natural born idiot (mackie)

CORMAC "MACKIE" FITZSIMMONS

TW : violence, vulgarité, masculinité toxique, deuil, mention de suicide

FT. Barry Keoghan

CARTE D'IDENTITÉ Nom et surnom(s) : FITZSIMMONS Cormac, surnommé Fitz Jr, Mack, Mackie, tête de con ou pantoufle Ier, faute de trouver moins adapté.

Genre et Pronom(s) : Homme cisgenre, "il".

Âge et lieu de naissance : 30 ans, né là où les andalous naissent rarement : en Irlande à Dún Dealgan (Dundalk).

Origines et nationalité : Origines et nationalité irlandaises.

Statut marital : Célibataire incapable — ou l'inverse, au choix.

Occupation : Il y a cinq mois, il vous dirait qu'il n'en a rien à foutre de travailler pour nourrir les bouches de capitalistes engrossés de thunes, mais finalement, et parce qu'on l'y a poussé à coup de pied au cul, il a finit à New Blossom et ose enfin se décrasser le derrière pour devenir vaguement adulte et responsable. Assistant coach au Carré d'As, c'est la promesse qu'on lui a faite, avec ce travail : sa vie d'éternel prolo changera.

Situation financière : En vrai de vrai, il est sur la paille depuis des années ; mais la famille ça aide, parfois.

Lieu d'habitation : Au Nexus, chez tonton.

L'esprit Le corps L'âme La mémoire

L'ESPRIT

"Faut faire quoi pour avoir la carte verte t'as dit ?"

L'administratif, comme beaucoup d'autres choses, Cormac est infoutu de le faire tout seul : dans le cas contraire, son blason d'assisté en aurait sérieusement pâti. C'est précisément ce qu'il est depuis la petite enfance, quant bien même il a su et sait encore faire des conneries de sa propre initiative, ce que peu valorisent - et à juste titre.
Les rouages de la société sont aussi connus qu'ignorés à la fois, s'imaginant que de toute évidence, son chemin se devait d'être différent et peut-être même bien un peu plus singulier que celui des autres. Etudes, travail, rencontre, mariage, chien dans le backyard et puis brochettes de mômes, histoire d'animer la vie et surtout les week-end à faire griller des saucisses entre amis. Cormac ne se sent pas plus investi de rentrer dans ce moule qu'il est persuadé d'avoir mieux à faire.

C'est ce qui l'a poussé à nager dans des eaux particulièrement bourbeuses, à jouer au rôle du mec qui ne peut pas sortir de sa classe sociale et qui prétend mieux connaître la vie que les autres, nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Si on peut tout à fait songer à la couronne britannique, qu'il n'est pas le seul à vouloir voir tomber, ça se décline non sans mal au patronat et à n'importe qui qui afficherait un tant soit peu d'opulence. Les seules exceptions sont pour les rares de sa famille à avoir "réussi", ce que Cormac constate avec autant de frustration que de paradoxale fierté.

"Sont tous teubards ici, en plus ça pue le parfum là"

Râleur par essence, il sait s'investir de contradictions mais aussi d'un esprit de discrimination pour ce qu'il ne connait pas assez pour s'y sentir à l'aise, ou appareillé. New Blossom, il a des tonnes de choses à dire sur elle en l'état, mais une fois sous terre, les choses se calment et il se sent paradoxalement plus à sa place. Malgré l'insécurité manifeste qui guette l'Underapple, Cormac n'a pas peur de s'y aventurer car il y reconnait des nuances qu'il porte lui-même. Y'a pas à dire, il préfère aller à la conversation avec le vieux sdf de la bouche de l'enfer plutôt que de discuter plus d'une minute avec la péteuse boulangère au coin du Nexus. C'est dans sa nature de communiquer, qui plus est avec les gens dont on a rien à foutre sur le papier, et qui parfois n'attendent que ça, qu'on les remarque.

"Eh, désolé pour vot' bridge"

Arracher malencontreusement la couronne d'une vieille qui n'a rien demandé à cause de vous-savez-quoi, il l'avouera sans doute pas, Cormac s'est senti mal et s'est excusé sans rien pouvoir faire d'autre. Fierté inexistante lorsqu'il s'agit des anciens, que son esprit estime vertueux et dignes d'être respectés, si peu qu'ils soient eux-mêmes respectables. Il est pas mauvais dans le fond, même qu'il essaie d'arrondir les angles parfois là où on l'attend pas, entre deux trois coups de tête à insulter la Terre entière.

