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let's hate together (lukas&leila)

Leila Cooper
Altéré·e 1-C
Leila Cooper
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : let's hate together (lukas&leila) 5c83acf3ae70a0e31e9e8278cb6f90886e11b563
Alias : chaque soir elle devient raven en montant sur scène.
Genre : féminin, elle.
Age : vingt-trois années passées dans le flou, dans le doute, à courir après son identité.
Dollars : 416
Zone libre :
je danse seule dans la pièce
j'essaie de me dire que c'est mieux comme ça
ça se répète, sort de ma tête
je fais des cauchemars qui durent six mois

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Statut : célibataire. jamais réellement d’attache.. c'était elle et sa mère contre le monde. désormais il n’y a plus qu'elle.
Occupation : dj au club de l’éclipse.
Habitation : elle habite un petit studio qui ne paie pas de mine à quelques pas de l'éclipse, dans les profondeurs du nexus.
Altérations : implant du traitement des sons environnants ainsi que des écouteurs intégrés qui lui permettent, par moment, de totalement se couper du monde.
elle a également des nano-implants capillaires qui lui permette de modifier la couleur de ses cheveux.

Limites : lorsqu'elle utilise trop longtemps ses implants auditifs, elle commence à avoir des acouphènes et parfois même de petites décharges assez peu agréables.
Stigmates : elle a une cicatrice sur la pommette droite suite à un mauvais coup reçu de son ancien beau père.
Inventaire : quatre mods.
Pseudo : tanakirah
Comptes : madeline, silas.
Genre IRL : féminin, elle.
Messages : 314
Date d'inscription : 22/08/2024
FC : sonia ben ammar
Crédits : avatar : valruna, gif profil : lithiumandsushi, gif sign : dear eden (juli), texte sign : Yuston XIII.
Thèmes abordés : Violence physique, maltraitance, suggestion d'avortement, mort, (cyber)psychose
Thèmes refusés : Aucun ne me vient à l'esprit.
Infos RP : présente, rythme aléatoire à cause d'horaires postés, environ 500/600 mots par post (cela peut être moins selon la fatigue) et exclusivement en français.
Staff : MDM
let's hate together
ft. @Lukas Hwang / 11.09.26
TW : alcool

Une énième soirée. L'on pourrait croire qu'elles se ressemblent toutes mais ce soir, c'est différent. C'est une soirée à thème. Autant dire que Leila déteste les soirées à thème. Et c'est que vous ne connaissez pas encore le thème en question.. Les Sept. A ce moment précis, alors qu'elle est en retrait sur sa scène, qu'elle observe ce manège grotesque, elle soupire. Entre ceux qui se sont déguisés à leur image et ceux qui utilisent leurs pouvoirs pour montrer que leur mutation pourrait être utile, elle aussi.. Leila désespère. Elle ne comprend pas comment les gens peuvent être si irréfléchis. Comment toutes ces personne sont capables de croire à toute cette mascarade. Elle ne peut s'empêcher de penser que les Sept sont plus des acteurs très bien payés que de réels sauveurs. Vitrine de la décadence humaine, voilà ce qu'ils sont. On sourit, on agite la main et on fait un petit short à poster sur les réseaux pour que tout le monde le voit. Illusion. Mensonges. Rien ne va plus.

Lorsque son set est fini et qu'elle a fumé sa clope. Elle se rend au bar. La salle est noire de monde et personne ne semble avoir décidé de rentrer chez lui.. Après tout, on est vendredi soir, une soirée à thème.. Les gens ne vont pas partir de si tôt. Lorsqu'elle lève le nez, son collègue habituel n'est pas là. Enfin, il est un peu plus loin en train de servir un client, mais face à elle se trouve un homme qu'elle n'a jamais vu auparavant. Ou peut-être que si. Elle ne sait plus. Elle est pas du tout physionomiste. La seule chose qu'elle se dit à ce moment là, c'est qu'il ne sait pas ce qu'elle boit et qu'elle va être obligée de socialiser pour obtenir ce qu'elle veut. Merde. « Un cuba libre, s'il-te-plait. » Pas de bonsoir, de salut ou autre. Elle a dit s'il-te-plait, c'est déjà pas si mal. Il la sert et quelques instants plus tard, une jeune femme un peu saoule lui passe commande en lui sommant de la servir vite sous prétexte qu'elle serait la prochaine Sept. Après tout, elle est capable de faire pousser ses cheveux plus vite, c'est pas fou ça ? Leila soupire. Rien ne va plus. Le barman la sert et lorsque la jeune femme tourne des talons, semblant très satisfaite d'elle-même, elle l'entend marmonner quelque chose de pas très joli à propos des Sept. Lui adressant un signe de tête, elle lève son verre comme pour trinquer à ce qu'il vient de dire. « On est d'accord. » Il est rare d'entendre quelqu'un exprimer quelque chose de ce genre. Souvent, les gens se taisent, comme s'ils craignaient qu'un mutant un peu plus puissant le prenne mal et qu'il s'en prenne à eux. Bon, elle l'avait sûrement entendu grâce à la réduction de bruit qu'elle avait réglé pour baisser la musique ambiante.. Mais il avait bien prononcé ces mots et elle se sentait un peu moins seule. 

