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1, 2, 3, 4Who are you ;; Leo
(#) Mar 20 Aoû - 19:41
Leo Parc
True Blood
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : 
Alias : june
Genre : il/him
Age : 28
Dollars : 609
Zone libre : 
Statut : a cru en l'amour, un jour
Occupation : Croupier au Arcana Casino
Habitation : #77 Crimson Bay
Déchirures : Caladrius --
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Limites : Les soins se font au détriment de la propre santé de Leo; et même si on ne parle que d'absorption de douleur; celles-ci peuvent clairement détruire si mal gérées. Pour la transformation en oiseau; il ne la contrôle pas; c'est instinctif quand il est comme "appelé" à venir border un mourrant.
Pseudo : blue
Comptes : leo parc
Genre IRL : elle
Messages : 118
Date d'inscription : 01/05/2024
FC : bobby - iKon
Crédits : mad'eyes
Infos RP : connexion 7/7 ; réponses rapides ; posts courts (à partir de 200 mots, mais ça peut monter jusqu'à 1800 selon thème et inspi) ; RP à la seconde personne ; en français (je peux "lire" l'anglais mais pas écrire).
- Ouais… comme un bébé
Même si c’était loin d’être une référence en matière de sommeil; mais l’idée est là, t’as pas eu de cauchemars, pas de douleurs, pas d’éveils ni même de coups de froid. Alors oui, la nuit a été reposante, assez pour que tu sois porte l’aura des idiots encore endormis.
Observer l’invité se redresser t’incite à l’imiter; te redressant péniblement à ton tour sans pour autant quitter le lit pour l’instant.
Ce n’est qu’à la mention du jus que ton malaise s’évapore au profit d’un sourire de benêt.
- Oui ! Je te sers un verre ?
Quelques rougeurs ne manquent pas de rappeler que malgré ton côté sociable; partager une nuit avec ce qui était un presque inconnu la veille ne fait pas partie de tes habitudes.
- J’peux… nous faire des pâtes si tu veux ?
À ton tour de venir gratter l’arrière d’une crinière ondulée et éclatée par une nuit de sommeil.
- Ou si tu préfères autre chose…
Serviable mais piètre cuisinier; te voilà à détourner légèrement le regard pour ne pas assumer d’être celui qui parle un peu trop vite.
Même si c’était loin d’être une référence en matière de sommeil; mais l’idée est là, t’as pas eu de cauchemars, pas de douleurs, pas d’éveils ni même de coups de froid. Alors oui, la nuit a été reposante, assez pour que tu sois porte l’aura des idiots encore endormis.
Observer l’invité se redresser t’incite à l’imiter; te redressant péniblement à ton tour sans pour autant quitter le lit pour l’instant.
Ce n’est qu’à la mention du jus que ton malaise s’évapore au profit d’un sourire de benêt.
- Oui ! Je te sers un verre ?
Quelques rougeurs ne manquent pas de rappeler que malgré ton côté sociable; partager une nuit avec ce qui était un presque inconnu la veille ne fait pas partie de tes habitudes.
- J’peux… nous faire des pâtes si tu veux ?
À ton tour de venir gratter l’arrière d’une crinière ondulée et éclatée par une nuit de sommeil.
- Ou si tu préfères autre chose…
Serviable mais piètre cuisinier; te voilà à détourner légèrement le regard pour ne pas assumer d’être celui qui parle un peu trop vite.
(#) Mar 20 Aoû - 20:12
Sean Snider
True Blood
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif : 
Alias : Cowboy ; son petit nom sur le terrain, sera plus jamais utilisé sans doute.
Genre : Homme cisgenre, pronoms masculins.
Age : 33 ans ; et voilà, il a le même âge que sa mère avait pu atteindre.
Dollars : 525
Statut : Célibataire ; n'accorde pas encore de temps à tout ça.
Occupation : Ancien sportif professionnel ; les scandales comme les siens, ça ruine les carrières.
Déchirures : MOROS ; Dieu de la Fatalité, du châtiment, de la dépression et de l'immuable, cette tragédie qui advient à chacun un beau jour.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
Limites : [Projection fatale.]
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Mémo RP : Couleur dialogue : palevioletred.
