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tw: violence physique et verbale
Les murmures de la vie de tous les jours ne te parviennent pas vraiment. Icarus, Ladyhawk, les sept... tout ça, ça ne fait pas partie de ton quotidien et tu dois bien avouer que tu t'en contrefiches. La seule chose qui compte, ce sont les ordres plus que précis de Robin qui guident chacun de tes pas et la mission du jour n'a pas été bien différente.
On t'a mis en charge de la sécurité d'une supérette dans l'Underapple, et ce pour quelques jours. Le rythme peut paraitre lent et même un peu chiant pour cartains, mais décidément pas pour toi. Tu veilles au grain, surveillant les allées et venues des différents clients, repérant les visages qui sont familiers, les gens qui sont trop pressés, ceux qui sont un peu désespérés et ceux qui sont de bonne humeur ou au contraire. Et pour certains, tu es juste là pour leur ouvrir la porte, leur donner l'heure ou même leur indiquer où se trouve tel ou tel article dans les rayons. Ce n'est pas ton rôle, tu le fais quand même, avec un petit hochement de tête pour la personne derrière le comptoir. Tu as plusieurs armes sur toi, ton M9 visible dans l'holster que tu as sur l'épaule, un couteau dans ta botte droite, un teaser modifié dans la gauche et le plus important aussi, tes poings, tes bras croisés sur ta poitrine alors que les heures passent. Cela ne te dérange pas vraiment de te tenir debout et tu trouves même cela reposant comme exercice maintenant que tu y penses bien. À 17 heures très précisément, la relève arrive, un autre employé de The Guard, qui va se charger de la surveillance pendant ce début de soirée et même durant toute la nuit. "Je reviens à six heures, s'il y a une urgence, j'ai mon téléphone portable sur moi." Voilà ce que tu dis à l'autre homme, et vous vous serrez la main, avant que tu ne t'éclipses. Ton plan est simple pour le reste de ta journée, passer à Tales of Times récupérer ta commande auprès de Freyja et retourner à la surface. Faire les courses, pour cuisiner un repas pour toi et ton fils pour ce soir. Histoire de t'assurer que l'estomac de Desmond est bien rempli et qu'il mange autre chose que des conneries achetées dans Solaris ou même dans le Metaworld.
C'est ta seule pensée en tête et tu remontes, arrivant à la bordure, à Crimson Bay, faisant un détour dans les rues familières. Et la première chose que tu remarques, c'est que la porte de la librairie est ouverte. Pas quelque chose de judicieux à faire dans cette partie de la ville. Tu fronces les sourcils, regardant par-dessus ton épaule et tu rentres tout de même. Tu refermes la porte derrière toi, par pur réflexe et tu ne sais pas pourquoi, sûrement l'habitude de faire ça, tout en toi te conjure d'attraper ton arme. Ce que tu fais, le Beretta trouve tes mains, la sécurité est enlevée et tu évolues à pas feutrés entre les allées de livres et de poussière, à la recherche de la propriétaire. Il ne te faut pas longtemps pour la trouver, Freyja n'est pas seule, une autre personne, un homme plus grand que toi balbutie des mots dans sa direction. Ce qui te dérange le plus, c'est le couteau qu'il a entre les mains et qu'il agite dans la direction de Freyja. Il ne t'a pas encore vu et tu en profites pour te placer juste derrière lui, posant le canon de ton arme entre ses deux omoplates. "Bonjour, je pensais qu'on laissait ses armes à la porte dans ce genre de lieu respectable... On ne voudrait pas fâcher la propriétaire, n'est-ce pas ?"

ft.  @Freyja Olsen
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Seule dans la librairie, ces compères étant en mission pour la journée, Freyja s'occupe de ranger dans les rayons la dernière commande de livres reçue. Normalement, la journée va être tranquille, peu de monde ne devrait passer pour l'arrière boutique, les mercenaires ont tout fait pour. Comme à chaque fois que la maison ne se retrouve gardée que par une seule d'entre elle. Pour plus de sécurité. Il n'y a qu'un client qui passe pour une commande d'une arme de poing en début d'après-midi. Sinon, ce ne sont que quelques clients pour la librairie même, des gens qui ignorent le véritable business du commerce. Une petite agitation pendant une petite heure, avant que la librairie ne retrouve son calme, permettant à la Olsen de s'engager dans les rayonnages pour classer quelques livres. Et c'est alors qu'elle est dans le fond de la boutique, que la clochette de la porte se fait entendre, signifiant l'entrée d'un nouveau client.

