death takes no bribes. (marlon)

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marlon "jawbreaker" scarrow
TW : LANGAGE GROSSIER, FAMILLE DYSFONCTIONNELLE, MORT, VIOLENCE PHYSIQUE ET VERBALE, MENTION DE SANG, MEURTRES, FÉMINICIDE, MASCULINITÉ TOXIQUE, MENTION DE DROGUE (TRAFIC).
FT. Jacob Elordi
CARTE D'IDENTITÉ Nom et surnom(s) : SCARROW. L'évocation de ce patronyme le lie aussitôt à la criminalité, réputation suivant sa famille à la trace. Lui ne se démarque pas tellement, la pomme tombe jamais loin de l'arbre. MARLON, petit guerrier. Prénom mué en un euphémisme fort drôle, vu ce qu'il est devenu. Plus connu sous l'alias de JAWBREAKER, suffisamment parlant pour alimenter une certaine aura l'entourant, réputation pour le moins parlante. Parfum noirceur, bonjour.
Genre et Pronom(s) : HOMME, ne s'est jamais senti autrement, et en tire une grande fierté. HE/HIM.
Âge et lieu de naissance : 28 PIGES. Le temps passe, ne cesse de lui rajouter des chiffres, et il s'en moque complètement. Né à NEW-YORK le 15 juillet 1997, ville entre temps disparue.
Origines et nationalité : Deux parents provenant D'AUSTRALIE, pays quitté précipitamment dans leur jeunesse. Ennuis jusqu'au cou. Lui est né sur les terres étasuniennes. AMÉRICAIN sur les papiers.

Statut marital : CÉLIBATAIRE. Il s'attache rarement, et quand c'est le cas, il préfère couper court. Mieux ainsi. Par sa faute, incapable de la protéger, Allison a perdu la vie. Et ça l'a bousillé, lui et son palpitant réduit en miettes. Pas question de redevenir aussi vulnérable, une fois de plus.
Occupation : COMBATTANT au Fight Circle, spé boxe. Les coups s'abattent impitoyablement, il ne fait pas dans la dentelle. Là pour gagner avant tout. Pas facile cependant, en étant un humain, quelques raclées collectionnées le laissant en sang. Puissant sentiment d'être en vie, dans ces moments précis. Officieusement TUEUR À GAGES. Tel père, tel fils. Les clients savent comment le joindre, discrétion absolue exigée, et il fait le sale boulot sans poser de questions. Prix conséquent en contrepartie.
Situation financière : Pas à plaindre, mais loin d'être riche. Quelques aisances lui permettant d'être proprio et de vivre très convenablement.
Lieu d'habitation : Entre L'UNDERAPPLE ET CRIMSON BAY, même si le premier reste le lieu privilégié.
L'ESPRIT La bouche glisse avec aisance de jolis mots, brossant dans le sens du poil. Il se joue de la naïveté d'autrui, parfois du manque de méfiance, par amusement ou profit personnel. Pourtant ça lui arrive d'être sincère et de dire ses pensées sans le moindre filtre, franchise parfois brute, mais principalement à ses proches, se comptant sur les doigts d'une main. Quand il s'agit de se mettre quelqu'un dans la poche ou d'être dans ses bons papiers, la donne est bien entendu différente. Les affaires sont les affaires, et à moins de parler cash ou contrat, les alliances priment sur l'honnêteté.

Secret en mécanisme de protection, peu de mots échangés sur sa vie. Ceux connaissant son nom savent déjà des bribes bien assez suffisantes. Il porte le reste en silence, sans jamais s'en plaindre, parce que tout a toujours été comme ça. On n'parle pas de ses problèmes dans la famille, on les règle tout seul. Quand on est un homme. Demander de l'aide vu comme une faiblesse, une tare, par laquelle il ne s'est jamais laissé happer. Sarcasme en second langage, manière détournée de s'exprimer dont il use peut-être trop par moments, parfois piquant à souhait. Une certaine sensibilité, dissimulée sous une couche de froideur. Protégée. Elle t'a trop foutue à terre, celle-là. Et tu détestes ça.

Sous son calme habituel, la colère gronde dans ses entrailles, devenant parfois le moteur du palpitant s'emballant face à la violence. Adrénaline boostée. Poings se retrouvant éclaboussés de liquide carmin. Monde impitoyable dans lequel il a grandi, violence l'ayant toujours entouré. Sombre énergie qu'il canalise pour limiter les dégâts, principalement par le biais des combats, où elle est entravée par bien peu de limites. Parce qu'il est pas doué pour s'exprimer avec des mots, émotionnellement parlant. Jamais appris à faire ça. Maladroit quand il essaie, parfois blessant. Les mecs, c'est fait pour être forts, pas pour s'apitoyer sur leur sort. Inquiétudes bouillonnant dans son encéphale, qu'il ne sait verbaliser que par le biais d'une certaine irritabilité. Ne parlons même pas des peurs. Perte des êtres chers en prime, se traduisant en un instinct protecteur étouffant. Tu as peur trop de gens autour de toi, pour fonctionner autrement.

Détermination et efficacité en maîtres mots, concernant le travail, pas de demi-mesure et encore moins de place à la médiocrité. Résilience parcourant ses veines, impensable d'abandonner, ses jambes le relevant toujours. Qu'importe les événements. Bats toi, Marlon. Bats toi. Pas des plus bavards, mais bon observateur.