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Vico, Zacarias, Armando, Jens, Spy, Ysidro, Xaver, Thiago, Horacio, Kain, Galahad
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 177
Date d'inscription : 22/07/2023
FC : Phil Dunster
Crédits : (avatar ; mad’eyes) (gif, bann ; perso) (code signa ; Ellaenys)
Thèmes abordés : Mortalité, déchirures liées à la mort, control freak, vulgarité, notion de meurtre (ami proche), désir de vengeance.
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Staff : STAFF
La mention de la goyave semble détendre le tout ; après tout, ils l'ont pas bu hier, ce fameux jus "pour enfant" mais qui, de bon matin, sera agréable. "J'veux bien." Fait soif, l'a faim ; un réveil comme un autre, finalement ? Bientôt il demande où sont les toilettes et voilà, il serait presque comme chez lui.
Sauf pour les pâtes ; il ne l'a pas vu venir, ce coup-ci.
Alors ça lui arrache un rictus ; un sourire, même. "Ah ouais, de bon mâtin ?" Et puis, y'a cette réflexion que ça tiendra au corps pour la journée. "Nan, ok, ça me va." Après tout.
Après tout.
Pas le truc le plus fou qu'ils auraient fait, depuis le départ ; des pâtes, ok.
Au fond, ça semble même presque logique ; autant que les plumes sur la nuque de l'autre ; autant que lui et sa mutation maudite. "Au fait... Les toilettes, c'est où ?" Voilà ; presque comme chez lui ; pince les lèvres ; heureusement pas gêné par ce genre de question, parce que partager des vestiaires pendant quasi trente ans, ça force à plus s'en faire sur des trucs aussi naturel que ça.
Et faudrait pas se rendre inconfortable ; le moineau aime pas trop le voir renfermé sur lui-même.
((pourquoi ça aurait de l'importance est une autre question))
Alors, après la rapide affaire et les mains propres, revient près de lui ; les mains dans les poches arrière de son jean ; à pas savoir quoi faire de sa carcasse, jusqu'à se dire... "J'peux aider ?" Pour les pâtes ; comme si c'était compliqué à faire ; comme si ça demandait bien des étapes.
Comme s'ils avaient pas autre chose à se dire.
Sauf pour les pâtes ; il ne l'a pas vu venir, ce coup-ci.
Alors ça lui arrache un rictus ; un sourire, même. "Ah ouais, de bon mâtin ?" Et puis, y'a cette réflexion que ça tiendra au corps pour la journée. "Nan, ok, ça me va." Après tout.
Après tout.
Pas le truc le plus fou qu'ils auraient fait, depuis le départ ; des pâtes, ok.
Au fond, ça semble même presque logique ; autant que les plumes sur la nuque de l'autre ; autant que lui et sa mutation maudite. "Au fait... Les toilettes, c'est où ?" Voilà ; presque comme chez lui ; pince les lèvres ; heureusement pas gêné par ce genre de question, parce que partager des vestiaires pendant quasi trente ans, ça force à plus s'en faire sur des trucs aussi naturel que ça.
Et faudrait pas se rendre inconfortable ; le moineau aime pas trop le voir renfermé sur lui-même.
((pourquoi ça aurait de l'importance est une autre question))
Alors, après la rapide affaire et les mains propres, revient près de lui ; les mains dans les poches arrière de son jean ; à pas savoir quoi faire de sa carcasse, jusqu'à se dire... "J'peux aider ?" Pour les pâtes ; comme si c'était compliqué à faire ; comme si ça demandait bien des étapes.
Comme s'ils avaient pas autre chose à se dire.
(#) Mar 20 Aoû - 20:27
Leo Parc
True Blood
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif :
Alias : june
Genre : il/him
Age : 28
Dollars : 609
Zone libre :
Statut : a cru en l'amour, un jour
Occupation : Croupier au Arcana Casino
Habitation : #77 Crimson Bay
Déchirures : Caladrius --
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Limites : Les soins se font au détriment de la propre santé de Leo; et même si on ne parle que d'absorption de douleur; celles-ci peuvent clairement détruire si mal gérées. Pour la transformation en oiseau; il ne la contrôle pas; c'est instinctif quand il est comme "appelé" à venir border un mourrant.
