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Won't wave my white flag (Wyatt)

Sloane Hatcher
Blue Blood
Sloane Hatcher
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Won't wave my white flag (Wyatt) Ih3dn9R
Alias : Une source proche des Sept, Hatcher, l'entourage des Sept... ┄ les noms sont nombreux pour la désigner.
Genre : Elle.
Age : Quarante-quatre ans ┄ il semblerait. C'est ce qu'on semble lui rappeler régulièrement.
Dollars : 1916
Zone libre :
01.
YOU ARE DOING
A BEAUTIFUL JOB
OF FIGURING OUT
SOME DEEP SHIT

Won't wave my white flag (Wyatt) 43f76dbd1a5fd6be5ed7019fcd56e1de29a47cba

02.
ANYTHING IS POSSIBLE
WHEN YOU HAVE THE
RIGHT PEOPLE THERE
TO SUPPORT YOU

Won't wave my white flag (Wyatt) Kbic

03.
WHAT IS COMING
IS BETTER
THAN WHAT
HAS GONE

Won't wave my white flag (Wyatt) 7706afa34d758ebfdb4cf6cea1edd4c609e11e6e Won't wave my white flag (Wyatt) 0b60a6d31f3a0257a716c7fdcbdf8f561867032f

Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
V É R I D I Q U E
Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
C Y B E R D O G
Hector. Le cyberdog le plus détesté. Aux allures de beagle. Capable de parler, de répondre, de déballer la météo et de vous donner des conseils sur votre bien-être.

Pseudo : Sunny Sand
Comptes : Dani Duarte
Genre IRL : Elle.
Messages : 554
Date d'inscription : 06/02/2023
FC : Sienna Miller
Crédits : av. self ; cs. Phyla
Thèmes abordés : Surmenage professionnel, insomnie, addiction
Infos RP : Dialogue - #596643
Disponible - oui
Rythme - réponse toutes les semaines
Longueur - variable (mais souvent long)



WON'T WAVE MY WHITE FLAG /
I'm sick of all your bullshit
Sick I never fit in Every time you talk you make me wanna quit
(Halflives) (icons. inkmarrows)


Vous avez 1 nouveau message de Gabe :
Rendez-vous Chez Luke à 20h. Mets-toi sur ton 31 !

Elle a un sourire. Ben voyons. Elle ne compte pas lui faire l’honneur de rentrer chez elle pour se changer. Déjà assez bien habillée dans son tailleur. On n’obtiendra pas davantage d’elle aujourd’hui. Le téléphone est reposé au moment où son assistant passe la tête dans son bureau. “J’y vais, Sloane. Vous n’oubliez pas de regarder mon e-mail pour le Washington Post ? On doit absolument réserver le restaurant.” L’e-mail pour le Washington Post, bien sûr. Sur sa todo list depuis plusieurs jours. Le journal envoie une délégation dans quelques jours et il est préférable de bien les recevoir, au risque d’avoir des articles négatifs. “Je le ferai, merci Vince. Et bonne soirée !” Elle le rajoute dans ses priorités de cette fin de journée. Liste encore trop longue pour être raisonnable. Elle sent déjà que la nuit lui échappe et ne sera pas tout de suite pour elle. “Bonne soirée !” Vince disparaît de l’encadrement de la porte et la laisse seule dans les bureaux du service presse d’Omnivox. Elle adore ces moments de calme. La sensation que le monde lui appartient et qu’elle serait capable d’abattre le travail de dix personnes tant rien n’est là pour la déconcentrer. Cependant, c'est à son tour d'abandonner les lieux. Sloane rassemble ses affaires et grimpe dans un taxi volant. La tête encore prise par les affaires en cours.

C’est quand la dernière fois qu’elle est sortie un soir dans un restaurant ? Depuis… depuis Rhys. Oui. Mais ce repas-là est différent. Pas question de séduction. Pas du temps de qualité passé avec un petit-ami. Cette fois est différente. Une amitié à entretenir et une soirée à rattraper les dernières semaines. Il lui faut du courage pour ne pas annuler. Elle est fatiguée, a encore une tonne de travail à achever (promis, Vince, elle regardera l’e-mail avant que tu ne reviennes au travail demain) et veut juste troquer ses vêtements pour une tenue plus confortable. Mais non. Il faudra attendre encore un peu, au nom de l’amitié. Alors, elle se prépare dans le taxi. Tente d’effacer le réveil trop tôt, les heures à courir, le stress de la journée. Les cheveux sont relâchés, les traits se détendent. Faire illusion pour ne pas perdre de temps à rassurer Gabe qui s'inquiéterait. Non désireuse qu’on s’attarde sur elle, sur le cœur brisé, sur le rythme quotidien. Elle veut juste passer une soirée normale et tout oublier l’espace d’un instant. Une fois dans le restaurant, elle donne le nom de Gabe à la serveuse qui l’accueille. Elle a un joli sourire, cette serveuse. De ceux qui débordent d’énergie et de bonne humeur. Sloane le note. Elle espère secrètement que ça lui donnera de l’énergie à elle aussi. Ça commence déjà par lui renvoyer son sourire. L’employée la guide jusqu’à la table. Sa table. Déjà occupée. Par une tête qu’elle n’a pas vue depuis longtemps et qu’elle met une fraction de seconde à resituer. Quand les connexions se font, Sloane éclate de rire. Un rire jaune pour une blague de mauvais goût. Un rire bruyant pour un besoin d’extérioriser. Le cerveau déjà en train de refuser la situation. C'est épidermique.

Non, non, non et re-non.

Sloane se tourne vers la jeune femme. Bien désolée de souligner l’erreur flagrante qui est commise. “Excusez-moi, il doit y avoir une erreur. Cet homme n’est clairement pas mon ami.” Son ami est blond, a des yeux verts et est tout sauf un connard de première. “Pourtant, c’est bien votre table, madame.” Qu’est-ce qu’il se passe ? Sloane ne comprend pas, s’enlise dans la théorie de l’erreur. “Vous ne comprenez pas : ce n’est pas possible. Je ne connais pas ce monsieur.” Mensonge. Elle le connaît. Elle le connaît même assez pour savoir qu’elle n’a pas envie de passer la soirée avec et pour insister auprès de la pauvre employée. “Il n’y a pas d’erreur, je vous le garantis.” La serveuse est ferme. Plus moyen de discuter. Sloane lui fait perdre du temps en plein service. À l’attachée de presse de se résigner et d’accepter sa destinée. C’est mal la connaître. “Comment ça il n'y a pas… !” Nope. La serveuse l’abandonne lâchement, sans lui offrir davantage de temps pour râler et négocier une solution. Elle la laisse là, face à Wyatt.

Elle le dévisage. Dans les yeux, les rouages d’un calcul savant cherchant la solution à une équation insoluble. Non. Elle ne peut pas partager la même table que lui. Même avec toute la bonne volonté du monde. C’est plus fort qu’elle. Elle ne peut pas. Elle a un mouvement de tête. “Deux petites secondes.” qu’elle balance au docteur avant de lui tourner le dos et d’alpaguer de nouveau la serveuse. Toujours la même. Elle chuchote à son intention. “L’homme que vous voyez là est un connard hautain. Je ne peux pas manger avec lui. Est-ce que vous avez une autre table ?Pitié. “Je suis désolée, on est complet.” Et la serveuse de s’en aller, avec un regard contrit. Sloane se mord la lèvre, cherche le reste de contenance et de dignité qui lui restent dans une inspiration. Avant de pivoter de nouveau vers Docteur Connard. Un sourire éclatant de mille feux tant il est faux et forcé. Pas vers la table, vers la chaise libre, sur laquelle elle pose ses mains. Sa chaise. Sa table. Son restaurant. “Excusez-moi, Docteur, mais cette table est la mienne et j’attends un ami.” Autrement dit : oust l'intrus ! Qu'il se casse immédiatement et sans faire de scandale. Merci. “Je vous prierais donc de libérer ma table.” C’est poli, mais ce n’est pas une proposition ni une invitation à céder sa place. C'est un ordre. Il doit le faire, un point c’est tout. Parce que Gabe va arriver d’un moment à l’autre et il est hors de question qu’il y ait un invité surprise. Surtout pas lui. En fait, n'importe qui pourrait s'incruster, mais pas lui.

 @Wyatt Ochoa

━━━━━━━━━ ✧ ━━━━━━━━━


kinda horrors in my deepest nightmares /
Running. I keep on running. But I don't know if I can make it to the morning.
Wyatt Ochoa
Altéré·e 1-I
Wyatt Ochoa
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Won't wave my white flag (Wyatt) 977732cb8e706d03a7e0b34e021c0d751ba97be4
Alias : ●● black swan
Genre : ●● masculin, il
Age : ●● quarante et un ans
Dollars : 134
Zone libre :
Won't wave my white flag (Wyatt) RlEQf0D

Dos orugitas, desorientadas,
En dos capullos bien abrigadas
Con sueños nuevos
Ya solo falta hacer lo necesario
En el mundo que sigue cambiando
Tumbando sus paredes
Ahí viene nuestro milagro

●●

Yeah, we fly into the night and fight the break of dawn
We're sipping on our highs, tomorrow we are gone
And the feeling goes on, and on, and on
And the feeling goes.