Infos en vrac 
Souvent une clope au bec — maniaque, tendance à ranger plus que nécessaire — chaque cadeau offert par ses sœurs est conservé sur une étagère, qu'importe leur valeur — sang froid constant face aux horreurs, qu'importe leur gravité, hormis quand il s'agit de sa propre famille — quand il s'ennuie, il fait des pâtisseries — chat en chair et en os, du nom de Hell, sale caractère comme lui — lecteur insatiable, possède une montagne de livres — bisexuel — couche-tard — squatte souvent les fêtes pour l'alcool et les rencontres, rien de plus — anarchiste dans l'âme.
LE CORPS LE CORPS HUMAIN

Particularités physiques :
- La plus évidente chez Marlon, sautant aux yeux, c’est bien évidemment sa taille. Culminant à deux mètres, silhouette musclée, difficile de passer inaperçu avec ces deux éléments combinés. A la fois un avantage, déjà moins d’imbéciles finis venant lui chercher des emmerdes, mais aussi un inconvénient. Élément de description trop précis, suffisant pour qu’il se fasse pincer un jour ou l’autre, s’il ne se montre pas assez prudent.
- Quelques cicatrices éparses, symbole d’une vie passée à faire des conneries, à se mettre en danger et trop se battre. Celle sautant le plus aux yeux se situe en bas de son cou, trace blanche qui aurait bien pu lui coûter la vie, décalée de quelques centimètres.


Aptitudes particulières :
- Né pour se battre. Poings décrochés jeune, à l'école puis d'autant plus au sein des clubs de boxe, où il n’a eu de cesse de les écraser sur le moindre mec venant le défier. Gagne pain désormais, partiellement, avec l’avantage d’une musculature travaillée et d’une technique grandement améliorée avec les années de pratique. Monstre sur pattes, il ne tient pas son surnom de nul part, connu dans le milieu. Endurance monstrueuse, encaissant les coups avant de les rendre en double. Son corps, c’est son arme.
- Plutôt doué, pour se débarrasser d'une cible en toute discrétion. Pas le choix de l'être face au bond sans précédent des technologies.
- Notions de parkour apprises sur le tas, à force d'emprunter bien des chemins à quelques mètres au-dessus du sol.
L'ÂME LES MUTANTS
Avis plus que mitigé, les concernant. Certains font partie du Fight Circle, alors il se la ferme et les accepte malgré lui… mais la petite voix au fond de son crâne, celle de la colère, lui chuchote bien d’autres choses. C’est eux qui ont détruit sa vie, celle de sa famille, tout comme ils ont ravagé la ville. De leur faute. Tous mis dans le même panier, peu importe si ceux de naissance n’ont rien à voir. Méfiance exacerbée à leur égard, quand il connait leur nature. Rancœur toujours présente, malgré les années.
LES ALTÉRÉS
Tout autant mitigé les concernant, aussi responsables des destructions que les mutants, à ses yeux. A cela s’ajoute une certaine incompréhension face à ce qu’il appelle les “bidouilleries”, pour désigner les altérations, transformation de l’homme en robot. Ce serait si facile de dérégler tout ces machins, les brouiller, ou faire agir des prothèses contre le gré de leurs porteurs, trop avancées technologiquement pour leur propre bien. La cyberpsychose lui paraît être une conséquence évidente, nullement étonnante. Soit. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent avec leurs corps hein, lui s’en tient éloigné.
LA TECHNOLOGIE
Meh. Toutes ces technologies lui paraissent inutiles, superficielles et carrément une incitation à la feignantise, pour la grande majorité. Remplacer les clés par une reconnaissance faciale ? Les gens sont plus foutu de tenir un objet dans leurs mains, ou quoi ? Terrain de jeu pour des gens de son espèce, suffit d’obliger les proprios à se mettre devant leur machin, pour que la porte s’ouvre grand. Son opinion n’est pas tant différent, pour toutes les technologies du même acabit. Débrouillard comme il est, ayant besoin de faire tout de ses propres mains, elles se limitent au strict minimum dans son appart situé à Crimson Bay… Et y sont complètement absentes, dans sa baraque à l’Underapple.

Il ne peut néanmoins pas mentir, sur son utilisation du Metaword. Curiosité en premier lieu, l’ayant guidé jusqu’à ce monde virtuel, moyennant le plus basique des équipements. L’impression de se trouver ailleurs est à la fois impressionnante et complètement flippante. Il fait néanmoins bien la distinction entre les deux mondes, pas accro, casque virtuel toujours laissé à Crimson Bay. Il s'y rend de temps en temps, pour se planquer dans sa propre construct, où le rejoignent parfois ses sœurs: l’occasion de se voir, d’échanger un minimum, quand elles ne sont pas dans le coin. Simple outil de communication. Rien de plus.
 
LA VILLE
New Blossom n’est qu’une vitrine, où les puissants ont profité des ruines de New York pour en faire leur petit palace à taille de ville. Les quartiers de mutants et altérés le font dégobiller, dénaturant le paysage. Hypocrisie sans nom, au vu de ce qu’ils cachent sous le tapis, concernant les souterrains de la ville. Mais il rit de la douce ironie, concernant le quartier de Crimson Bay, et le fait qu’il soit installé sur l’endroit auparavant réservé aux richous. S’il en arpente les rues c’est avant tout pour ses contrats, se limitant aux quartiers ayant bien plus de valeurs historique, sinon.