Pseudo : blue
Comptes : leo parc
Genre IRL : elle
Messages : 118
Date d'inscription : 01/05/2024
FC : bobby - iKon
Crédits : mad'eyes
Infos RP : connexion 7/7 ; réponses rapides ; posts courts (à partir de 200 mots, mais ça peut monter jusqu'à 1800 selon thème et inspi) ; RP à la seconde personne ; en français (je peux "lire" l'anglais mais pas écrire).
De bon matin.
Ah.
Ouais.
C’est le matin.
L’esprit embourbé s’embarrasse légèrement. Perdu dans l’espace temps, parce qu’il y a un élément étrange qui gravite chez toi et qui déboussole tes sens. Matin midi soir; tout semble s’aligner pour n’être qu’un réveil avec lui.
Réveil avec quelqu’un tout court.
Combien d’années; depuis que ton lit est vide ? Froid.
Privé d’une âme choisie et pourtant si nocive pour toi.
- Beuh euh je- ouais hein pourquoi pas !
Le félin feint avoir tout calculé; d’avoir maitrisé la proposition pourtant bancale d’accueillir le matin comme on déjeune en pleine journée. Qu’importe. L’autre réclame après tes toilettes et c’est tant mieux, ça te laisse le luxe se simplement filer sous son nez pour montrer le chemin; cacher la gêne en ne montrant qu’un dorsal; avant de souffler un coup quand la porte est claquée.
- Quel con…
Que tu marmonnes; presque trop préoccupé par une petite boulette.
À son retour, tu es déjà en train de faire chauffer l’eau, préparer les condiments, l’air concentré; presque trop, puisque son retour te vole un léger soubresaut, avant que tu ne fasses quelques grands gestes pour refuser l’offre.
- Nan nannn fais comme chez toi
L’invitation est douteuse. Bancale même, et tu t’empresses de rectifier le tir.
- J’veux dire ! Installe toi quoi. Tranquille ! Je gère
Faire des pâtes; tu peux encore y arriver.. normalement.
- Tu peux prendre une douche s’tu veux en attendant
Ce qui n’était qu’une offre sans arrière pensée te fait rapidement revenir avec une expression plus inquiète.
- C’est pas que tu pues hein, loin de là.
Parce qu’il sent bon.
Mais c’est encore une confidence un peu trop… directe.
Un peu trop maladroite.
Un peu trop Leo.
- HEHM ‘finnn jveux dire tu fais comme t’as envie quoi !
Et zou; le lion rose retourne à ses casseroles, tête enfumée de songes agités, bien vite rattrapée par la mission du matin; ne pas rater la cuisson la plus simple au monde.
Ah.
Ouais.
C’est le matin.
L’esprit embourbé s’embarrasse légèrement. Perdu dans l’espace temps, parce qu’il y a un élément étrange qui gravite chez toi et qui déboussole tes sens. Matin midi soir; tout semble s’aligner pour n’être qu’un réveil avec lui.
Réveil avec quelqu’un tout court.
Combien d’années; depuis que ton lit est vide ? Froid.
Privé d’une âme choisie et pourtant si nocive pour toi.
- Beuh euh je- ouais hein pourquoi pas !
Le félin feint avoir tout calculé; d’avoir maitrisé la proposition pourtant bancale d’accueillir le matin comme on déjeune en pleine journée. Qu’importe. L’autre réclame après tes toilettes et c’est tant mieux, ça te laisse le luxe se simplement filer sous son nez pour montrer le chemin; cacher la gêne en ne montrant qu’un dorsal; avant de souffler un coup quand la porte est claquée.
- Quel con…
Que tu marmonnes; presque trop préoccupé par une petite boulette.
À son retour, tu es déjà en train de faire chauffer l’eau, préparer les condiments, l’air concentré; presque trop, puisque son retour te vole un léger soubresaut, avant que tu ne fasses quelques grands gestes pour refuser l’offre.
- Nan nannn fais comme chez toi
L’invitation est douteuse. Bancale même, et tu t’empresses de rectifier le tir.
- J’veux dire ! Installe toi quoi. Tranquille ! Je gère
Faire des pâtes; tu peux encore y arriver.. normalement.