Won't wave my white flag (Wyatt) LfVqSj4

Statut : ●● le temps lui manque pour tomber amoureux. L'envie aussi.
Occupation : ●● Protochirurgien au NAMC, médecin chercheur pour la division S+, section CP+
Habitation : ●● Neo Arcadia, un joli loft très confortable
Altérations :
grade 1 - interdit

implant oculaire - oeil droit; Permet de diagnostiquer plus rapidement les blessures. L'une de ses fonctionnalité, lui permet aussi de mieux choisir les nerfs pour l'installation des prothèses et implants.
implant cérébral - immunosuppresseurs; Délivrance automatique de ses immunosuppresseurs.
implant cérébral; Permet de rester éveillé plus longtemps.
implant cérébral; Mémoire additionnelle
implant cébéral et oculaire, oeil gauche;
Permet d'utiliser son téléphone sans le sortir de sa poche. Les messages reçus sont lus automatiquement par l'implant oculaire. L'implant lui permet aussi d'avoir un minuteur. Une fonction dictée vocale lui permet de répondre à ses messages et il dispose aussi d'une fonction silencieux disponible, pour le désactiver temporairement.

Limites : générales; céphalées fréquentes
implant cérébral - sommeil; Utilisation limitée à 28 heures à l'affilée. Si l'implant est encore en marche à la fin de ces 28 heures, plonge l'utilisateur dans un coma de quelques heures. En contrecoup, une grande fatigue prend le porteur dès l'arrêt de l'implant.
implant cébéral et oculaire, oeil gauche - téléphone; L'implant ne peut se connecter qu'à son téléphone. S'il devait se faire voler l'objet, il faudrait réinitialiser entièrement l'implant. Aucun autre téléphone ne peut y être branché. Il est possible d'hacker l'implant pour avoir accès aux données de son téléphone. Les fonctionnalités ont été limités aux messages et minuterie, pour empêcher des maux de tête. Il reçoit ses appels normalement et doit sortir l'appareil pour décrocher et communiquer (c'est pour ça qu'il vaut mieux lui envoyer des messages si c'est urgent.)

Stigmates : ●● tatouage sur l'épaule gauche, qui remonte jusque dans son cou. Cicatrices rondes sur l'épaule droite et le bras droit.
Pseudo : ●● Jellyfish
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Messages : 42
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Thèmes abordés : ●● protochirurgie, chirurgie, ptsd, armée, deuil, cauchemars...
Won’t wave my white flag
@Sloane Hatcher | mars 2026
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Vous avez 1 nouveau message de Gabe :
Rendez-vous Chez Luke à 20h. Mets-toi sur ton 31 !

Message qui ne souffre d’aucune réponse. Son ami sait se montrer tyrannique quand il s’agit de passer un peu de temps ensemble. Leurs emplois du temps rarement compatibles, il se permet souvent ces injonctions, pour qu’ils puissent simplement passer un bon moment. Sur ses lèvres flottent un sourire énigmatique alors qu’il sait déjà que la soirée sera fameuse et bien meilleure que celle qu’il avait prévu. Recherches sans fin alors qu’il croit avoir une petite percée, il pourrait passer toutes ses nuits ici dernièrement. Seulement Gabe chamboule ses plans et lui offre une pause bien méritée. Alors au lieu de rester là, derrière son bureau, il attrape sa veste et le quitte pour retourner chez lui en vitesse. Mets toi sur ton 31 qu’il a dit et puis Luke est un restaurant plutôt chic après tout. Autant ne pas faire tâche au milieu de tous ces gens de la haute, même s’il aurait préféré garder son jean et sa veste en cuir.

Quelques minutes en avance, comme à l’accoutumée, il demande sa table et s’y assied, le nez plongé sur son téléphone aussitôt. Tant qu’à attendre, autant vérifier un fait sur l’un des points travaillé aujourd’hui. Toujours à grappiller la moindre seconde de travail, comme si sa vie en dépendait. Et puis surtout pour apaiser son esprit, qui pourrait se concentrer sur ce sujet plutôt que sur la soirée à venir. D’ailleurs, deux personnes s’approchent de sa table bientôt et il vérifie une dernière phrase avant de ranger le téléphone et relever les yeux vers ceux de son ami… qui ne sont pas ceux de son ami. Ce sont plutôt ceux d’une femme. Une femme qu’il n’aurait jamais cru revoir et absolument pas dans ces circonstances. Et c’est quand elle clame l’erreur qu’il comprend… Et qu’il se met à rire à son tour. Le sien néanmoins est plus joyeux, plus amusé aussi. Tu vas m’en devoir une mon pote… Il marmonne ces quelques mots en observant la blonde batailler avec la serveuse, un sourire de plus en plus large aux lippes.

Entre ses mains, le verre d’eau qui lui a été servi à son arrivée, qu’il prétend siroter, sans perdre une miette de ce qui se déroule sous ses yeux. Deux petites secondes… Avertissement et elle s’écarte pour continuer de parlementer. Lui reste silencieux, la face espiègle et le rire au bord des lèvres. Les yeux pétillent de malice en voyant qu’elle n’a pas compris le piège dans lequel leur ami les a plongés. Même quand elle revient vers lui, visiblement très déterminée à le faire s’en aller. Même quand elle réclame sa table avec tant de véhémence. Le docteur pose enfin son verre sur la table et y pose les coudes pour l’observer un peu plus intensément… et enfin lui répondre. Votre ami va vous poser un lapin je peux vous l’assurer. Il est toujours aussi amusé par la situation. Asseyez vous Sloane. Et vous pouvez m’appeler Wyatt. Ses propos ne sont probablement encore assez précis, aussi il ajoute finalement. Gabe ne vous a encore jamais fait le coup? De vous inviter à un rendez vous sans s’y pointer et à la place, quelqu’un qui est censé vous plaire? C’est pourtant un de ses tours favoris. Et parce que la situation l’amuse, le chirurgien s’y complait parfaitement. Et puis… on ne peut pas dire qu’elle l’ait jamais laissé entièrement indifférent…
icons @ethereal

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Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
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M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
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Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
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Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
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┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
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Elle déteste.
Ce sourire amusé.
Cette nonchalance assumée.
Cette satisfaction prétentieuse.
Par-dessus tout, elle déteste ce regard.
Elle déteste encore plus ce qu’elle y voit. Un malin plaisir à l'observer se débattre pour se débarrasser de lui. Il se nourrit de son désespoir et de son agacement, plutôt que d’aider. Il pourrait se lever, insister auprès de la serveuse. Agir, en somme. Non, il préfère observer le spectacle sans même avoir payé un billet d’entrée. C’est gratuit et il apprécie le show. Tant mieux pour lui. Il y en a au moins un qui s’amuse. Mais le spectacle est terminé. Rideaux fermés sur la scène. Il est temps que la foule se disperse. Et libère sa satanée table. “Votre ami va vous poser un lapin je peux vous l’assurer.” Ah ouais ? Qu’en sait-il, hm ? C’est ce que son regard semble crier maintenant. Une mise au défi de prouver ses dires. Parce qu’il a tort. Gabe va se pointer, peut-être avec un peu de retard, peut-être avec un sourire désolé, mais il va se pointer. C’est ce qu’il fait toujours. Il n’y a pas de raison pour qu’il en soit autrement. “Asseyez vous Sloane. Et vous pouvez m’appeler Wyatt.” Il l’autorise à s'asseoir. La grosse blague. Évidemment qu’elle a le droit de s'asseoir puisque c’est sa table à elle. Évidemment qu’elle va le faire maintenant. Un regard noir, une chaise tirée, un fessier installé, les bras croisés. La voilà en face de Wyatt, à espérer encore qu’il parte. Ce qu’il ne semble pas du tout déterminé à faire. “Ce n’est pas contraire à votre serment que d’appeler une patiente par son prénom ou de passer la soirée avec ?” Elle se veut cinglante, quand elle oublie qu’il ne l’a pas soignée. Il l’a simplement supportée quand elle refusait de s’octroyer l’étiquette de patiente ou même de victime. Il a fait les frais de sa panique, de sa détermination et de sa volonté insupportable de minimiser les choses.

