i'll have you breaking my heart, over and over - maeve

Alexa, play "lunch" on repeat
cw:

Les années joies, les années bonheurs.
Rapha est hilare, appuyée contre Shishi qui lui raconte la dernière bêtises qui traverse son esprit.
Si elle avait sû, Rapha aurait savouré encore plus ces moments, ce qui se rapproche le plus de la liberté.
Années innocence.
Rapha a réussi à les tirer dans une soirée sans grand importance, quelques noms d’Icarus qui trainent, des visages en grand partie connus depuis des années, rejetons de l’homme ailé et de ses ambitions de grandeur.
Son regard suit les indications de son meilleur ami, il se penche vers elle, lui décrit encore plus en profondeur sa blague. Rapha pouffe dans ses mains, lui donne une tape dans l’épaule. Sans retenue, sans peur de le blesser.
Shishi est comme elle, il encaisse.
Et il lui rend la pareille, attend le moment propice où elle se relève pour lui donner un coup derrière le genou. Rapha fléchit, se rattrape de justesse à la jeune femme qui vient de passer devant eux. Shishi rit plus fort, Rapha lui adresse un regard noir, puis lève les yeux vers l’inconnue. “I’m so sorry. Some people are just assh-.” L’insulte se meurt dans sa voix quand elle voit enfin qui elle a gentiment bousculé. “Erm. I mean.” Elle se redresse parfaitement, pose sa main sous le coude de le Maeve McAdams, sans la connaitre encore, l’aide à se redresser à son tour.
Il lui faut encore quelques secondes, avant qu’elle ne se souvienne comment articuler correctement. “We should have been more careful.” L’accent anglais filtre soudainement. Shishi lui fait des grands signes pour que Rapha remarque le verre qui a été renversé. “Can I get you another one? It’s the least I can do, as a sincere apology.” Et Rapha n’est pas sûre qu’elle ait envie de laisser l’inconnue filer non plus.
ft. @Maeve McAdams

I want Prada Sittin' down on this fancy couch, And I can't see straight, I'm a state.
Twenty-two, I'm in Paris, baby got strippers tits in my face. Pull up in a Bentley, I want Christian, I want Fendi, I want Prada. ♫
cw: consommation d'alcool

Les hochements de tête sont mécaniques, elle n’a pas enregistré la moindre information que le type à côté d’elle débite; des histoires d’investissement, de placements financiers et autres flex de jeune cadre craché par Harvard Business School. Rien de tout ça ne l’intéresse, pourtant elle le regarde comme s’il n’y avait personne d’autre au monde, parce qu’elle a appris à plaire et ne sait plus faire autrement. La séduction est cousue dans le tissu qui la compose.
Pourtant, elle s’ennuie. Elle est lasse d’être parachutée dans des soirées qui se ressemblent, mais elle doit parader si elle veut continuer de coller au personnage de it-girl corporate, qui ne doit jamais éveiller les soupçons de l’homme qu’elle surveille. Il n’est toujours pas là d’ailleurs.
Et puis c’est toujours bon de prendre des contacts, de ne pas juste être derrière les écrans et les communiqués de presse. Un jour le monde la verra un peu plus, elle ne sait juste pas encore comment, mais il faut qu’elle quitte ce petit cercle médiatique qui mange du scandale à longueur de journée pour cracher des narratives qui les réhabilitent. Elle en a assez de voir les pires personnes passer et de cacher leurs travers. Mais elle n’a pas non plus la fibre de mener des combats de justice sociale, ce n’est pas ça qui rapporte.