- Tu peux prendre une douche s’tu veux en attendant
Ce qui n’était qu’une offre sans arrière pensée te fait rapidement revenir avec une expression plus inquiète.
- C’est pas que tu pues hein, loin de là.
Parce qu’il sent bon.
Mais c’est encore une confidence un peu trop… directe.
Un peu trop maladroite.
Un peu trop Leo.
- HEHM ‘finnn jveux dire tu fais comme t’as envie quoi !
Et zou; le lion rose retourne à ses casseroles, tête enfumée de songes agités, bien vite rattrapée par la mission du matin; ne pas rater la cuisson la plus simple au monde.
(#) Jeu 29 Aoû - 15:21
Sean Snider
True Blood
CORPS
ESPRIT
ÂME
Image/Gif :
Alias : Cowboy ; son petit nom sur le terrain, sera plus jamais utilisé sans doute.
Genre : Homme cisgenre, pronoms masculins.
Age : 33 ans ; et voilà, il a le même âge que sa mère avait pu atteindre.
Dollars : 525
Statut : Célibataire ; n'accorde pas encore de temps à tout ça.
Occupation : Ancien sportif professionnel ; les scandales comme les siens, ça ruine les carrières.
Déchirures : MOROS ; Dieu de la Fatalité, du châtiment, de la dépression et de l'immuable, cette tragédie qui advient à chacun un beau jour.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
Limites : [Projection fatale.]
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Mémo RP : Couleur dialogue : palevioletred.
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Vico, Zacarias, Armando, Jens, Spy, Ysidro, Xaver, Thiago, Horacio, Kain, Galahad
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 177
Date d'inscription : 22/07/2023
FC : Phil Dunster
Crédits : (avatar ; mad’eyes) (gif, bann ; perso) (code signa ; Ellaenys)
Thèmes abordés : Mortalité, déchirures liées à la mort, control freak, vulgarité, notion de meurtre (ami proche), désir de vengeance.
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Staff : STAFF
Y'a comme un élastique qui semble prêt à péter, dans l'air ; chacun est tendu, rendant finalement la soirée tabou ; bien loin de la complicité acquise la veille. Finalement, ils sont bel et bien deux étrangers qui se rappellent que c'est le cas ; et en d'autres circonstances, Sean serait juste parti ; mais y'a comme un goût de regret s'il le fait cette fois ci.
Lorgne sur Leo, avant de regarder là où il avait pu poser ses vêtements propres la veille.
Se signe l'hésitation ; et puis gagne l'inconfort d'avoir dormir dans ses fringues, ce besoin de se rafraîchir la tronche et d'en même temps la réchauffer, comme si le temps mordant de Juillet n'aura pas tôt fait de le rattraper. "Ouais, ok." Et se mouve Sean jusqu'aux fringues pour les récupérer, avisant le moineau tout concentré sur ses pâtes.
Et à voir sa nuque, il se rappelle.
"À tout de suite." Se décolle de là, juste pour chercher dans le lit après la plume que Leo avait pu lui donner. Pas difficile à retrouver ; et il l'a fait tourner entre ses doigts un instant, avant de se détourner pour trouver la salle de bain et s'y enfermer. Porte feuille bien assez vite sorti, pour y glisser la plume précieusement dedans ; comme si elle était aussi précieuse que le reste - la vérité est qu'elle l'est plus.
Et comme pour fuir une scène de crime, il a tôt fait de s'engouffrer dans la douche.
Alors c'est qu'à la fin qu'il capte - la serviette. Grogne de se sentir con et observe pour trouver celle de Leo ; il lui dira de la laver, tant pis. "J'te pique ta serviette !" Qu'il gueule au travers de la porte, commencant alors à se nettoyer les cheveux et la nuque.
Et il le fera même pas correctement, juste pour aller plus vite ; et qu'importe si son t-shirt lui colle un peu à la peau ; au moins il peut vite ressortir, ses fringues de la veille dans une main et la serviette de l'autre. "J'te la mets où ?" Qu'il demande, avant de humer l'air er sentir l'odeur de pâtes... Et ça lui rappelle qu'il a faim.