Ce ne sont que des futilités avec lesquelles ne pas perdre de temps. Elle reste concentrée sur ce dîner. Avec Gabe. Rendez-vous donné. Calé en avance pour s’assurer qu’il serait présent, qu’elle serait disponible. On ne se donne pas autant de mal quand c’est pour ne pas se présenter au rendez-vous. Point. “Gabe ne vous a encore jamais fait le coup? De vous inviter à un rendez vous sans s’y pointer et à la place, quelqu’un qui est censé vous plaire? C’est pourtant un de ses tours favoris.” Quel genre d’ami ferait ça ? Pas les siens. Pas son Gabe. Il n’a jamais fait cela. Jamais. Pourtant, ils se connaissent depuis assez longtemps. Faut croire qu’elle n’était pas sur sa liste des priorités, contrairement à Wyatt. Et tant mieux. Mais quelle est la probabilité qu’ils connaissent tous les deux un Gabe qui les aurait invités dans ce restaurant, le même jour, à la même heure ? Aucune. “Non, parce que, moi, je ne renvoie pas une image désespérée.” Sauf maintenant. Sauf depuis Rhys. Elle est ce qu’elle lui balance au visage : désespérée. De l’avis de Gabe, en tout cas. Sauf qu’elle ne l’est pas. N’a rien demandé. N’a rien laissé paraître. Elle s’est juste replongée dans son travail, la chose qu’elle sait le mieux faire au monde. Tout pour fuir ce qu’il se passe à l’intérieur d’elle. Il n’y a qu’une fois par semaine où elle rouvre cette porte : dans le cabinet d’Imran. Une heure par semaine, avant de refermer les secrets de son myocarde. Elle lâche un soupir, expiré du fin fond de ses poumons. “Qu’est-ce que je fais là ? C’est une perte de temps…” qu’elle murmure. Une perte de temps de discuter avec le docteur. Une perte de temps de venir jusqu’ici. Une perte de temps de rester sur place. Tout ça pour faire plaisir à Gabe. Elle lui fera payer cette idée et lui fera promettre de ne plus jamais recommencer.

Écoutez, je ne sais pas comment ça se passe les autres fois pour vous, mais je vous propose une chose : on attend cinq minutes. Pas une de plus et on en reste là. On dira à Gabe combien son idée était brillante, qu’on a passé une bonne soirée, mais malheureusement, je suis trop coincée, vous êtes trop ennuyant. Comme ça, tout le monde est content et on n’en parle plus.” L’affaire de cinq minutes avant de rentrer chez elle et de retrouver son ordinateur, son appartement, ses affaires. La soirée aura été plus courte que prévue, elle qui regrettait presque d’avoir accepté ce repas. “D’ailleurs, si vous connaissez si bien Gabe, pourquoi jouer son petit jeu malsain ? Ses plans sont manifestement foireux et s’il était Cupidon, on le saurait depuis longtemps.” Il s’en vanterait. Parce qu’il serait la raison de l’amour de plusieurs couples. Sauf que les résultats sont là : Wyatt et Sloane ne sont pas faits pour s’entendre. Mauvais match, Gabe. “Donc, faites-moi plaisir : la prochaine fois que vous le verrez, dites-lui d’arrêter.” Sloane ne se gênera pas pour le faire aussi de son côté. Parce qu’il ne peut pas s’amuser à piéger ses amis ainsi, sans même se demander s’ils sont prêts ou okay pour entamer des relations de quelque nature que ce soit. Elle ferait mieux de changer d’ami. Et de rencard pour la soirée.

 @Wyatt Ochoa

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Wyatt Ochoa
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Statut : ●● le temps lui manque pour tomber amoureux. L'envie aussi.
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Altérations :
grade 1 - interdit

implant oculaire - oeil droit; Permet de diagnostiquer plus rapidement les blessures. L'une de ses fonctionnalité, lui permet aussi de mieux choisir les nerfs pour l'installation des prothèses et implants.
implant cérébral - immunosuppresseurs; Délivrance automatique de ses immunosuppresseurs.
implant cérébral; Permet de rester éveillé plus longtemps.
implant cérébral; Mémoire additionnelle
implant cébéral et oculaire, oeil gauche;
Permet d'utiliser son téléphone sans le sortir de sa poche. Les messages reçus sont lus automatiquement par l'implant oculaire. L'implant lui permet aussi d'avoir un minuteur. Une fonction dictée vocale lui permet de répondre à ses messages et il dispose aussi d'une fonction silencieux disponible, pour le désactiver temporairement.

Limites : générales; céphalées fréquentes
implant cérébral - sommeil; Utilisation limitée à 28 heures à l'affilée. Si l'implant est encore en marche à la fin de ces 28 heures, plonge l'utilisateur dans un coma de quelques heures. En contrecoup, une grande fatigue prend le porteur dès l'arrêt de l'implant.
implant cébéral et oculaire, oeil gauche - téléphone; L'implant ne peut se connecter qu'à son téléphone. S'il devait se faire voler l'objet, il faudrait réinitialiser entièrement l'implant. Aucun autre téléphone ne peut y être branché. Il est possible d'hacker l'implant pour avoir accès aux données de son téléphone. Les fonctionnalités ont été limités aux messages et minuterie, pour empêcher des maux de tête. Il reçoit ses appels normalement et doit sortir l'appareil pour décrocher et communiquer (c'est pour ça qu'il vaut mieux lui envoyer des messages si c'est urgent.)

Stigmates : ●● tatouage sur l'épaule gauche, qui remonte jusque dans son cou. Cicatrices rondes sur l'épaule droite et le bras droit.
Pseudo : ●● Jellyfish
Comptes : ●● archer & teddy & aurora & cory
Genre IRL : ●● féminin, elle
Messages : 42
Date d'inscription : 31/01/2024
FC : ●● peter gadiot
Crédits : ●● cheekeyfire (av), mars (icon), sunnysand & lyne (cs)
Thèmes abordés : ●● protochirurgie, chirurgie, ptsd, armée, deuil, cauchemars...
Won’t wave my white flag
@Sloane Hatcher | mars 2026
TW :

Capitulation éphémère de l'attachée de presse quand elle décide enfin de s'assoir face à lui. Les lippes toujours écartées de ce sourire amusé dont il ne se départ pas pour l'instant. Il s'amuse bien trop pour se laisser miner par la situation ou pire encore, par les plaintes incessantes de son rencart. C'est ce que c'est devenu, quand Gabe les a invité tous les deux, en même temps, sans daigner se pointer. Le docteur en est certain, il ne viendra plus maintenant. Cupidon des temps modernes, qui s'évertue à vouloir mettre ses amis en couple. Même lorsqu'ils n'ont rien demandé. Même lorsque ça ne les intéresse pas. Wyatt joue le jeu à chaque fois, pour faire plaisir à son ami, pour passer un bon moment au passage. C'est exactement ce qu'il compte faire ce soir, même si sa compagne est Sloane, qui semble bien décidée à ne pas tomber dans le piège grossier tendu par Gabe. Même si vous aviez été ma patiente quand vous étiez à l’hôpital... Vous n'y êtes plus. Je peux donc faire ce que je veux, sans violer le moindre serment. La politesse en fond de gorge, ce qui ne lui ressemble pas beaucoup. Les mots grossièrement balancés semblent s'être enjolivés... simplement pour faire bonne impression. Simplement pour ne pas la faire s'enfuir encore plus vite.

Attaque qui fuse et il éclate de rire en réponse. Peut être est-ce l'image qu'il renvoie effectivement. Désespéré... ou désespérant au choix des perceptions. Wyatt s'amuse de conquêtes qui veulent les mêmes choses que lui, à savoir rien d'autres que de bons moments. Gabe absolument romantique et ancré dans une relation longue durée depuis toujours, ne s'imagine pas qu'on puisse vouloir autre chose. Main sur le coeur, comme si elle avait atteint un point sensible, il feint s'offusquer mais ses yeux ne mentent pas, le pétillement qui y reste prouve à quel point il s'amuse de ses propos, comme de la situation. Tous les célibataires du monde sont désespérés aux yeux de Gabe. Certitude ancrée au creux du cœur du chirurgien qui s'efforce de l'apaiser, comme s'il voulait inconsciemment qu'elle passe une bonne soirée. Comment ça je suis ennuyant? Et sa fierté cette fois est un peu touchée, mais pas assez pour ternir le sourire permanent qu'il arbore. Ecoutez, je vous propose autre chose. On regarde la carte, on commande quelque chose à manger, à boire et on discute... Pas besoin de prétendre qu'on est en rendez vous si vous voulez. On reste jusqu'au dessert et si vous me trouvez toujours... ennuyant, alors on arrête là et on dira à Gabe qu'il s'est encore trompé sur moi. Du bout d'un doigt, il tapote doucement la table, geste nerveux discret qu'il ne peut s'empêcher, peu envieux à l'idée de se retrouver manger seul.