“I need to go to the bathroom, would you excuse me for a sec?” En fait elle a besoin de s’isoler le temps de faire pression sur Jeremiah pour qu’il l’amène dans une autre soirée, plus huppée, voire plus drôle. Certes on l’a collée à ses basques pour le job, mais au moins il la distrait. Comme il n’a rien de plus à prouver à Icarus, les discours sonnent moins creux dans sa bouche.
Son cocktail à la main, elle se relève et s’éclipse jusqu’au fond de la galerie et ne voit donc pas l’incident qui lui tombe dessus littéralement. Heureusement, elle peut compter sur ses réflexes pour ne pas s’étaler de tout son long - on ne devient pas Miss America sans un équilibre à toute épreuve - puis se laisse redresser par la jeune femme qui a été projetée sur elle. Son verre a été sacrifié dans le processus, et le bas de sa robe va sentir le mélange vodka-soda jusqu’à la fin de la soirée.
Pourtant son expression contrariée se détend presque immédiatement quand elle reconnaît le visage de Raphael Wayne. C’est son job de tout connaître, alors évidemment qu’elle n’est pas étrangère au profil médiatique de l’héritière Wayne devenue apprentie héroïne puis milicienne d’Icarus.

“It’s fine, it’s fine. It’s only a dress.” Ca lui coûte de dire ça, parce que la robe lui a évidemment valu un rein et qu’elle vit certes d’un salaire confortable mais pas mirobolant. Ce qui ne lui coûte rien en revanche, c’est un beau sourire rassurant, avenant, qui éclaire son visage. “Sure, let’s get another drink.” Elle tend la main, pas comme on tend une poignée à serrer, mais plutôt comme une invitation à prendre son bras, à se laisser guider jusqu’au bar.
Elle n’aurait pas pu tomber sur meilleur investissement, même en faisant exprès.

ft. @Rapha Wayne

Alexa, play "lunch" on repeat
cw:

“What do you mean, only a dress?” Elle entendrait presque sa mère s’offusquer derrière elle. Son regard suit la trajectoire de l’alcool renversé, constate seulement que la robe a, en effet, subi un triste sort. “We ought to take care of the couture.” Sabato lui a assez rabattu les oreilles là-dessus. Rapha regarde le bras qui lui est offert, le prend avec l’aisance allouée à son statut, adresse un geste de la main à Shishi qu’elle ne considère même plus. “I’ll have someone pick it up for dry cleaning.” Ses yeux glissent à nouveau sur le textile, observe un peu les jambes qui plient agréablement la robe saccagée. Son attention remonte et elle abandonne élégamment Maeve au bar auquel elle s’accoude tranquillement. La commande est passée, un billet glissé tranquillement dans le bol à pourboire.
Rapha jurerait presque, à côté de l'élégance naturelle de Maeve, qui n’a pas jugé bon de se guinder plus que nécessaire. Le costume sur mesure passe discrètement, le veston lie de vin abandonné quelque part, les manches retroussées, les cheveux en bataille, le nœud papillon défait autour de son col. Rapha a ce petit air froissé, des heures déjà passées à l’évènement.
Elle scrute ouvertement Maeve, cherche visiblement quelque chose. “It’s not a Fendi, isn’it? Too much draping.” Elle n’arrive pas à mettre le nom sur le designer, se fruste un peu, rit de revenir bredouille. “It does suit you, really.” Elle hoche un peu la tête, sourit. “I don’t do much of those Icarus parties.” Trop souvent partie en missions. Et elle laisse ça à son père, qui adore se pavaner avec la haute d’Icarus dont la famille assure les arrières depuis des années maintenant. “But I don’t think I’ve seen you before?” C’est qu’elle s’est serait rappelé, Rapha. Icarus a beau brasser des milliards, des vies, des visages, ça reste au final une sorte d’usine/famille.
Elle est dans les engrenages depuis trop longtemps.
Ne penserait jamais en partir.
ft. @Maeve McAdams

I want Prada Sittin' down on this fancy couch, And I can't see straight, I'm a state.
Twenty-two, I'm in Paris, baby got strippers tits in my face. Pull up in a Bentley, I want Christian, I want Fendi, I want Prada. ♫
cw: rainbow washing