Lorgne sur Leo, avant de regarder là où il avait pu poser ses vêtements propres la veille.
Se signe l'hésitation ; et puis gagne l'inconfort d'avoir dormir dans ses fringues, ce besoin de se rafraîchir la tronche et d'en même temps la réchauffer, comme si le temps mordant de Juillet n'aura pas tôt fait de le rattraper. "Ouais, ok." Et se mouve Sean jusqu'aux fringues pour les récupérer, avisant le moineau tout concentré sur ses pâtes.
Et à voir sa nuque, il se rappelle.
"À tout de suite." Se décolle de là, juste pour chercher dans le lit après la plume que Leo avait pu lui donner. Pas difficile à retrouver ; et il l'a fait tourner entre ses doigts un instant, avant de se détourner pour trouver la salle de bain et s'y enfermer. Porte feuille bien assez vite sorti, pour y glisser la plume précieusement dedans ; comme si elle était aussi précieuse que le reste - la vérité est qu'elle l'est plus.
Et comme pour fuir une scène de crime, il a tôt fait de s'engouffrer dans la douche.
Alors c'est qu'à la fin qu'il capte - la serviette. Grogne de se sentir con et observe pour trouver celle de Leo ; il lui dira de la laver, tant pis. "J'te pique ta serviette !" Qu'il gueule au travers de la porte, commencant alors à se nettoyer les cheveux et la nuque.
Et il le fera même pas correctement, juste pour aller plus vite ; et qu'importe si son t-shirt lui colle un peu à la peau ; au moins il peut vite ressortir, ses fringues de la veille dans une main et la serviette de l'autre. "J'te la mets où ?" Qu'il demande, avant de humer l'air er sentir l'odeur de pâtes... Et ça lui rappelle qu'il a faim.
(#) Jeu 29 Aoû - 15:41
Leo Parc
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Age : 28
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Statut : a cru en l'amour, un jour
Occupation : Croupier au Arcana Casino
Habitation : #77 Crimson Bay
Déchirures : Caladrius --
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Selon la légende, tout malade que le caladrius fixait dans les yeux était destiné à vivre, tandis que ceux dont il détournait le regard étaient condamnés à mourir. L'oiseau blanc possède donc des talents de guérisseur qui puisent son énergie vitale contre la bénédiction d'un renouveau et de tissus réparés.
Déchirure 1 : L'oiseau blanc
- Niveau 1 : Il ne reste du corps plus que cette apparence gracile; oiseau minuscule; immaculé, qui semble s'être perdu en ville. Leo virevolte sous cette forme de manière inconsciente; et est comme aimanté par les souffrances d'autrui. Il se transforme donc inconsciemment pour aller se poser auprès des personnes blessées et/ou en fin de vie.
Déchirure 2 : Give & take
— Niveau 1 : Leo peut; s'il entre en contact avec une personne blessée; soigner son mal. Cela n'est pas gratuit; tout se base sur un échange équivalent; toute blessure ne pourra être soignée que si Leo en absorbe la douleur.
Limites : Les soins se font au détriment de la propre santé de Leo; et même si on ne parle que d'absorption de douleur; celles-ci peuvent clairement détruire si mal gérées. Pour la transformation en oiseau; il ne la contrôle pas; c'est instinctif quand il est comme "appelé" à venir border un mourrant.
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Infos RP : connexion 7/7 ; réponses rapides ; posts courts (à partir de 200 mots, mais ça peut monter jusqu'à 1800 selon thème et inspi) ; RP à la seconde personne ; en français (je peux "lire" l'anglais mais pas écrire).
Moment de malaise écourté par la fuite légère du plus costaud. Tant mieux, de quoi avoir ce petit moment de répit, concentration culinaire à son paroxysme alors que tes mirettes se balancent de temps à autres vers la porte de la salle d’eau.
Une curiosité qui se crispe quand la voix de l’autre résonne.
- O-OUI VAS-Y
Tu te sens presque pris en flagrant délit de…. De quoi au juste ? D’avoir à t’accoutumer à cette deuxième présence ? D’avoir encore la saveur de la veille sur le bout du palais.