Et puis la question fuse et il abandonne enfin son sourire. Les raisons peuvent être nombreuses, mais l'ancien soldat ne peut s'empêcher de croire que Wyatt est différent aux yeux de Gabe. Qu'il essaye aussi fort pour qu'il ne reste pas seul dans ses nuits tourmentées. Il ne connaît pas tout, il ne sait pas ce qu'il se dissimule au creux du cœur de son ami, mais il sait que les conflits qu'il a vécu l'ont changé, qu'il peine à dormir. Et si Gabe n'a jamais dit tout ça à son ami, celui ci est persuadé que c'est pour ça qu'il insiste aussi fort. Seulement ça, il ne l'avouera pas. Pas à elle quand ça finira comme les autres. Soit un bon repas en douce compagnie, soit une bonne nuit en perspective... mais rien de plus. Hm... C'est une bonne question ça... Probablement parce que je l'aime assez pour le laisser essayer. Il n'est peut être pas Cupidon, mais il en est quand même très proche. Plusieurs de ses amis sont désormais ensemble alors pourquoi ne pas le croire? L'homme se redresse pour  s'enfoncer de nouveau dans sa chaise, l'invitant du regard à se détendre... ou à partir. Ceci dit je ne lui mentirais pas. Si ce repas est un fiasco, il le saura. Et enfin son sourire revient. Plus doux, moins moqueur... plus séducteur aussi...
icons @ethereal
Sloane Hatcher
Blue Blood
Sloane Hatcher
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Won't wave my white flag (Wyatt) Ih3dn9R
Alias : Une source proche des Sept, Hatcher, l'entourage des Sept... ┄ les noms sont nombreux pour la désigner.
Genre : Elle.
Age : Quarante-quatre ans ┄ il semblerait. C'est ce qu'on semble lui rappeler régulièrement.
Dollars : 1916
Zone libre :
01.
YOU ARE DOING
A BEAUTIFUL JOB
OF FIGURING OUT
SOME DEEP SHIT

Won't wave my white flag (Wyatt) 43f76dbd1a5fd6be5ed7019fcd56e1de29a47cba

02.
ANYTHING IS POSSIBLE
WHEN YOU HAVE THE
RIGHT PEOPLE THERE
TO SUPPORT YOU

Won't wave my white flag (Wyatt) Kbic

03.
WHAT IS COMING
IS BETTER
THAN WHAT
HAS GONE

Won't wave my white flag (Wyatt) 7706afa34d758ebfdb4cf6cea1edd4c609e11e6e Won't wave my white flag (Wyatt) 0b60a6d31f3a0257a716c7fdcbdf8f561867032f

Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
V É R I D I Q U E
Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
C Y B E R D O G
Hector. Le cyberdog le plus détesté. Aux allures de beagle. Capable de parler, de répondre, de déballer la météo et de vous donner des conseils sur votre bien-être.

Pseudo : Sunny Sand
Comptes : Dani Duarte
Genre IRL : Elle.
Messages : 554
Date d'inscription : 06/02/2023
FC : Sienna Miller
Crédits : av. self ; cs. Phyla
Thèmes abordés : Surmenage professionnel, insomnie, addiction
Infos RP : Dialogue - #596643
Disponible - oui
Rythme - réponse toutes les semaines
Longueur - variable (mais souvent long)



WON'T WAVE MY WHITE FLAG /
I'm sick of all your bullshit
Sick I never fit in Every time you talk you make me wanna quit
(Halflives) (icons. inkmarrows)


Plan en déroute. Rencontre imprévue. Pas même espérée. Le Docteur Ochoa avait disparu de sa mémoire aussi vite qu’il était apparu, bien plus vite qu’il n’était sorti de sa chambre d’hôpital, d’ailleurs. Mais le voilà, là. Dans sa chemise blanche. Avec son air satisfait, amusé. Oh ça, il s’amuse. Sloane le voit. Don pour l’agacer et consumer toute sa patience. Elle ne bouge pas. Lui non plus. La discussion devient une guerre d’égo. Elle ne quittera pas cette table. Il devra donc, lui, s’en aller. Les arguments sont servis et sont aussitôt repoussés. Les arguments étaient faibles, à commencer par la relation patiente/médecin. Le sont encore plus quand il s’agit du désespoir des célibataires. Wyatt a une réponse à tout. Bien évidemment. Il a la répartie qui va bien avec son tempérament détestable. Il serait bien moins intéressant sans cela. Sloane ne lâche pas l’affaire. Sa détermination à mettre fin à cette mascarade ne souffre pas de l’amusement du docteur. Elle reste intacte. Et Sloane a un plan. Un plan très simple. Prétexter auprès de Gabe deux profils incompatibles. Il ne viendra pas vérifier. “Comment ça je suis ennuyant?” Il s’arrête sur des détails. Passe à côté du plus important. La langue claque contre le palais, une main balaie la question. “C’était pour vous trouver un défaut. Peu importe.” Qu’il se concentre sur l’essentiel, par pitié. Comment peut-il être si peu concentré ? Ils ne sont pas là pour qu’il reçoive des compliments. Ils sont là parce qu’un ami commun a cru bon de les faire se rencontrer. Erreur, Gabe. Ils peuvent bien partir au bout de cinq minutes, histoire de dire qu’ils auront essayé. Mais non. Le docteur a une contre-proposition. Cette fois, c’est Sloane qui rirait bien. L’amusement reste coincé au fond de sa gorge. Il est mignon de croire qu’elle va lui consacrer sa soirée. Il se trompe.

Ça y est. D’une question, il le perd, son sourire agaçant, rageant. Ça laisse un vide sur son visage. Ça le rend moins hautain, moins insupportable… plus humain. Sloane devrait s’en réjouir. Pourtant, elle le préfère avec son sourire. Elle préfère ce que son rictus montre de lui, cette aura lumineuse qu’il lui apporte. Elle regrette déjà de le lui avoir arraché de quelques remarques. “Hm... C'est une bonne question ça... Probablement parce que je l'aime assez pour le laisser essayer. Il n'est peut être pas Cupidon, mais il en est quand même très proche.” Proche. N’exagérons pas, non plus. Les yeux roulent vers le plafond. Gabe se croit permis d’agir ainsi, uniquement parce que personne ne le décourage. Et ça donne des mélanges hasardeux comme ceux-là. “Ceci dit je ne lui mentirais pas. Si ce repas est un fiasco, il le saura.” Il est sincère, en plus. Elle le sait. Parce que sa déchirure est sollicitée, mais reste incroyablement silencieuse. Chaque phrase est vérité. Pourquoi fait-il ça ? Sloane ne comprend pas. Le dévisage comme s’il allait cracher la réponse. L’homme est impossible à cerner. Il semble juste… content d’être là, de passer la soirée avec une inconnue. La situation lui semble normale. Tout ce qu’il y a de plus normal. Pas pour Sloane. Incapable de savoir la dernière fois qu’elle a été dans cette démarche. Il y a bien trop longtemps. Sortie de zone de confort directement, sans même d’étape préliminaire, de préparation psychologique. Poussée dans les bras du premier homme d’une longue liste d’amis de Gabe. Les yeux bleus accrochent son sourire, n’y restent pas. Surtout pas. Piqués par ce qu’ils y décèlent. Une tentative d’atteindre son myocarde, de le faire fondre. La tête s’incline sur le côté, c’est elle maintenant qui sourit. Un sourire moins acide, moins factice. Elle inspire profondément. Rictus de plus en plus sincère à mesure qu’elle se perd dans le regard de Wyatt. Il transpire la sérénité, l'apaisement. Et ça fait du bien.

Vous savez, Wyatt, vous êtes sûrement un excellent ami. Gabe a de la chance de vous avoir dans sa vie. Contrairement à moi qui suis bien mauvaise.” C’est pour cela qu’elle avait accepté ce dîner. Dans l’espoir de rattraper ce temps manqué, de compenser l’absence de message, de consacrer une soirée à Gabe. Leur ami en a décidé autrement. “Okay. Très bien. Jouons le jeu.” Encore une concession. Sloane en fait trop. Le ton marque l'effort concédé. “Mais on verra après pour le dessert.” Voilà qui est mieux. Porte laissée ouverte à un repas plus long pour choyer l'égo de Wyatt, tout en s’octroyant une issue rapide. Tenir le temps d’un verre et d’un plat ou deux, c’est dans ses cordes. Elle sait prendre sur elle dans d’autres circonstances. Elle devrait pouvoir s’en sortir ce soir. D’autant qu’il ne demande pas de faux-semblant. Il demande juste d’essayer. Ce qu’elle peut bien faire. Même si l’impatience est là. Sloane doit s’empêcher de lever la main pour presser l’équipe de leur donner la carte. Elle ne se montrera pas impatiente. Pas face à Wyatt. Elle sera polie, respectueuse, calme. À l’image de l’homme. Elle tiendra le temps de la soirée, fera l’effort et rentrera chez elle avec la satisfaction d’avoir gagné, de lui avoir montré qu’il ne pouvait pas se débarrasser d’elle d’un regard ni même la faire succomber d’un rictus.