"Ah ouais ? Qu'est-ce que tu vas faire ?"

Sa meilleure force est l'ignorance des autres, qui ont tendance à le sous-estimer. Insolent, tête brûlée et plutôt rentre-dedans, il a la mauvaise manie de provoquer l'autre lorsque ce dernier s'est imprégné d'un tant soit peu d'agressivité à son égard. L'issue est souvent terrifiante de violence, mais au fur et à mesure, au moins chez lui en Irlande dans son patelin, sa réputation a fini par le précéder et il n'a plus vraiment eu besoin de dire plus que cette phrase pour mettre tout le monde d'accord sur une danse à adopter. Ce qui risque de changer gravement la donne, c'est la présence de mutants, d'altérés qui ont une plus value inestimable dans ces situations là. Sans doute s'en rendra t-il compte après s'être fait éclater, c'est après tout de cette façon là que Cormac apprend les choses dans la vie, et ça ne surprendrait ainsi personne de le retrouver à l'hosto pour s'en féliciter.

"C'est qui qu'a fait ça ?"

Trouver un coupable, réflexe tout aussi humain qu'idiot dans la plupart des situations où trouver une solution semble être plus à portée que de dénicher une tête à couper. Cormac a besoin de savoir pour se faire une idée des autres, juger étant sa seule sécurité en ce bas monde pour pouvoir se positionner dans la vie de tous les jours. Dans un autre contexte, cela peut aussi traduire un instinct de groupe qui le pousserait à la vendetta comme beaucoup d'autres le font, sans songer à ce que leur Dieu pourrait en penser. La famille, on y touche pas, ni même à ses amis, et si on peut penser à de la loyauté exacerbée, on pourrait tout aussi bien y trouver un élan communautaire exacerbé.

LE CORPS LE CORPS MUTANT

Type de mutant : Carbon Copy

Âge lors de la première déchirure : 30 ans

Mutation : Magnétisme

Déchirures :

○ Attraction-répulsion

Niveau 1 : Le corps de Cormac attire ou repousse les petits à moyens objets magnétiques à proximité (+/- 3m). En se concentrant suffisamment, il pourrait les maintenir en état de lévitation, en équilibrant les deux forces pour forcer l'objet à l'inertie, mais c'est encore très loin d'être le cas.

○ Champ de force magnétique

Niveau 1 : Il peut générer autour de lui un champ de force magnétique particulièrement épais, faisant office de protection contre les projectiles ou les coups directs.

Limites :

— Sa mutation a évolué très vite par la force des choses : en vérité, c'est sa colère à l'égard de son incompétence qui a provoqué l'apparition de sa seconde déchirure.

— De par le fait, il ne maîtrise pas ses déchirures. Un saut d'humeur ou des émois trop marqués provoquent des attractions ou répulsions électromagnétiques soudaines, incontrôlables, et parfois dangereuses.

— Son corps a beau être un aimant puissant, sa peau elle, est somme tout à fait normale. La pression incontrôlée des objets contre sa peau peut s'avérer être très douloureuse, car la force à l'œuvre est particulièrement intense. Une boule de pétanque sur la côte ferait quand même vachement mal à la longue, mais il y a bien plus dangereux que ça autour de soi au quotidien, à commencer par les couverts pour dîner.

— S'il garde collé à lui trop longtemps un appareil ou outil magnétisé (téléphone, caméra, ordinateur, carte bancaire, etc...), il pourrait l'endommager, voire le rendre inutilisable malgré lui.

— S'il est tout à fait possible que le champ de force se forme sous l'adrénaline du danger, il ne tiendra pas longtemps de lui-même : la concentration demandée est particulièrement gourmande pour le maintenir. Cinq minutes pleines pas plus, sous peine d'avoir les oreilles qui bourdonnent fortement, un saignement nasal et un mal de tête à en vomir ses tripes. Une utilisation trop prolongée ou trop fréquente pourrait lui provoquer des acouphènes permanents à terme.

LE CORPS HUMAIN

Particularités physiques :

Garçon trapu qui ne paie pas forcément de mine à première vue, il a surtout tendance à avoir la gueule cabossée malgré le fait qu'on ne sache plus quel âge lui donner. Faute de maîtriser sa mutation, il a également des stigmates qui le parsèment en quasi-permanence, hématomes pour la plupart, même si sa dernière colère s'est retournée contre lui-même y'a un petit mois et demi de ça, un couteau magnétisé d'un peu trop loin lui étant rentré dans l'avant bras en voulant s'en protéger.

