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Memento vivere Ϟ Charly
(#) Ven 15 Sep - 16:33
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Quoi qu'il en soit elle vient d'accéder à l'exigence de ce videur. Celui qui lui a bien stipulé que les familiers robots n'étaient pas autorisés à l'intérieur et que les yeux doux n'y changeraient rien.
C'est une autre stagiaire chez Icarus qui lui a parlé de cet endroit où, selon elle, ils ne sont pas toujours très regardant sur l'âge. Pour peu qu'on sache convenablement se tenir, du moins. Zoey le perçoit comme une preuve de confiance. Et si elle est venue ici après avoir été exploitée par Sloane toute la journée, ce n'est pas pour causer des troubles. Mais plutôt pour se détendre, se changer un peu les idées et puis, surtout, découvrir cette super salle depuis laquelle, dit-on, on peut se connecter au Metaworld.
Mais pour l'instant elle s'accorde surtout quelques instants pour jauger l'ambiance des lieux. L'ambiance et la clientèle. Zoey n'a pas pour habitude de fréquenter ce genre d'endroits. Son enfance a pris place dans les restaurants chics. Oui, ceux qui sont peuplés de gens qui sont plus intéressés par le succès que le fait de savourer l'instant présent. Cet endroit respire la nouveauté, pour elle. Et la nouveauté, c'est ce dont elle a besoin pour tromper un peu ce chagrin qui lui colle au corps depuis la disparition de sa mère.
Alors quelques secondes plus tard elle s'avance vers le bar et s'installe sur l'un des tabourets qui le bordent. Un peu à l'écart des autres. Non, elle n'est pas venue sociabiliser. Juste boire un peu. Juste assez pour retrouver cette délicieuse sensation de légèreté que l'alcool peut vous procurer. La voici donc qui tapote impatiemment de ses doigts sur le bar, estimant sans doute que le service n'est pas assez rapide à son goût. S'il y a bien un avantage avec les établissement guindés, c'est encore le fait que le personnel se fait un devoir de ramper à vos pieds pour satisfaire vos envies.
Dans tous les cas Zoey essaie de donner le change : elle se tient bien droite, compte sur sa tenue hors de prix pour donner l'illusion qu'elle est une femme qui gagne bien sa vie. Et qui mérite donc d'être servie au plus vite pour peu qu'on ait envie d'un généreux pourboire.
(#) Mar 19 Sep - 13:38
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Læ client·e est roi/reine. C’est une phrase qui se répète d’entreprise en société. Il faut se plier en quatre pour læ contenter, encaisser, sourire, ne pas réagir, tendre l’autre joue. Le but est qu’iel reparte satisfait·e, enclin·e à effectuer de la bonne pub, répandre la bonne réputation, revenir dépenser son fric, læ faire se sentir privilégié·e. Mensonge qui court depuis des décennies. La clientèle n’a pour seule utilité que de remplir les caisses en vidant ses poches. Iels se sentent tout· puissant·e, mais l’argent donné n’est qu’un autre moyen que de réaliser un troc.
Læ client·e est roi/reine. Pieu mensonge si l’on regarde le sort réservé à la royauté dans le vieux pays français. Iels font une tête de moins. Aussi, il est intéressant de noter qu’un·e client·e de moins n’a absolument aucun impact dans une entreprise/société habituée à accueillir beaucoup de monde – habitués·es comme nouvelleaux – chaque jour/soir. Une personne de plus ou de moins : on ne verra rien.
« Læ client·e est roi/reine » est une phrase de merde qui doit cesser sans plus tarder. Certes, c’est la clientèle qui fait vivre l’entreprise/la société, mais rien ne les autorise à se comporter comme des trous de balle. Et il y a de tout. De la connasse bourgeoise au dragueur lourdingue. Du vieux gênant au jeune sans gêne. Du cradingue à la princesse bouche de cul de poule. De la tentative de gratter une boisson gratuite au chouinage du prix “exorbitant” – sait-on, jamais que læ barman ait pitié et baisse le prix. Non.