Le lion est doué pour feindre la flegme et l’esprit perplexe. Mais dès que tu retrouves un peu le temps d’y réfléchir; tu sens ce frisson étrange grimper le long de ta colonne. Plumes agitées en conséquences; et rapidement, tes doigts s’y glissent une fois de plus; perturbés par la douceur parasite de leur présence.
- Putain de merde….
Un oiseau ?
Ton corps est à ce point en vrac ? À c’point monstrueux ?
Un animal. T’es rien de plus qu’un animal quand tu perds conscience alors ?
L’idée te fait grimacer; avant que tu ne sortes les pâtes de leur eau, rajoutant à la va vite une sauce tomate en pot; du beurre et quelques grains de sel.
La table est mise et occupe ton esprit pendant quelques longues minutes. De quoi te sauver l’esprit, bien que ton regard ne sache plus aller ailleurs que sur un sol en stratifié.
Le retour de Sean t’arrache aux songes envahisseurs; et tu retires d’office la main curieuse de ta nuque; redressant ta stature pour ne pas montrer que parfois, tes épaules sont plus lourdes qu’elles n’en ont l’air.
- Oh- Donne
Tu prends d’une main la serviette, file la jeter dans une petite corbeille à linge sale avant de revenir devant lui.
L’invitant à venir s’assoir, tu prends place seulement après lui; poussant vers lui son verre de goyave.
Et là, ton genou se met à trembloter discrètement.
- Quand… Quand tu disais oiseau.
Le mot damné, désormais.
-C’est… Genre... heum... vraiment un oiseau ?
On sent que c’est encore difficile pour toi à assimiler; surtout quand la nuit a effacé les rêves; et qu’il faut se réveiller avec la réalité d’un monde bien plus cruel.
Une curiosité qui se crispe quand la voix de l’autre résonne.
- O-OUI VAS-Y
Tu te sens presque pris en flagrant délit de…. De quoi au juste ? D’avoir à t’accoutumer à cette deuxième présence ? D’avoir encore la saveur de la veille sur le bout du palais.
Le lion est doué pour feindre la flegme et l’esprit perplexe. Mais dès que tu retrouves un peu le temps d’y réfléchir; tu sens ce frisson étrange grimper le long de ta colonne. Plumes agitées en conséquences; et rapidement, tes doigts s’y glissent une fois de plus; perturbés par la douceur parasite de leur présence.
- Putain de merde….
Un oiseau ?
Ton corps est à ce point en vrac ? À c’point monstrueux ?
Un animal. T’es rien de plus qu’un animal quand tu perds conscience alors ?
L’idée te fait grimacer; avant que tu ne sortes les pâtes de leur eau, rajoutant à la va vite une sauce tomate en pot; du beurre et quelques grains de sel.
La table est mise et occupe ton esprit pendant quelques longues minutes. De quoi te sauver l’esprit, bien que ton regard ne sache plus aller ailleurs que sur un sol en stratifié.
Le retour de Sean t’arrache aux songes envahisseurs; et tu retires d’office la main curieuse de ta nuque; redressant ta stature pour ne pas montrer que parfois, tes épaules sont plus lourdes qu’elles n’en ont l’air.
- Oh- Donne
Tu prends d’une main la serviette, file la jeter dans une petite corbeille à linge sale avant de revenir devant lui.
L’invitant à venir s’assoir, tu prends place seulement après lui; poussant vers lui son verre de goyave.
Et là, ton genou se met à trembloter discrètement.
- Quand… Quand tu disais oiseau.
Le mot damné, désormais.
-C’est… Genre... heum... vraiment un oiseau ?
On sent que c’est encore difficile pour toi à assimiler; surtout quand la nuit a effacé les rêves; et qu’il faut se réveiller avec la réalité d’un monde bien plus cruel.
(#) Lun 16 Sep - 15:15
Sean Snider
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Alias : Cowboy ; son petit nom sur le terrain, sera plus jamais utilisé sans doute.
Genre : Homme cisgenre, pronoms masculins.
Age : 33 ans ; et voilà, il a le même âge que sa mère avait pu atteindre.
Dollars : 525
Statut : Célibataire ; n'accorde pas encore de temps à tout ça.
Occupation : Ancien sportif professionnel ; les scandales comme les siens, ça ruine les carrières.