Aptitudes particulières :

Bagarre, c'est le premier mot à retenir, il sait boxer et s'avère être aussi rapide que fatal ; sans doute un revers d'intellect, puisque son instinct est dard. Sinon, mis à part conduire trop vite et sans permis, il sait vaguement cuisiner et c'est l'une des rares choses qui le maintient occupé entre ses quatre murs : il a commencé quand sa mère était toute seule et malade par la force des choses, ça n'a pas duré, mais il se trouve un peu plus humain quand ça lui prend. Manuel plus qu'intellectuel, il a une pédagogie limitée mais plutôt efficace avec les mômes. Gaélique et anglais accent irlandais LV1, il a le don de ne pas être comprit par les américains : sans doute que son patois s'invite trop dans ses phrases, avec un accent au biseau qu'on a tôt fait de juger en mal.

L'ÂME LES MUTANTS

D'aussi loin qu'il se souvienne, les mutants ont toujours eu le goût de rêve pour lui, mais aussi de frustration. Parce que de toute évidence, pour le devenir, il fallait mettre la main à la poche pour nourrir une corporation gargantuesque et ça, Cormac, il a jamais vraiment aimé ça. C'est sans doute pour cette raison qu'il accepte sa condition bien que bancale pour l'heure, en se disant qu'au moins, ce n'est pas le vrai sérum coûtant un rein qu'il s'est injecté dans les veines, et qu'il engraisse d'autres qu'Icarus. Du reste, c'est la meilleure chose qui lui est arrivée jusque là et ça lui a permit de lui redonner de l'élan là où il en avait pas, voire jamais eu. S'il y a une autre famille que celle connue, y'a aussi celle du génotype, et Cormac en est de plus en plus friand lui aussi.

LES ALTÉRÉS

Il aime pas les altérés, parce que Cormac est un cerveau influençable qui préfère s'imaginer le monde comme un terrain de foot. Il a entendu toutes ces histoires qui ont propulsé la chute de New York, et tous les bails à la Robocop là, ce n'est pas son dada. Qui plus est, à force de se prendre pour un ordinateur, les gens finissent par devenir zinzin. Il a d'autant plus de mal avec eux aujourd'hui qu'avec sa mutation encore déréglée, il magnétise les altérations qui sont clientes, pour le meilleur comme pour le pire.

LA TECHNOLOGIE

L'excès de technologie n'est pas du tout dans son mode de vie, ni même de fonctionnement. A vrai dire, on pourrait même avancer que ce n'est pas à sa portée financièrement, même si aujourd'hui, on pourrait dire que la donne a changé. La vérité c'est qu'il se fout de la plupart des écrans qui selon lui ne servent à rien et préfère zoner dehors, capter des gens, aller voir la mer ou courir les plaines, faute d'avoir une vieille voiture cabossée à conduire. Non, franchement, la technologie, c'est un téléphone et ça suffit.

LA VILLE

La ville en elle-même, il a pas vraiment d'avis trop arrêté dessus, même si de premier abord, le côté surcapitaliste lui sort par les trous de nez. Paradoxalement, il ne s'imagine pas du tout l'étendue du business (ni même les rouages hypocrites) qui entoure les Sept ; alors qu'il s'est prit de la folle lubie de devenir apprenti héros, sans doute pour se prouver des choses.

L'APPARTENANCE Icarus Phenomenon

LA MÉMOIRE
C'était quel genre de mec, papa ?

C'est la phrase qu'il a sans doute le plus répété dans sa courte existence, s'étant lui-même armé de patience face aux quelques bribes qu'avaient bien voulu lui fournir sa mère ou toute cette smala - qu'on appelle communément famille - après des années de deuil endurés. C'est qu'il a fallu dans un premier temps lui expliquer que Papa, même s'il ne se souvient pas vraiment de ses bras, même en fixant longuement ces vieilles photos tirées d'un jetable, il l'a connu, il l'a aimé. S'il était la prunelle de ses yeux, alors pourquoi est-ce qu'il s'est fait sauter le caisson pour arrêter de l'aimer ?