- BELLONE ! TU M'AS ENCORE VOLE UN CLIENT SALE GARCE !

Le cri résonne dans la boutique moins d'un quart de seconde après que le tintement de la clochette annonçant la fermeture de la porte se soit fait entendre. Immédiatement, Freyja saute sur ses deux jambes pour rejoindre la zone principale d'où le cri a été émis par une voix masculine. Un homme que Freyja reconnaît à l'instant même où ses iris se posent sur lui. Un ancien client à elle, qui a décidé il y a quelques mois d'entrer de devenir pourvoyeur d'armes au marché noir, tout comme elle. Sauf que pour faire ce genre de mercenariat, il faut un certain talent, et autant le reconnaître: l'homme en colère à quelques pas d'elle, n'a pas ce talent. Il n'en a guère d'ailleurs.

- Je ne vous ai rien volé du tout. C'est juste que je fais de l'excellent travail, moi.

Petite pique gratuite, qui lui donne un léger sourire, alors qu'elle continue à marcher doucement en direction de son comptoir. Histoire d'être au plus près de son arme de poing, au cas où. Au cas où elle a besoin de s'en servir pour se défendre, car la colère du brun est des plus visibles. Elle jurerait d'ailleurs que le rouge lui est encore plus monté aux joues depuis qu'elle lui a répondu.

- COMMENT OSES-TU ?

La question s'élève haute et forte, alors que l'homme esquisse quelques pas vers elle pour la saisir par le bras. Sa main l'enserre avec force, et sur le coup, Freyja ne peut retenir une exclamation.

- Aïe !

L'onomatopée lui échappe alors que l'homme se met à la tirer pour l'entraîner dans les rayons de livres, plus loin. Loin des vitrines, de la porte et de la rue. Là, ça ne sent pas bon, pourtant, Frey' ne laisse rien transparaître, et tente simplement de se défaire de l'emprise de l'homme. En vain. Mais ces mouvements agacent l'homme qui s'emporte à nouveau contre elle, crie et balbutie des mots que la brune entend à peine, trop focaliser à tenter de lui échapper. Enfin... Jusqu'à ce qu'un couteau fasse subitement son apparition devant son regard, glaçant le sang de la Olsen.
Si au début elle pensait que le brun serait inoffensif, juste là à crier un peu, désormais, elle se dit qu'il pourrait peut-être aller plus loin qu'une simple intimidation. Et bien sûr, cela devait lui arriver quand elle est seule à la librairie. Intérieurement, elle se maudit d'avoir laissé la porte de la boutique ouverte... Mais ce n'est pas le moment de penser à ça. A la place, elle lève doucement les deux mains après que l'homme ait lâché sa prise. Et bien qu'il continue à lui parler, elle ne l'entend plus, observant juste sa main qui tient son arme et s'agite, réfléchissant à où frapper sans qu'elle ne risque quoi que ce soit.

Et puis, soudainement, les yeux de la mercenaire sont attirés par une ombre derrière son attaquant. Une ombre qui se faufile rapidement entre les rayons, et qui se fait de plus en plus net alors qu'elle s'approche. En une fraction de seconde, Bellone reconnaît le nouvel arrivant: Ezra Knowles. Un fidèle client depuis des années. En qui elle peut avoir confiance, ce qu'elle sait pour avoir mené une enquête sur lui. Après tout, il faut toujours assurer ses arrières, vérifier que les clients fidèles ne sont pas en lien avec les autorités, ce qui serait dangereux pour le business.
Ezra qui prend la situation en main, sortant son arme pour mettre en joue l'homme qui ne l'a toujours pas entendu. Et quand le brun le sent, il s'arrête soudainement de vociférer et après quelques secondes, alors que le nouveau venu prend la parole, il lâche le poignet de Freyja qui en profite pour se dégager avec un pas sur le côté.