A l’inverse, l’Underapple représente une sorte de maison, refuge où sa famille est restée un temps avant de pouvoir en partir. Départ vécu comme un déchirement. Terrain de criminalité, environnement familier, difficile de ne pas se sentir comme un poisson dans l’eau là-bas, depuis qu'il y a reposé les pieds.

L'APPARTENANCE Tomorrow's Disaster, de toute évidence. Regrets de temps anciens au final presque jamais connus, d'une simplicité perdue au profit des folies humaines pour le moins discutables. Sans compter le danger que peuvent représenter ces individus, tout autant les mutants que les altérés...
LA MÉMOIRE ○ CRIMSON BAY - 2022.
Un lourd silence plane, dans le crasseux appartement où se trouve Marlon: pas l’ombre d’une vie, hormis la sienne, et son souffle irrégulier. Regard se posant sur ses mains, recouvertes d’hémoglobine: pas de réactions particulières, hormis un soupir, en constatant l’étalage du carmin partout sur lui et tout autour. Bras, fringues, sol, meubles. Le voilà parti pour un long nettoyage, afin de faire disparaitre la moindre trace, tout autant celles de l’ex propriétaire des lieux que les siennes.

Victime à quelques pas de lui seulement, étalée au sol, tel un pantin aux fils coupés. Désarticulé, méconnaissable et surtout, sans vie. Arrachée sans plus de cérémonie. — Connard, sifflé à son encontre, en partant de la pièce. Même happé par la Faucheuse, il emmerde encore son monde. L’eau devient rougeâtre, mains passées en dessous, venant nettoyer la peau: à peine le temps d’essuyer, cependant, que des coups se font entendre à l’entrée. Déjà ?

Sœur ainée apparaissant derrière la porte, regard scannant l’état du frère cadet. Morgan. Soupir équivoque. — Va te changer, t’es crade comme pas possible. Vêtements propres et neufs tendus dans la foulée. — Faute à qui ? Les mots saupoudrés de reproches, implicites: c'est elle, qui lui a demandé de s'en charger, après tout. — Au moins Charlie est vengée. Evocation sans ménagement de la vie arrachée cette dernière, quelques semaines plus tôt: coupable aussitôt trouvé, copain aux colères faciles, explosant à la moindre occasion sur leur sœur cadette. Jusqu'à provoquer sa mort. — Le prochain qui vous fait l'moindre truc, il finit comme ça. C'est clair ?

Aucune réponse de Morgan, yeux simplement levés au ciel. Pas d’avertissements reçu pour celui étalé au sol. Oeil pour oeil, dent pour dent. — Tiens, au fait. Liasse de billets tendue, devant laquelle le plus jeune reste dubitatif. — Range ça, je ferai pas pay… Yeux levés au ciel en réponse. — Prends, j’t’ai dit. C’est ton travail non ? Argent refourgué dans sa main, qu’il le veuille ou non. Pas besoin de plus de paroles, pour s’accorder et terminer le boulot. Un de plus, sur la liste des morts. Mais rien ne saura compenser une si immense perte. Tristesse incapable d'être exprimée autrement que par le plus simple des biais. La vengeance.



○ DOWNTOWN BROOKLYN - 1997-2005.
La précarité suinte sur les murs de l’appartement familial, dissimulée par des décorations cheap. L’argent manque régulièrement chez les Scarrow, qu’importe les sommes empochées par les méfaits du père: nourrir et soigner une aussi grande flopée d’enfants demande un budget conséquent. Alors tout se résume au strict minimum, pour remplir les placards de bouffe, jusqu’à la fin du mois. Peu de cadeaux, les vêtements se passent entre chaque enfant et surtout, aucun voyage ou départ en vacances. Les rues du DoBro deviennent bien assez rapidement l’unique terrain de jeu de Marlon.

Garçon au centre de l’attention familial, entouré de quatre filles: et déjà, à son jeune âge, bien des responsabilités lui sont confiées. Papa dit qu’en son absence, il se doit de veiller sur ses sœurs. Les protéger. Même ses ainées, qu’importe si elles sont plus âgées. Et pour ça il doit être fort, comme papa, sinon il ne pourra jamais assurer leur sécurité. Du moins, d’après l’adulte. Mais l’enfant veut plaire, et surtout faire plaisir, alors il acquiesce. Se calque à cette vision, en faisant la sienne. Si papa dit qu’il faut faire comme ça, alors il le fera sans broncher. Même s’il se prend régulièrement des claques. — Arrête de chialer, ou j’te donne une bonne raison de le faire.

Rien ne saurait changer l’admiration portée envers ce paternel, et Marlon est ravi de lui venir en aide, à l’image d’un chiot ne cessant de vouloir faire ses preuves. Petits sachets dissimulés à travers les coutures des vêtements, il part dans le voisinage et sert de colis sur pattes, clients récupérant la marchandise, argent glissé dans les cachettes en échange. Qui soupçonnerait un gamin des rues, à la bobine adorable ? On ne lui ment d’ailleurs pas, sur le type de produits qu’il transporte: naïveté balayée d’un revers de main, sans ménagement. De toute façon il ne pose pas de questions, bien souvent. C’est comme ça, et puis c’est tout.