Ce soir. Les lourdingues et les sans-gênes ont, semble-t-il, décidé d’être de sortie puisque te voilà à intervenir au comptoir aux côtés de l’une de tes employés·es qui ne parvenaient pas à se dépêtrer poliment d’un d’entre eux. Tu es persuadé que chacune des personnes que tu as embauché est capable de se débrouiller, mais leur bien-être et leur sécurité est l’une de tes priorités en tant que patron. De plus, personne n’a a touché un·e employé·e de la boîte. Tu t’en carres l’oignon que ce soit pour être gentil ou non. S’il recommence, tu n’hésiteras pas à faire appel à un videur de la boîte pour que ce traîne-savate dégage du club. Et tu le feras devenir persona non grata si elle te fait part de son insécurité.
Tu as conscience qu’avec ce type de club, qu’avec tout ce monde, des débordements peuvent subvenir.
Il est ton devoir d’arracher ces miasmes à la racine.
Tu en es là à discuter avec ton employée, à lui demander si elle se sent apte à continuer que tu entends une phrase fort désagréable.
— Eh ! Y'a moyen d'avoir un truc à boire, s'il-vous-plaît ?
Læ client·e est roi/reine. Cette phrase a tendance à faire oublier à la clientèle que les employés·es sont des êtres humains·es et ont droit au même respect qu’elleux.
Tu te tournes une dernière fois vers ton employée, écoute sa réponse positive et tu l’encourages à au moins prendre sa pause maintenant qu’il y a un peu moins de monde. Tu vas t’occuper de cette jeunette. Tu t’approches, sourire poli de façade, prêt à entendre sa commande. Tu n’as pas entendu son “bonsoir”, elle n’obtiendra pas le tien.
— Vous acceptez les Metacoins, j'suppose ?
— Metacoins, Lioncoins, Dollar. Nous acceptons tout tant que vous êtes la propriétaire de cette monnaie et que vous êtes majeur.
Ce dernier point a pour but de tester. Ce n’est pas la première fois que des mineurs se fassent passer pour des adultes et se comportent avec une telle impolitesse pour se faire passer pour des grands. On te demanderait ton avis, tu laisserais entrer ta clientèle en fonction de la majorité écossaise, ton origine, soit seize ans. Mais les lois de New Blossom ne sont pas de cet avis et tu n’as pas d’autres que de t’y plier. Pourtant, tu as conscience que tes videurs ne peuvent pas demander à tout le monde sa carte d’identité. Chronophage infaisable.
— J'vais prendre... Le truc le plus fort qu'vous ayez ! Et qu'ça saute, mon brave !
Derrière tes lunettes teintées, tu arques un sourcil. Tu pensais épargner la jeunette en lui verser un malibu/ananas pour l’épargner dans son désir de rentrer dans la cour des grands, mais sa façon de te parler comme si tu n’étais qu’une vulgaire paire de chaussette balaye toute forme de pitié. C’est ainsi que tu verses devant elle un shot, l'alcool que tu as le plus fort.
Mais tout d’abord !
Le paiement.
Le prix est légèrement élevé, mais ce n’est pas pour rien.
— Baijiu. Alcool chinois réputé comme étant le plus fort du monde, expliques-tu après la transaction. Vous m’en direz des nouvelles, souris-tu..
Comme tu es magnanime, tu lui offres une coupelle de nourriture apéro sur le comptoir et prépare en cachette un verre de lait au cas où tu doives lui porter assistance.
(#) Mer 20 Sep - 5:13
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La rouquine fouille dans son sac pour en extirper sa carte. L'argentée, celle qui stipule qu'elle n'a pas des fonds illimités mais qu'elle n'est pas à plaindre non plus.