Déchirures : MOROS ; Dieu de la Fatalité, du châtiment, de la dépression et de l'immuable, cette tragédie qui advient à chacun un beau jour.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
[Projection fatale.]
— Niv. 1 : La mutation va chercher dans la peur la plus intime et crainte de la victime pour lui en faire subir l'illusion ; l'esprit se coupe du monde pour qu'en quelques secondes, la personne soit persuadé d'être morte. La cervelle se broie sous l'effroi et sera étourdi le temps qu'il lui faudra pour comprendre que rien n'était vrai, pour que les bruits environnants reviennent, que les odeurs ne soient plus celle de la peur. Pour autant, aucun dégât physique n'est à déplorer.
— Niv. 2 : Il peut enfin décider quand l'utiliser, infliger le mal de lui-même. L'attaque devient un peu plus physique ; vient à empoigner légèrement le coeur, lui fait courir un marathon et peut affoler un pacemaker en place.
[Malédiction.]
— Niv. 1 : Ce sont des petits malheurs qui viennent frapper à la porte ; rien de bien juste de quoi se dire que mince, vraiment c'est pas de chance !
— Niv. 2 : L'intensité monte d'un cran ; peut s'attaquer à l'intégrité physique. Pas encore trop méchant, mais qu'elle était la probabilité pour parvenir à se couper en manipulant un livre ?
[Fatalité.]
— Niv. 1 : Le destin semble écrit pour tout le monde ; et personne ne doit s'y déroger. Pourtant, il semblerait que des personnes ont vu le leur modifié ; et Sean peut détecter ces gens-là, au travers d'un fil qui semble entourer la gorge des gens à présent, sans jamais le serrer. Les destins modifiés se traduisent par une vibration plus ou moins intenses selon la gravité des changements.
Limites : [Projection fatale.]
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Sean inflige une vision horrifique à la victime de son pouvoir, mais il ne s'en sort pas sans dégât envers sa propre psyché. S'il reste conscient, lui, durant le temps que dure la vision pour l'illusionné, il ressent aussi en partie les craintes ultimes de l'autre ; difficile de ne pas hurler quand on a la sensation même légère que notre peau tombe en lambeau sous les baisers vivaces des flammes imaginées. La folie grignote petit à petit sa santé mentale, mais pas que. Il subit aussi des dégâts physiques et résultera de ces cauchemars des blessures minimes de prime abord. Plus il l'utilise dans un laps de temps réduit, plus ça s'aggrave et il pourrait se retrouver brûlé à des degrés graves, ou encore réellement noyé, étouffé par de la terre, etc. Abuser de ce pouvoir, c'est s'exposer à ne pas savoir y survivre sur le long terme.
[Malédiction.]
Le retour de karma, c'est jamais plaisant mais le voici pourtant bien présent. Une migraine digne des Enfers qui s'installe dans le crâne de Sean pour lui bouffer toute la matière grise, le temps de quelques heures suite à la malédiction. Et puis, tant que celle-ci ne s'accomplit pas, tout un tas de petits trucs nazes vont arriver à lui et son entourage proche : café renversé sur le pantalon, les clefs qui tombent dans la bouche d’égout, le chat des voisins qui pisse dans ses chaussures... Bref, la vie c'est de la merde parfois et elle rend bien la pareille.
[Fatalité.]
(Niv.1) Sean n'a aucune incidence sur ces fils, ne peut que constater leur statut figé ou bien vibrant. (Et à l'heure actuelle, il n'a toujours pas compris ce qu'il en était de cette différence.) Il ne peut avoir aucun contact avec et s'il s'y tentait, la personne en face ne sentirait rien mais lui prendrait comme une décharge électrique qui s'intensifierait s'il essayait trop longuement. (Général) Cette déchirure est constante, polluant son champ visuel en permanence. S'il a su s'y faire, il n'en demeure pas moins que c'est dérangeant quand il y prête attention, rejoignant sa première déchirure et grignote un peu plus encore sa santé mentale - modifiant ainsi indéniablement son propre destin, rendant le fil autour de sa gorge vibrant et désormais, les miroirs semblent définitivement le pire ennemi de Sean, car vecteur d'angoisses multiples et lui faisant perdre le sang-froid qu'il s'efforce à avoir pour ne pas perdre le contrôle sur toutes ses déchirures.