Alors sans surprise, dès son arrivée à l’école, le gamin se bat. Les profs lui font la morale, le punissent, convoquent parfois les parents: mais une fois le cadre scolaire quitté, ce sont les félicitations éparses du père qu’il reçoit. — C’est bien, ne te laisse jamais faire. Mauvais comportements encouragés au lieu d'être réprimés.



○ DOWNTOWN BROOKLYN - 12 AU 14 OCTOBRE 2005.
L’apparition des altérés et des mutants a toujours été perçu d’un oeil septique, par les Scarrow, et ce d’autant plus quand les technologies ont commencé à se faire une place dans la vie quotidienne. Elles se limitaient au strict minimum au sein du foyer familiale, faute d’argent, et refusant de tomber dans ce qu’ils percevaient comme des dérives bien trop inutiles. L’apparition des Sept devenant leur sujet de moquerie favori, systématiquement montrés du doigt à chacune de leur apparition: des clowns de foire, rien d’autre.

Jusqu’à l’effondrement soudain et brutal de leur vie. Les images de ces deux journées d’enfer restent floues, vagues, dans l’esprit de Marlon: huit ans à peine, quand il voit son père et l'ainée de la fratrie disparaitre sous les décombres de leur immeuble, fuite bien trop tardive des lieux. Il a crié le gamin, hurlé jusqu’à en bousiller ses cordes vocales: embarqué par sa sœur, fuite forcée Où, comment ? Difficile pour lui d’en avoir le moindre souvenir. Non, les deux uniques choses retenues de ce désastre sont l’éclatement de sa famille, et surtout, les responsables de tout ceci.

Ces putains de mutants et altérés. Tout comme les corporations derrière eux. Le père avait raison, quand il disait que tout ça deviendrait la cause de bien des problèmes. Rancœur nourrie à leur égard au fur et à mesure des années, reproches parfois faciles, tous mis dans le même panier. Colère crachée, dégueulée, restant désormais tapissée au fond du crâne.



○ PHILADELPHIE, 2006 À 2015.
Des mois noyés dans la pauvreté, entourés des ruines d’une ville perdue. Pas d’argent, pas suffisamment pour partir, pas avec quatre enfants sur les bras. Trop jeunes pour être une véritable aide. Une main se tend vers eux, presque miraculeusement, visage d’un homme se disant ami de feu le paternel. Marlon s’en méfie, mais il est déjà trop tard: ce dernier les mène jusqu’à Philadelphie, là où il s’est lui-même installé. Il devient la lueur d’espoir de cette mère esseulée, se montrant aux petits soins avec elle et étant si attentionné envers les enfants…

Façade cachant un hideux visage.

Une fois le piège refermé, le monstre se révèle finalement. Marlon en est la première cible, coups subis sans que l’enfant ne bronche: après tout on lui a appris ça, non ? Il doit encaisser, comme un homme. Haine pour cet imposteur naissant dans son encéphale. Qu’importe. Il laisse faire, sans rien dire, jusqu’au moment où les mains de l’adulte commencent à se lever sur ses sœurs. L’enfant se place entre elles et lui, sans relâche, peu importe les conséquences. Elles qui le ramassent ensuite, plus ou moins abimé. Peur de le voir un jour succomber sous la violence subie, peu importe à quel point il fait le fort.

Mais la colère s’accumule, avec les années. Les études sont mises de côté, l’adolescent se désintéresse de tout hormis la littérature, seule matière parvenant à attirer son attention. Truc de gonzesse, que crie souvent le beau-père imposé, avant de foutre ses bouquins à la poubelle. Mais il ne se rend pas bien compte, l’adulte, que l’enfant grandit et le dépasse bien assez rapidement en taille. Celui qui encaissait ses coups apprend désormais à les rendre en double, depuis un moment, majeure partie de son temps passé dans le club de boxe du quartier. Métacarpes s’écrasant sur les sacs de frappe, seul moyen de décompression viable pour lui. Violence plus ou moins maintenue en laisse.  

Point de non retour atteint à l’aube des dix-huit ans, majorité à peine atteinte.



○ PHILADELPHIE, SEPTEMBRE 2015.
— J’t’avais dit quoi, sale connard ? Son poing s’écrase sur la figure du beau-père, lui retournant la tête au passage. — Tu frappes encore une fois Charlie ou Hollis, t’es mort. Ce dernier tente bien de se défendre, d’attraper tout ce qui peut bien lui tomber sur la main pour riposter. En vain. Pour la première fois de sa vie, peut-être, le cinquantenaire a peur. Peur de ce qu’il perçoit dans le regard de Marlon, noirceur et rage jamais croisées jusqu’à présent. L’enfant se faisant battre est bien loin, rôles inversés.

Peu importe ses cris, remplacés par des supplications éparses, les coups s’abattent sur lui sans relâche. Hémoglobine s’étalant bien assez rapidement partout. Peau, vêtements, sol. Pas d’arrêt, personne pour retenir le plus jeune, seul l’épuisement vient à bout de lui. Souffle lourd et cœur battant à tout rompre. C’est un regard vitreux qui se pose sur l’adulte étalé au sol, presque absent: un soupçon surprise, peut-être, de le voir dans un tel état. Rien de plus. Les cris, ceux des jumelles tout juste rentrées, le font sortir de son état second.