La voici donc qui jauge le serveur de son air sceptique. Mais quel intérêt aurait-il à empoisonner sa clientèle ? Ce serait plutôt mauvais pour la réputation de son établissement. Et puis il n'a pas encore tenté de lui faire signer une décharge qui stipule qu'elle accepte la mort non plus. C'est... plutôt encourageant.
Les toutes premières secondes il ne se passe pas grand chose. Puis ça commence à la brûler. À vraiment la brûler. Zoey se retrouve même à saliver de manière indécente alors que son corps proteste contre cet alcool qui lui ravage la trachée. Les larmes roulent malgré elle sur ses joues, suivies d'une quinte de toux qui lui donnent l'impression que ses poumons veulent lui fausser compagnie.
Mais l'effet est là, au moins. Son cuir chevelu picote et elle sent bien que l'alcool lui monte déjà à la tête. Ce qui était tout de même le but recherché.
Lorsqu'elle revient s'installer au bar elle est toujours aussi blême. Mais au moins elle se sent déjà mieux. Et elle a un peu honte. Parce qu'elle passe pourquoi, hein, là ? La fragile de service ?
(#) Dim 24 Sep - 11:50
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— On fait un truc, okay ? Vous vous prenez un joli pourboire et vous oubliez les questions un peu pénibles sur mon âge !
Tu arques un sourcil, quelque peu étonné de l’arrangement proposé, mais tu acceptes la carte pour non seulement lui faire payer l’alcool, mais aussi ledit généreux pourboire. Vendu ? Peut-être. En Écosse, la majorité s’élève à seize ans et les mioches n’ont jamais causé plus de problèmes que cela. Peut-être que la délinquance est encouragée par la notion d’interdit. Si on n'emmerdait pas autant la population en fixant autant de barrières pour des raisons merdiques, peut-être qu’il n’y aurait pas de réfractaires ou qu’iels seraient minoritaires, une masse plus silencieuse qui n’auraient que de faibles arguments pour se défendre.
Dans le temps, tu étais un puriste qui s'interdisait toute modification corporelle interne et externe. L’évolution non naturelle était hypocrite. C’était se prendre pour un dieu en pactisant avec le diable. Et regarde-toi maintenant.
— Du... Beyijui ? Et vous êtes bien certain qu'c'est sans danger, ce truc ? C'est pas à base de chien ou de.. de j'sais pas trop quoi, hein ?
Tu retiens tant bien que mal un ricanement moqueur. Typique des jeunes enfants qui découvrent le monde sombre des adultes.
— Le baijiu est produit en Chine depuis plus de deux mille ans. Il peut avoir une base de sorgho fermenté, de riz, de blé ou d’autres céréales. Si cela vous intéresse, son taux d’alcool est de soixante degrés. Celui que je vous propose contient des saveurs fruitées.
Ce que tu ne précises pas, c’est que, étonnamment, il ne s’agit pas d’un alcool de luxe et peut se trouver dans les bars plus humbles pour seulement deux dollars. À trois mille dollars pour le plus luxueux. Ce n’est pas ton cas. Il faut que cela soit accessible pour tout le monde pour que The Void s’enrichisse encore plus.
— Bon, bah... À la guerre comme à la guerre ?
Et tu la regardes boire son shot cul sec et savoir presque ce moment où elle comprend son erreur. Le temps que la jeune femme revienne à la surface, tu poses ton verre de lait et lui explique très rapidement que cela a aide à soulager la sensation de brûlure. Assez efficace aussi avec le piment.
— Pu... Putain !
Cette fois, tu ne retiens pas tes ricanements.
— C'pour ça qu'j'aime pas les communistes... Ils nous veulent du mal, moi j'vous l'dis ! C'est légal, au moins, c'machin ?
— Il a eu du mal à s’implanter sur le marché américain, mais il est parfaitement légal, réponds- tu factuellement.
Ton sourire moqueur est toujours là.
Discret, mais présent.
