle qu’elle prenne une pause. C’est qu’elle a ce temps à consacrer à Carter. “On saura me trouver si on a besoin de moi.” Ça commencera par un bruissement. Semblable à celui du vent dans les arbres. Ça continuera en un brouhaha. Pareil à celui d’une salle de classe. Ça se terminera par l’arrivée d’un visage affolé. Annonciateur de la fin de la pause. Toujours le même enchaînement. Ça en serait presque comique. “Si on doit avoir une conversation, appelez-moi Sloane. Pas besoin de Madame Hatcher.” Elle pourrait tout aussi bien demander l’usage du tutoiement. Beaucoup moins formel. Pas maintenant. Pas tout de suite. Le verre est récupéré, pendant que l’autre bras se croise. Quelques pas pour se distancier du bar, ne pas être dans le passage des invités qui pourraient vouloir y accéder. En public, Sloane a appris à être discrète, à ne jamais gêner. Sauf exceptions. Et elle continue à s’y employer. Toute lumière doit être dirigée vers les Sept. Jamais sur elle. Attachée de presse n’est pas un métier d’égo. Il ne le sera jamais. “Alors, la soirée est à votre goût ?” Elle l’a vu comme tous les autres se prêter au jeu de l’événement. Pourtant, il est celui qui finit avec un verre de whisky entre les mains et qui décide de discuter avec elle. “Vous êtes censé serrer des mains, faire la conversation et vous montrer agréable avec tous les convives.” Si elle n’avait pas un sourire aux lèvres, cela pourrait sonner comme un reproche. Au lieu de cela, Sloane compatit. Bien trop admirative de la patience et de la politesse dont il faut rivaliser pour tenir toute une soirée.

@Carter Bowers  

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kinda horrors in my deepest nightmares /
Running. I keep on running. But I don't know if I can make it to the morning.