Mémo RP : Couleur dialogue : palevioletred.
Pseudo : Bones
Comptes : MADDOX | Chad, Rosendo, Liam, Vico, Zacarias, Armando, Jens, Spy, Ysidro, Xaver, Thiago, Horacio, Kain, Galahad
Genre IRL : Transmasc agenre (Il/They)
Messages : 177
Date d'inscription : 22/07/2023
FC : Phil Dunster
Crédits : (avatar ; mad’eyes) (gif, bann ; perso) (code signa ; Ellaenys)
Thèmes abordés : Mortalité, déchirures liées à la mort, control freak, vulgarité, notion de meurtre (ami proche), désir de vengeance.
Thèmes refusés : Violence sexuelle quelconque, non respect des limites préétablies entre joueu·se·rs sans le clair consentement, mention Harry Potter, alcool irl (ne pas me parler sous l'emprise de l'alcool s'il vous plaît <3)
Infos RP : Rythme régulier (ne répond jamais dans l'ordre), narration à la 3ieme personne, dialogues en fr, entre 300 et 800 mots en général, parfois plus, rarement moins.
Staff : STAFF
La tension ne retombe pas ; l'impression d'avoir fait quelque chose de mal - constante, depuis sa naissance même. Les sourcils sont froncés et le silence gardé, alors qu'on l'invite à s'asseoir ; le stress ronge les esprits, éclaboussent l'un et l'autre ; tendresse effacée, au profit de cette gêne qui les dévorent.
Et puis, la question fatidique.
Un léger silence, alors qu'il attrape son verre de goyave ; et avant d'en boire une gorgée, il se décide à répondre. "Ouais." Et il boit un trait du jus, pour laisser le temps à l'information de percer l'autre esprit. S'hume les lèvres ensuite, avant de reposer le verre et le regarder. "Moins grand que ma paume, lui montre sa main en la levant, et tout blanc." Ramène sa main et un genou vers lui, alors qu'il vient à se saisir de quoi les nourrir ; les sert, sans trop réfléchir.
Prend son assiette, ne le regarde plus.
Fixe les pattes. "Et puis, t'es devenu toi." Regard un peu perdu. "Avec mon sang à moi, sur toi." Et peut-être qu'avec cette confession, Leo comprendra d'autant plus pourquoi Sean était aussi stressé, lors de leur "rencontre" ; cette fuite, face au sang revenu, aux angoisses rappelées.
Enfourne des pâtes, mécaniquement.
Nourrir le corps, pour oublier la tête.
Finir de discuter ainsi ; dans cette espèce de gêne qui est devenue la leur.
Puis partir, avant de l'approfondir, parce qu'à ne pas savoir comment la combattre.
Et sur la route, se demander pourquoi ; continuer d'y songer.
Et puis, la question fatidique.
Un léger silence, alors qu'il attrape son verre de goyave ; et avant d'en boire une gorgée, il se décide à répondre. "Ouais." Et il boit un trait du jus, pour laisser le temps à l'information de percer l'autre esprit. S'hume les lèvres ensuite, avant de reposer le verre et le regarder. "Moins grand que ma paume, lui montre sa main en la levant, et tout blanc." Ramène sa main et un genou vers lui, alors qu'il vient à se saisir de quoi les nourrir ; les sert, sans trop réfléchir.
Prend son assiette, ne le regarde plus.
Fixe les pattes. "Et puis, t'es devenu toi." Regard un peu perdu. "Avec mon sang à moi, sur toi." Et peut-être qu'avec cette confession, Leo comprendra d'autant plus pourquoi Sean était aussi stressé, lors de leur "rencontre" ; cette fuite, face au sang revenu, aux angoisses rappelées.
Enfourne des pâtes, mécaniquement.
Nourrir le corps, pour oublier la tête.
Finir de discuter ainsi ; dans cette espèce de gêne qui est devenue la leur.
Puis partir, avant de l'approfondir, parce qu'à ne pas savoir comment la combattre.
Et sur la route, se demander pourquoi ; continuer d'y songer.
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