— Il respire encore, le con. Toute la famille se retrouve dans la pièce, se regarde, attention se posant ensuite sur Marlon. Le responsable. Finalement la mère s’avance à sa hauteur. — Achève le. Propos auxquels personne ne s’attend, dans la pièce. — Quelqu’un viendra s’débarrasser du corps et effacer les traces. Regard tourné vers ses autres enfants. Plus personne ne parle de ça. — Clair ? Acquiescements sans broncher, laissant aussitôt Marlon et elle seuls dans la pièce. — Il est temps que tu prennes la relève de ton père, toi.



○ NEW BLOSSOM - 2020 À 2023.
— J’peux t’offrir un verre, jolie gueule ?
— Pardon ?
— Tu m’as bien comprise. D’ailleurs, je m’appelle Allison.

Visage de poupée rencontrée durant une soirée passée en boîte, avec des potes. Autant dire que Marlon a tout autant été amusé qu’intrigué par sa manière de l’aborder, conversation s’engageant sans difficulté. Les verres se sont enchainés, l’alcool venant griller leurs neurones, et les voilà à partager une nuit ensembles. Loin de penser que ce temps d’un soir se multipliera, pas du genre à espérer qu’une telle chose arrive. Pourtant, ce sera le cas. Une fois, puis deux et trois.

— Tu parles quand tu dors.
— Ah ouais ? Et j’dis quoi ?
— Que tu m’aimes, spèce de canard.
— Shhh, faut pas l’dire ça.

Déjà deux années accumulées pour leur tumultueuse relation, marquée par les relents de deux caractères bouillonnant l’un avec l’autre. Il fallait s’y attendre aussi, disputes orageuses bien souvent suivies de moments passionnels où le monde entier semble cesser d’exister, hormis eux. Pas une situation des plus saines, sûrement, mais c’est ainsi qu’ils s’aiment. Qu’importe les parents de la belle désapprouvant Marlon, sans le cacher. Personne ne peut comprendre, de toute façon. Même si tu m’fais mal, je t’aimerai bien plus encore.

— J’suis enceinte.
— Attends… Tu déconnes ?
— Parce que j’ai l’air de rire putain ?

Nouvelle lui tombant sur le coin de la tête, inattendue, le laissant sous le choc. C’est là qu’il a joué au con, fait le con, fuite en avant pour mieux échapper à une situation incontrôlée. Des jours passés sans répondre à un de ses appels, avant de se déplacer jusqu’à son appart pour enfin avoir une discussion. Parce qu’il a eu le temps de cogiter, l’homme Scarrow, et il ne se voyait pas laisser Allison seule dans un tel moment au combien compliqué.

— On y arrivera. J’te le promets.
— Tu crois ?
— Tu me fais pas confiance ?
— C’est plutôt moi, qui m’fais pas confiance.
— J’le ferais pour nous deux, alors.

Toujours aussi peu certain d’être à la hauteur, cependant. Devenir parent ce n’est pas rien, et Marlon s’en voudrait, d'être comme cet ex beau-père tant haï. Loin d’être un putain de modèle, métiers n’arrangeant pas le tableau déjà discutable de sa propre vie. Pas prêt de se ranger, à vouloir mettre une croix sur toutes ses activités illégales, égoïstement. Jamais su être sage, c'est pas maintenant que ça arriva. Inconscient des conséquences d’un tel choix pris, lui revenant en pleine gueule.

— Vous ne pouvez pas rentrer.
— Ma petite amie habite ici. Elle est enceinte. Laissez moi pass…
— Je suis désolé.

Brancard équivoque, celui sur lequel les morts sont placés avant d’être cachés aux yeux de tous. Pas besoin de demander plus d’explications, pour comprendre quel est le corps dissimulé. Pas besoin de mots, quand le policier se met finalement à parler. Il serait capable de lui cogner la gueule, à celui-là, juste pour le faire taire. Paradoxal besoin de comprendre se mêlant au besoin qu’on lui foute la paix. Monde s’effondrant, causé par un simple home-jacking. Du moins ils le pensent tous. Mais ce n'est pas le cas, représailles en arrière-plan. Adieu Allison, et le gamin jamais né. Logan. Goût de la vengeance restant sur la langue, jamais digéré. Tristesse le suivant à la trace, comme son ombre.


○ UNDERAPPLE - 2019 À 2025.
Le fantôme de son père l’a mené jusque là, dans cette ville souterraine paraissant bien plus familière que celle la couvrant, en surface. Nom d’un gang venant au bout de sa langue, dont l’adulte défunt faisait autrefois parti. Le Fight Circle. Un de ses anciens potes l’y fait rentrer, lui se contente de montrer patte blanche. Unique volonté de s’y faire une place en tant que combattant, peu importe le reste.

Lui et ses sœurs s’échouent dans une maison louée à bas prix, retapée par leurs propres soins. Chacun vit un peu dans son coin, ponctués par des moments communs, quand ils ont le temps. Sans rien dire cependant, Marlon veille sur elles, parfois plus que nécessaire. Il faut bien en arriver à là, pour s’assurer de leur sécurité, right ? Hormis Morgan, personne ne sait qu’il possède un travail déjà bien moins reluisant: nom se faisant peu à peu connaître dans l’ombre, alias aussi connu aux combats que dans les bouches de certains aisés.