Le soulagement intérieur est immense quand son interlocutrice s’empare de son bras et s’empresse de prendre en charge la situation. Pourtant, Maeve répond d’un sourire tranquille accompagné d’un “Really you don’t have to”, comme si elle était habituée au niveau d’aisance financière de l’héritière d’un empire qui se chiffre en milliards. Rien que d’y penser, une pointe d’excitation monte jusqu’au cerveau et elle en aurait des vertiges de tout cet argent si elle n’était pas concentrée sur le profil de Rapha.
Sa coupe courte, ses cheveux naturellement blonds, sa peau d’albâtre, le grain de son visage parfait, encore figé dans la jeunesse. Elle a des traits marqués, il y a quelque chose de brut dans son regard, pas méchant, mais façonné dans l’épreuve. À côté d’elle, Maeve est le portrait même de la performance féminine, maquillée, coiffée, la manucure impeccable, les lèvres toujours glossées, la cambrure toujours marquée. Elle agit toujours comme si quelqu’un la regardait, et c’est souvent le cas, même chez elle, elle se fait un film d’elle-même et s’impose donc sa propre critique.

Sa nouvelle compagnie est au contraire naturellement à l’aise, accoudée au comptoir, elle se fond dans la fête ambiante sans jamais voir l’air de se poser mille questions. Maeve reprend un cocktail sur l’invitation de Rapha, qui n’autorise pas la conversation à se tarir.
“It’s an Alaïa.” Elle répond d’un ton badin, masque la pointe d’excitation quant à la mention d’une grande maison de couture sur sa silhouette. Et le compliment qui suit décroche à Maeve un sourire éclatant. “Thank you! You’re very sweet.”

Il lui semblait bien se rappeler dans la communication d’Icarus dans une énième tentative de coller son logo sur la Pride avoir lu des portraits d’apprentis qui assumaient pleinement leur sexualité et Rapha Wayne en faisait partie. On louait leur courage d’être qui ils voulaient être entre deux publicités et personne ne relevait l’incongruité corporatiste d’un mois des fiertés dépolitisé. Et s’il lui restait le moindre doute, Maeve avait la confirmation dans la lueur intéressée qui l’observait de haut en bas. Maeve n’était pas aussi ouvertement out. Et puis son titre de reine de beauté était ancré dans des standards masculins et elle avait été conditionnée à plaire à cette audience. Pourtant elle avait eu des relations avec d’autres femmes, à l’université, dans le creux de sa vie dans lequel elle n’était pas en recherche de célébrité.
Maintenant qu’elle était à nouveau sur la voie pour devenir populaire, elle se demandait si c’était judicieux de se coller une étiquette marginale sur le dos. Mais pour une milliardaire…

“Yeah, I started only recently to attend these kind of parties. I’m usually behind the scene. I work for Omnivox.” Les verres commandés s’alignent devant elles et Maeve attrape son cocktail et le lève vers Rapha. “Nice to meet you by the way. I’m Maeve.”

ft. @Rapha Wayne

Alexa, play "lunch" on repeat
cw:

Le sourire est rendu au centuple. “Thank you! You’re very sweet.” Et le sourire est si grand que Rapha finit par rire. “I don’t get that often.” Sweet. Elle fait partie de la meute de ces loups qui traquent sans relâche et abattent sans se poser de questions. Entraînée, perfectionnée, solidifiée, Rapha n’a rien des enfants de cœur dans l’image que lui donne Icarus, et qu’elle a dû prendre, pour s'aligner dans les rangs, mériter sa place.
La garder.
Maeve l’apprendra un jour, tôt ou tard.
Ou elle partira.
“Oh, Omnivox. You got the nice job.” Entre elleux, ils appellent ça le easy job, parce qu’Omnivox se servent des autres pour faire leur travail, parasite qui se prétend à la symbiose. La vérité est que les Sept n'existeraient pas sans eux. “Working on which field?” Il y a en a tant qui ne dépendent pas que des Grands, et Rapha ne souhaiterait à personne le boulot de Sloane.
Elles trinquent, la mousse de son mule dont les bulles éclatent tranquillement. “Nice to meet you”, répète Rapha, un large sourire sur les lèvres. “I’m Chimera.” Elle remarque néanmoins que Maeve ne lui a ni demandé son nom, ni son travail.
Elle retient néanmoins le do you know me, qui sonnerait plus présomptueux qu’elle n’est réellement. Elle apprécie le semblant de tranquillité qu’elle a, depuis qu’elle a rejoint la milice. Adieu la prétention d’être une personne parfaite pour Icarus, pas besoin de monétariser chaque aspect de sa vie.
Rapha n’a pas besoin de plus d’argent, de toute façon.
Elle se penche doucement vers Maeve, yeux dans les yeux. “My friends call me Rapha. Oh and before I forget, I’ll need your phone number, for the dress.” Son doigt désigne la pauvre Alaïa et la tâche discrète.
Elle devrait renverser plus souvent des boissons sur les belles femmes.
Mais elle ne sait pas quelle réputation ça lui ferait.
ft. @Maeve McAdams

I want Prada Sittin' down on this fancy couch, And I can't see straight, I'm a state.
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cw:

“Working on which field? - PR.” C’est livré en toute décontraction, quand bien même son domaine d’expertise en dit plus sur elle que sur ceux qui font l’objet des narratives qu’elle produit à longueur de journée. Elle n’appellerait pas non plus son métier “the nice job” mais comparé à d’autre, elle s’en sort évidemment bien mieux. Aucun travail n’est un nice job, parce que ça reste du travail, mais ces opinions radicales ne font jamais leur chemin jusqu’à ses lèvres charnues. Ses lectures universitaires lui ont éclairé l’esprit, mais ce n’est pas sur cette voie qu’elle trouvera le confort oisif d’une vie de riche. Son chemin semble tout trouvé pourtant, dans l’eye contact intense qui s’établit entre elles.
Maeve a un léger sourire, s’abstient de déclarer qu’elle sait très bien qui est en face d’elle, mais elle ne compte pas faire semblant de ne pas être au courant. Les alias ne sont là que pour le spectacle, le véritable intérêt se trouve derrière tous les actes héroïques que les mutants accomplissent au nom d’Icarus, dans l’exploitation de leur identité humaine.

“Oh and before I forget, I’ll need your phone number, for the dress.” La réponse se dessine dans une moue légèrement moqueuse et la répétition du “For the dress,” d’un ton qui laisse comprendre qu’elle n’est absolument pas dupe, mais joueuse tout de même. La main tendue invite Rapha à lui donner son téléphone dans lequel elle enregistre son numéro sans manquer d’ajouter l’icône d’une robe à côté de son nom. Quand elle lui rend l'appareil, il y a une expression fausseement innocente sur son visage alors qu'elle demande : "Will you take care of that personally?"
Mais l'ingénue disparaît rapidement après une gorgée de son verre. Le goût est encore meilleur quand c'est gratuit. “So what brings you to this particular Icarus party?” Puisque l’ancienne apprentie ne semble plus fréquenter ces événements, peut-être qu’une occasion particulière se présente. En réalité, Maeve essaie surtout de savoir si c’est quelqu’un en particulier qui l’a guidée jusqu’ici, pour savoir si elle jour sur un terrain miné ou non.

ft. @Rapha Wayne

Alexa, play "lunch" on repeat
cw:

“Well, it could be for something else than the dress”, suit Rapha, avec un sourire qui se fait un peu plus franc, bien qu’elle sente une once timide dans ses yeux, la chatouille dans son iris gauche. “But I’d hate to impose.” Loin de là. Heureusement, ses parents lui ont appris la politesse et sa position de femme lui a appris à ne pas être trop aventureuse dans ses avances. "Will you take care of that personally?" Rapha en rit dans sa boisson, la mousse de son sour qui s’envole un peu. Elle se redresse un peu mieux, rabaisse son verre qui dévoile le sourire qui ne décroche pas de ses lèvres. “For the sake of everyone involved - including your dress- , it’s better if I don’t.” Elle se souvient de la tête de Shishi quand elle lui a avoué qu’elle n’avait jamais fait sa lessive auparavant. Il eut vite fait de lui faire un court intensif sur la machine à laver, quand ils ont emménagé ensemble.
Surtout, elle sait que ce genre de robe ne mérite pas un tour dans une machine à 30° en setting délicat.
Elle continue d’apprendre tous les jours.
L’intéret de Maeve sur elle la rassure un peu, et elle cherche du regard son meilleur ami, qui s’est trouvé un nouveau groupe où s'additionner. Shishi n’a jamais eu du mal à sociabiliser, force inarrêtable. “I came with my best friend. We wanted to let loose between two missions. Somehow, this Icarus party was the best thing happening tonight.” Incapables de décider, ils avaient tiré au dé, laissé le hasard décider où le duo improbable échouerait. “If you think of a counterparty, please let me know. It’s always the same faces here.” Dans un coin de son regard, elle devine la figure de Wolfman. Elle a aussi vu Arcelia, qui ne l’a pas pardonnée d’avoir décidé d’abandonner les apprentis.
Elle peut vivre avec ça.
Son monde à elle ne se résume pas/plus à sept personnes.
ft. @Maeve McAdams

I want Prada Sittin' down on this fancy couch, And I can't see straight, I'm a state.
Twenty-two, I'm in Paris, baby got strippers tits in my face. Pull up in a Bentley, I want Christian, I want Fendi, I want Prada. ♫
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“For the sake of everyone involved - including your dress- , it’s better if I don’t.” L’hilarité la gagne, un rire sincère, qu’elle ne contrôle pas et qu’elle laisse échapper avec plaisir, la main sur la bouche. “I meant the call. Will you call personally?” Ce n’est pas parce qu’elle avait opté pour une ligne de métier moins publique qu’elle en était devenue une personne lambda. Maeve imaginait sans peine l’armée d’employés qui avait dû prendre soin d’une petite Rapha, une chaîne invisible de labeur qui devait rendre l’idée de la vie domestique extrêmement simple. C’est cette vie que Yolanda avait toujours voulu et c’est dans l’optique de l’atteindre qu’elle a élevée sa fille comme telle, une go getter, quoiqu’il en coûte. C’est à elle que ça coûte évidemment, moralement, physiquement, coincée dans un train de vie censé la propulser vers le haut, mais elle a simplement l’impression d’être passée sous rouleau compresseur.
Alors ça faisait du bien de rire.
“If you think of a counterparty, please let me know. It’s always the same faces here.” Elle fait mine de réfléchir tout en ayant conscience qu’elle n’a pas ses entrées directement dans les soirées qu’elle a en tête. Mais quel genre d’endroit tournerait le dos à la couleur de l’argent des Wayne ?
Quelque chose lui dit cependant que ce n’est pas vraiment la scène de Rapha, et à vrai dire, elle aussi s’y fait chier sans un cacheton pour la dérider. “I’m not sure the crowd will be more bearable anywhere else. It’s usually the same boring bunch in these kind of parties.” Elle hausse les épaules avec une certaine désinvolture, comme si elle était une autorité sur ce qui faisait de bien comme fête et qui était de bonne compagnie ou non. En quelque sorte, elle l’était. Ou pouvait tout du moins l’être.

“There is however a cheat code to turn this party around.” La pause mystérieuse s’accompagne d’un air de malice, une connivence installée dans la séduction, sa deuxième peau. “If you put me in a good mood, I’ll guarantee that everyone here will have the time of their life.” Son sourire s’étend, défiant, assuré. “If you’re up for the mission of course.”

ft. @Rapha Wayne