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lonely ✧ isn't it lovely, all alone ? heart made of glass, my mind of stone. tear me to pieces, skin to bone.
Lukas Hwang
Blue Blood
Lukas Hwang
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : let's hate together (lukas&leila) 7b247f64d1779bbb94665de7e0c8824f3a7290fe
Alias : Farhenheit
Genre : h. (il)
Age : 28 années.
Dollars : 170
Statut : célibataire.
Occupation : Combattant clandestin, barman & outils d'icarus.
Habitation : un studio miteux à Crimson Bay.
Déchirures : Thème de la mutation : Thermodynamique
Déchirure 1 : Thermokinésie

— Niveau 1 : object thermie Capacité à diminuer ou augmenter la température d'un objet.

— Niveau 2 : local thermie Capacité à diminuer ou augmenter la température ambiante.

— Niveau 3 : human thermie Capacité à diminuer ou augmenter la température d'un être vivant à des degrés plus ou moins extrême.

Déchirure 2 : Thermométrie

— Niveau 1 : Thermovision Il peut voir le chaud et le froid comme le ferait des lunettes thermiques à infrarouge.

Limites : D1.
Limites : Sa déchirure provoque les symptômes de la déshydratation, allant d'un simple maux de tête à une migraine intense ou encore des étourdissements ou de la confusion. Dés qu'il atteint la distance ou température maximale, les maux de têtes commencent à s'immiscer. S'il le fait de manière intensive, le reste des symptômes se déclenchent ce qui limite l'utilisation à deux heures, s'il va au delà, il risque de finir dans une stase comateuse de plusieurs jours en fonction de comment il a abusé. Les symptômes peuvent arriver aussi de manière quotidienne s'il se sert de sa déchirure régulièrement dans la journée pour des petites ou moyennes utilisations. Ce n'est pas rare qu'il ait des migraines ou des vertiges. Ironiquement, il est plus sensible aux températures qu'à la normal.

Ses iris deviennent bleus ou rouge selon la température négative ou positive.

Niveau 1 Sa déchirure ne fonctionnait que par le toucher et la température ne dépassait pas les -5°/80°c.

Niveau 2 Sa déchirure peut fonctionner à distance mais sa cible (objet) doit être dans son champs visuel et pas plus loin que 250m. Il ne peut pas augmenter la température ambiante à plus de -15/40°c (et s'il le fait, ça le toucherait également, vu qu'il n'en est pas du tout insensible.). Cela ne marche que dans un lieu clos.

Niveau 3 Sa déchirure peut fonctionner à distance mais toujours dans son champs visuel et à pas plus de 450m. La température, quelque soit la cible (objet) ne peut dépasser les -10°/100°c, quant aux humains ne peut dépasser 26°/46°.

D2.
Limites : Ses yeux sont plus sensible à la lumière et il évite d'utiliser cette capacité en plein jour s'il n'a pas de quoi se protéger les yeux. Son champs de vision est aussi réduit à 90° lorsqu'il utilise sa capacité.

Niveau 1 Il ne peut voir qu'à 10mètre devant lui, et voir à travers un obstacle que s'il ne dépasse pas les 15cm d'épaisseur. Il nécessite encore une source de lumière pour voir quelque chose.

Pseudo : ichi
Genre IRL : homme trans (il)
Messages : 31
Date d'inscription : 19/07/2024
FC : park seonghwa
Crédits : ichi
Thèmes abordés : maladie infantile, self harm, violence, meurtre
Thèmes refusés : VSS, transphobie...
we're stuck here
This world is a wasteland where nothing can grow. I used to have strength, but I ran out of hope. I know it's my fault that I'm here all alone. This world is a wasteland, please let me go.