Jawbreaker. Efficace dans son travail, pas le moindre faux pas. Exigences des clients respectées à la lettre, même les plus farfelues. Prix s’élevant au fur et à mesure, qualité exigeant paiement conséquent, lui permettant de devenir proprio d’un appart à Crimson Bay. Vie entre deux mondes des plus bienvenues.

Pourtant les années et le temps passant ne font que l’assombrir, perdre successivement Charlie puis Allison n'ayant pas arrangé pas les choses, sans grande surprise. Surveillance reprise de la sœur aînée, la cadette survivante maintenue au domicile principal: incapable de la voir partir, peur grondante qu'il lui arrive quoique ce soit, elle aussi.

Impression que le simple fait d’être un humain devient une bataille constante, celle de la survie, d’une certaine manière. Ils sont partout les altérés et mutants, autant aux combats que dans les cibles lui étant données par ses clients. Pas le choix que de s’adapter, utiliser quelques technologies pour parer cet écart de force criant. L’idée de les voir disparaître, pour la plupart, ne serait pas déplaisant. Personne n’a eu encore à payer, pour l’anéantissement de New York.

Et rien ne pourrait être plus plaisant que de voir cette nouvelle ville s’effondrer, aussi. N’est-ce pas ?
DERRIÈRE L'ÉCRAN
Pseudo : apophis/devilalys. Genre et Pronom(s) : femme, elle/ael. Âge : 24yo. Région/pays : normandie. Comment avez-vous connu le forum ? le bouche à oreille ! Autres commentaires ? Bise sur vos joues. Crédits : decrescxndo (ava) boggart & sae (icons)
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Rebienvenue Marlou ! heart
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Eeeh je peux te souhaiter la bienvenue cette fois \o/

Bon retour Very Happy
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@Rio Palmer merci rio de janeiro twa ticoeur
@Grace Copperfield avec ta madame si badass en plus, j'suis gâtée death takes no bribes. (marlon) 139611567 merciiii
Darius Sinclair
Originel
Darius Sinclair
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Image/Gif : death takes no bribes. (marlon) 8uAwPcd3_o
Alias : DRACULA | le vampire
Genre : masculin ; il
Age : 237 ans
Dollars : 3403
Statut : Compliqué
Occupation : Ex-médecin du SHC devenu bénévole auprès de diverses associations
Habitation : Dans une villa en bordure de Solaris
Déchirures :
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+ V A M P I R I S M E +

[ THE UNDEAD ]
Lorsque le vampire meurt, cette déchirure le ramène à la vie, faisant de lui un être potentiellement immortel. Néanmoins, chaque résurrection entraîne la perte d’une caractéristique des vivants, telle que la capacité à vieillir et à se reproduire.

[ THE PREDATOR ]
Son corps se transforme en celui d’un prédateur : ses pupilles se dilatent pour mieux voir dans l’obscurité ; son ouïe et son odorat sont amplifiés pour mieux traquer ses proies. Sa force et sa rapidité sont augmentées et ses canines sont allongées pour assurer le bon contrôle de la victime.

[3] En meilleure harmonie avec son monstre intérieur. Ouïe, odorat, force et rapidité accrues même sous forme humaine. Humanité retrouvée.

[ THE HEALER ]
Le sang dont il se nourrit lui procure des propriétés régénératives.

[3] Guérison accélérée pour les lésions profondes, brûlures de troisième degré et os brisés. De petits organes ou os retirés peuvent se reconstituer en l’espace de quelques heures.

[ THE PSYCHIC ]
Il peut accéder à l'esprit des autres organismes en s'abreuvant directement à leur veine. Leurs pensées et souvenirs se présentent à lui sous forme de visions.

[2] Il n'a accès qu'aux pensées actuelles ou aux souvenirs les plus marquants de l'individu. Il peut inhiber cette aptitude afin de boire l'esprit tranquille.

[ HYPNOTIC INDUCTION ]
Plonge sa cible dans un état de transe similaire à un état méditatif profond. Diminution du stress et augmentation du sentiment de bien-être.

[2] Crée un lien invisible entre lui et sa cible si sa cible ingère son sang. Permet de prolonger l'état hypnotique au-delà du contact physique. La cible est en mesure d'oublier momentanément sa douleur. Peut toutefois causer un effet de manque lorsque le sentiment de bien-être se dissipe.

Limites :
[ SOIF DE SANG ]
Comme pour tout être humain, le sang est son carburant ; pour autant, son corps a cessé de le produire. Idéalement, il doit se nourrir 2-3 fois par jour.

— Le besoin varie selon l'activité physique et l'utilisation de ses capacités.
— Le sang des BB et CC lui est toxique.
— Le sang animal peut le sustenir au détriment de ses facultés cognitives.
— Perte progressive de sa force physique et mentale lorsqu'il ne se nourrit pas pendant plus de 24h et comportement plus violent et obsessif.
— Allergie potentiellement mortelle à la verveine.