- Ce monsieur ne semble pas aimer respecter les règles.

Souffle-t-elle, tout en s'écartant d'un nouveau pas, saisissant son poignet pour le masser.

- Mais évitez de mettre du sang partout s'il vous plaît. C'est difficile à nettoyer.

Lâche-t-elle après quelques secondes qu'elle prend pour se redonner une contenance.

ft.   @Ezra Knowles  
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Tu vis ici, dans ces rues, New York ou New Blossom, peu importe le nom qu'on veut leur donner, depuis suffisamment longtemps. Assez pour développer un véritable sens du danger et savoir quand quelque chose cloche. Pour approcher avec une certaine prudence et pour te sortir de situation qui sont considérées comme dangereuses pour certains. C'est de cette façon-là que tu as pu survivre aussi longtemps et aussi comme cela que tu sais que regarder par-dessus son épaule est quelque chose d'important et de crucial. Tu essayes d'apprendre cela aussi à Desmond, ton fils, quoi que... tu ne veux pas que ton fils vienne trainer de près comme de loin à Crimson Bay ou même l'Underapple, tu préfères qu'il reste à la surface. Tu sais que c'est totalement hypocrite quand on sait que techniquement l'Underapple c'est plus chez toi que le Nexus. Mais si être hypocrite te permet de survivre, alors tu ne vas certainement pas dire non. Pour l'heure, ton instinct était des plus justes et tu es content de voir la propriétaire de l'établissement se dégager de la prise de cette ordure. Tu devrais tirer vraiment, lui mettre une balle dans la tempe et te débarrasser du cadavre plus tard. Tu pourrais le faire, tu as les moyens de le faire, mais tu ne fais pas partie de ces hommes qui réagissent au quart de tour. Dieu merci, non, tu n'es pas de ce bord-là, tu conserves ton calme, tu regardes Freyja, puis l'homme qui essaye de te regarder. Il a toujours son couteau à la main, mais il doit savoir que peu importe le scénario, tu seras toujours plus rapide que lui. "Ce monsieur devrait savoir que les règles sont là pour être respectées et que sans respect ou sans règles, on ne fait pas grand-chose dans ce monde."
Tu le dis sur le ton le plus las du monde et parce que tu y crois mine de rien à ces mots. Le chaos et l'anarchie ? Tu les as vus suite à l'effondrement de la ville, tu as dû élever un gamin sous les ruines et tu n'es pas de ceux qui veulent retourner à un tel merdier. Merci bien. Et les règles de Freyja sont assez directes et simples pour être respectées. Tu les enfreins dans un sens aujourd'hui, avec ton arme, mais c'est pour la bonne cause. Tu l'écoutes, la propriétaire et tu hoches la tête. "Je comprends, je dois vous dire que cela ne dépend pas de moi." Que tu déclares et tu fais un signe de tête vers la troisième personne de la pièce et l'homme que tu tiens toujours en joue."Cela dépend de lui et..." Ton regard se pose de nouveau vers Freyja. Tu n'aimes pas les injustices et certainement pas à ce qu'on s'en prenne à plus faible que soi. Désarmée qui plus est. Une règle que tu as apprise sur le ring, à l'époque des combats, et une règle à laquelle tu essayes de te tenir toi-même, toujours trouver un adversaire à sa taille. Sans cela, il n'y a pas vraiment de victoire, sans cela, il n'y a pas vraiment d'honneur en réalité. "De ce qu'il vous a fait subir avant que je n'arrive." Que tu termines sur le même timbre de voix un peu faible. L'homme prend la parole, le couteau s'agite et il vocifère.

"Si j'avais fait quelque chose cette salope ne serait pas deb..."