Cormac comprend ni la logique, ni même le geste, mais Cormac reste un gamin dans le fond et tout ce qu'il veut bien entendre, c'est de pouvoir s'imaginer ce qu'il était. Papa a travaillé à la ferme, puis à l'usine, puis il a boxé, et il a fini par entraîner. C'est dur de s'imaginer ce mec avoir boxé, à vrai dire, pas question de préjugé sur son trapu indéniable, mais encore une fois, ce sont les clichés qui manquent pour que son fils puisse se projeter. C'est étrange de se dire qu'avec un naturel certain, Cormac a voulu suivre ses traces et enfiler les gants rouges très tôt. Ca n'a pas été simple affaire pour sa mère au départ, qui voyait bien entendu le mal là-dedans, à vouloir marcher là où un suicidé s'est engagé ; qui plus est un suicidé qu'elle a aimé comme jamais, sans avoir réussi à le sauver. Si on lui sortait le terme clinique, qu'il prend toujours autant à la légère, dépression, Cormac n'y croirait pas lui-même. Si c'est dans la tête, c'est que ça peut être soigné avec le temps, à force d'endurer. Mais comme beaucoup d'autres garçons et hommes, la souffrance est terrifiante et insidieuse, éprouvant l'être jusqu'à l'amener au point de non retour. Faut que tu parles qu'elle répétait sans cesse, Maman, alors il s'est prit au jeu de parler, parler, parler, mais jamais des choses qui font mal, parce que les hommes, les vrais, ne le font pas.

Le problème, c'est qu'il a aussi parlé en classe au lieu d'écouter, parlé mal sur des gens qui ne méritaient que la paix, parlé pour insulter les figures d'autorités, parlé pour contredire tout ce qu'on pouvait lui raconter. A se croire attaché à de fortes valeurs, Cormac s'est surtout forgé à devenir un con têtu, qui refuse de voir la vérité en face, sauf peut-être lorsque l'extrême s'en mêle. Se frotter à plus gros que soi, finir avec deux dents en moins, ne pas avoir les thunes de les remplacer parce que faut manger à la place, n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Il a arrêté l'école à même pas seize ans, prenant la responsabilité d'être le meilleur sujet d'inquiétude familiale. Nouveau problème, puisque sachant l'absence de son père, ces adelphes aimants, bien que réprimandeurs lorsqu'il le fallait, l'ont toujours gardé dans un coin de leur crâne. Si bien qu'il a toujours été excusé, d'une certaine manière, d'un manque qu'il n'a jamais vraiment ressenti avant de se comparer aux autres.

Ca l'a rendu envieux, au départ, et très en colère aussi, de voir ces mômes ramenés par leur vieux alors qu'il devait rentrer tout seul à l'appartement sous la pluie, sans personne à qui tenir la main. A l'inverse, il ne comprenait pas ce qu'il y avait de mal à être déjà si "grand" à son âge, alors, Cormac s'est prit d'amour pour s'essayer aux pires choses interdites que les grands font sans qu'on leur demande. La liste s'est rallongée, jusqu'à sa prise de Red il y a trois mois, apothéose d'une vie à la dérive. Y'avait toujours un oncle pour dire que ça le forgeait et qu'il fallait pas s'inquiéter, là où sa mère, sa tante qui elles l'ont élevé au plus près, étaient aussi mortes d'inquiétude que désarmées. C'est paradoxalement lorsqu'il faisait ses heures d'entraînement à la salle de boxe qu'elles se sentaient le plus en paix, après des années à poursuivre un enfant qui était incapable d'arrêter ses crétineries dangereuses.

Des études ? Pas d'études non, pas plus qu'il n'aura travaillé durant toutes ces années. Zoner, ça, c'était une activité plus lucrative, parait-il. Sa triade était toute trouvée : boxe - pub - drift. Ses consommations étaient d'ailleurs récupérées par sa pauvre tante qui devait s'arranger avec le tenancier après ses soirées trop arrosées. Certains de ses potes allaient jusqu'à vouloir détrousser les plus jeunes, à un moment, mais Cormac était pas de ce bois là, quant bien même ça lui aurait quand même procuré une certaine fierté auprès du groupe, ça n'avait rien à voir avec le genre de conneries qui lui foutaient le franc sourire sur la gueule. Sa vie, son île et sa famille, y'avait pas plus à calculer que ça en vérité.