— Elles sont où les toilettes ?
Tu remarques son teint pâle et comprends aussitôt la problématique. Tu pointes du doigt la direction la plus rapide et la regarde filer comme le vent. tu n’as plus qu’à espérer que cette jeunette atteigne à temps un wc et n’en mette pas partout.
— P'tit problème de femme !
Ouiiiiiiiiii…
T’opines du chef, prêt à l’aider à rester aussi digne que ridicule. T’as beau ne pas travailler derrière le comptoir, ce n’est pas la première fois que tu assistes à ce genre de moment.
— Vous auriez du coca ?
— Buvez un verre d’eau en premier avant. Je veux bien fermer les yeux sur votre âge pour cette fois, mais je refuse que vous vomissiez sur le comptoir, rabroues-tu en tendant un verre d’eau et en lui rapportant la gamelle de cacahuètes.
Ce n’est pas parce que tu t’amuses à porter la casquette de serveur que tu oublies que t’es le patron de ce club et que tu n’acceptes que moyennement les clients·es qui salopent le lieux de travail de tes employés·es. Cela dit, tu n’omets pas de préparer le fameux coca pour la jeunette. Le plus grand pour satisfaire l’américaine en face de toi.
Étant donné que la jeune femme n’a pas récupérer sa carte, tu en profites pour encaisser immédiatement la boisson gazeuse. Par la même occasion, tu lui demandes si elle souhaite continuer de consommer ou si elle escompte se rendre sur la piste de danse.
— Avez-vous besoin que je vous détaille les différentes salles ou savez-vous ce que vous souhaitez ?
(#) Mar 26 Sep - 5:58
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Alors lorsque que le serveur lui annonce que le produit est légal mais qu'il a de la peine à se faire une place sur le marché américain, Zoey ne peut pas vraiment s'empêcher de ricaner. Bon, en vrai, elle n'essaie même pas.
Quoi qu'il en soit et pour elle, en tout cas, il est l'heure d'aller aux toilettes. Le temps que le désagréable effet de l'alcool dans sa gorge s'estompe, et que cette salive envahissante disparaisse. Ce n'est que lorsqu'elle revient au bar qu'elle se commande un coca, et que l'autre insiste pour lui servir un verre d'eau avant toute chose. Pour pas qu'elle dégueule sur son comptoir, selon lui.
Et encore plus que ça s'il s'est mis en tête de répondre à ses questions. Cela dit l'offre est bienvenue, et Zoey aurait effectivement besoin qu'on lui présente un peu les lieux.
(#) Dim 15 Oct - 10:22
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Tu ne relèves pas sa critique sur le manque de goût fruité. Tu ne bois que très peu de cet alcool directement importé de Chine. Peut-être qu’un expert en vin lui conseillerait de mâcher le liquide pour en réveiller des goûts et des saveurs, mais tu ignores si cela fonctionne pour le Baijiu. Elle ricane, s’amuse sur l’explication concernant la place de cet alcool dans le marché américain. Tu n’en prends pas ombrage. C’est une réaction on ne peut plus normale. Typique d’une jeune femme presque adulte.
— Les ricains sont les champions d'la malbouffe mais même eux, ils ont des limites ! À la limite en ajoutant un peu d'gras…
Tu esquisses une grimace à ton tour. Tu n’es pas américain. Tu n'as que la double nationalité. Et tes ouailles ont aussi des limites. Mettre du gras dans tous les plats à toutes les sauces, pour n’importe quel prétexte. C’est que tes origines écossaises réclament un peu plus de respect et de raffinement dans les plats et les recettes. Vraiment qui a eu l’idée ignoble de mettre du cheddar partout et de tout frire ?
Une insulte à la bonne gastronomie.
— La confiance règne…
Tu sens le reproche, mais n’en fait pas grand cas. Ce n’est pas elle qui s’occupe du nettoyage de cet immense bâtiment.