Tu ne le laisses pas finir sa phrase, non, tu décides que tu n'aimes pas son ton et tu lui fous un coup dans la jambe droite, avec ton pied, fort, assez pour que son couteau tombe sur le sol et assez pour qu'il se retrouve à genoux devant toi la seconde suivante."Est-ce que j'ai dit que vous pouviez parler ?" Tu poses la question, de pure rhétorique pour le coup et cette fois-ci, tu poses ton M9 directement sur son front. Tout de suite, la panique s'installe sur son visage et s'il ouvre la bouche, il la referme tout aussi facilement, il comprend qu'il n'est pas en position de faire des demandes ou même de protester en réalité. "Donc, reprenons depuis le début... que s'est-il passé et de quoi vous accuse-t-il ?"


ft.  @Freyja Olsen
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La main l'enserre avec force et violence, empêchant Freyja de rejoindre son comptoir et son arme de poing. Ce qui lui aurait été d'une grande utilité. Surtout quand elle voit le couteau qui apparaît dans la main de l'homme qui lui fait face. Alors là, elle est en très mauvaise posture, et son coeur qui bat à la chamade ne l'aide pas à s'apaiser pour tenter de reprendre la situation en main. Les insultes fusent de la bouche de son ennemi qui crie et vocifère si fort, qu'il n'entend pas la clochette de la porte d'entrée de la librairie qui tinte. Tout comme il ne voit pas l'ombre qui se faufile jusqu'à lui pour le menacer de son arme. Une action qui permet à la mercenaire de s'extirper et de s'éloigner de son agresseur, tout en entamant la conversation avec son sauveur inattendu.

- Sans règle, le monde part dans tous les sens.

Souffle Freyja, approuvant les dernières paroles d'Ezra, ses doigts massant toujours son poignet encore endolori par l'enserrement qu'il a connu quelques instants auparavant. Puis elle inspire doucement pour se redonner une contenance après ce qu'elle vient de vivre. Et quand elle se sent un peu mieux, elle ne peut s'empêcher de faire un commentaire sur le sang qu'elle aimerait ne pas voir s'étaler de partout. Car, pour elle, il ne fait, à cet instant, que peu de doute sur la suite des choses. Et ce n'est pas elle qui va pleurer pour l'homme qui vient de la menacer, tout ça pour une histoire de clients. Il ne faut pas s'aventurer dans une entreprise comme celle que mène la Olsen, quand on est pas doué pour les affaire. Ni pour assurer ce qu'on souhaite vendre. Et puis, Freyja est sur le marché depuis bien plus longtemps que lui, et sa réputation la suit. Sa très bonne réputation la concernant.

Pour être un très bon mercenaire aussi, il faut savoir garder son sang-froid, ce qui n'est pas le cas de l'homme qui l'a attaqué. Oh non... Et preuve en est le nouveau manque de sang-froid dont il fait preuve en entendant Ezra. Son couteau s'agite encore entre ses doigts, comme s'il est prêt à attaquer, faisant comme fi de l'arme qui est pointée sur lui. Pourtant, face à elle, il n'a aucune chance.

- Si j'avais fait quelque chose cette salope ne serait pas deb..

Il n'a pas le temps de finir sa phrase. Mais il n'a pas besoin, ils ont très bien compris où il voulait aller. Mais il n'aurait pas du, car Ezra prend à nouveau les choses en mains, sans que Freyja ne bouge d'un millimètre, malgré la proximité de la scène qui se passe. Elle ne peut même s'empêcher de sourire un court instant. Légèrement. Un petit rictus qui disparaît rapidement, alors que son sauveur se tourne vers elle pour reprendre la conversation. Que s'est-il passé ? Rien de plus simple.

- Cet homme est entré dans mon humble boutique alors que je travaillais dans les rayons, et il est venu directement me menacer et me hurler dessus, avant de me menacer avec un couteau.

Simple et efficace comme description des faits. Maintenant, au tour de la raison.

- Tout cela, tout ce non respect de mes règles les plus basiques, parce que je mène mieux ma barque que lui.