Pseudo : Nyxeia
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FC : Daniel Gillies
Crédits : [ava+img+sign] self
Thèmes abordés : violence, mort, meurtre, sang, maladie
Infos RP : PNJ jusqu'à nouvel ordre Smile
Misc :
reminiscience
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cr. ellaenys

Staff : FONDA
Rebienvenue dans le coin, contente de voir que nous ne t'avons pas perdue finalement huhu

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Humanity isn't a species
it's a state of mind
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Rebienvenue, contente de te voir revenir dans le coin ! death takes no bribes. (marlon) 1338913558
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R'bienvenue toiii ! heart
Dani Duarte
Humain·e
Dani Duarte
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Alias : KABOOM // Comme le bruit que fait l'explosion de ton coeur, hé ouais !
Genre : FÉMININ & ELLE
Age : VINGT-SEPT ANS // Sentiment ambivalent à l'égard de son âge : impression d'en avoir beaucoup moins quand il faut faire face aux responsabilités. Sensation d'avoir le double d'années quand elle pense à ce qu'elle a vécu dernièrement.
Dollars : 6133
Zone libre :

death takes no bribes. (marlon) 69la death takes no bribes. (marlon) 7682ec0f467a12f14b6d9cc666b4ced37769b814

death takes no bribes. (marlon) QXJKDFX

I DON'T KNOW HOW
TO HEAL FROM YOU
I HAVE ALL THIS LOVE,
BUT IT'S LOST ON YOU.


death takes no bribes. (marlon) 2K3YB9R

death takes no bribes. (marlon) F37d6f48b9d2340bb91d0b97d85389392bb180d8

death takes no bribes. (marlon) DoQmak7

WE COULD TRY TO GO BACK
WHERE WE STARTED
IF I WOKE UP WITH YOU
IN THE MORNING
I'D FORGET ALL THE WAYS
THAT WE'RE BROKEN.



Statut : EN COUPLE // Coeur épris d'un voleur.
Occupation : ASSOCIATION // Co-fondatrice, avec Rapha Wayne, de l'association Dreamt Upper Apple, visant à rénover et améliorer les conditions de vie dans l'Underapple. VENDEUSE // Job trouvé dans une disquerie, probablement la seule de la ville. Une hérésie quand on connaît sa non-connaissance musicale.
Habitation : CRIMSON BAY // Un appartement de plus en plus petit, qu'elle partage avec Cory (son bff, son frère de coeur), Archie (son petit-ami) et Rapha (son amie au coeur brisé). Et Pirate (un perroquet), Shet (une cyberlicorne) et Fripouille (un chien).
Limites : CULPABILITÉ // Elle se sent coupable. Pire : elle se croit coupable. De la mort de son petit frère. Tout juste capable de faire les premiers secours, alors qu'il aurait fallu empêcher le pire.

SOLITUDE // Elle est seule, Dani. Profondément seule, depuis qu'elle a laissé sa famille derrière elle. Impossible de les regarder en face. Impossible d'affronter leur deuil.

DÉPENDANCE // Cruellement besoin de l'affection, de l'amour des autres. Qu'on lui montre un peu d'attention et ça y est, vous devenez quelqu'un d'important dans sa vie.

Stigmates : EXPRESSIVE // Son visage est son pire ennemi. Il dit tout, il dévoile tout. Aucune émotion ne peut laisser son visage impassible.

CICATRICES // Une notoire dans le dos, causée par un accident quand elle avait cinq ans. Les autres ne sont qu'anecdotiques, résultats de pratiques sportives un peu trop extrêmes.

TATOUAGE // Un seul. Au poignet. Un tatouage réalisé après la mort de son frère afin de se rappeler sa perte chaque jour.

Inventaire : CYBERMON // Unicorn 4.6., appelée Shetunicorn.
Sait parler, faire des câlins, parler plusieurs langues, veiller à la sécurité. Usage pensé pour les enfants. Taille : 1m07. Offerte par Archie.

Pseudo : Sunny Sand
Comptes : Sloane Hatcher
Genre IRL : Féminin, elle
Messages : 3182
Date d'inscription : 17/12/2022
FC : Alba Baptista
Crédits : av - self / crackships - jellyfish & sunny / quotes profil - Rosie Darling & Gracie Abrams
Thèmes abordés : Deuil, dépression, anxiété, mort
Infos RP :
PRÉSENCE // Quotidienne
RYTHME // Variable
DISPONIBILITÉ // Libre
LONGUEUR // 1000 mots, mais rps plus courts possible

Misc :
MOODBOARD - LE 90's

Ben alors, il s'est passé quoi ? death takes no bribes. (marlon) 139611567 re-bienvenue chez toi, tu connais déjà les lieux ! Fais vite valider cette fiche et reviens jouer avec nous death takes no bribes. (marlon) 3134486888