Sloane abandonne le fond de sa chaise, croise les avant-bras sur la table. Sourcils froncés, en réfléchissant à ce que Gabe a pu avoir derrière la tête, en les imaginant passer un repas ensemble. “Je me demande sur quels critères il se base pour arranger ses soirées… qu'est-ce qu'on a en commun ? C'est toujours aussi foireux ?” Elle plisse les yeux, tente de comprendre. Rien. Absolument rien. Elle le voit : il n’y a rien qui rapproche Wyatt de Sloane. Le peu qu’ils se sont croisés, des étincelles ont jailli. Gabe a fait un mauvais choix, il aurait dû s’abstenir. Il le saura bien assez tôt. “Ce n’est pas le premier date surprise pour vous, alors ? Combien ce sont bien terminés, hm ?” Soupçon de jugement dans le fond de la voix. Besoin de savoir s'il est parvenu à séduire ou si tout le monde a fui. Il y aurait de quoi. Parce qu'il a ce je-ne-sais-quoi de terriblement énervant. Elle n'est donc pas la première que Gabe coince avec Wyatt. Elle ne sera pas la dernière. Et toujours ce vouvoiement. Là, en garde-fou salvateur pour ne pas succomber à une familiarité tentatrice. Il serait trop facile de le tutoyer, de baisser la garde, de devenir plus chaleureuse. Ce n’est pas le but. Compte rester sur des banalités, s’intéresser à peine à Wyatt. Assez pour occuper la soirée jusqu’au moment de la libération.

 @Wyatt Ochoa

━━━━━━━━━ ✧ ━━━━━━━━━


kinda horrors in my deepest nightmares /
Running. I keep on running. But I don't know if I can make it to the morning.
Wyatt Ochoa
Altéré·e 1-I
Wyatt Ochoa
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : Won't wave my white flag (Wyatt) 977732cb8e706d03a7e0b34e021c0d751ba97be4
Alias : ●● black swan
Genre : ●● masculin, il
Age : ●● quarante et un ans
Dollars : 134
Zone libre :
Won't wave my white flag (Wyatt) RlEQf0D

Dos orugitas, desorientadas,
En dos capullos bien abrigadas
Con sueños nuevos
Ya solo falta hacer lo necesario
En el mundo que sigue cambiando
Tumbando sus paredes
Ahí viene nuestro milagro

●●

Yeah, we fly into the night and fight the break of dawn
We're sipping on our highs, tomorrow we are gone
And the feeling goes on, and on, and on
And the feeling goes.

Won't wave my white flag (Wyatt) LfVqSj4

Statut : ●● le temps lui manque pour tomber amoureux. L'envie aussi.
Occupation : ●● Protochirurgien au NAMC, médecin chercheur pour la division S+, section CP+
Habitation : ●● Neo Arcadia, un joli loft très confortable
Altérations :
grade 1 - interdit

implant oculaire - oeil droit; Permet de diagnostiquer plus rapidement les blessures. L'une de ses fonctionnalité, lui permet aussi de mieux choisir les nerfs pour l'installation des prothèses et implants.
implant cérébral - immunosuppresseurs; Délivrance automatique de ses immunosuppresseurs.
implant cérébral; Permet de rester éveillé plus longtemps.
implant cérébral; Mémoire additionnelle
implant cébéral et oculaire, oeil gauche;
Permet d'utiliser son téléphone sans le sortir de sa poche. Les messages reçus sont lus automatiquement par l'implant oculaire. L'implant lui permet aussi d'avoir un minuteur. Une fonction dictée vocale lui permet de répondre à ses messages et il dispose aussi d'une fonction silencieux disponible, pour le désactiver temporairement.

Limites : générales; céphalées fréquentes
implant cérébral - sommeil; Utilisation limitée à 28 heures à l'affilée. Si l'implant est encore en marche à la fin de ces 28 heures, plonge l'utilisateur dans un coma de quelques heures. En contrecoup, une grande fatigue prend le porteur dès l'arrêt de l'implant.
implant cébéral et oculaire, oeil gauche - téléphone; L'implant ne peut se connecter qu'à son téléphone. S'il devait se faire voler l'objet, il faudrait réinitialiser entièrement l'implant. Aucun autre téléphone ne peut y être branché. Il est possible d'hacker l'implant pour avoir accès aux données de son téléphone. Les fonctionnalités ont été limités aux messages et minuterie, pour empêcher des maux de tête. Il reçoit ses appels normalement et doit sortir l'appareil pour décrocher et communiquer (c'est pour ça qu'il vaut mieux lui envoyer des messages si c'est urgent.)

Stigmates : ●● tatouage sur l'épaule gauche, qui remonte jusque dans son cou. Cicatrices rondes sur l'épaule droite et le bras droit.
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@Sloane Hatcher | mars 2026
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Ego piqué qui s’amuse aussitôt de sa répartie. Elle lui cherche des défauts mais ne peut trouver mieux que celui qu’elle énonce. Ça le fait rire intérieurement mais il conserve son sérieux le plus possible. Ne reste que le sourire arrogant qui transparaît depuis le début de cette rencontre. Autant parce qu’il passe déjà un très bon moment que parce qu’il aime lui offrir un visage jovial. Et ce n’est pas entièrement pour la provoquer, mais aussi pour la mettre à l’aise, pour s’offrir un peu plus qu’un instant à ses côtés. Après tout, Gabe a fait l’effort de les mettre dans la même pièce, lui se doit en retour d’offrir ses meilleures prestations. Force est de constater que ça fonctionne, quand elle claque à son tour un sourire, qui semble beaucoup plus sincère. Comme si elle était enfin contente d’être là. Ses mots énoncent le contraire mais au moins, il réussit à lui arracher un peu de joie. Juste un peu et c’est déjà une victoire. Oh non je suis un terrible ami. Je le laisse prendre soin de moi et je lui rends peu en retour. Il hausse les épaules, mis devant le fait accompli, d’être un bien pathétique ami. Celui qui ne fait jamais trop d’efforts. Pourtant Gabe s’accroche à lui et rien que pour ça, il peut défendre bec et ongles ses tentatives de le caser, même s’il ne fait que jouer le jeu sans se mouiller vraiment.

Parfait! Mais un dîner sans dessert est bien triste. Enfin… Vous n’aurez qu’à partir si vous n’en voulez pas. Moi j’en prends un. Enthousiasme envers un dîner qui se présente déjà avec beaucoup de challenges. Trop à son goût, mais elle est assez agréable à regarder pour tenter l’expérience. Et puis son sourire. Celui qu’elle a esquissé plus tôt, était un peu trop mignon pour ne pas chercher à le revoir. Hm… C’est vrai que c’est un peu un mystère. Et si on cherchait les raisons qui ont pu le faire croire que ce dîner devait arriver? Par exemple… Est-ce que vous aimez les chats? Sa position n’a pas changé d’un iota depuis qu’elle s’est installée. Ses yeux toujours perçants sur elle. Ses lippes toujours accrochées en douceur. Et sa main qui joue avec son verre d’eau, à défaut d’avoir autre chose pour occuper ses doigts. Ça dépend ce que vous appelez… bien terminés. Il s’amuse en sous entendus, balance quelques mots pour tester sa sensibilité autant que pour apprendre à la connaître au passage.

Jeu qui ne diffère que peu de ceux auxquels il participe à chacun de ces rendez-vous. Il ne veut obtenir qu’une seule chose de tout ça et ça n’est pas une relation sérieuse. Pourtant, il accepte de faire un compte rendu à son ami à chaque fois. Dans sa sincérité habituelle. Inconscient du dossier qui se construit sur lui à chaque dîner. Gabe espère me caser depuis une éternité. Probablement depuis qu’on se connaît. Seulement… J’aime un peu trop mon boulot. Le temps lui manque pour s’attacher ou chercher à le faire. Et puis… Il est de toute façon bien trop amusant de séduire toutes ces personnes invitées. Et quand on aime trop son boulot, être avec quelqu’un est secondaire et franchement inutile. C’est pour ça que rien ne nous empêche d’avoir un bon dîner. Sans pression. Puisqu’il ne veut rien d’autres de toute façon…
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M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
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Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
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Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
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Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