— J'vois pas c'qu'il a, mon âge !
— Il ne devrait pas vous permettre d'entrer dans ce club sans l’accord de vos parents, jeune fille, rétorques-tu. Il est même heureux que j’accepte de fermer les yeux et de ne pas vous remettre aux autorités.
Certes, c’est un peu bas de lui rappeler sa juvénilité, mais elle n’avait pas à commencer à vouloir mettre du gras partout et surtout là où il ne faut pas. Nais mais oh ! Hein ? Bon.
— Non, j'aime pas trop danser ! Pas quand j'suis nette, en tout cas.
T’opines du chef et te contente au silence. Que rajouter à sa réponse. Tous et toutes ici ne viennent pas forcément pour se déhancher.
— J'veux bien quelques détails sur les différentes salles, ouais ! J'ai entendu dire que vous en aviez une conçue exprès pour le Metaworld... C'est vrai ?
Tu acquiesces et tu prends le temps de lui expliquer chaque salle. Celle dans laquelle ils se trouvent est la plus commune, celle où passe les musiques les plus connues, mais les plus efficaces en matière de déhanchement. Il y en a une autre où passent des chansons plus anciennes. D’ailleurs, si la jeune fille tend bien l’oreille, elle peut entendre Lola du groupe Superbus. Une chanson française qui a eu son succès pendant un certain temps. Un peu avant, I’m Blue d’Eiffel 65 était diffusé. Une autre salle, plus calme est dédié pour celleux qui préfèrent boire et discuter. Effectivement, il y a aussi une salle entièrement dédiée au MetaWorld, mais qu’on ne s’y trompe pas ; où n’y fait pas ses affaires comme habituellement. Dans cette connexion, on y danse et consomme IVL. Une autre salle, plus conséquente, est seulement ouverte lorsqu’un concert est programmé. Bien évidemment, l’entrée est payante car il faut bien payer les artistes. The Void ne cesse de se peaufiner, de s’améliorer, de s’agrandir.
Tu y veilles.
— J'imagine qu'vous avez aussi des salles réservées au sexe, non ?
Tu ne caches absolument pas ta grimace de dégoût.
— The Void n’est pas destiné à ce genre de piètrerie. Jamais le patron se permettrai d’abaisser ces employés·es à ce genre de mauvaise vie. Nous ne sommes pas dans l’Underapple.
— En fait vous savez quoi ? J'me dis que j'pourrais carrément racheter ce club ! Oh mais rassurez-vous ! Vous, j'vous garderais ! C'est assez rare, d'nos jours, d'trouver du p'tit personnel aussi sympathique ! Vous croyez que ça m'coûterait combien ? Vous voyez, ma tante a un nightclub et j'me dis que j'pourrais lui faire un peu de concurrence. Pour le fun, quoi !
Pour le fun. Ton sourire carnassier apparaît. Il est mauvais. Il est temps de révéler tes cartes. Pas seulement pour calmer les ardeurs de la gamine, mais aussi pour que son taux d’alcoolémie redescende un peu. Et surtout parce que tu es un connard.
— Il se trouve que votre famille ou même votre tante ne parviendrez à acheter ce club qui m’appartient. Oh, je ne vous l’avais pas dit ? J’en suis confus. Je ne suis pas le petit personnel, mais le propriétaire de ce club. Et puis, soyons lucide deux minutes, bien que cela vous soit un peu trop demandé pour le moment. Si jamais vous parvenez à me racheter The Void – ce qui n’arrivera jamais –, nul doute qu’il coulera et ne sera plus que l’ombre de lui-même. Mais passons et mettons plutôt vos propos orgueilleux sur le dos du Biajiu. J’ai noté votre intérêt pour la pièce donnant accès au MetaWorld ; souhaitez-vous que je vous indique le chemin, jeune enfant ?
Oui, tu es vraiment un connard.
Et tu aimes ça.
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