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HAUNTED
BY THE
GHOST
OF YOU /
Take me back to the night we met. And then I can tell myself Not to ride along with you.
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Re-bienvenue dans le coin avec ce super personnage death takes no bribes. (marlon) 3471008882 (Le statut marital help la tristesse vraiment death takes no bribes. (marlon) 3917839045 ) J'espère que tu vas t'éclater à nouveau avec ce petit dans le coin death takes no bribes. (marlon) 4131681464
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Mais dis donc, c'est une tête que j'ai déjà vu passer dans le coin. death takes no bribes. (marlon) 139611567 Trop contente de te voir retenter l'aventure sur SOP, ce personnage est toujours aussi cool, c'est un régal à découvrir sous ta plume. death takes no bribes. (marlon) 4169462755 Hâte de le voir évoluer à New Blossom, et re-bienvenue sur le fo. ticoeur
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et un retour express, un huhu
bon retour parmi nous, j'espère que cette fois sera la bonne I love you le personnage est toujours aussi intéressant death takes no bribes. (marlon) 139611567 je ne te souhaite pas bonne chance pour la fiche, du coup huhu amuse-toi bien cat
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Marlon se fait appeler Jawbreaker, Oz a une entité qu'il appelle Jawbreaker aussi (enfin Jo, pour les intimes) ; sans mentionner le chat de Marlon qui s'appelle Hell, devine quoi, Oz a une fille qui s'appelle Hell aussi (ça compte, parce que c'est une sale teigne qui mord). Que de points communs eyebrow moi j'dis, on devrait leur trouver un lien (si jaja tu veux une cible à abattre pour ton tueur à gage, hit me up death takes no bribes. (marlon) 84533461). Bienvenue sur SOP, jspr que tu te régaleras à y jouer death takes no bribes. (marlon) 139611567
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REBIENVENUUUUUUEEEE
Je me souviens de Marlon v1
Du coup je découvre Marlon v2
ET IL EST TJRS AUSSI COOL !
death takes no bribes. (marlon) 449697264
Bon ok j'ai un petit (gros) faible pour les petits (gros) rageux.
ALORS J'IMAGINE QUE C'EST UN PEU DE LA TRICHE
DE BASE
DE ME METTRE SOUS LES YEUX
ce petit boy.
Mais c'est la vie.
death takes no bribes. (marlon) Xb7l6a1aem2001px
Cette fois pour éviter que tu ne sombres dans le néant du néant des néantisations
J'vais essayer de te péchoter pour un lien (ou inversement, JE MORDS MAIS PAS TROP FORT OKKKK) et t'emmerdouiller jusqu'à ce que mort s'en suive
Je trouve que c'est une bonne et belle perspective de lien nan ?
Si.
Je le sais.
On le sait.
hihi

J'vais pas te dire courage pour la rédac car j'crois que c'est terminé
DONC
death takes no bribes. (marlon) Good-luck-32
Pour la validation


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@Darius Sinclair exact je suis re-lààà death takes no bribes. (marlon) 139611567 et merci ehe
@Holly Reynolds merci c'est jontil death takes no bribes. (marlon) 1338913558
@Luna Saltzman merci twa ticoeur
@Dani Duarte être une pas douée qui oublie le recensement plusieurs fois, c'est une bonne explication ? aaah herm enfin bref, me revoilà pour de bon cette fois-ci !  et merciii
@Sylens Ziegler merciii (et encore, le statut marital n'est pas la partie la plus triste, faut sortir les ptits mouchoirs au passage d'histoire dédié à ce dernier death takes no bribes. (marlon) 3917839045)
@Yara Sarhan merci again blbl ticoeur
@Evelyn Harvey cette fois c'est la bonne oui ! merciii ticoeur
@Osmond Rose merci ! et oui, je suis grave partante pour un lien moi, quand tu veux What a Face
@Skye Lane JVEUXUNLIEN LÀ, MAINTENANT death takes no bribes. (marlon) 4131681464 je te laisse le choix, c'est oui ou oui (mhm, exact, il y a bien deux possibilités de proposées herm-)
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BIENVENUE OFFICIELLEMENT
Félicitations, tu es validé.e ! Pfiou, quelle fiche ! death takes no bribes. (marlon) 1045265584 J'ai vraiment beaucoup aimé la lire, même si elle est loin d'être joyeuse  death takes no bribes. (marlon) 3781716902 Ce pauvre Marlon n'a vraiment pas eu la vie facile, dis donc death takes no bribes. (marlon) 2054377266 Mais c'est un personnage tellement intéressant, je viendrai sans doute t'embêter pour un lien ou deux  I love you Amuse-toi bien parmi nous ! death takes no bribes. (marlon) 4084237613 Quoi faire maintenant ? Maintenant que les portes de Spring of Power te sont grandes ouvertes, tu es libre d'aller t'amuser ! Voici nos recommandations pour faire tes premiers pas et bien t'installer :

○ Tu peux ajouter ton personnage au répertoire pour obtenir davantage de visibilité. Parcourir le répertoire te permettra aussi d'avoir une vision d'ensemble sur la population du forum !

○ Tu peux également créer ton carnet de bord et visiter ceux des autres afin de trouver des idées de liens intéressants. Le carnet de bord sert à la fois de fiche de liens, fiche de RPs, moodboard et autres.

○ Ton personnage est fan des réseaux sociaux ? N'hésite pas à lui créer un profil sur l'ARGO Space, qui est un peu comme l'Instagram de Spring of Power !  

○ Tu as également la possibilité de rejoindre le groupe argossip pour recevoir une notification lorsque des rumeurs croustillantes sont postées sur le forum. Il te suffit de faire une demande d'adhésion !

○ Ton personnage attend d'autres personnages liés à son histoire ? Tu peux dès maintenant créer un scénario ou proposer des pré-liens.

○ Si tu as :
— Ajouté ton personnage au répertoire comme suggéré plus haut
Pris un poste vacant, scénario ou pré-lien affiché
— Été référé.e par un.e autre membre ;  
Tu peux déjà réclamer de l'argent qui te permettra d'acheter des articles à la boutique !

○ Enfin, si tu es prêt.e à te lancer pleinement dans l'aventure SoP, nous te souhaitons de bons RPs death takes no bribes. (marlon) 3865144472 Et si tu as besoin de te détendre autrement, la salle d'arcade t'est ouverte pour jouer ou discuter !
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