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Si elle était dans une optique de passer du bon temps avec Wyatt, elle noterait le piètre point commun qu’ils ont : de mauvais amis. Au lieu de cela, elle déplore les amis atroces qu’ils sont pour Gabe. Il devrait changer son entourage. Revoir ses exigences à la hausse. Il mérite mieux. Alors, peut-être qu’elle aussi peut faire un effort. Un repas afin de remercier Gabe de s’inquiéter pour elle. Un repas afin d’honorer l’organisation qu’il a mise au point. Juste un repas. Sans dessert pour elle. Même si Wyatt critique déjà, sans en avoir l’air. Soupir est lâché. “Si ça vous fait plaisir.” Qu’il prenne son dessert, elle n’en a que faire. Elle, elle compte déjà les minutes qui la séparent de la fin. Des minutes qu’elle sait comment occuper. Piquer là où ça fait mal. Creuser la réflexion de Gabe. Jusqu’à comprendre. Comprendre ce qu’il a vu en Wyatt, ce qu’il a vu en Sloane. Les chats. Voilà la piste du chirurgien. Bon sang, est-ce qu’il est aussi nul pour faire des diagnostics que pour leur trouver des atomes crochus ? “Les chats ? C’est tout ce qui vous vient ?” À la moquerie, le sérieux succède. Dans le fond, la question reste la même : pourquoi eux ? Sûrement pas grâce aux chats. Parce que Sloane n’est même pas sûre d’en avoir déjà parlé avec Gabe. “J’imagine que je n’ai rien contre. Mes parents en sauvaient de l’errance et de l’abandon quand j’étais petite.” Ranch transformé en arche de Noë pour tous les animaux du coin. Ce n’est pas ce que Wyatt veut entendre. Ça ne l’intéresse pas ce soir. Ça ne l’intéressera pas demain. “Pourquoi ? Vous les détestez ?” Bien sûr que oui, il ne peut que les détester. Rien ne doit être assez bien pour lui. Image tenace du connard, ça lui colle à la trace, ça le suit peu importe ce qu’il dit ou fait. Et Sloane ne se trompe pas là-dessus. Jamais.

C’est ce qu’elle compte prouver. Intérêt tourné vers les précédents rencards. Tous ratés, échoués, sinon ils ne seraient pas là, dans ce simulacre de rendez-vous romantique. Sûrement de sa faute à lui. Il doit les trouver hystériques, insupportables. Pas étonnant  rien ni personne n’est assez bien pour lui, pour l’accepter, pour le tolérer, pour le supporter. Les autres sont le problème. Comme toujours avec ce genre d’individu. Alors, les conquêtes finissent par être de simples corps accumulés, des prénoms à ajouter à une longue liste. Sloane a l’incroyable honneur d’être la prochaine. En tout cas, il semble l’espérer. Pas elle. Oh que non. Elle juge. Elle ne s’en cache pas. Et lui, il flirte. Et elle, elle esquisse un sourire en coin. Sa tentative en deviendrait risible. Mais ça lui donne une idée. S’il veut jouer à cela, qu’ils jouent. Sloane se penche en avant, appuie sur ses avant-bras croisés. Ses cheveux viennent chatouiller sa nuque, s’invitent près de la table. “Oh, vous savez, ‘bien terminé’.” Elle hausse les épaules. Nonchalance et innocence qui l’auréolent, quand le sourire est mutin, quand Wyatt sait déjà très bien sans qu’elle n’explique quoi que ce soit. “Au lit ou n’importe où ailleurs avec une charmante personne. Des corps qui s’enlacent et s’embrassent. Tout ça.” qu’elle détaille, le menton se nichant dans le creux de sa main. Le regard plus intense, juste pour se jouer de lui. Sous la table, le pied frôle la cheville de l’homme. Tellement rapide que ça pourrait être une erreur. Ça ne l’est pas. “Mais ce n’est pas à vous que je vais l’apprendre.” Puisqu’il est expert dans le domaine. Lui qui accumule les rendez-vous de la sorte, fomentés par Gabe les uns après les autres. Elle connaissait son ami et sa patience. Là, il semble se dépasser pour Wyatt. “Vous êtes nerveux ?” Les yeux se baissent sur la main, joueuse incessante avec le verre. Entre ses doigts agiles, la vaisselle semble devenir un défouloir. Il ne le lâche pas. Ça interroge. Comme tout ce qu’il pourrait faire.

Gabe espère me caser depuis une éternité. Probablement depuis qu’on se connaît. Seulement… J’aime un peu trop mon boulot.” Tiens donc. Voilà qui est intéressant. “Ah oui ?” Léger amusement dans l’interrogation. Voilà qui promet d’être intéressant et qui explique bien des choses. S’il y a une pointe de jugement dans le constat, Sloane sait qu’elle n’est pas mieux. “Et quand on aime trop son boulot, être avec quelqu’un est secondaire et franchement inutile. C’est pour ça que rien ne nous empêche d’avoir un bon dîner. Sans pression.” Les mots font sens. Terrible écho en Sloane. Assez pour que le menton se décolle de la main. Assez pour qu’une lueur différente brille dans ses iris bleus. Comme si Gabe lui avait soufflé les paroles précises à avoir afin de la toucher. Ce qui ne peut être le cas. Pour une simple raison : tout ce qui sort des lèvres de Wyatt est pure vérité. Sans exception. L’homme est tellement sûr de lui, assume tellement tout, qu’il ne ment pas. Mais elle sait, Sloane, que ce n’est jamais si beau, si parfait. Il y a toujours un détail qui fera éclater cette image. Ce savoir crée un dilemme interne. Coincée entre la méfiance accrue, le jugement (encore) démesuré. Coincée entre son intérêt soudain, son besoin de distraction. L’offre est alléchante : une soirée pour ne penser à rien d’autre, sans aucun engagement derrière. Pensées tournées vers Imran, vers ses conseils, vers ses encouragements. Sloane dévisage l’homme devant elle. Merde. Peut-être, oui peut-être, que Gabe a vu juste. Il a réussi à caser le temps d’une soirée deux personnes dépendantes de leur travail. Il a fait fort. Bravo.

Alors, madame, est-ce que vous restez ?” La serveuse est réapparue sans que Sloane ne l’ait vue. Trop absorbée dans sa contemplation de Wyatt. Elle inspire profondément. Garde le docteur au centre de sa vision. Elle va le regretter, elle le sent. Il a tout pour lui déplaire. Imbu de sa personne. Prétentieux. Désagréable. Séducteur. Elle ne serait pas étonnée qu’il soit même manipulateur. À l’opposé de Rhys. Malgré tout, l’hésitation. Si ce n’avait pas été un guet-apens, si elle l’avait rencontré pour la première fois dans une soirée, Sloane y serait allée. Elle en est persuadée. Aussi énervant soit-il, il a des atouts physiques qu’elle ne peut nier. Des yeux perçants qui semblent la voir, elle, réellement. Un sourire et un rire qui réchauffent. Et une franchise qu’elle désespère de trouver au quotidien. “Oui. Je suis curieuse de voir ce que la soirée nous réserve.” Elle n’a pas détourné son attention de lui. Attend de voir sa réaction. Il ne le sait pas, mais ça ressemble à une épreuve. S’il fanfaronne trop, ce sera radical pour elle. “Très bien, je vous apporte les cartes.” Que risque-t-elle ? Une heure perdue. Elle pourra toujours la valoriser auprès d’Imran. Lui montrer qu’elle est sortie. Lui prouver qu’elle ne fait pas que travailler. Alors, pourquoi n’arrive-t-elle pas à se détendre et à profiter de la soirée ?

 @Wyatt Ochoa

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Wyatt Ochoa
Altéré·e 1-I
Wyatt Ochoa
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Alias : ●● black swan
Genre : ●● masculin, il
Age : ●● quarante et un ans
Dollars : 134
Zone libre :
Won't wave my white flag (Wyatt) RlEQf0D

Dos orugitas, desorientadas,
En dos capullos bien abrigadas
Con sueños nuevos
Ya solo falta hacer lo necesario
En el mundo que sigue cambiando
Tumbando sus paredes
Ahí viene nuestro milagro

●●

Yeah, we fly into the night and fight the break of dawn
We're sipping on our highs, tomorrow we are gone
And the feeling goes on, and on, and on
And the feeling goes.

Won't wave my white flag (Wyatt) LfVqSj4

Statut : ●● le temps lui manque pour tomber amoureux. L'envie aussi.
Occupation : ●● Protochirurgien au NAMC, médecin chercheur pour la division S+, section CP+
Habitation : ●● Neo Arcadia, un joli loft très confortable
Altérations :
grade 1 - interdit

implant oculaire - oeil droit; Permet de diagnostiquer plus rapidement les blessures. L'une de ses fonctionnalité, lui permet aussi de mieux choisir les nerfs pour l'installation des prothèses et implants.
implant cérébral - immunosuppresseurs; Délivrance automatique de ses immunosuppresseurs.
implant cérébral; Permet de rester éveillé plus longtemps.
implant cérébral; Mémoire additionnelle
implant cébéral et oculaire, oeil gauche;
Permet d'utiliser son téléphone sans le sortir de sa poche. Les messages reçus sont lus automatiquement par l'implant oculaire. L'implant lui permet aussi d'avoir un minuteur. Une fonction dictée vocale lui permet de répondre à ses messages et il dispose aussi d'une fonction silencieux disponible, pour le désactiver temporairement.