Les silhouettes sont déformés créant un agglomérat de chimère noirâtre et abominable. Et le brouhaha qu’elles créent, brouille ses tympans les faisant sifflés, promettant ainsi une migraine persistante. Sa soudaine absence dissocie et dénature ainsi sa vision, rendant le monde déjà pourri, monstrueux. Etait-ce peut être la réelle façon dont il voyait le monde, dans tous les cas, son esprit semblait s’attacher à cette vision jusqu’à ce qu’on l’en arrache brutalement. Lukas plisse ses paupières avec insistance pour que la réalité lui revienne à lui pour découvrir la face maquillé et déguisé en une des pires ordures que ce monde a offert. Un retour à la réalité aussi radicale qu’une bonne gifle. Décontenancé pendant quelques instants, l’autre a dû se répéter trois fois avant que l’information face la route jusqu’à son système nerveux.  Le garçon ne réponds pas, il prépare et finit par presque fracasser le verre sur le comptoir devant le type qui avait le physique de ses idées, répugnant. « Voilà, votre altesse ! » qu’il lâche soudainement brisant son mutisme pour un peu de cynisme.  Et l’autre tapa du poing semblant vouloir chercher une bagarre qu’il n’obtiendra pas, parce qu’il ne gagnera qu’un grand sourire hypocrite et le bol des pourboires de pousser devant lui. Le client avait surement pris sa « soudaine » haine dans la gueule parce qu’il avait été le malheureux à le sortir de sa transe et à lui rappeler pourquoi il était là.

A servir des fanatiques dont les paillettes qui recouvre le charnier infini de cadavre encore frais, suffit. Donnez-leur du pouvoir et il jetteront volontiers leur humanité. Son regard brun parcourt la pièce avec dégout un instant, il ne se posait même plus de question sur le pourquoi du comment. Il n’y avait rien à se demander, le monde est une vaste blague et peut être qu’il devrait finalement en rire si sa situation était pas aussi misérable. Peut être qu’il aurait encore la force d’espérer si n’avait pas été enchaîné par ceux qui tirent les ficelles de tout. Il n’était qu’une marionnette qui servira jusqu’à ce que ses articulations ne se déplient plus ou alors le jour où il aura définitivement abandonner. Où le choix de sacrifier sa génitrice pour son propre salut lui semblera envisageable. Mais cela serait capituler et devenir le monstre – et il la déteste, pourtant, il ne l’a même pas revu depuis l’enterrement de son cher et tendre créateur.

Et avec tout ça, Lukas ne travaillait même pas à son bar habituel, mais le patron rendait service à ses dépens. Comment refuser quelque dollar de plus pour survivre ? Alors il prenait presque sur lui pour espérer voir cette soirée se terminer rapidement. Mais les clients aussi cons les uns que les autres ne faisait qu’entretenir une misanthropie trop avancée. Il servait une cliente enfin supportable quand il la vit arriver, la cerise sur le couscous, l’épiphanie, le cloue du spectacle.

Il l’écoute, ou plutôt, subit son discours avec sa voix geignarde et ses manières grotesques. Son regard presque éteint vira au noir et l’envie soudaine de lui refroidir le sang pour lui remettre les idées en place traversait son esprit. Il se retient, se contentant de l’imaginer, de voir sa gueule ridicule se déformer et se crisper sous le soudain glas de son cerveau éteint. Inspirant un grand coup, tentant de se persuader lui-même que ça allait passer, que cette soirée interminable prendrait fin. Parce qu’il en avait sa claque, de l’entendre, ce discours. Une future sept ? Elle ? C’est sûr qu’elle irait bien dans le tableau avec sa connerie. Elle oubliait juste l’immense blague de son existence. Ces requins l’étrangleraient avec sa touffe qui pousse juste pour un rire. Et c’était censé être ce genre de personne, des héros ?

A croire qu’ils en ont tous oublier la définition. Et il la regarde partir en froissant avec dédain le maigre dollar de pourboire qu’elle avait daigné lui donner. « A l’image de ses idoles, un vrai parasite recouvert de paillette. » qu’il grogne dans sa barbe sans se rendre compte qu’on allait l’entendre. Généralement, il évite de montrer quoi que ce soit, enfin, de faire entendre ses opinions à visage découvert. Paranoïa, peut être mais Lukas savait mieux que quiconque que les murs ont des putains d’oreilles.

Mais pourtant, il laisse échapper un léger rictus quand il entendit la réciprocité. Ce sourire disparu bien vite, parce que la nature revint au galop et la méfiance gagne. Lukas avait toujours la peur qu’un chien d’Icarus l’entendent et aillent cafter aux grands pontes et que cette simple excuse leur permette de l’accuser d’avoir briser la confidence dont il est enchaîné.

« Ne critiquons pas nos futurs héros, je suis sûr qu’elle fera le poids face à un camion de 4 tonnes. » qu’il rebondit, feintant une innocence sous un sarcasme à peine déguisé.  Et il en rajoutant une couche en la resservant sans y être inviter. A croire qu’il était incapable de se retenir ce soir et qu'il avait besoin de quelqu’un pour lâcher son fiel malgré les pincettes qu’il était obligé de prendre.
ft. @Leila Cooper