Lâche-t-elle simplement, haussant les épaules, avant de laisser ses iris retomber sur l'homme toujours à genoux.

- Il a tenté de monter son propre commerce, identique au mien, et a tenté de me voler des clients. Mais ceux-ci reviennent toujours vers moi. A se demander pourquoi...

La dernière phrase est une petite pique, qui lui donne un petit rictus amusé.

- En tout cas, je vous remercie, car je crois que vous venez de me sauver d'un sort bien triste. Ou funeste.

Elle ne sait pas exactement ce qu'il lui aurait fait, mais elle imagine le pire.

ft.   @Ezra Knowles  
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Il est à genoux maintenant et il est à merci. Ce parfait inconnu et cet homme qui manque clairement de respect et de savoir vivre. Une vie humaine est juste là, devant toi, tu pourrais y mettre fin d'une simple pression de tes doigts et cela ne te dérange pas d'y penser. Cela ne t'effraie même pas alors que la respiration de l'autre homme se fait bruyante quand tu poses la question à la propriétaire des lieux. Vraiment, tu pourrais mettre fin à sa vie sans y penser, sans sourciller, en le regardant droit dans les yeux et sans te dire que quelque chose cloche chez toi. Tu as déjà regardé la mort en face, celles des autres, la tienne quand elle est un peu trop près. Cela ne te rend pas plus nerveux d'y penser, du tout même. Tu es calme, alors que tu prends la mesure de la situation et que les explications de Freyja arrivent tout simplement. Ce qu'elle décrit te fait froncer les sourcils et tu réalises que sans ton arrivée, tout ça aurait pu prendre une tournure bien différente et encore plus néfaste. Cet idiot a voulu jouer, il a perdu, et au lieu d'accepter cela et de tenter de se relever, il fait des vagues et décide de s'en prendre à la concurrence. C'est non seulement moche et petit, mais ça veut tout dire sur lui.
"Je vois." Tu prends une profonde inspiration, l'arme toujours pressée contre le front de son dernier, tu ne montres aucun signe d'agression, malgré la position et rien n'indique que tu aurais potentiellement changé d'avis. Rien du tout. "En plus d'être déloyal et lâche, vous êtes un mauvais perdant et rancunier, définitivement pas une très bonne combinaison." La pire en réalité, et tu sais que Crimson Bay regorge de petits cons dans son genre, et si vous ne vous en occupez pas maintenant, il va bel et bien revenir. Probablement accompagné et pour continuer de s'en prendre au business de Freyja. Ce qui t'embête personnellement et pas juste sur une question d'éthique en réalité. Cependant, la décision ne te revient pas, et ça, tu le sais, tu n'es pas un idiot toi-même et tu ne tues pas les gens sans véritable raison ou même motivation. "Mais je ne suis pas celui que vous avez attaqué, donc votre sort ne repose pas entre mes mains malheureusement."
Alors que tu dis cela, ton arme se baisse, lentement, tu peux toujours agir si cet idiot tente quoi que ce soit, mais tu ne vas certainement pas appuyer sur la détente. Après tout, Freyja vient de dire qu'elle préférait éviter les effusions de sang. Ce que tu peux comprendre, non, personne ne viendra poser de questions ici, décidément pas dans cette partie de la ville, mais cela est bien chiant à nettoyer et nécessitera du travail en plus, donc autant éviter cela. "Je peux faire ça sans laisser de traces et me débarrasser du corps, mais c'est à vous de me dire comment vous vous voulez que je procède, Freyja." Le choix lui revient, tu ne lui as jamais vraiment parlé de tes capacités et ce n'est pas comme si tu t'amusais à crier cela sur tous les toits, mais tu pourrais le faire. Te concentrer suffisamment et manipuler les courants électriques dans le corps de cet idiot, et ne pas juste tout ralentir, mais arrêter son cœur pour de bons et faire en sorte qu'il ne se relève plus et qu'il ne vienne plus jamais ici.

ft.  @Freyja Olsen
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