Limites : générales; céphalées fréquentes
implant cérébral - sommeil; Utilisation limitée à 28 heures à l'affilée. Si l'implant est encore en marche à la fin de ces 28 heures, plonge l'utilisateur dans un coma de quelques heures. En contrecoup, une grande fatigue prend le porteur dès l'arrêt de l'implant.
implant cébéral et oculaire, oeil gauche - téléphone; L'implant ne peut se connecter qu'à son téléphone. S'il devait se faire voler l'objet, il faudrait réinitialiser entièrement l'implant. Aucun autre téléphone ne peut y être branché. Il est possible d'hacker l'implant pour avoir accès aux données de son téléphone. Les fonctionnalités ont été limités aux messages et minuterie, pour empêcher des maux de tête. Il reçoit ses appels normalement et doit sortir l'appareil pour décrocher et communiquer (c'est pour ça qu'il vaut mieux lui envoyer des messages si c'est urgent.)

Stigmates : ●● tatouage sur l'épaule gauche, qui remonte jusque dans son cou. Cicatrices rondes sur l'épaule droite et le bras droit.
Pseudo : ●● Jellyfish
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Won’t wave my white flag
@Sloane Hatcher | mars 2026
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Sujet balancé au hasard en pensant à Mochi au passage, sans importance, sans raison particulière, juste pour essayer d’obtenir un nouveau sourire de sa part. Ces lèvres étirées qui rendent son visage moins sévère et qu’il trouve adorable. Tout à fait, c’est la première chose qui me vient en tête à l’instant. Puisqu’il ne s’attendait pas à se retrouver face à elle. Il n’a pas anticipé un quelconque flirt, ni des questions pour apprendre à la connaître un peu plus. Heureusement qu’il s’agit d’un exercice maintes fois répétés. Routine que de commencer par un sujet extrêmement léger, qui peut amener tant de réponses pourtant. Sa tête se penche légèrement sur le côté en entendant sa réponse alors que son sourire se fait un peu plus tendre, moins joueur. Des chats sauvés de l’errance, voilà une coïncidence qui le rend moins superficiel. Questions au bord des lèvres qu’il ne pose pas. Ce n’est pas un vrai rendez vous. Du moins, il ne terminera pas sur une relation longue durée. Il n’a donc pas besoin d’en savoir plus sur ces parents qui semblent récupérer des animaux errants. Ni sur son enfance. Oh non. J’ai mon propre vagabond qui a posé ses valises chez moi. Sa bestiole qui lui offre des câlins en réponse à son hospitalité. Petit pan de sa vie qu’il expose sans la quitter des yeux, savourant chaque parcelle de son visage.

Ses lippes s’élargissent pourtant quand il sent son pied contre sa jambe. C’est éphémère. Si court qu’il l’a peut être imaginé. Seulement il ne croit pas aux coïncidences. La conversation et cette jambe si proche de la sienne, concordent bien trop pour que ça ne soit qu’un simple hasard. Dans ce cas… Je dirais au moins 80% se sont bien terminées. Peut-être plus. Il n’est pas bien difficile quand il cherche à mettre quelqu’un dans son lit. C’est parfois lui qui se fait rejeter. Rien de bien méchant de toute façon. Il répond en tout transparence, ne comptant pas prétendre qu’il n’est pas là juste pour… bien terminer la soirée, comme elle dit. Nerveux? Non. J’ai si souvent quelque chose dans ma main droite que ça devient une habitude. C’est habituellement un stylo ou un scalpel, mais à défaut, ce sera ce verre. Une façon d’occuper ses cinq doigts, plutôt que de jouer avec de façon erratique. Après, si vous préférez, je peux le poser et jouer avec votre main à la place. Nouvelle pique légèrement espiègle alors qu’il pose finalement l’objet, sans le quitter pourtant.

L’évidence est balancée. Il aime trop son boulot. Il travaille tant qu’il n’a le temps de rien d’autre. Nouvelle explication quant à ce rencard qui ne peut déboucher que sur un unique résultat.  Les sourcils de l’homme se lèvent légèrement alors qu’il se rend compte du subtil changement d’attitude à son égard. Comme si avouer sa dépendance au travail éveillait quelque chose chez elle. Comme si ses mots venaient enfin la toucher autrement que par leur impertinence. Seulement il n’a pas le temps de se pencher plus sur ces nouveautés, que la serveuse se pointe de nouveau. Et la réponse de Sloane à sa question enclenche un nouveau sourire radieux et un regard pétillant. Il a effectivement gagné le premier round. Elle reste ici pour le dîner. Lui offrant toutes ses chances pour une suite savoureuse. Merci… Pouvez vous aussi m’apporter un old fashioned ? Et… Vous voulez boire quelque chose?

Son attention sur la serveuse d’abord, revient sur Sloane, avant que la première ne parte, une première commande avec elle. Il conserve le silence un instant, attendant que la serveuse ne revienne avec les cartes, avant de reprendre finalement. Je vous promets que je serai d’excellente compagnie. Enfin il bouge, change de position pour attraper l’une des cartes et s’enfoncer dans son siège pour la parcourir et savourer des yeux les propositions. C’est la première fois qu’il quitte du regard sa compagne de soirée depuis qu’elle est arrivée et ça ne dure qu’un instant, avant qu’il ne jette un regard furtif par dessus le menu, semblant déjà manquer la vision de son visage. Une seconde à peine, avant qu’il ne se dissimule de nouveau derrière les mets expliqués, avec un sourire en coin. Et puis finalement il referme le tout et pose la carte sur la table, son attention de nouveau toute entière offerte à l’attachée de presse. Je ne suis pas certain de me souvenir ce que vous faites dans la vie. Si vous me l’avez déjà dit? Je ne crois pas. Et puis, il ne s’en souviendrait probablement de toute façon, le cas échéant.
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Sloane Hatcher
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Alias : Une source proche des Sept, Hatcher, l'entourage des Sept... ┄ les noms sont nombreux pour la désigner.
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Age : Quarante-quatre ans ┄ il semblerait. C'est ce qu'on semble lui rappeler régulièrement.
Dollars : 1916
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01.
YOU ARE DOING
A BEAUTIFUL JOB
OF FIGURING OUT
SOME DEEP SHIT

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02.
ANYTHING IS POSSIBLE
WHEN YOU HAVE THE
RIGHT PEOPLE THERE
TO SUPPORT YOU

Won't wave my white flag (Wyatt) Kbic

03.
WHAT IS COMING
IS BETTER
THAN WHAT
HAS GONE

Won't wave my white flag (Wyatt) 7706afa34d758ebfdb4cf6cea1edd4c609e11e6e Won't wave my white flag (Wyatt) 0b60a6d31f3a0257a716c7fdcbdf8f561867032f

Statut : Divorcée ┄ verdict tombé en 2011, après cinq années de mariage.
Occupation : Attachée de presse, à Omnivox Media ┄ aucune place aux loisirs ni à une vie sociale.
Habitation : Solaris ┄ un appartement trois pièces, situé pas trop loin des locaux d'Omnivox.
Déchirures :
M E N S O N G E
01. Action de mentir, de déguiser, d'altérer la vérité.
02. Assertion contraire à la vérité.
03. Littéraire. Ce qui est faux, illusoire, trompeur.

01. I N T U I T I O N
Niv. 1 ┄ Petite voix dans sa tête qui l'alerte des mensonges prononcés. Toujours infaillible, elle ne se trompe jamais.
Niv. 2 ┄ Observation poussée qui décèle les signes d’un mensonge sans même qu’on lui parle. Que le mensonge soit déjà prononcé/réalisé ou non.

02. C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
Niv. 1 ┄ Sloane insuffle sa vérité aux autres et parvient à la leur faire croire d’une simple phrase. Un doux chant travestissant un mensonge qu’il faut accepter à tout prix.

03. V I S I O N
V É R I D I Q U E
Niv. 1 ┄ Les lieux ont une mémoire qui n’attend qu’une chose : dévoiler leur vérité. Et elle est à portée de main. Il suffit d’un toucher sur le mur ou le sol pour que la vision se dévoile. Sans artifice. Sans déformation.
Niv. 2 ┄ D’un contact avec une personne, Sloane voit au-delà de ce que le cerveau pense, cherche les faits objectifs, accède à la vérité. Sans faux-semblant. Sans mensonge. Sans subjectivité. Vision véridique qui l’amène au milieu des pires secrets.

Limites :
I N T U I T I O N
Comme toutes les intuitions, celle du mensonge nécessite de la déceler, de l’identifier et de vouloir l’écouter. Sloane pourrait bien passer à côté d’un mensonge, si elle n’est pas concentrée sur son interlocuteurice.