C'est dire si en 2005, ça lui a fait de la peine de voir New York partir en fumée : c'est plutôt savoir si la famille là-bas était OK qui l'importait. Faut dire qu'il était encore minot et que sa seule remarque aura été de choisir un camp, là où on ne lui avait rien demandé : pro-mutant ce serait. L'humain aime compartimenter, juger, s'entraîner les uns contre les autres, que ce soit dans le sport ou dans les guerres, et Cormac n'est pas plus évolué que le commun des mortels.

Alors quand on lui a parlé de New Blossom comme un moyen de le foutre dehors (vers un meilleur avenir, qu'elles disaient), la première chose à laquelle il a pensé, c'est de quelle façon il pourrait gratter la masse de thunes avant de pouvoir s'offrir une dose de V. Bon, revoir aussi Hayes et aussi travailler un peu, c'est vrai que ça pesait aussi (surtout Hayes), mais en attendant, y'avait surtout la carotte pour lui faire prendre le premier avion et jouer au parfait immigré avant de pouvoir récupérer sa carte verte. Une place toute trouvée au Carré d'As, une piaule gentiment offerte ainsi que le couvert, y'avait pas à dire, ça sonnait comme l'aventure et il en rêvait.

C'était y'a quatre mois, son pays lui manque, la mer aussi, qui a pas du tout la même gueule qu'ici. Il s'est aventuré dans l'Underapple trop vite, a claqué son premier salaire pour une dose, doublé d'un endettement qu'il ne saurait régler aussi tôt qu'espéré. Cormac, depuis, vit une crise transitoire mais existentielle ; il sait pas si c'est le Red qui lui fait autant penser à son père alors qu'il l'a jamais autant fait qu'à huit ans et demi, il sait pas non plus si c'est le Red qui lui donne une rage supplémentaire pour avancer, mais quoiqu'il en soit, le gamin est devenu mutant et il a hâte de pouvoir se prétendre apprenti des Sept, ne serait-ce que pour prouver à tous que la déception d'une lignée peut devenir son meilleur espoir à redorer.

DERRIÈRE L'ÉCRAN

Pseudo : vel Genre et Pronom(s) : osef Âge : j'arrive à un âge trop sérieux Région/pays : Cocorico Comment avez-vous connu le forum ? En cherchant Autres commentaires ? Merci de me supporter depuis tout ce temps, c'est apprécié Crédits : depraysie (avatar)

Mackie, mon neveu/pas-vraiment-mais-hé-la-mif-c'est-la-mif natural born idiot (mackie) 139611567

On fera un homme un peu plus dégourdi et moins pauvre de toi natural born idiot (mackie) 737227058

Et puis, chtaime toi, quelle joie de découvrir ce nouveau perso natural born idiot (mackie) 1429850214

merci @hayes fitzsimmons comme au bon vieux temps, le choc des titans (et des clémentines, imagine) natural born idiot (mackie) 4084237613

05/05/2023

Découvrir tes personnages est toujours un plaisir, celui là fait pas exception à la règle natural born idiot (mackie) 1553461418

J'aime beaucoup trop ce nouveau bébé natural born idiot (mackie) 3134486888

Bienvenue à cette nouvelle pépite que j'ai hâte de découvrir en jeu natural born idiot (mackie) 4169462755

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Robin Hood of Life ✧

All that I want is to see
all the things that I could be
Destiny's
calling me

merci d'être passée par là ça fait plaisir natural born idiot (mackie) 4084237613

Rebienvenuuue Chaton!

Vraiment un plaisir de découvrir les personnages qui sortent de ta tête! Tes fiches sont toujours dynamiques et donnent bien le ton!

Amuse-toi bien avec lui heart

@harper haywood ticoeur

10/02/2023

BIENVENUE OFFICIELLEMENT

Félicitations, tu es validé.e ! Et allez, encore un coup de coeur intense ! tear

Cormac est trop bien, ta fiche est trop bien, ce perso promet terriblement (cette ambition de devenir apprenti, please, PLEASE, j'étais pas prêt pour la phrase finale de ta fiche natural born idiot (mackie) 3917839045

) et mince, comment on se remet quand quelqu'un nous chamboule le coeur comme ça, hein !? Il est parfaitement paumé (quoique, il va bien finir par choper une boussole à tout attirer comme ça), terriblement attachant et on a qu'une envie, c'est de voir la suite de son évolution !! Alors file jouer avec cette beauté et surtout, éclate toi bien avec ! heart

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