C O N V I C T I O N
M E N S O N G È R E
La vérité se doit d’être simple pour ne pas embrouiller les pensées des personnes ciblées. Dans Le cas contraire, l’implantation rate. De plus, une concentration totale est nécessaire. Sans quoi, le mensonge pourrait se retourner contre elle et la convaincre, elle, de la véracité des informations transmises.

V I S I O N
V É R I D I Q U E
┄ Déchirure qui lui permet de voir à travers les mensonges, mais qui lui arrache la vue, la rendant aveugle durant quelques minutes. Pure allégorie de la justice aveuglée pour une impartialité totale.
┄ Les visions se déclenchent uniquement lorsque l'esprit est apaise, serein, entièrement concentré sur le mensonge à débusquer.
┄ Vulnérabilité lors de l'usage de la vision : Sloane n'a plus conscience de ce qui l'entoure. Elle pourrait être bousculée, frappée, enlevée qu'elle n'en saurait rien.
┄ Énergie qui se défile et se consume, proportionnellement à la durée de la vision. Fatigue qui passera avec un café ou une bonne nuit de sommeil.

Inventaire :
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Hector. Le cyberdog le plus détesté. Aux allures de beagle. Capable de parler, de répondre, de déballer la météo et de vous donner des conseils sur votre bien-être.

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Rythme - réponse toutes les semaines
Longueur - variable (mais souvent long)



WON'T WAVE MY WHITE FLAG /
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Les chats. Sujet comme un autre. Bancal, banal. Elle peut bien se confier, Sloane. Aucun enjeu dans le fait de savoir si elle aime les chats ou pas. Aucun risque de renvoyer la question. Lui a peut-être plus de risques. Déjà prête à décortiquer sa réponse. À trouver déplorable qu’il déteste les félins. Quel être humain normalement constitué pourrait les haïr ? Mais non. Il les aime bien, les chats. Pire encore, il en a un. Un qu’il a sauvé de la rue. Faut qu’il ait cet air parfait, ces actions héroïques. Il est énervant. Énervant de perfection, si c’est seulement possible. Énervant de dualité. Comment peut-on être un connard de première avec une blouse sur le dos et un air trop sérieux, puis un séducteur avec la main sur le cœur, perpétuellement souriant ? Un mystère. Voilà ce qu’il est. Un mystère qu’elle pense avoir assez cerné pour s’autoriser à entrer dans son jeu. Jusqu’à s’élancer sur des pistes glissantes. “Oh, si peu ?” Légère moue déçue sur le faciès. “J’aurais pensé que tout ça fonctionnait davantage.” Phrase accompagnée d’un geste vague pour le désigner, lui, de haut en bas. Qui met tellement d’énergie à charmer et à la convaincre de rester. Et en même temps, ça laisse à Sloane vingt pour cent de chances de s’en sortir sans tomber dans le panneau. Ce qui est mieux que quinze, dix ou cinq.

Bien heureusement pour elle, ses chances s’agrandissent à mesure qu’il ouvre la bouche. Parce qu’il sait exactement dans quelle direction diriger ses propos pour l’embêter. Du bout de ses lèvres prétentieuses. Incapable de ne pas rappeler qu’il sauve des vies, qu’il a un métier important. Son arme de ce soir n’est ni un scalpel ni un stylo. Ce sont ses mots qu’il manipule afin de gratter la patience et de faire bondir Sloane. Le jugement s’étale sur ses traits. Notant la piètre tentative de flirt. “Ma main va très bien, merci.” Politesse exacerbée, forcée, pour repousser l'idée qu'il joue avec sa main. Il est malin. Il la rattrape. Avec un détail. Avec une phrase : le travail. Langage que Sloane connaît. Langage qu’elle maîtrise trop bien. Ça suffit pour instaurer le doute en Sloane. Alors, peut-être que manger en sa compagnie est une bonne idée. Oui, peut-être. Elle reste, donc. Et en l'annonçant à la serveuse, Sloane collecte un sourire radieux de Wyatt. La voilà la réaction attendue. Celle qu’elle guettait en le fixant. Il ne déçoit jamais. Toujours au rendez-vous quand il s’agit de réagir. “Un verre de pinot noir, s’il vous plaît.” La serveuse hoche la tête et repart avec leur commande en tête. Un silence s’installe, s’éternise entre eux. À peine si Sloane s’en rend compte. Elle l’étudie vraiment. Pour la première fois depuis qu’elle le connaît. Pas une parole pour l’embêter et la déconcentrer de son observation. Les lèvres de Wyatt restent figées dans ce sourire constant. Celles de Sloane finissent par s'étirer spontanément. Contaminées par le rictus de l’homme. C’est furtif, mais c’est le plus spontané et le plus sincère qu’elle ait pu lui offrir jusque-là. Ça ne dure qu’un battement de cœur, avant que la serveuse ne revienne.

Les cartes leur sont remises. Signe définitif qu’ils vont réellement faire ce dîner en tête-à-tête. Sacré Gabe. Il aura réussi son coup. “Je vous promets que je serai d’excellente compagnie.” L’amusement brille dans les iris bleus qui roulent vers le plafond. Il est si sûr de lui. Certain que la soirée sera bonne. Sans aucune once de modestie. L’homme ne se démonte pas. Il s’obstine, sans souffrir de sa réticence. Ça lui plait. Peut-être plus qu’elle ne voudrait l’avouer. “On verra ça.” Le défi est lancé, la carte est ouverte. Concentration perdue entre les lignes des plats. Tous plus appétissants les uns que les autres. Là encore, un bon coup joué de la part de leur ami. Il aurait pu choisir le pire des restaurants. Mais non, il ne l'a pas fait. Gabe maîtrise la situation de A à Z, même sans être là. Sloane cille en lisant le menu. Elle la sent, l'attention sur elle. La sensation est éphémère. Étrange. Trop furtive pour la capter et le réaliser. L’instinct sait, agite Sloane et la pousse à s'éclaircir la gorge, sans oser la faire lever les yeux. Ce serait prendre le risque de croiser le regard de Wyatt. Et ça, ce n'est pas permis. De toute façon, la sensation a déjà disparu et le cerveau se remet à décortiquer les mets.

Je ne suis pas certain de me souvenir ce que vous faites dans la vie. Si vous me l’avez déjà dit? Je ne crois pas.” Elle ne quitte pas des yeux le menu. Pour mieux cacher le voile qui les pare, temporairement. Le corps et l’esprit encore traumatisés par les événements. “La situation ne s’y prêtait pas tellement.” Le ton est funeste. Un relent de peur toujours coincé dans le creux du ventre. On lui a dit qu’il faudrait du temps afin de dépasser le traumatisme, mais elle n’en a pas, Sloane. Elle ne peut s’attarder sur ses craintes. Elle doit avancer. Pourtant, ils sont là, les souvenirs du chaos, de l’urgence, de la panique. Elle se souvient de tout. “Je suis attachée de presse chez Icarus.” Elle détruit des vies, quand il en sauve. Ça, Gabe ne l'a pas prévu dans son plan machiavélique. Elle tait son affiliation avec les Sept. Ils ne sont pas invités à la soirée et resteront loin, très loin de ses pensées. “Beaucoup moins glorieux que votre travail, mais j’ai aussi mon lot d’urgences et de journées à rallonge.” Sloane referme le menu sur les Sept et les catastrophes qu’ils sèment et retrouve le regard de Wyatt. Il a une manière de l’observer (de la contempler ?) qui la fait plisser les sourcils un instant. L’expression est si vite chassée afin de reprendre le cours de la conversation, comme si de rien était. “Mon psy dirait que je suis accro à mon travail et que je dois prendre plus de temps pour moi.” Son psy. Elle pourrait aussi bien dire son ami. À ce stade, les lignes sont fines. “C’est peut-être ça qui a motivé Gabe à nous présenter. Deux amoureux de leur job, voilà un parfait match. Bien plus que notre amour ou non pour les chats.” Elle a un sourire tendre d’imaginer Gabe s’arracher les cheveux. À trouver une personne qu’il offrirait en pâture à Wyatt, juste pour une soirée. Pauvre homme. Il devrait se reposer plutôt que de s’inquiéter du bonheur de ses proches. Surtout pour Wyatt et Sloane. “Il sait que vous passez des heures à attendre les patientes dans le couloir ?” qu’elle demande. Chose étrange : le ton n’est pas provocateur, n’est pas agressif. Il est taquin. Parce qu’elle n’a pas oublié son ambition d’être agréable. Ce soir au moins, elle oublie l'exaspération de leurs rencontres à l’hôpital, elle chasse le ressentiment nourri par son comportement insupportable de l'époque. Ce soir, elle a décidé que leurs échanges étaient un bon souvenir.

 @Wyatt Ochoa

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